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Les chroniques d'une vierge

Chapitre 8

Un appel coquin

Hétéro
J’ai eu une longue journée à l’université aujourd’hui. Ce que je déteste les lundis. En rentrant chez moi, je me coule un bain chaud pour bien terminer la journée. Je suis très détendue quand je sors du bain. L’eau chaude m’a tellement fait du bien. Je suis dans les conditions parfaites pour faire mes exercices pour soigner mon vaginisme.
Je vais m’étendre nue sur mon lit. Je décide de lire une histoire sur XStory pour m’exciter et faciliter la pénétration. L’histoire parle d’une mère qui est excitée par sa fille et qui finit par baiser avec elle. Je me touche un peu partout en lisant. Quand je considère que je me suis assez chauffée, j’attrape Nymph et un tube de lubrifiant. Je suis déjà mouillée, mais on n’a jamais trop de lubrification. J’applique du lubrifiant sur mes doigts et commence délicatement à m’en rentrer un dans le vagin. Quand mon index ne peut pas aller plus loin, j’ajoute mon majeur. Je sens mes muscles se serrer autour de mes doigts, mais je peux aller encore plus loin. Je commence à bouger mes doigts pour m’habituer à la sensation. Quand je me sens prête, j’ajoute très lentement le troisième doigt. C’est serré, mais j’y arrive sans douleur. C’est fou ce que j’ai fait du progrès, moi qui pensais que je n’y arriverais jamais. Ça y est, j’ai trois doigts dans mon vagin.
Je suis prête à passer au niveau supérieur, c’est-à-dire mon sex-toy.
Je fais couler du lubrifiant sur la tête de mon sex-toy. Je prends une profonde inspiration et commence à pousser le vibrateur dans mon vagin. C’est moins gros qu’une bite, mais c’est plus gros que ce que je ne me suis jamais mis. C’est douloureux, mais pas trop. Je progresse de plus en plus. Mes muscles se détendent au fur et à mesure que j’enfonce ce sex-toy en moi. La tête du vibro n’est pas très grande, donc elle ne rentre pas jusqu’au fond, mais quand elle est au plus profond, je commence à faire des va-et-vient. Cela devient de plus en plus agréable et puis j’active la vibration. Ma respiration s’accélère et s’intensifie. J’ai présentement de la mouille qui coule le long de ma fente et de mes fesses pour salir mon drap.
Je suis vraiment contente de mon progrès, car je sens que je vais bientôt pouvoir faire l’amour avec Jacob. J’ai soudain l’envie de le montrer à Jacob. Je veux lui montrer jusqu’où je peux aller et à quel point je prends du plaisir. Je sors mon téléphone pour me prendre en photo, ou mieux : en vidéo. Je place la caméra devant mon visage et démarre l’enregistrement. Je filme mon visage grimaçant grâce au plaisir que je me procure, plus je descends la caméra face à mes gros seins qui pointent aux max. Je les presse, tire sur mes tétons d’une manière très provocative afin d’exciter encore plus le destinataire de Laé. Puis je baisse doucement la caméra vers ma chatte pénétrée en laissant augmenter le suspens. Il doit se demander ce qu’il se passe en bas. Tout en continuant mes va-et-vient, ma vulve entre dans le cadre de la vidéo centimètre par centimètre. Mes gémissements se font entendre. Je filme ce geste durant une vingtaine de secondes puis coupe la vidéo.
Je visionne la vidéo avant de l’envoyer tout en continuant ma masturbation. Ça alors, je n’aurais jamais cru que me voir ainsi m’aurait autant excitée. Je regarde mon propre porno, et c’est beaucoup trop chaud. Je sens mon plaisir monter et arriver proche du niveau d’orgasme, mais je ne veux pas jouir tout de suite. Je veux faire ça durer, c’est beaucoup trop bon pour arrêter maintenant.
Je cesse donc les vibrations et les va-et-vient, mais laisse l’engin à l’intérieur de moi. Je regarde une dernière fois la vidéo. Je me sens hypnotisée par mon porno. Je ne savais pas à quel point je pouvais être provocatrice. J’ai envie de continuer à me toucher, mais je résiste encore. Soudain, j’ai une meilleure idée que de l’envoyer à Jacob. J’enregistre la vidéo dans mon téléphone pour plus tard pour Jacob ou... pour moi... ou je ne sais qui. Puis au lieu de lui envoyer, je décide de l’appeler pendant que je remets le vibro en marche et de lui proposer que l’on se voie.
