Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 57 J'aime
  • 4 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Les Chroniques de Béa

Chapitre 1

La salope des chiottes du Ciné

Trash
Avertissement : vous qui circulez sur Xstory, cherchez sûrement le charme et la montée de l’érotisme. Passez votre chemin, moi je propose du cash et du trash.


L’été dernier, en manque de mecs et de plans-cul partis en vacances, je me suis remise sur un site de rencontre. Très vite, je matche avec Julien, un étudiant de vingt-trois ans qui n’a pas de thune pour partir en vacances. Je vois très vite le profil : mignon mais inexpérimenté, peut-être même puceau, il me chauffe maladroitement, mais moi j’adore initier les petits jeunots.
Je lui propose un rendez-vous mais lui laisse le choix de l’activité. Contrairement à ce que j’ai imaginé - un simple verre en terrasse - il me propose une séance au ciné. Avec une idée derrière la tête, je lui propose la première séance du lundi matin : effectivement, lui ne bosse pas, et moi je suis en télétravail, mon chef en vacances, donc personne pour fliquer si je m’absente à 10h avant le début de l’après-midi.
A ma grande surprise, Julien n’est pas seul : il est venu avec son pote Ludo. Alors là je suis épatée ! Il est tellement timide qu’il faut qu’il vienne avec un "grand frère" pour lui dire quoi faire ? Dans notre petit cinéma de quartier et de banlieue, il y a large choix de films, mais Julien choisit le dernier Marvel.
Comme j’avais prévu, la salle est vide de chez vide. Je me retrouve assise à gauche de Julien et à droite de Ludo. Ludo tente de faire la conversation, Julien étant très timide, il me vend vraiment son pote, et je dois dire que je suis même intéressée. Mais le film débute, et Julien est immédiatement absorbé par les scènes d’action. Il est vraiment comme hypnotisé. Je colle ma jambe contre la sienne, pose ma main sur sa cuisse avec nonchalance : il ne réagit pas.
Je finis donc par rentrer dans le film, mais si je suis grand public, je n’ai pas la tête à ça. Apparemment, ce n’est pas le cas de mon voisin de gauche, car du coin de l’œil, presque dans mon angle mort, je distingue comme un mouvement. Au début, je pense que Ludo veut chercher son portable, ou une bouteille d’eau, ou vérifier s’il n’a pas perdu ses clés. Mais les mouvements sont réguliers. Je tourne un peu la tête, et constate que le jeune homme s’est mis complètement à l’aise : il a sorti sa bite et s’astique avec aise ! Il faut dire qu’on doit être cinq à tout casser dans la salle, nous trois et un couple tout devant. Personne ne nous voit.
Ludo a bien vu que je l’ai grillé, alors il continue avec plus de vigueur. Dis donc ! Il a un chibre plutôt volumineux, je suis épatée ! Complètement mécaniquement, le regard toujours sur l’écran, il se branle avec force et puissance, et je sens son souffle. Puis nos regards se croisent.
— Désolé pour Julien, je pensais qu’il ferait quelque chose... Mais on se fait un peu chier, hein.— Oui, un peu... Mais toi, par contre, tu es dans tes aises !— Oui, j’avais les couilles qui me démangent et ma bite avait envie d’un câlin. Donc j’écoute mes instincts. Cela te dérange, que je me fasse plaisir ?— Mais non, pas du tout !— Tu aimes ce que tu vois ?— Oui, j’adore !— Si tu veux, je te la prête. Tu veux bien me branler ?
Comme je n’ai pas grand-chose à faire, je tends la main gauche et agrippe le sexe mon voisin. Celui-ci place ses mains derrière la nuque, profitant pleinement de la petite branlette que je lui offre. Mécaniquement, ma main l’enserre, mais plus je serre, plus la bite semble gonfler de sang de résistance. Puis lentement ma main s’active le long du sexe. Tantôt je garde la pression bien serrée et exerce un mouvement de va-et-vient lent, tantôt je relâche la pression et le rythme se fait frénétique. Parfois, je gare juste l’anneau de mon index et de mon pouce à la base du gland. Ludo semble prendre son pied, il sourit et soupire de plus en plus vite.

