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Les chroniques d'une vierge

Chapitre 5

La visite à la clinique

Hétéro
Le début de ce chapitre peut être non-conventionnel et différent de ce qu’on est habitués de voir sur XStory. Par contre, il est essentiel à l’histoire, car c’est quelque chose qui fait partie de mon parcours sexuel et c’est un sujet sur lequel peu de gens sont informés et je veux changer cela. Bonne lecture

Cela fait bientôt deux mois que je suis en couple avec Jacob. Mon amour pour lui ne fait que grandir et je commence sérieusement à penser à faire l’amour avec lui. J’ai appris à lui faire confiance et c’est le seul homme avec lequel je veux partager ma première fois. Seulement, j’ai un petit souci.
Je n’ai jamais pu pénétrer quoi que ce soit dans mon vagin. J’ai déjà essayé de me doigter plus d’une fois sans succès. C’était trop douloureux et mes doigts ne pouvaient pas entrer malgré le fait que je sois excitée. L’autre jour, Jacob a tenté aussi et ça a donné le même résultat. De plus, je n’ai jamais pu m’insérer de tampon donc quand j’avais mes règles l’été, je regardais mes amis se baigner dans la piscine sans moi.
Au début, je pensais que c’était juste parce que j’étais trop jeune ou trop serrée et qu’avec le temps ça allait s’arranger, mais aujourd’hui, j’ai le même problème. C’est pourquoi je n’ose pas franchir le cap avec Jacob. Si je ne peux pas insérer un doigt, je me vois mal me faire pénétrer par un pénis.
Aujourd’hui, j’ai un rendez-vous à la clinique pour consulter un médecin ou un gynécologue afin de m’éclairer à ce sujet. Le gynécologue semble plutôt jeune pour un médecin. Je ne lui donnerais pas plus de 35 ans. Il est plutôt bel homme. Mais bon, je ne suis pas ici pour parler du médecin.
Après lui avoir expliqué mon problème et la raison de ma visite, il me dit qu’il va m’examiner. Je suis un peu stressée à ce moment, car je ne m’attendais pas à être examinée aujourd’hui. Il m’invite donc à enlever mon pantalon et mes sous-vêtements pour qu’il puisse voir le problème. Je vais derrière un rideau, retire mon pantalon, ma culotte et enfile une chemisette qui m’arrive à mi-cuisse. Je suis très gênée de sortir comme ça, mais je prends mon courage à deux mains et vais m’installer sur la table d’examen.
Le gynéco m’invite à m’allonger sur le dos et d’écarter mes cuisses pendant qu’il s’installe entre elles. Il me dit qu’il va commencer par inspecter en surface. Je suis déjà très mal à l’aise, car ma vulve est complètement offerte à la vue d’un inconnu qui a 15 ans de plus que moi. Je me crispe dès que je sens ses doigts toucher mes petites lèvres. Son geste n’a rien de charnel, c’est très médical et professionnel. C’est loin d’être agréable, mais ce n’est pas particulièrement désagréable ou douloureux pour l’instant. Je commence à me détendre jusqu’à ce qu’il me dise qu’il ne voit pas d’anormalité et qu’il va insérer ses doigts pour examiner l’intérieur de mon conduit. Je suis extrêmement tendu, mais j’essaye de respirer pour me calmer. Je le sens alors commencer à mettre de la pression pour me pénétrer. Ça fait mal, mais ça passe encore. C’est quand il pousse plus fort que je ressens une douleur aiguë et l’empêche d’aller plus loin.
Le gynécologue s’arrête aussitôt et me dit que l’examen est terminé et que je peux retourner me changer. Je suis rassurée que ce soit terminé, et vais remettre mes vêtements. Le médecin me donne son verdict :
— C’est ce dont je me doutais. Vous souffrez de vaginisme. C’est une condition médicale assez commune, mais pas très connue. En fait, les muscles de votre plancher pelvien se contractent de façon involontaire, ce qui empêche ou rend douloureuse toute tentative de pénétration. Ne vous inquiétez pas, c’est tout à fait curable, il suffit de rééduquer vos muscles et d’apprendre à vous détendre. Je vous réfère à cette physiothérapeute, j’ai entendu beaucoup de bons retours sur ses séances.
