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Les chiens ne font pas des chats.

Chapitre 5

Rose comprend douloureusement la réputation de son père

Inceste
Les chiens ne font pas des chats. 5
Rose s’éclate sur deux belles queues.

Patrick se présente donc le soir même chez son père, entre en silence et se dirige vers le salon.Des cris l’accueillent. Rose est en train de s’éclater sur la queue qui lui dilate la chatte. Quand elle le voit, elle cesse tous mouvements, elle le regarde avec des yeux comme des boules de loto et lui dit sans aucune gêne et avec un aplomb extraordinaire:
— Ah, c’est toi papa ?! Tu vois, j’ai bien retenu mes leçons et Papy m’a donné des cours supplémentaires pour parfaire la technique.
Patrick est scié par ses paroles et en reste muet.
Suite.Henry est comme statufié, sa queue toujours plantée dans le sexe de sa petite-fille et bafouille des excuses, plein de honte :
— Patrick. Ce n’est pas ce que tu crois, enfin... Il faut dire que c’est aussi de ta faute. Rose m’a expliqué les leçons très particulières que tu lui as données avec Emilie, et un jour, elle m’a surpris en train de me branler. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’elle était déjà en train de me pomper, et de fil en aiguille, si je peux dire, et après un gros mensonge de sa part, elle a tout fait pour que je la saute.

Que répondre à ça ? Que faire ? Patrick l’injurie copieusement, mais le mal est fait. Ce qu’il n’a pas voulu faire, son père l’a fait !Le pire, c’est que maintenant, le regard de Rose est dirigé sur son pantalon. Il ne faut pas être devin pour comprendre qu’elle a envie de sa queue.
— Approche papa ! Je sais que tu en meurs d’envie, et Papy m’a déjà raconté que ce n’est pas la première fois que vous êtes tous les deux ensemble à troncher une fille. (Henry et Patrick, un air de famille).
Patrick n’hésite qu’une minute avant de céder à la tentation, au point où il en est. Rose a tôt fait de libérer sa queue et commence à la branler entre ses mains. Après quelques minutes d’astiquage intense, elle prend en bouche son engin et se met à le sucer avec gourmandise tel un bâton de sucre d’orge d’une taille inédite. Patrick voit la petite chatte bouillonner de plaisir tellement elle dégouline sur le pieu de son grand-père.
Cette petite salope transformée en vestale du sexe se délecte de son emprise sur ses deux mâles.Elle est leur tortionnaire, ne respectant plus ses ainés. Elle se donne à deux hommes qui l’aiment follement, dans les deux sens du mot – Aimer-Elle a dû tellement fantasmer sur cette situation. Rose suce Patrick, le gobe, le lèche frénétiquement, montant et descendant sur sa hampe qui n’en finit pas pendant que la queue de son grand-père lui emplit sa petite chatte liquéfiée, la meurtrissant de son dard puissant. Maintenant, n’écoutant que son désir, elle se lève, se met à quatre pattes et les regardant droit dans les yeux, très gravement, elle ordonne de venir la baiser.