- Hmmmm... Sacrée branlette ? Tu es la reine des branleuses, on dirait que tu as fait ça toute ta vie ?— Dès que je peux, je réponds langoureusement, sensible au compliment. Si je n’ai pas une queue avec laquelle jouer, je m’ennuie au bout de trois jours. Je suis toute triste !— Ne sois pas triste ! Heureusement que je suis partageur. Eh bien, vas-y, fais joujou. Je te la prête. N’hésite pas à en faire ce que tu veux.— C’est vrai ? Je peux la sucer alors ?
Je ne m’inquiète pas de Julien, qui n’a pas bougé le regard depuis dix minutes. Sans aucune hésitation, je me penche sur le bassin de Ludo et avale d’une goulée la bite qui se dresse à moi. Pour être sûre, je tâte de la bouche la marchandise, mesure le gland avec mes lèvres, tapote le petit calot avec la langue pour jauger de la réaction, complétement électrique.
- Voodoo, c’est bon... Je ne me suis jamais fait sucer au ciné, ma première ! Dis donc, t’es quand même une belle cochonne.— Moi, cochonne ?— Oh pardon...— Je te pardonne si tu me traites de salope toute la journée.— Okay, salope.— C’est bien.
Et comme on n’a plus grand-chose à se dire, je m’adonne à une petite turlutte bien méritée, pour récompenser ce vrai gaillard venu accompagner son puceau de copain. Ma langue l’attaque dans tous les recoins, pendant que je bave abondamment, salivant et suçotant la queue. Un bruit de succion immonde s’élève, mais les pétarades de la salle du ciné couvrent le tout. Comme pour m’encourager, Ludo me donne des petits coups de butoir à contre-rythme, pour mieux sentir sa bite se faire aspirer par ma bouche de pouffiasse.
- Vas-y, malaxe-moi les couilles maintenant, m’ordonne-t-il.
J’approche ma main droite, déboutonne son jean, libérant deux boulettes velues. Comme il me l’ordonne, je lui attrape les testicules et les masse, les tire, joue avec. Il est aux anges. J’aimerais beaucoup qu’il me jouisse dans la bouche, mais une chaleur se fait sentir entre mes jambes. Heureusement, Ludo a de l’instinct, il plonge ses doigts dans ma jupe et palpe la marchandise, notamment ma vulve qui bave dans ma culotte inondée.
- Hmmm, c’est brûlant par ici... Ce serait intéressant de terminer ici, mais je crois que je vais plutôt te tringler aux chiottes !
Je me redresse et dit à Julien que je vais aux toilettes : il ne réagit pas. Je crois qu’on l’a définitivement perdu. Je me lève donc et sors de la salle, me dirige aux toilettes des hommes, vides, et sélectionne la cabine pour handicapés. Dommage s’il y a quelqu’un en chaise roulante, on va devoir prendre place. La porte s’ouvre deux minutes après moi, et Julien me rejoint.
Les chiottes sont vraiment crades, y a du papier toilette par terre, dans la cuvette, qui n’a même plus de lunettes ou de couvercle. Qu’à cela ne tienne, ce n’est pas pour pisser qu’on est venu. Je me tiens de dos par rapport à Ludo, contre le mur, tandis qu’il descend ma jupe et ma culotte aux chevilles. Puis sans me prévenir, il m’enfile sec, heureusement que je mouille comme un escargot. Je pensais qu’il avait une grosse bite mais j’avais tort : elle est vraiment immense. Je pousse un cri de surprise et de joie.
— Désolé, ma bite doit être bien minuscule par rapport à ce que tu encaisses d’ordinaire...— Non, non, halète-je. Elle est énorme ! Fourre-moi bien en entier.
Je sens Ludo me pénétrer intégralement de l’entièreté de sa bite en pleine érection et gorgée de sang. Je me sens vraiment femme quand on sait me prendre par les sentiments, me prendre tout court ! Il me chope les cheveux, bascule ma nuque : j’ai le nez qui tombe au-dessus de la cuvette, je sens la pisse, le sol mouillé, et je suis excitée d’être le genre de meuf à me faire trousser dans les chiottes crades du ciné et ne pas mériter mieux.
Ludo n’en donne pas son reste, il me chope la taille et c’est la cavalcade infernale : il me donne des coups de butoir à vitesse accélérée, et moi je vocifère comme une truie. J’entends le bruit de ma voix faire écho dans les toilettes, tandis que les basses des différents films autour de moi couvrent mes hurlements d’extase.
— Hoooo ouiiiii ! C’est bon, c’est si bon ! Plus vite ! Plus vite ! Plus fort ! Défonce-moi encore, démantibule-moi la chatte.— T’aimes ça salope !— Oui, je suis ta petite chienne !— Je vais te déglinguer, tu vas rentrer en rampant
Hmm, je sens son corps frapper contre mes fesses alors que sa queue vient taper au plus profond de moi, m’extirpant des halètements et des soupirs de plaisir, plus ça va, plus je sens sa queue gonfler, comme si ça en était possible. Quant à moi, je suis devenue un puits sans fond de plaisir, toute bonne à contenter les besoins sexuels de mon partenaire d’une heure. Alors que je sens la sève monter, je tourne la tête :
— Tu vas jouir, tu veux jouir où ? Dans ma bouche ? Dans ma chatte.— Hooo, je vais pas me retenir, dans ta chatte !
Je sens le bas du corps de Ludo se contracter, expurger sa sève. Il explose en tremblant, me remplissant le bas-ventre de sa semence et reste quelques secondes imbriqué en moi, avant de se retirer et remettre son pantalon.
- Dépêche-toi de te rhabiller, salope, avant qu’il nous grille.
La chatte encore tremblante de spasmes, je finis par nettoyer mes jambes d’où coule le sperme et me refaire une beauté après avoir remis ma culotte et ma jupe. Au retour dans la salle, Julien n’a évidemment pas bougé dans un pouce et nous terminons le rencard avec une bise.
Il a tenté maladroitement de me rappeler mais j’étais passé à autre chose. Il a raté son occasion, mais pas moi de me faire bien baiser comme il faut dans les chiottes crades d’un cinéma.
Diffuse en direct !
Regarder son live