Je réactive la vibration et mon plaisir revient aussitôt. Je lâche un long gémissement puis j’appelle Jacob. Pendant que ça sonne, je réalise ce que je suis en train de faire. C’est beaucoup trop excitant. J’essaye quand même de réduire mes gémissements.
Jacob décroche.
— Allo, bébé? Je suis au travail, mais je suis allé aux toilettes pour te parler.— Hmm... Allo mon chéri.— Ça va ?— ouuii... han... très bien et toi.— Tu vas bien ? On dirait que... Putain, ne me dis pas que... Alexie, est-ce que tu te touches ?— Hmmm han... ouii... noon... pas tout à faait.
— Je comprends pas ? Tu couches pas avec un autre gars, j’espère ? il y a une pointe de colère dans sa voix.— NON... non je suis toute seule... et haaan... je me fais du bien.— Oh tu es une cochonne. Montre-moi je veux voir.
Il m’appelle en vidéo, mais je refuse.
— Non hihi... C’est une surprise... hmmmm, Jacob comme c’est boonn.— S’il te plaît, Alexie...
Il me rappelle puis je décide de l’accepter, mais de montrer que mon visage.
— Oh putain... Alexie, t’es trop belle et excitante.
Je souris en me mordant la lèvre pendant que je retiens un gémissement qui finit par se glisser hors de mes lèvres.
— Alexie, baisse la caméra... Je veux voir ton corps... Je veux voir ce qui te fait du bien.
Je secoue la tête en souriant.
— Si tu veux voir... haaann... Viens me rejoindre ce soir.— Ce soir ? Je rentre à 22h... On se rejoint chez moi ?— HAN... ouuiiii.— Alexie ? Tu jouis ?— Non toujours pas, mais je suis près.— Ne raccroche pas, je veux te voir jouir... Tu viendras chez moi, Morgane sera là pour t’ouvrir si tu arrives avant moi.
La pensée d’être seule avec Morgane dans l’appartement de mon copain me fait monter dans le plaisir
— HAANNN... ouiiii... Jacob, c’est trop boonnn... je vais...— Tu vas jouir ? Oui bébé, jouis devant moi ! J’adore te voir comme ça. C’est comme regarder un porno, mais de ma copine. T’es la plus belle pute que j’ai vue.
Ses remarques déclenchent mon orgasme. Un orgasme puissant que j’attendais depuis longtemps. J’en tremble et mes yeux se révulsent. Jacob voit mon expression et cette idée fait durer et intensifie mon orgasme. Je crie alors que mon corps est parcouru de plusieurs spasmes.
— Ouiiiiii... Ouiiii, Jacob... Je suis ta... Ta puuute...
Pendant que je reviens sur Terre, j’entends comme des clapotis résonnant dans la pièce où il est. Jacob grogne lui aussi. Putain, il se masturbe en me regardant. Pour l’aider à jouir lui aussi, je lui montre mes gros seins gonflés grâce à cet orgasme. Je pince mes tétons et me remets à gémir tout en sortant la langue. Je sais qu’il aime me voir comme ça.
— Alexie... T’es trop... hmmmm... Bonne.
Puis je vois dans son visage qu’il est sur le point d’éjaculer.
— Montre-moi ta grosse bite, bébé. Je veux te voir éjaculer.
Jacob sourit, mais ne tourne pas sa caméra. Il me fait le même coup. Je vois son visage pendant qu’il éjacule. Je suis frustrée, j’aurais voulu voir ses jets de sperme sortir de son gland. Je réalise donc la torture que je lui ai fait subir. Nous nous calmons ensemble, nous regardant à travers la caméra.
— Putain, les mecs vont se demander ce que je faisais aux toilettes si longtemps. Quoique... ils ont sûrement entendu tes cris à travers la porte. Qu’est-ce que je vais leur dire en sortant ?— Tu leur diras que tu as eu une séance live de porno et que tu ne pouvais pas manquer l’occasion.
Jacob rigole.
— Donc on se voit ce soir chez moi ?— Oui.— Bye, je t’aime bébé.— Je t’aime.
Puis on raccroche.Ouf ! C’était très chaud tout ça. Ses collègues m’ont même entendue jouir. J’espère qu’ils ne me prendront pas pour une salope... même si... c’est un peu que j’ai été aujourd’hui. Mais juste une salope pour Jacob et personne d’autre.
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