Je remercie le médecin et quitte la clinique, à la fois soulagée de savoir ce que j’ai et de savoir que je peux le régler, mais aussi pas très motivée à voir une physiothérapeute. C’est étrange de voir ce genre de spécialiste pour ce genre de problème, mais celle qu’on m’a recommandé est spécialisée dans ce genre de thérapie donc ça ne devrait pas être si pire.
Arrivée chez moi, j’appelle la clinique de physio et prends rendez-vous pour la semaine prochaine. Le jour du rendez-vous, je me rends à la clinique et remplis un formulaire sur mes symptômes. Par la suite, une dame plus âgée que le gynéco me prend en charge. Elle se présente et me dit que son nom est Dr. Garcia. Elle m’emmène ensuite dans une salle qui n’a rien d’une salle d’examen normale. Une ambiance zen y règne. Il y a une table de massage, deux fauteuils, une grande fenêtre qui mène au centre-ville (la vitre doit être teintée et de toute façon, le bureau est à l’étage le plus haut).
Dr. Garcia m’invite à m’asseoir et lui parler de mes symptômes. Je lui explique tout comme avec le gynécologue et ensuite elle me propose de, comme avec le gynécologue, me changer et m’allonger sur la table de massage. Différemment du gynécologue, je sens cette dame douce et elle me met plus en confiance.
Je refais ce que j’ai fait chez le gynécologue. Cette fois, je suis un peu plus à l’aise d’avoir une inconnue entre mes jambes devant ma vulve. Elle m’explique donc que l’on va faire des exercices pour apprendre à détendre mon plancher pelvien en contrôlant ma respiration et essayant d’insérer très lentement un doigt.
Elle m’explique comment ça va se dérouler puis elle me demande si je préfère qu’elle insère son doigt ou que je le fasse. Le truc c’est que je n’ai jamais mis mon doigt dans ma chatte ni dans aucune chatte et qu’elle en fait son métier donc elle devrait pouvoir le faire de façon plus douce. Donc, je lui dis que j’aimerais qu’elle le fasse.
Dr. Garcia place son doigt devant l’entrée de mon vagin sans appliquer de pression. Je prends alors plusieurs grandes inspirations et elle commence à tranquillement glisser son doigt dans ma fente. Elle ne se rend pas très loin, mais c’est déjà un progrès pour moi qui n’ai jamais pu insérer quoi que ce soit.
Puis, elle me propose d’essayer. Je refais donc la même procédure. C’est une toute nouvelle sensation que je découvre : la sensation de se faire pénétrer et aussi la sensation d’être dans un vagin. C’est étrange aussi de me rentrer un doigt devant une inconnue. Je me suis déjà fait prendre en train de me masturber par Jacob, mais là c’est complètement différent. C’est comme si je me doigtais alors qu’il y a une dame que je connais depuis moins qu’une heure qui m’observe à quelques pouces de moi. Je n’arrive pas à entrer mon doigt au complet, car la douleur est toujours là.
Dr. Garcia me donne alors une autre astuce pour me détendre. Elle se retourne et cherche quelque chose dans son tiroir. Elle en ressort... Mais non ce n’est pas vraiment ce que je crois ?
— C’est un vibrateur.
Oui c’est vraiment ce que je croyais.
— Ça va aider à détendre les muscles entourant l’entrée du vagin.
Alors déjà que je trouvais la situation étrange, là c’est vraiment sordide. Je ne peux pas me mettre un vibrateur devant ma physiothérapeute quand même. Et puis comment ça va enlever la douleur ? Après l’avoir bien désinfecté, elle allume le vibro et l’approche de ma vulve. Elle l’accote sur l’entrée de mon vagin et le laisse un moment là. Je suis plutôt gênée. Mais contrairement à ce que je m’attendais, je ne ressens pas de plaisir. C’est plus comme un chatouillement et c’est vrai que ça détend mes muscles. En fait, c’est comme un massage. Elle me tend le vibro pour que je le tienne par moi-même. Je n’arrive toujours pas à entrer mon doigt au complet, mais je progresse et c’est ce qui compte.
La rencontre se termine au bout d’une heure. Dr. Garcia me dit que je devrais faire ces exercices tous les jours pour des résultats plus rapides. Elle me dit aussi que je peux me procurer le kit avec le vibromasseur et des dilatateurs et que ça m’aiderait beaucoup. Je prends la décision de l’acheter, car je veux guérir au plus vite pour pouvoir faire l’amour avec Jacob.
