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Les clés

Chapitre 1

Orgie / Partouze
LES CLES
Chapitre 1
Le cours de gym pour adultes vient de se terminer et comme d’habitude la prof est pressée de partir. Donnant un cours dans une autre ville, elle est toujours à la bourre.
— Gladys, ça me rendrait service si tu pouvais déposer les clés à la Mairie.- Pas de problème, je passe devant pour repartir, tu peux compter sur moi !
Gladys est la secrétaire de notre association, elle assiste à la gym avec son mari Guy. Nous sommes un groupe d’une trentaine d’adultes à venir à ce cours. Tout le monde se connaît, il y a une ambiance super sympa. Avec Guy, Christophe et moi, nous sommes les seuls hommes et il faut bien reconnaître qu’on est chouchoutés par les femmes. Bref, une fois la prof partie, il ne reste plus que Gladys, Guy et moi à ranger nos affaires au fond de la salle.
- Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?- Je ne sais pas, il commence à pleuvoir des cordes et je ne pense pas pouvoir faire ce que j’avais prévu.- On va attendre un peu que ça se calme avant de sortir.- On a le temps, c’est nous qui avons les clés.
Gladys regarde tomber la pluie. Son mari s’approche et se place derrière elle.
- Masse moi le haut du dos, ça me fait mal, j’ai dû faire un faux mouvement.
Il passe de la nuque aux épaules et continue son massage sur le haut du dos. Puis ses mains passent sous les aisselles et arrivent sur la poitrine de sa femme. Ses doigts empaument les seins et les malaxe. Il faut dire qu’elle est bien pourvue de ce côté-là. Elle répond à ces caresses en dandinant du cul. Les tétons durcis par l’excitation pointent sous le tissu. Il les prend entre ses doigts et les pince. Je bande comme un malade. Il s’aperçoit de mon émoi et relève le tee-shirt dévoilant le ventre de Gladys.
- Approche, elle ne va pas te manger.- Il pleut de plus en plus fort, autant passer le temps de façon agréable, tu ne crois pas ? 
Dit Gladys d’un air coquin. Je m’avance vers eux. Je suis à peine à sa portée qu’elle tend sa main vers mon sexe et le frôle.
- Mais c’est qu’il bande le monsieur ! - C’est votre faute, à m’exciter comme ça.- Guy t’est ok pour qu’il se joigne à nous ? 
Il fait oui de la tête. Je m’approche du couple. Guy nous quitte pour fermer la porte de la salle à clé. Lorsqu’il revient, il a enlevé son pantalon de jogging. La forme d’un gros bâton marque son boxer. Gladys me fait face et se laisse caresser les seins. Guy nous regarde et sort sa queue. Il la prend entre ses doigts et se masturbe en regardant sa femme se laisser peloter. Elle glisse sa main dans mon shorty et me branle à son tour. Je me déshabille. Son mari vient vers nous, elle saisit nos bites et les masturbe. Après une branlette digne d’une pro, elle souhaite qu’on s’occupe d’elle.
- Allez, à vous maintenant !- Tu t’occupes du haut moi je lui retire le reste.
Elle lève les bras pour que je lui retire sa brassière. Un magnifique soutien-gorge translucide bombe sa poitrine. Je détache les agrafes du soutif qui tombe à ses pieds. Elle tient ses seins à pleines mains. Je me recule pour observer son corps. Son mari vient de lui ôter son legging. Elle porte un string fuchsias. Je suis à poils, ma queue est raide. Gladys me tourne le dos et retire le dernier rempart de sa nudité. Quel cul ! Déjà en leggings j’adorais ses formes, des fesses bien rondes, ni plates ni trop grosses, juste ce qu’il faut. Elle se retourne, son sexe est totalement épilé. Ses seins ressemblent à deux grosses pommes. Ils sont lourds et tombant avec de larges aréoles.
- Waouh ! Deux hommes pour moi toute seule !
Elle s’agenouille devant nous et s’empare de nos sexes. Ses doigts vont et viennent sur nos queues. Au bout d’un moment, elle se redresse et nous fixe.
- Tu me prends en levrette pendant que je suce mon homme ?
C’est plus une affirmation qu’une question. Guy pose ses fesses sur le bord de la table. Gladys se penche sur lui et commence à lui faire une fellation. J’introduis un doigt dans son vagin. Elle mouille un max la salope. Je plante deux doigts dans sa caverne.
- Qu’est-ce que t’attends, prends moi !
Elle est impatiente que je l’enfile. J’y vais à fond. J’enfonce d’une traite ma queue jusqu’à la garde. Elle émet un petit cri. Je lui ramone le conduit. Mes couilles battent contre ses cuisses. Elle semble aimer ça et moi aussi. Elle mène la danse et accompagne mes mouvements en avançant et reculant sur ma queue. Ses seins ballottent dans tous les sens. Je me penche et saisis ses tétons. Les aller-retours dans sa chatte ralentissent. Elle apprécie mes attentions sur ses grosses mamelles. Je la reprends par les hanches et commence à la pistonner. Ce qui ne l’empêche pas de continuer à s’occuper de la queue de son mari. Il se penche et déploie ses bras sur le dos de sa femme. Ses mains massent les fesses de Gladys. Il les écarte, dévoilant son petit trou.
— Vas-y, enfonce ton doigt, elle adore ça !
Pas besoin de me le dire deux fois, mon doigt pénètre le trou de balle. Un nouveau petit cri. Le sphincter passé, je l’enfonce au plus profond de l’anus. Guy à son tour enfonce son index à côté du mien.
- T’aimes ça hein ma cocotte ! — Attendez les gars, je ne suis pas prête.
Elle se dégage de nos emprises et fouille dans son sac de gym. Elle en sort un tube de crème qu’elle tend à son mari. Pendant qu’il dévisse le bouchon, elle se remet en position.
— Ecarte bien tes fesses !
Il lui tartine le cul et insistant bien dans son croupion. Mon regard croise celui de Guy.
- Elle n’attend que ça ! 