— Venez me prendre avec vos grosses queues, vous en crevez d’envie !
Henry reprend sa chatte pendant que Patrick frotte son membre tendu sur sa joue, ne voulant pas rester simple spectateur. Elle ouvre instinctivement la bouche pour gober son nœud en le fixant droit dans les yeux, d’un air de défi. Ils la baisent maintenant de concert, son père dans la bouche, son grand-père dans le vagin, les trois corps s’enchevêtrant parfaitement. Les deux verges vont et viennent comme deux pistons de forge bien huilés. Rien ne semble pouvoir enrayer cette harmonieuse mécanique sexuelle à part l’instant où ils inversent les rôles et que la queue de Patrick, pour la première fois, goûte à la chatte de sa fille, humide et dilatée à souhait.
La pression monte graduellement et l’explosion est inéluctable. Malheureusement, Henry ne parvient pas à tenir la distance assez longtemps, râlant profondément. Il a tout juste le temps de se retirer et pétrissant sa queue, jouit sur le visage de Rose, un sourire irradiant son visage. Rose continue de cambrer son bassin de façon à offrir sa chatte à la queue de son père qui la pine encore de nombreuses minutes avant que son sperme chaud gicle sur les fesses et la superbe chute de reins de sa fille, formant un filet qui s’écoule sur sa rondelle et sa chatte encore dilatée.
Il ne sera pas dit qu’il sera le deuxième partout. Patrick caresse le ventre plat, puis sa main descend vers le centre de toutes ses pensées. Il caresse doucement la fente imberbe, puis l’écarte délicatement et glisse un doigt pour trouver le clitoris gonflé. Ensuite, Patrick pose le bout de l’index d’une main sur la rondelle et trois doigts de son autre main explorent la chatte. Rose gémit, le salon résonne de ses râles de plaisir. Son corps est parcouru de frissons de jouissance, ses tétons sont durs, Patrick lui défonce la chatte et le cul en même temps de ses doigts, repoussant les frontières de l’excitation. Il approche sa bouche, embrasse la merveilleuse chatte, sa langue fouille son vagin profondément avant de s’attaquer à son bouton qu’il tète, suce et gobe férocement, elle se cabre sous la langue et mouille abondamment sous la sensation électrisante qui la fait gémir, écartant ses cuisses au maximum pour que Patrick explore son intimité.
Mais sa bouche dévie un peu plus haut. Rose gémit de nouveau tout en mordillant sa lèvre supérieure.
— Oh, papa, viens, je n’en peux plus, viens, prends-moi encore !
En l’entendant, Patrick se demande alors s’il ne va pas trop loin ; la queue dans sa chatte- passe encore-, mais dans son cul ? Là, c’est autre chose. Son gland est contre l’entrée et il envisage de renoncer à passer la ligne rouge du tabou suprême. Mais à ce moment, Rose qui ne comprend pas son hésitation, projette son popotin vers l’engin à la différence que pour cette nouvelle cavalcade, la verge bandée a comme objectif son anus.Ne pouvant contenir plus longtemps son envie, Patrick se cambre convulsivement, enfonçant son gland entre les fesses de sa fille sans même un cri de sa part, elle a la bouche grande ouverte, recherchant sa respiration.Patrick en profite pour pousser profondément son membre à l’intérieur des boyaux de Rose qui se met à hurler :
— Putain papa ! Aaahh ! Tu me casses le cul !!! Putain que ça fait mal !