Je rentre alors chez moi avec un kit de dilatateurs et un vibromasseur. Je n’ai jamais eu de vibrateur avant et je sais très bien que je ne l’utiliserai pas que pour les exercices. En rentrant chez moi, je m’avance sur mes travaux. Je suis étudiante à la fac en science. J’ai passé beaucoup de temps avec Jacob dernièrement donc je n’ai pas travaillé beaucoup sur mes devoirs et j’ai pris du retard. Donc, je passe plusieurs heures devant mon ordinateur et mes manuels jusqu’à tard la nuit.
Enfin mes devoirs terminés, je suis prête à me détendre. En temps normal, j’irai directement me coucher ou j’écouterais un film pour relaxer. Mais aujourd’hui, j’ai fait un nouvel achat et je compte le tester.
Je commence par me faire couler un bain chaud avec de la mousse, car c’est ce que j’adore faire après une longue journée d’étude. J’éteins les lumières, mets des bougies et de la musique pour mettre une ambiance plus sensuelle et relaxante. Je me déshabille et plonge dans l’eau chaude. J’adore ces petits moments où je me coupe du monde extérieur pour me concentrer sur mon bien-être.
Dans l’eau, je parcours mon corps avec mes mains. J’aime qu’on touche mon corps au complet. Je préfère quand ce sont d’autres mains que les miennes, alors j’imagine celles de Jacob et je me surprends même à imaginer les mains de Morgane. Je touche mes épaules, mon ventre, mes cuisses. J’insiste sur les régions comme mes seins et le haut de mes cuisses. Tranquillement, ça commence à me faire de l’effet, car mes tétons pointent à travers la mousse du bain.
J’en profite pour prendre une photo sexy pour Jacob. Rien de très vulgaire ou qui en montre trop. On voit bien les courbes de mon dos, mes fesses et mes cuisses. J’en prends quelques-unes où on voit plus ou moins mes seins et mes lèvres. Les parties de mon corps préférées de Jacob sont mes fesses et mes lèvres donc je les mets en avant dans les photos.
Je sors du bain au bout d’un moment, enfile mon nouveau peignoir et sors de ma salle de bain. En me voyant devant la glace, j’ai l’idée de prendre plus de photos. Je m’assois sur mon lit face à la glace et prends une photo dans le reflet. Ensuite, je détache mon peignoir en cachant toujours mes seins et ma chatte. On ne voit que mon ventre, mes cuisses et l’espace entre mes seins cachés par les pans du peignoir. CLIC, une autre photo. Je laisse délicatement glisser le peignoir sur mes bras, dégageant mes épaules et le haut de ma poitrine. CLIC. Je bouge un peu ma tête, replace mes cheveux. CLIC. La session de photographie continue comme ça pendant un moment. J’ai des photos de plus en plus osées. Certaines en montrent peu, d’autres montrent mes seins et d’autres montrent presque ma chatte fraîchement rasée. Je sauvegarde toutes les photos dans mon téléphone et en envoie deux à Jacob : une dans le bain et une autre devant la glace, les épaules nues.
J’éteins ensuite mon téléphone pour ne pas être dérangée et je déballe mon achat de ce matin. C’est une petite boîte rose. Dans le paquet, il y a un vibromasseur (le même que la physiothérapeute avait), 3 dilatateurs de différentes tailles et une sorte de gaine en silicone qui a vaguement la forme d’un pénis bosselé. Je comprends que c’est pour mettre sur les dilatateurs afin de rendre la sensation plus agréable. Je l’enfile sur le plus gros dilatateur, celui qui a la taille d’une bite et le garde de côté ainsi que le vibro.
Je m’allonge sur mon lit, toujours avec mon peignoir ouvert. Mes cheveux sont encore mouillés, ma peau est douce et sent bon. Je me sens bien. Je reste allongée un moment et savoure l’instant. Puis, je commence à balader mes mains sur mon corps. Mes mains trouvent rapidement leur place sur mes seins et les malaxent. Mon corps était déjà très détendu et ce contact me fait me cambrer. Je fais rouler mes tétons entre mes doigts. Je vais même jusqu’à me les lécher et sucer. C’est agréable, mais je préfère quand Jacob me le fait, car c’est plus confortable et plus excitant. Je pense à lui quand il me regarde dans les yeux en suçant mes tétons. C’est terriblement excitant, car il le fait pour mon plaisir, il le fait, car il sait que je vais aimer ça. J’envoie ma tête par-derrière en continuant de me triturer les seins.