Je reçois le message 5 sur 5. Il veut que la sodomise, là devant lui. Je sors de sa grotte, prend un peu de sa mouille que j’étale sur mon gland. Je regarde son trou, un beau petit œillet bien symétrique. J’enfonce doucement ma queue, son sphincter résiste un peu. Je force le passage et coulisse dans son conduit. C’est bon, mon pubis claque contre ses fesses charnues. J’ai vraiment envie de la déglinguer. J’y vais à fond. Elle couine à chaque passage. Alors que je suis prêt à gicler dans ses boyaux, Guy me tire par derrière et me fait comprendre que c’est son tour. Je me masturbe face au visage de Gladys que j’inonde de mon sperme. Guy se retire à son tour. Un épais liquide blanchâtre sort du cul de sa femme par saccades. Appuyée sur la table, elle se masturbe le clito et jouit. Son corps se contorsionne, elle a plusieurs orgasmes successifs. Mais ça ne semble pas lui suffire, elle continue se tripoter et d’autres secousses se succèdent. Haletante, elle reprend son souffle tel un sportif après l’effort. Guy lève son pouce en guise de félicitation.
- Eh ben ! 
Nous rions tous les trois, heureux de cette partie à trois, la pluie a cessé de tomber. Il est temps de rentrer et ramener les clés à la mairie. Rhabillés, nous sortons de la salle. Mais à peine avons-nous fait un mètre qu’un policier municipal en tenue nous barre le passage.
- Rentrez dans la salle, je voudrais vous montrer quelque chose.
Nous le suivons et il nous emmène au fond de la pièce, là où précisément quelques instants plus tôt nos corps brûlaient de désir et de plaisir. Il lève la tête en direction d’un radar anti intrusion placé dans le coin en haut du mur.
— Vous savez que ce radar de détection est équipé d’une mini caméra connectée au site de surveillance de la mairie ?- Non.- C’est moi qui suis d’astreinte derrière les écrans aujourd’hui et j’ai tout vu.- Et ça enregistre en même temps ? - Oui mais je peux arranger ça et tout effacer.
Gladys se mêle à la conversation.
- Vous voulez de l’argent c’est ça ? - Pas du tout, vous me connaissez mal.- Alors quoi ? - Vous remettez le couvert et on se fait une partie à quatre.- Maintenant ? - Oui, là tout de suite ! 
On se regarde tous les trois, sidérés par ce chantage. C’est un jeune d’une vingtaine d’années, un peu enrobé et rouquin de surcroît.
- Dépêchez, je suis en pause et elle ne dure qu’une demi-heure.- Bon c’est ok mais t’as intérêt à effacer cette vidéo parce que je connais du monde à la Mairie.
Pendant qu’on se désape le policier déplace la table et monte dessus. A l’aide d’un ruban adhésif, il place un petit bout de carton devant le radar puis redescend et se déshabille à son tour. Sa peau d’un blanc laiteux est couverte de taches de rousseur. Gladys ne lâche pas l’affaire.
- Et maintenant ? - J’ai vu qu’il y avait des tapis de gym, déroulez les par terre et allongez vous tous les trois.
Nous faisons ce qu’il nous demande. Tous trois allongés côte à côte, Gladys est au milieu. Le policier a gardé son slip. Il demande à Gladys de partir et prend sa place. Il est à genou entre Guy et moi. D’une main, il saisit la verge de Guy et commence à la caresser pendant que son autre main malaxe mes boules.
- J’aime bien les hommes aussi.
Les caresses se transforment petit à petit en masturbation. Guy bande. C’est alors que le jeune rouquin s’en prend à ma queue avec son autre main. J’ai envie de me révolter mais je le laisse faire. Cela semble exciter Gladys qui est debout et a glissé une main dans son entre-jambe. Je suis mal à l’aise, jamais depuis le collège aucun homme ne m’avait branlé la bite. Soudain il s’arrête et se relève.
- Mettez vous à genoux !
- Moi aussi monsieur l’agent ?
Dit Gladys d’un air moqueur.
- Oui après tout pourquoi pas, pour l’instant ouvre la bouche.
Il se place devant nous et descend son slip. Côté sexe, il n’est pas trop mal loti. Sa queue plutôt longue s’approche du visage de Gladys.
-Toi la première, vas-y, j’ai vu tout à l’heure que tu étais une bonne suceuse.
Elle aspire le gland et manque de s’étrangler. Il recule et après quelques va-et-vient, il se place devant Guy.
- Allez à toi maintenant !
A ma grande stupéfaction, Guy ouvre la bouche et avale le pénis dans son intégralité. Sa tête avance et recule sur le membre gonflé du rouquin.
- Dommage que je n’ai pas beaucoup de temps, allez mets toi à quatre pattes ! 
Le policier avance ses mains et écarte les fesses de Guy. Gladys qui a vu son manège cherche dans son sac le tube de lubrifiant qui nous avait servi tout à l’heure et le lui tend.
- Merci, et vous aussi je veux voir vos petits culs.
On est tous les trois à quatre pattes. Il a lâché les fesses de Guy. Ses doigts caressent nos raies à tour de rôle. Je sens une giclée de lubrifiant me rentrer dans l’anus.
— Je vais commencer par toi, petite cochonne.- Faut pas vous forcer je peux passer mon tour.- Tiens prends ça ! - Aïe !
Il encule Gladys sans ménagement. Puis il passe à moi. C’est douloureux. Heureusement, il ne s’attarde pas et passe rapidement à Guy. Je pense que c’est de loin son préféré. Mais alors que son excitation est à son comble, quelqu’un tambourine à la porte. Le policier remonte son slip et va voir à la fenêtre qui est ce perturbateur.
- Putain de merde, le chef ! 
Je n’ai jamais vu quelqu’un se rhabiller aussi vite. Il se dirige vers la porte et l’entrouvre.
- Salut chef, je suis en pause.- Je suis venu voir ce qu’il se passait parce qu’on a plus l’image de cette salle à l’écran.- Justement chef, j’ai pris sur mon temps de pause pour venir voir.- J’ai visionné les images avant la coupure et c’était, comment dire, plutôt spécial.- Je suis d’accord avec vous.
Un grand black en tenu de policier pénètre dans la salle. Il stoppe net, tellement surpris de nous voir tous les trois à poil à quatre pattes. Il a le crane totalement chauve et brillant ce qui lui donne un air encore plus impressionnant. Il met ses mains sur ses hanches et s’exclame.
- Mais ce sont nos guignols qu’on voit dans la vidéo.- Oui chef.- Ah maintenant je comprends mieux pourquoi tu es là !- Content que vous le preniez comme ça ! - Je crois qu’on va s’amuser ! 
Il se déshabille à son tour. Il est totalement nu. Son sexe ressemble à un gros gourdin qui pend entre ses jambes. Il grossit au fur et à mesure qu’il le caresse en regardant Gladys. Pas de doute, il préfère les femmes. Gladys va passer à la casserole.