Le frottement de cette gaine étroite le long de la verge gonflée, le massage de la queue par l’anus resserré réanime son ardeur qui s’était momentanément apaisée et l’accentue même encore. Le plaisir ressenti par cette pénétration anale est totalement différent de celui d’une bite dans une chatte. La montée de la jouissance est plus longue, plus insidieuse pour Rose. Il crochète les hanches animées de sa fille qui cherche à fuir le supplice, mais ses paroles sont tout autres au bout de quelques minutes:
— Je rêvais de me faire pilonner le cul, j’ai même osé, dans mes moments d’intimité, me glisser un gode dans la rondelle. Le plaisir est aussi subtil qu’intense, mais il faut savoir apprivoiser ta queue, putain que t’es gros, papa ! Ca m’excite tellement que j’en ai le clito et les tétons tout gonflés. Je t’aime, papa !— Je t’aime aussi, Rose ! Si ta mère nous voyait... !
Patrick redresse le corps de sa fille et la plaque contre le mur. Rose lève les bras pour poser les mains sur le mur et se repousse pour s’embrocher encore plus loin sur le chibre paternel. Elle sent soudain un vide, car Patrick a plié les genoux et est presque sorti en entier de son cul. Il pose ses mains sous les cuisses de Rose et la soulève d’un grand : han ! Elle n’a que le temps de s’agripper comme elle peut aux bras de Patrick pour ne pas chuter en avant. Sous son propre poids, la violence de la pénétration est presque intolérable. La suite est irréelle pour elle, son père n’arrête pas de la soulever et de la laisser se poignarder le cul sur ce sabre infatigable. Mais Patrick fatigue et demande à Henry :
— Viens m’aider à la porter.
Henry se met entre les cuisses de Rose qu’il prend dans ses mains calleuses, le spectacle a fini par le faire rebander. Rose prend peur sur ce qui risque de se passer si ces deux énormes bites la prennent en même temps. Mais de sa vie future, n’aura-t-elle jamais l’occasion de trouver deux étalons aussi bien membrés ?
— Noooooonnnnnn !
Rose pousse un cri rauque quand la verge la pénètre d’un trait au plus profond d’elle-même, compressant celle qu’elle a dans le cul. La sensation est atroce, mais en bonne petite fille, elle serre les dents. Son corps commence enfin à suivre la cadence donnée par ces formidables pistons, son vagin et son sphincter se contractent pour mieux aspirer les verges dures qui la fouillent à grands coups de reins.
Les traits contractés par l’approche du plaisir. Elle étreint passionnément son grand-père, cambrant les reins pour mieux sentir les deux chibres.Patrick recommence son travail de sape. Il la pilonne, la pistonne, l’enculant de toutes ses forces avec toute la vigueur de sa longue expérience et de sa force tranquille. Il joue du pouvoir sexuel de sa queue, ressortant presque de son anus dilaté, le gland au bord du cratère foncé puis repartant au fond de son boyau, envoyant Rose au septième ciel plusieurs fois.
Au bout de quelques minutes, les deux hommes explosent quasi simultanément. Elle sent la lave couler dans son vagin et ses intestins pendant qu’elle convulse de plaisir. Elle est transportée de joie de se faire remplir la chatte et la rondelle, toutes deux défoncées par ces formidables teubs.
Elle devrait mourir mille fois de honte à finir baisée et arrosée de la sorte par son père et son grand-père, mais le pied est trop grand, trop irréel. Rose sent la semence chaude et onctueuse couler à l’intérieur de son corps.
Cela dure un moment, mais comme toute chose a une fin, le pénis d’Henry se ramollit et sort naturellement du vagin meurtri, celui de Patrick perd de sa rigidité, mais reste encore épais.Elle s’écroule sur le divan et reprend peu à peu ses esprits, la tête posée sur les cuisses de son père qui s’est assis à son côté. Elle est épuisée et voudrait s’endormir, mais la bête endormie est si proche de sa bouche...
Rose joue avec le gland, le lèche, plantant le bout de sa langue dans son méat, ressortant, gobant à nouveau l’engin, une main glissée entre ses cuisses afin de se frotter le clitoris avec nonchalance.
Elle n’en revient pas, car la verge de Patrick reprend déjà de la consistance, devenant tellement énorme qu’elle ne peut plus la rentrer entièrement dans sa bouche et lorsqu’enfin il éjacule une troisième fois après de très longues minutes. Elle se sent satisfaite et heureuse, appréciant la vitalité sexuelle de son père.
Mais cette bite est infatigable, redevenant toujours aussi dure et aussi grosse, Patrick la tringle une quatrième, puis une cinquième fois, éjaculant par gros flots de sperme dont la plupart s’échappent du vagin ravagé pour atterrir sur le sol sous le regard d’Henry.
Il la baise et la défonce durant tellement longtemps qu’elle en perd la notion du temps. Ce sont les heures les plus jouissives et les plus merveilleuses de sa si courte vie sexuelle, un maelström de plaisir et de bestialité sans fin. Elle voudrait que ça ne cesse jamais, mais c’est impossible.
Patrick éjacule pour la dernière fois. Rose est complètement crevée et usée, dans un état de loque impossible à décrire, la réputation de son père étant encore une fois confortée. C’est à ce moment-là que Patrick débande enfin, se rhabille lentement, pendant que Rose est prostrée sur le sol, une petite mare de foutre entre ses cuisses s’écoulant de son vagin littéralement rempli d’une semence chaude et épaisse.
— Maman ! Murmure-t-elle comme un appel au secours, comment peux-tu supporter ça depuis tant d’années ?— Tu as voulu t’approcher trop près du feu, lui rétorque Patrick, ne te plains pas si ça brûle ! Mais d’après ta réaction, tu aimes dominer le feu...
Et sans attendre sa réponse, il s’en va sans se retourner.
Fin.
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