J’attrape le gode que j’ai assemblé et constate comment il reproduit bien le pénis d’un homme. Ça me donne envie de le sucer. Je commence donc à le lécher en m’imaginant lécher la verge de Jacob. Je bave dessus et commence à aspirer le bout. Je continue en allant de plus en en plus loin jusqu’à l’enfoncer au maximum. J’arrive à le rentrer jusqu’à la moitié environ. Je fais des va-et-vient comme si je suçais mon homme et je me surprends à aimer cela. Ma chatte mouille, je le sens couler sur mes cuisses.
Je lâche donc mon pseudo gode et prends le vibro. Je l’allume au plus lent et le pose d’abord sur mon ventre pour sentir la vibration. Je le déplace sur mes seins pour voir ce que ça fait. C’est bon, c’est comme si quelqu’un d’autre me les touchait.
Puis, ce que j’attendais, je descends le vibro sur ma vulve. Je lâche un grand soupir en ressentant les vibrations sur ma vulve. Je dirige le vibro sur mon clitoris et c’est le pur bonheur. C’est trop bon, putain. Comment j’ai pu vivre aussi longtemps en me masturbant qu’avec mes doigts alors que je pouvais utiliser un vibro ? Je me caresse le sein d’une main et tiens le vibro de l’autre. Je gémis de plus en plus fort, je sens que l’orgasme n’est pas loin au bout de quelques minutes. J’augmente la vitesse et crie mon plaisir. Je suis prise d’un orgasme que je n’ai pas vu venir. Il est puissant, mais court.
Il ne me faut pas de temps pour me remettre de cet orgasme, car j’en veux encore. Je change alors de position et je m’allonge sur le ventre, le bras dans mon dos, la main entre les cuisses et je repars l’engin.
Cette fois, la jouissance met plus de temps à venir, car je contrôle mon plaisir en ralentissant et accélérant. Je sens tranquillement le plaisir monter et je me remets à gémir de plus en plus fort. Je reprends mon nouveau gode et me remets à le sucer. J’ai très envie de jouir encore, mais j’essaye de faire durer le plaisir le plus longtemps possible. La scène est très pornographique. Je finis par jouir fortement sans me lâcher. Mon corps se tend, je serre mes jambes autour du vibro et ferme mes yeux. La jouissance dure plusieurs secondes puis redescend. Je m’écrase sur mon matelas et reste comme ça un moment en somnolant.
Quand je me réveille, mon drap est trempé entre mes jambes et j’ai de la sueur sur le corps. Je me lève donc pour aller prendre ma douche. J’ai du mal à marcher un moment, mais ça va. Je vais de la salle de bain et emporte le vibro (il fonctionne sous l’eau.) L’eau chaude sur mon corps me redonne envie. J’attrape donc mon vibro et le mets directement sur mon clito. Debout, contre le mur de la douche, je me fais jouir rapidement une troisième fois. Je n’ai jamais autant joui en si peu de temps. Je me lave vite fait et retourne me coucher.
Le lendemain, je me retrouve chez moi avec Jacob. Assis sur mon lit, on se raconte nos journées. J’en profite pour lui parler de ma visite à la clinique.
— Jac, tu sais quand tu as voulu me doigter et je t’ai demandé d’arrêter ?— Oui ?— Bah j’avais beaucoup trop mal et c’était pas la première fois que ça m’arrivait.— T’as déjà essayé et ça a pas marché?— Oui... Alors j’ai pris rendez-vous chez un médecin et il a dit que je faisais du vaginisme.— Quoi ? Tu mens, ça existe pas.— Non, ça existe recherche-le.
Jacob le recherche sur son téléphone.