- Dégagez, vous deux, et toi allonge toi sur le dos !
Nous nous écartons. Il se penche sur elle et lui pelote les seins. Sa queue glisse sur le bas ventre de Gladys. Elle ne s’en émeut pas et au contraire elle s’en empare à pleine main. Il la regarde en train de lui décalotter le gland. Une fraise rose apparaît au bout de cette verge couleur ébène.
- Elle est grosse !
J’observe Guy et m’aperçois que ça le fait bander de voir sa femme prendre de telles initiatives. Il se masturbe pendant que le chef embrasse Gladys et la retourne complétement pour qu’elle s’empale sur son sexe.
- Allez viens ! 
Sa bite est droite comme un menhir. Gladys la guide à l’entrée de son vagin et descend lentement. Mais à peine à la moitié elle remonte rapidement.
- Waouh ! C’est la première fois que je monte une bite d’homme de couleur.- De black, tu veux dire ! — Oui, je n’ai pas l’habitude.
Elle prend plus d’assurance et descend de plus en plus loin sur la queue du black. Elle accélère la cadence et il apprécie.
- Tu es une sacrée chaudasse ! Tu serais partante pour un gang bang ? - C’est quoi ? »- C’est se faire prendre par plusieurs hommes en même temps.
Elle regarde son mari qui est résigné et fait signe qu’il est d’accord. Les hanches de Gladys ondulent de plus en plus. Le mouvement s’intensifie. Son corps tout entier est pris d’une frénésie sans cesse grandissante. Cela prend l’allure d’une chevauchée endiablée. Le black lui triture les seins, elle se penche sur lui et dans un souffle elle crie.
- Oui ! C’est d’accord pour un gang band !
Gladys ne sait plus trop où elle en est avec cette bite monstrueuse qui lui ravage la grotte. Le black sait se montrer convainquant, il lui continue de lui malaxer les seins. Avec un plaisir non dissimulé, elle se pâme. Ses gros doigts s’en prennent aux larges mamelons qu’il pince avec avidité. Tout à coup, il la reprend par les hanches et la soulève très haut.
- Allez les gars servez vous, il n’y en aura pas pour tout le monde ! 
Je prends tout de suite le morceau de choix, le cul de Gladys. Je n’ai aucun mal à enfoncer ma queue dans son trou encore lubrifié par ma précédente intrusion. Je sens la queue du black au travers des entrailles. Guy et le jeune policier se sont placés de chaque côté. Elle saisit les verges et les branle puis leur fait une fellation à tour de rôle. Le jeune policier lui maintient la tête et d’un seul coup il se retire pour envoyer une grosse giclée de sperme sur le visage de Gladys. Guy qui assiste au spectacle en se masturbant. Il ne résiste pas longtemps et envoie à son tour la purée.
- Vous êtes vraiment des porcs, j’en ai partout ! 
Ce qui ne l’empêche pas d’accélérer sa chevauchée sur le pieu du black. Du trot elle passe au galop. Moi derrière j’ai du mal à suivre, le chef prend les choses en main et passe des seins aux hanches afin de contenir les assauts de cette furie. C’est maintenant lui qui mène la danse et ralentit la cadence. Mais le calme est de courte durée. Le corps de Gladys se tend soudain, une coulée de cyprine se répand le long de ses cuisses. Ce qui semble exciter le black. Il la prend par la taille et telle une poupée de chiffon la monte et la descend sur son pénis, de plus en plus haut et de plus en plus fort. J’ai lâché prise depuis un bon moment déjà, impossible de résister à une telle cadence.
- Bouge toi je sens que ça vient !
Elle s’écarte du mandrin gonflé de sève. Il était temps, un geyser de semence inonde le bas ventre de Gladys. J’en profite pour lui enfoncer à nouveau ma bite dans l’anus. J’accélère le tempo. De son côté Gladys se masturbe le clito. Mes va-et-vient sont de plus en plus compulsifs. Je suis au bord de l’éjaculation et me retire en jouissant sur ses fesses. Gladys n’a pas de répit, le chef s’approche d’elle.
- On ne peut pas repartir comme ça, il faut que tu nous la nettoies maintenant.- S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir ! 
Elle lèche à tour de rôle nos queues qui commencent à ramollir. Le black ne débande pas. Il tient sa verge large et épaisse entre ses doigts et tente de l’enfoncer à nouveau dans la bouche de Gladys.
- Ah non ! C’est fini, on rentre maintenant et j’espère que vous tiendrez vos engagements.— Quels engagements ? - Tu demanderas à ton collègue.
Guy tente d’aider sa femme.
- Il nous a promis d’effacer la vidéo compromettante.- Il a dit ça ? - C’est vrai, ils ont raison.- Une dernière gâterie et on est quitte, d’accord ? 
On regarde tous Gladys. J’ai mal pour elle mais il faut qu’elle le fasse. C’est le prix à payer.
Elle lèche la queue comme un chat lape son lait. Le mât tendu du black reprend une forme impressionnante. Pendant que je me rhabille, je ne peux m’empêcher de fixer Gladys en pleine fellation. Sa bouche a maintenant englouti la grosse fraise rose du pénis. D’un coup de rein, il lui enfonce un peu plus son dard au fond de la bouche. Gladys s’étrangle et régurgite de la salive en toussant. Elle n’en peut plus. Il se retire et se branle devant son visage. Un nouveau jet de foutre gicle sur elle. Gladys étale le liquide sur ses seins avant de se relever, encore tétanisée par ce qu’elle vient de vivre. Après s’être rapidement nettoyée, elle se rhabille. Nous sortons de la salle et laissons aux deux policiers municipaux le soin de refermer la salle et reporter les clés en mairie.

Chapitre 2
Une fois de plus, je fais la fermeture de la salle de gym. Cette fois, le prof a confié à Marine la tache de ramener les clés à la mairie. Comme d’habitude, elle est venue en voiture accompagnée de Bernadette sa voisine qui est veuve. Cette dernière a une envie pressante.
- Je vais au petit coin, tu m’attends ?- Pas de problème, je reste là.
Marine me demande de rester pour ne pas la laisser seule dans la salle.
- Ok, prenez votre temps, je ne suis pas pressé !
Marine ferme la salle pendant que Bernadette s’est esquivée aux toilettes. C’est une pièce à part de la salle de gym équipée d’un urinoir et d’un WC pour handicapés fermé par une porte. Je suis dehors avec Marine à attendre que Bernadette sorte. Marine s’impatiente.
- Alors, tu en mets du temps ! 
Elle ouvre la porte de la pièce puis d’un coup la porte des WC pour handicapés que Bernadette n’avait pas complétement fermée.
- Ça ne va pas non ? 
Legging en bas des jambes et culotte au niveau des genoux, elle fulmine contre sa copine.
- Tu exagères Marine ! 
Marine a posé sa main sur ma queue par-dessus le tissu de mon short. Ma tige a doublé de volume.
- En venant tout à l’heure, tu m’as dit dans la voiture ne pas te souvenir d’avoir touchée un sexe d’homme !- C’est venu comme ça dans la conversation.- Regarde, comment tu le fais bander ! 
Disant cela elle tire sur l’élastique de mon short et dévoile ma bite raide, je fais le mec offusqué.
- T’es une sacrée coquine Marine !- T’inquiète, on ne dira rien à ta femme.
Voyant que je suis partie prenante dans son petit jeu, elle baisse d’un coup mon short et mon slip. Elle s’empare de ma queue et commence à me masturber.
- Avance, Bernadette va te faire une fellation.
Je fais ce qu’elle me demande. Bernadette, toujours assise sur la cuvette des WC, se penche vers moi, prend ma bite et l’avance jusqu’à sa bouche. Elle la gobe toute entière avant de titiller mon gland avec le bout de sa langue. Son autre main s’est emparée de mes couilles qu’elle caresse puis malaxe délicatement. Cette veuve semble vouloir rattraper le temps perdu. Je bande comme un fou et je ne sais pas combien de temps je vais encore pouvoir résister. Marine s’en aperçoit.
- Bernadette si tu continues comme ça il va tout t’envoyer dans la bouche !- Elle a raison. Tourne toi j’ai envie de te prendre en levrette.- Bonne idée. Continuez, j’adore vous regarder ! 
Legging et culotte descendus sur ses tennis, Bernadette a le pubis complétement rasé avec une vulve large et bombée. Elle se retourne et me présente son cul. Des deux gros globes me font face. Elle se penche. Mon doigt pénètre dans son vagin humide. Je pousse son tee-shirt jusqu’au haut de ses épaules et dégrafe son soutien-gorge. J’empaume son sein, il est lourd et m’emplit complétement la main. Je le malaxe et pince le téton. Elle glousse de plaisir. Je me redresse et entre un deuxième doigt dans sa caverne. Après quelques allers-retours, je les retire et titille l’entrée de son vagin avec ma queue dure comme un gourdin. D’un coup de rein, je m’enfonce au plus profond de sa grotte.
- Ouille ! - Vas-y tout doux, ça fait un moment qu’elle ne pratique plus.
Je tourne la tête vers Marine. Elle a baissé son legging. Sa main gratouille son pubis dans une culotte blanche gansée de dentelle. Je ne résiste pas à l’envie de lui demander de me montrer son sexe.
- Baisse ta culotte !
Ce qu’elle fait immédiatement. Un large triangle de poils drus apparaît. La rouquine a une forêt de brune. Marine tout en me dévisageant écarte ses poils découvrant un jolie petit clito rose sorti de sa cache. Puis elle s’approche de nous et suce son doigt avant de le planter dans l’anus de Bernadette.
- Retire ton doigt tout de suite ! 
Alors qu’elle pense que c’est moi, elle tourne la tête et s’aperçoit que c’est Marine.
- Salope ! - T’as un beau petit trou, tu veux qu’il te sodomise ? - Non mais ça ne va pas bien dans ta tête.- Bon alors laisse moi ta place.
Bernadette ne se fait pas prier, elle se redresse et tortille du cul pour remonter sa culotte et son legging avant de me dire.
- Fourre la bien ! 
Contrairement à Bernadette aux épaules carrées et aux larges hanches, Marine est plutôt menue. Son petit cul remplace les grosses fesses charnues de sa copine. Elle se penche face à la cuvette des WC. Sa touffe remplit son entrejambe. J’écarte ses fesses, sa raie bordée d’un petit duvet de poils m’invite à placer mon index. J’accède à son petit trou et en forçant un peu, son sphincter se relâche. Mon doigt se tortille au plus profond de son anus. Bernadette s’en mêle.
— Enlève ton débardeur !- Si ça peut te faire plaisir.
J’ai dû retirer mon doigt afin de la laisser se débarrasser de son débardeur. Alors que Bernadette s’empresse de lui dégrafer son soutien-gorge, il tombe dans la cuvette.
- C’est malin !
Bernadette le ramasse et en profite pour se saisir de la brosse servant à nettoyer la cuvette.
- C’est bon, je vais le faire sécher.
Marine se remet en position. Bernadette se place derrière elle et lui enfonce le manche de la brosse dans le vagin.
- Qu’est-ce que tu fais ? Retire ça tout de suite ! 
Au lieu de cela, Bernadette va de plus en plus loin. Je plante deux doigts dans le cul de Marine et je sens bien le manche aller et venir à proximité. Au bout d’un moment, elle retire le manche et retrempe la brosse dans la cuvette.
- Pousse-toi ! Je vais te la nettoyer, tu vas voir.
Je retire mes doigts de l’anus de Marine et regarde la brosse qui tournicote. L’eau coule le long des cuisses de Marine. Sa chatte est complétement détrempée. Ses poils s’agglutinent en boucles. Bernadette pousse la brosse qui s’enfonce progressivement dans le vagin, pour disparaître totalement. Bizarrement, Marine ne dit plus rien. Moi je bande comme jamais. Ma queue me fait mal, prête à exploser.
- Tu me le paieras ça ma vieille ! - Vas-y mets lui bien profond dans son fion.
Bernadette a laissé la brosse dans le vagin et me cède la place. Je rentre tout de suite trois doigts dans le cul de Marine dont le souffle est de plus en plus court. Elle tire sur la brosse et la jette par terre avant de murmurer.— Retire tes doigts de mon cul, je veux ta queue.
A peine ai-je enlevé mes doigts qu’elle s’empale sur mon pieu. Il s’engouffre entre ses petites fesses très facilement et peut-être trop facilement.
- Dis-moi, ce n’est pas la première fois que tu fais sodomiser, hein ? - Mon ami adore me prendre par-là.- J’ai bien envie de jouir dans ton cul.- Tu peux y aller, au point où j’en suis ! 
Après quelques allers-retours, j’envoie la purée. Je reste un moment bien au chaud dans son cul.