— T’as raison. Mais ça veut dire qu’on pourra jamais faire l’amour ?— Non, pas du tout c’est curable. C’est pourquoi je vois une physio qui va m’aider à détendre mes muscles pelviens.— À quoi ressemblent vos séances ?— Bah... C’est un peu bizarre. Je suis couchée et je me mets un doigt tranquillement pendant qu’elle me regarde.— Quoi ?? Tu te doigtes devant elle ?— Mais non, c’est pas la même chose... Ah ! Et aussi... Elle m’a fait acheter un kit de dilatateurs qui vient avec un vibrateur.— Tu me fais marcher. T’es sûre que c’est une physio ou une propriétaire d’un sex shop ?— Non, car ça a des utilités médicales.
Puis je lui montre le kit et le vibrateur. Jacob sourit malicieusement.
— Et ça j’imagine que tu l’utilises pas que pour des raisons médicales.— Bah... Non, hier je l’ai testé, j’avoue honteusement¸— Coquine, et c’était comment ?— Vraiment bon, même meilleur qu’avec toi.— Quoi ? Impossible.
À ce moment, Jacob se jette sur moi, me plaque au mur et m’embrasse en me caressant la chatte par-dessus mes vêtements. Ce que j’aime quand il est dominant. Jacob descend tranquillement jusqu’à ce que sa tête soit au niveau de ma chatte.
Il m’enlève sauvagement mes pantalons et ma culotte en même temps. Je me retrouve à moitié nue contre le mur alors qu’il m’embrasse les cuisses. Il ne perd pas de temps et commence à caresser mes lèvres du bas. Je le vois sourire quand il constate que je mouille déjà. Il déplace ses doigts vers mon clito et le caresse en faisant des ronds. Je gémis.
Il remonte un peu la tête pour glisser sa langue entre mes lèvres. Je lève instinctivement la jambe et la pose sur son épaule. Je penche ma tête par-derrière pendant qu’il me suce et lèche le clitoris. Alors que j’ai les yeux fermés et que je crie presque, je sens une forte vibration sur mon clitoris. Surprise, je penche ma tête et vois que Jacob a allumé le vibro et l’a placé sur ma chatte. J’étais tellement perdue dans mon plaisir que je n’ai pas entendu la vibration. La surprise est tellement bonne qu’au bout de quelques secondes, j’atteins l’orgasme. L’orgasme est tellement fort que je me mets à crier, et Jacob vient plaquer sa main sur ma bouche.
— Moins fort, tes parents sont en haut.
Je redescends de mon nuage et c’est maintenant à son tour de jouir. Je retire donc le reste de vêtement que j’avais et me retrouve nue agenouillée devant lui. Je lui retire ses pantalons et boxer pendant qu’il fait de même avec son chandail. Je me retrouve avec sa belle bite bandée devant le visage. Ce que j’ai envie de le sucer, mais son anniversaire est cette semaine et je compte toujours attendre à ce jour. Ce que je veux faire aujourd’hui c’est le faire éjaculer sur moi. C’est la moindre des choses.Je commence donc à doucement caresser sa bite pour la réveiller puis j’accélère le mouvement. Je joins ma deuxième main à la première en faisant des mouvements circulaires. Jacob, comme moi plus tôt, commence à grogner. J’aime quand il communique son plaisir, ça m’excite et m’encourage à continuer. J’accélère et rapidement il m’avertit qu’il va bientôt éjaculer.
— Lâche-toi. Je veux que tu te lâches sur moi.
Mes mots ont déclenché sa jouissance. Les jets de sperme sont puissants et tombent sur mes seins et mon visage. Il y en a plus que ce que j’imaginais. J’ouvre même la bouche pour en récolter. J’étais trop curieuse de découvrir son goût. Ce n’est pas mauvais. En fait, c’est plutôt bon. Quand il a terminé d’éjaculer, je ne peux m’en empêcher et je lui lèche le gland pour y nettoyer l’excédent de sperme. Jacob est très surpris par mon geste, tellement qu’il jute une deuxième fois moins fort. Cette fois, j’arrive à en attraper beaucoup avec ma bouche. Le reste tombe sur mon menton ou mon cou.Je m’essuie le visage du revers de la main. J’ai à peine avalé quand Jacob me relève et m’embrasse amoureusement. Je suis étonnée, mais heureuse qu’il veuille toujours m’embrasser après que j’ai bu son sperme. On s’aime vraiment tous les deux.Il m’envoie ensuite prendre ma douche seule durant laquelle je me suis fait jouir encore, car cette branlette m’avait trop excitée.
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