- Tu vas rester longtemps comme ça ? - Ok tu l’auras voulu ! 
Je prends la brosse par le manche et lui enfonce dans l’anus côté brosse. Ça gicle de partout. De l’eau mêlée au sperme sort de son trou. Elle tente de me prendre la brosse des mains mais n’y arrive pas. Bernadette m’aide et maintient le corps de Marine pendant que je pousse le manche de plus en plus loin dans son cul.
- Putain, ça fait mal ! - Ok je te la retire.
Lentement la brosse sort de son trou. Bernadette me pousse et me remplace derrière Marine. Tous ses doigts rassemblés dans sa main s’enfoncent alors dans l’anus de sa copine. Elle est en train de lui faire un fisting anal. Sa main s’est maintenant enfoncée jusqu’au poignet. Marine grimace. Je suis stupéfait de voir à quel point son anus se dilate. Le poignet a maintenant disparu et tournicote dans ses boyaux. Bernadette est contente de son coup.
- Alors ma cocotte ?- Oooh ! - Attends, ce n’est pas fini.
Elle retire d’un coup sa main du trou du cul de sa copine et lui branle le clitoris. Elle s’active tellement sur le petit bouton que la cyprine coule en un véritable geyser.
- Bernadette, arrête ! 
Malgré ces cris, Bernadette ne stoppe pas et se penche encore plus pour entreprendre avec son autre main un fisting dans le vagin de Marine. Ses mamelles épousent le dos de sa partenaire. Je me masturbe devant ce tableau magnifique. Bernadette me regarde avec un petit sourire en coin en voyant Marine glisser une main dans son entre-jambe et l’accompagner dans la masturbation de son clito. Mon érection est à son comble et j’ai bien envie d’enculer le gros cul de Bernadette. Je me recule juste ce qu’il faut pour me mettre à bonne hauteur. Elle n’a pas le temps de réaliser ce qui se passe que je suis déjà en train de la sodomiser. Son sphincter résiste mais en une poussée, ma bite est tellement dure que je m’enfonce en elle.
- Waouh ! 
Surprise, elle a cessé tout mouvement dans la chatte de Marine et se cramponne tant bien que mal aux hanches de sa copine. Quelques allers-retours et j’éjacule dans son cul, c’est fini. Toutes deux se redressent et se servent d’un max de papier toilette pour éponger leur chatte et leur croupion.
- Tu veux que je nettoie la trompe ? — Pas mal comme expression mais merci mais j’ai eu ma dose.
Nous sortons et je les accompagne jusqu’à la Mairie pour remettre les clés. Depuis, Bernadette m’accueille régulièrement chez elle, je suis son plan cul comme elle dit et ça me va très bien. De temps en temps, j’ai la surprise de voir apparaître Marine qui se joint à nous pour notre plus grand bonheur. Il existe une telle complicité entre elles qu’elles assument totalement leur bisexualité.

Chapitre 3
Nous arrivons à fin juin, c’est le dernier cours de gym. Le soir est organisé un pot où chacun amène quelque chose à manger ou à boire. Les conjoints sont invités. Mon épouse Françoise connaît tout le monde et voilà que le chef de la police municipale vient nous saluer, je me demande ce qu’il fait là. J’espère seulement qu’il saura tenir sa langue et ne pas raconter ce qu’il s’est passé l’autre fois avec son adjoint qui nous a fait du chantage. Gladys, Guy et moi avions été filmés en train de baiser dans la salle de gym par une caméra reliée à la salle de contrôle de la police municipale. A la suite de quoi, l’adjoint puis le chef de ladite police avaient profité de la situation. Première nouvelle, ma femme connait le chef en question et l’appelle Nono.
— Salut Nono, tes enfants vont bien ? 
S’en suit une conversation à laquelle je ne participe pas, préférant me resservir un verre de sangria. Je rejoins ensuite Françoise qui en a déjà fini avec ledit Nono.
- Tu le connais ? - Oui, il s’appelle Noé, on a été en classe ensemble et nous avons même flirté un peu.- Et ?- Ça n’a pas duré longtemps, il est vite tombé amoureux d’une magnifique métisse.- Il paraît que les blacks sont bien montés.- Je confirme.- C’est donc allé plus loin qu’un simple flirt si je comprends bien.- Disons que mes mains se sont aventurées dans son entre-jambe et puis tu m’embêtes à la fin.- Tu as raison c’est de l’histoire ancienne.- Avec sa métisse, ils ont eu deux gosses puis elle s’est barrée en lui laissant les enfants.- Ah le pauvre.- Il n’a pas perdu au change, il s’est remarié avec une blondinette de 10 ans sa cadette.- Tant mieux pour lui ! »- J’étais un peu nunuche à l’époque, j’aurais dû me laisser faire et aller un peu plus loin.- Tu regrettes ? 
Elle se penche et me dit à voix basse dans l’oreille.
- J’ai gardé le souvenir d’avoir caressé son énorme sexe pendant qu’il me pelotait.- Tu m’avais caché ça.- Mais bon, peut-être que je l’ai rêvé, c’est tellement loin.- Il me doit un petit service, je peux lui demander de te rafraîchir la mémoire.- Tu crois qu’il voudrait ? - Il suffit de lui poser la question.- Et toi, t’es pas jaloux ? - Non, si c’est un coup d’un soir, je dirai même que ça m’excite.
Nous ne sommes plus que quelques convives autour de la sangria, la soirée s’achève. Je m’arrange pour me mettre à l’écart et prend Nono par le bras.
- Dis donc je ne savais pas que tu étais sorti avec Françoise à l’école.- Ça n’a pas duré longtemps.- Elle m’a avoué qu’elle regrette.- A bon ? - Elle s’imagine plein de chose te concernant, si tu vois ce que je veux dire.- C’est quand même marrant toutes ces affabulations sur nous les blacks.- J’ai pu vérifier, tu es bien monté comme on dit.— Je dois faire la fermeture du local et garder les clés, ça doit pouvoir se faire.- Ok à condition d’obturer le radar ou il y a la caméra.
Je lui fais un clin d’œil et une tape dans le dos avant de boire le reste de mon verre de sangria. Je commence d’ailleurs à être bien bourré. Françoise s’approche de moi.
- Qu’est-ce que vous mijotez tous les deux ? - Rien, j’apprenais simplement à mieux connaître une de tes anciennes conquêtes.
Ma femme est également un peu pompette. Elle me tire à l’écart de Nono.
- C’est vrai qu’il est encore bien conservé, ça doit être un bon coup.- Et moi alors ? — Ce n’est pas pareil, toi je te connais par cœur, lui je l’imagine avec un gros bâton entre les jambes.- Arrête, tu me fais bander.- Viens, il est temps de partir, on rentre à la maison, j’en ai envie.- Attends, j’ai peut-être une petite surprise pour toi.
Nous ne sommes plus que trois couples et Nono dans la salle. Le chef de la police municipale tape dans ses mains.
- Mesdames Messieurs, on ferme. Si vous voulez bien récupérer vos affaires.
Tout le monde sort et au moment de franchir le seuil de la porte, je retiens Françoise par le bras et l’attire dans la salle. Nono referme la porte en donnant un tour de clé. Ma femme s’étonne.
- Mais ?- Laisse toi aller, il va s’occuper de toi.
Il a fait chaud aujourd’hui et les femmes étaient presque toutes en robes légères. Celle de ma femme s’ouvre sur le devant avec une multitude de petits boutons nacrés cachant par-dessous une fermeture éclair permettant de l’ouvrir rapidement.
- C’est compliqué à enlever tout ça ! - Mais non, regarde.
Elle commence à descendre le zip. Il lui prend des mains et continue jusqu’en bas. Sa poitrine retenue par un soutien-gorge chair et la culotte assortie apparaissent d’un coup. Il s’agenouille et lui caresse le ventre, les seins, les cuisses et remonte jusqu’à son pubis. Ses doigts glissent dans l’entre-jambe.
- Tourne toi ! 
Elle s’appuie contre un mur. Il relève la robe, tire sur la culotte qu’il descend jusqu’au milieu des cuisses. Ses mains écartent les fesses. Il lèche sa raie et s’attarde sur son petit trou. Françoise est en extase.
- Putain, quelle langue ! 
Elle se penche un peu plus. La langue de Nono lisse le sillon de ses fesses. Il se recule un peu et glisse un doigt dans le vagin. Puis deux doigts vont et viennent. Je bande à mort et m’astique la verge par-dessus le tissu de mon bermuda. D’un seul coup, il se relève.
- Enlève tout !
Françoise est maintenant à poil. Ses seins en forme de poire dansent à chacun de ses mouvements. Sa vulve bombée et épilée présente une fente rougie par les exploits buccaux de Nono. Lui aussi est nu, le sexe droit, décalotté avec son bout rosé. C’est vrai qu’il a un gros bâton comme le dit Françoise. Il donne tout de suite ses consignes.
- Là il y a une table, tu vas t’allonger dessus.
La table est vite débarrassée. Tout est transféré sur la table la plus proche. Françoise s’allonge, Nono lui soulève les jambes et d’un grand coup de rein enfonce son membre.
- T’es étroite, je ne te fais pas mal au moins ? - Mmm.
Son gros mandrin est à peine entré d’un tiers dans le vagin de Françoise.
- Attends, j’ai peut-être une solution.
Il s’étire jusqu’à la table d’à côté sur laquelle il reste des parts de gâteaux. Une tarte tropézienne débordant de crème au beurre fait son affaire. Il s’en enduit la bite puis le vagin de Françoise. Sa verge la pénètre cette fois plus loin. Après quelques aller-retours, il investit totalement la caverne de ma femme. La crème blanchâtre ressort et coule le long des cuisses du black. Ses mains pleines de crème vont du ventre de Françoise à ses seins qu’il malaxe avec avidité. J’ai sorti mon sexe et me masturbe devant cette scène surréaliste. Il tourne sa tête vers moi.
— Tu veux qu’on partage ? - Non, continue, je vois qu’elle prend son pied.- Je vous veux bien tous les deux à condition que Nono ne me prenne pas par derrière.- Ok, marché conclu.
Il se retire, son pénis est vraiment très gros. Il s’allonge à même le sol, sa queue est droite comme l’obélisque. Françoise s’empale lentement sur le pieu. Elle monte et descend doucement puis s’arrête et se penche, signe qu’elle est prête à se faire sodomiser. Je lui tartine l’anus avec la crème de la fameuse tarte tropézienne. Après l’avoir doigté bien comme il faut, je l’encule. Ce n’est pas la première fois que je la prends par là mais en trio, c’est une première.
- Waouh ! 
Je commence des va-et-vient dans ses boyaux. Elle a cessé tout mouvement sur la bite de Nono qui reste plantée au plus profond de son vagin. Je sens sa grosse verge à chaque poussée. Au bout d’un moment, je me retire pour me branler devant cet anneau dilaté qui se referme petit à petit. Du coup, elle recommence les aller-retours sur la queue de Nono. Il la prend par les hanches et la monte de plus en plus haut pour la faire redescendre bruyamment sur son pubis. Il accélère la cadence. Le visage de Françoise s’empourpre. Je sens qu’elle est au bout du rouleau, elle crie.
- Stop ! stop ! stop ! - Ça vient, ça vient.— Oooh ! 
Il la soulève. Un long jet de sperme sort de sa bite, éclaboussant le ventre de Françoise. Dans le même temps, je jute sur son cul.
Nos bites dégoulinent de crème et de sperme qui nous collent de partout. On se nettoie avec les serviettes en papier disposées sur les tables. Elle remet sa robe sans ses sous-vêtements et nous regarde.
- On dirait des sexes de stroumf !
Les serviettes sont bleues et ont déteint sur nos bites. Je vois Françoise prendre entre ses doigts un reste de crème et s’approcher du cul de Nono. Avant qu’il ait pu dire quoi que ce soit, elle l’étale dans le sillon de ses fesses jusqu’à son trou de balle.
- Oh ! Qu’est ce que tu essaies de faire ? - Trop tard mon vieux ! - Dis donc ta femme est une belle salope ! - Allez, pose tes mains sur la table et desserre moi ces fesses.
Elle le pousse vers la table la plus proche. Il se laisse faire et se penche un peu comme pour l’aider à lui rentrer son doigt. Elle glisse son index dans l’anus et l’enfonce au plus profond. Plusieurs doigts réunis tentent maintenant de pénétrer. Voyant que ça bloque, elle reprend un peu de crème et recommence. Cette fois, les cinq doigts semblent entrer. Il se demande ce qu’il lui arrive.
— Hé ! 
Elle vient d’enfoncer sa main presque toute entière dans le cul de Nono. Il écarte un peu plus ses jambes et pose ses coudes sur la table. Ses couilles ballottent d’avant en arrière, son gros bâton reprend forme, ça le fait bander.
- T’aime ça, hein ? 
Il ne répond pas. Elle y va de plus belle enfonçant ses doigts au plus profond des entrailles du black. A moi aussi ça me fait de l’effet de voir ce grand black se faire mettre par ma femme. Je recommence à me masturber. Françoise m’a vu et me fait signe.
- Allez, approche je suis sûre qu’il ne demande que ça !
Nono ne dit rien. Avec toujours ses doigts dans son cul, elle saisit ma bite avec son autre main et l’attire vers le cul du black.
- Je n’ai jamais vu deux hommes ensembles.
Mon sexe n’est plus qu’à quelques centimètres du trou de Nono. Je pénètre son anus. Ça rentre tout seul. Il faut dire que Françoise l’a bien préparé. Elle a relevé sa robe et nous regarde en se masturbe le clito. Mon pubis claque de plus en plus sur les fesses de Nono. Soudain, j’éjacule dans son cul. On se rhabille et Nono est ravie de notre rencontre.
- Il faut absolument que je vous fasse connaître ma compagne !- C’est quand tu veux.- Dès que je trouve une date pour caser les gosses je vous fais signe.

Chapitre 4
Pour l’avoir déjà rencontré à la piscine, la compagne de Nono a un corps de jeune adolescente : peu ou pas de poitrine, des hanches étroites, des fesses plates et un ventre sur lequel se dessinent ses abdos. Mais ce qui fait surtout sa singularité, c’est son look : cheveux courts blonds rasés sur les côtés, tatouages sur le dos les bras et les cuisses, piercings sur le visage et au nombril. Ce n’est pas trop ma tasse de thé ni le style de Françoise qui est plutôt BCBG.
Quelques jours plus tard, rendez-vous est pris. Nous arrivons chez eux. Françoise qui n’avait jamais été présenté à Marita est surprise en la voyant malgré la description que je lui en avais déjà faite. Marita nous met tout de suite à l’aise.
- Bon on s’embrasse !
Je remarque au passage qu’elle a également un piercing sur la langue. Ses lèvres atterrissent sur le coin de ma bouche.
- J’ai fait simple, repas froid avec divers plats disposés sur la table là-bas.- Mais avant, champagne pour tout le monde, ça vous va ? - J’ai mis les coupes près du jacuzzi, suivez moi.- Les bulles avec les bulles.
Le jacuzzi est sur une terrasse à moitié ouverte sur l’extérieur. Des bulles plus ou moins grosses font irruption à la surface de l’eau. En même temps qu’il dit cela, Marita déboutonne son mini short de tissu jaune citron et le baisse laissant apparaître un mini string ficelle noir.
- Tu nous aurais prévenu, on aurait pris un maillot de bain.- Pas de chichi, mettez vous à l’aise.
Elle retire le tee-shirt jaune citron sous lequel on voyait poindre ses tétons découvrant un piercing dans chaque mamelon en plus de celui dans son nombril. Elle en est fière.
- Vous aimez ? — Ce n’est pas trop mon truc. - Et toi ?- Pareil. - Bon chacun son style, allez venez !
Elle rentre dans le jacuzzi simplement vêtue de son string. On se regarde Françoise et moi ne sachant pas quoi faire. Nono arrive avec un plateau à roulette sur lequel sont disposées le champagne dans un seau empli de glaçons et quelques amuses gueules. Il est en boxer et verse le champagne dans chaque coupe puis il pénètre à son tour dans le jacuzzi.
- Allez venez, vous n’allez pas rester là, l’eau est à 30 degrés !— Bon c’est ok, mais je te préviens, je garde mon body.
Je me désape à mon tour et me voilà en shorty fantaisie. Je les rejoins pendant que Françoise pose délicatement sa robe sur le bord d’une chaise. Son body de dentelle noir rehausse sa poitrine rendant ses seins encore plus attirants mais surtout il gaine son ventre qu’elle trouve un peu trop proéminent à son goût. Elle rentre dans l’eau à son tour.
- Brrr ! Il faut y aller.- Je peux monter la température si tu veux.- Non, non, c’est bien comme ça.- Alors à quoi on trinque ? - A une soirée de baise torride ! 
La réponse de Marita est sans appel. Nono essaie de rattraper le coup.
- Elle est très spontanée, c’est ce qui m’a plu chez elle.- Ne fait pas semblant, on sait tous les deux pourquoi tu les as invité.- Je lui ai raconté le pot de l’autre soir.- C’est vrai qu’on était un peu ivre mais pour nous c’était exceptionnel.— Je connais Nono depuis le lycée et ça m’a fait drôle de le revoir.- Justement, il n’a pas changé, c’est toujours un chaud lapin mon Nono ! - Il faut l’excuser, elle est jeune et parle cash.- Mais moi au moins, je fais ce que je dis, la preuve ! 
Elle a dans les mains son string ficelle qu’elle vient de retirer. Elle le jette par-dessus bord et se lève dévoilant la fente de sa chatte rasée ressemblant à un joli petit abricot. Un piercing semble transpercer son clitoris.
- Et ça ne te fait pas mal, ce truc ?- Au contraire ! - Bon moi, je fais comme elle, j’enlève mon boxer.- Allez, tout le monde à poil ! 
A mon tour, je retire mon shorty. Françoise me fusille du regard. Mon érection est bien visible quand je me lève et je me rassois aussi vite. Nono prend à parti ma femme.
- Il ne reste plus que toi Françoise !- Si tu veux je peux t’aider.
Lui propose Marita.
- Merci, mais ça va aller.
Elle retire les agrafes maintenant le body dans son entre-jambe puis elle le passe par-dessus sa tête avant de l’envoyer par-dessus bord. Ses seins flottent au gré du bouillonnement des bulles.
- T’es pas mieux comme ça ? 
Lui dit Nono. Elle sourit, ça me rassure.
— J’ai envie de me cuiter, il reste du champagne ? 
Lance ma femme. Nono se lève. Son sexe est gonflé et le gland sorti de son antre. Il verse le champagne qui déborde de chacune de nos coupes se mélangeant à l’eau du jacuzzi.
- Qu’est-ce qui te fait bander comme ça mon Nono ?- Devines ! - Je dirai les beaux nibards de Françoise.
Marita mue par une envie soudaine relève ses jambes par-dessus les bulles, les écarte puis les resserre, créant de nombreux remous. Son pubis apparaît pour disparaître à chaque fois de la surface de l’eau. Nono n’est pas trop content.
- Arrête ! Tu vas le faire déborder !- J’ai envie de baiser, prends moi.— Non, d’abord les invités.- Allez Nono soit sympa.- Tiens, prends ça.
Il retourne la bouteille de champagne pour montrer qu’elle est vide. Il retire la collerette dorée autour du goulot et lui tend la bouteille.
- Bon, c’est toujours mieux que rien.
Elle prend la bouteille par le culot et se l’enfourne dans le vagin. Ses yeux se ferment et un souffle rauque sort de sa bouche au fur et à mesure qu’elle l’enfonce. Nono bande et son gourdin dépasse des eaux tumultueuses. Il se redresse, son sexe est énorme et droit. On dirait une torpille qui se dirige vers Françoise.
— Alors ? - Encore une fois, je te répète que je veux bien mais pas par derrière.- Et moi ?
Dit Marita en me désignant. Je me lève à mon tour et malgré une belle érection, la taille de mon sexe n’a rien à voir avec celui de Nono ni avec le goulot de la bouteille de champ. Je lui prends des mains la bouteille et lui enfonce encore plus loin dans le vagin. Elle accuse le coup. Les allers-retours successifs la font glousser à chaque poussée dans le fond de sa caverne. Tout à coup, elle me fait signe d’arrêter.
- Attends, je vais me retourner.
Ce qu’elle fait immédiatement en me présentant ses petites fesses. Je lui rentre à nouveau la bouteille dans le vagin et recommence à lui pistonner le conduit. Elle dirige sa main vers son cul et plante son index dans l’anus. J’y vois une invitation à m’occuper de son joli petit trou. Je lâche la bouteille qu’elle reprend et l’enfonçant de plus belle. Mon doigt remplace le sien dans son cul puis deux puis trois doigts tournicotent dans son trou. Nono m’encourage.
- Tu peux lui mettre la main toute entière, elle adore ça !
C’est vrai que son anneau se dilate très facilement. Il ne me faut pas longtemps pour que tous mes doigts entrent dans son anus. Ils vont et viennent, jusqu’à mon poignet. Nono et ma femme nous regarde. Il tient sa bite dans sa main et se masturbe lentement pendant que Françoise se doigte le clito. Marita ne l’entend pas ainsi.
- Ça vous plait, bande de voyeurs, allez à votre tour maintenant ! 
Dans le même temps, elle se défait de mon éteinte en me repoussant et en retirant la bouteille de son vagin. A notre tour, nous observons Françoise et Nono. Il la pousse contre le rebord et la prend en levrette. Petit à petit, sa bite pénètre Françoise pour disparaître totalement à l’intérieur de sa grotte.
- Toujours aussi étroite.- Peut-être mais ça va beaucoup mieux.
Marita est sortie du jacuzzi revient sanglée d’un gode ceinture.
— Nono, laisse moi prendre ta place.
Françoise n’a pas le temps de réagir que Marita la tient déjà par les hanches. Le gode s’enfonce à la place du gros gourdin de Nono. Je m’approche et caresse les seins de ma femme. Elle tourne sa tête et on s’embrasse. Je tire sur ses tétons jusqu’à lui faire mal, elle adore ça. Nono n’est pas en reste et en profite pour lui glisser son doigt à l’entrée de l’anus. Marita d’un seul coup, donne un grand coup de rein. Le gode entre profondément, ses cuisses claquent sur celles de Françoise. Le doigt de Nono s’enfonce petit à petit dans l’anus. Mais il le retire et se penche pour prendre la bouteille de champagne vide.
- Tiens ! 
Marita se saisit de la bouteille de champ et positionne le goulot sur la rondelle de Françoise qui se rebelle.
- Qu’est-ce que tu fais ? - Si ça passe, tu seras fin prête pour accueillir la queue de Nono.- Oui, vas-y, rentre la, j’adore quand tu prends des initiatives comme ça ! 
Je me masturbe en voyant Marita et Françoise. Nono fait la même chose. La situation est bizarre parce que j’ai l’impression d’aller au même rythme que lui mais d’un coup il accélère le rythme.
— Bouge ! J’en peux plus !
Marita retire la bouteille du cul de Françoise et lui écarte bien les fesses.
- Regarde son beau petit trou !
La rondelle est complétement dilatée. Nono s’empresse d’introduire son membre. Il est énorme. Sa fraise s’enfonce péniblement, suivie par sa hampe qui disparaît petit à petit entre les fesses de Françoise.
- Oh ! Putain qu’est-ce qu’elle est grosse !— Ce n’est rien de le dire.
S’exclame Marita. Françoise hurle.
- Stop ! Arrête, tu me fais mal !
La verge de Nono n’est qu’à moitié entrée dans le cul de Françoise. Il recule un peu. Marita envoie une giclée de vaseline dans la raie de Françoise et sur la queue de son homme. Il l’enfonce à nouveau, plus loin. Commencent alors des va-et-vient. Ma femme pousse des petits cris à chaque coup de butoir. Marita me regarde.
- Je vois que ça commence à lui plaire ! 
Nono l’encule maintenant au plus profond de ses entrailles. Françoise continue ses couinements. La tige noir ébène ressemble à un gros piston blanchi par la vaseline. Il rentre et sort. Le pubis de Nono claquant de plus en plus fort sur les fesses de ma femme. Tout à coup, il se retire et un long jet de sperme inonde le dos de Françoise. Marita se positionne derrière elle et lèche le précieux liquide jusqu’au bord de l’anus. Sa langue va même jusqu’à chercher le sperme à l’intérieur du petit trou. Françoise laisse faire puis les deux femmes se relèvent et se rhabillent.
- Je ne pensais pas qu’il irait aussi loin dans ton cul.- Il faudra qu’on remette ça.- Et toi qu’est-ce que tu en penses ? - Si Françoise est d’accord, je suis d’accord.- Pourquoi pas, mais laissez nous un peu de temps.
De retour à la maison, nous avons fait le point Françoise et moi. Elle avait le cul en feu comme elle dit. Il l’avait tellement défoncé qu’elle m’a fait comprendre sur le coup qu’il n’était pas question pour moi de la sodomiser avant un certain temps. Toutefois, il n’a pas fallu longtemps pour remettre le couvert. On a acheté sur internet un gros gode, un gode ceinture et deux plugs anal. Nous mettons les plugs régulièrement. On se prépare à leur rendre l’invitation et cette fois, on sera prêt.
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