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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Ah! les clientes... surtout les difficiles...

Chapitre 7

Divers
MON PLUS GRAND FANTASME
    Je dois ici vous avouer qu?il ne m?en prit moins d?une minute pour sombrer dans un profond sommeil.    Complètement dans les nuages, me remémorant probablement l?une ou l?autre de ces belles aventures de la soirée, sentant une paire de lèvres monter et descendre, une langue me bien sucer la queue, je profitais simplement de ce plaisir d?un rêve bien orchestré au point de me demander s?il n?était pas réel. Les images devenaient de plus en plus claires, c?était Valérie qui, en plein milieu du resto, tel qu?il était arrivé il y a quelques heures, voulait recevoir tout ce que mes couilles pouvaient contenir. Mais... elle suçait différemment cette fois-ci, c?était plus velouté, moins brutal, plus sensuel et combien meilleur. OH! Que c?était délicieux !    Sentant monter et monter le plaisir, cette langue me suçant goulûment le gland, montant et descendant sur le frein de ma queue, je me suis senti prêt à exploser. À ce moment, plus rien, la langue n?y était plus, pas plus que les chaudes lèvres qui m?astiquait le membre depuis je ne sais trop combien de temps. J?ouvris alors les yeux pour m?apercevoir que ma belle rose était assise à mes côtés, les lèvres pleines de salive et gonflées par l?action, les yeux pétillants et le regard embrumé. Elle me dit qu?il n?était pas question que je vienne si vite et qu?elle avait le goût de cette queue en elle pour une dernière fois.    N?ayant même pas le temps de cligner des yeux, elle s?était accroupie au-dessus de moi, me présentant sa chatte, encore toute juteuse des plaisirs passés, à la hauteur du visage et me la plaqua carrément contre les lèvres. Manges-moi comme tu l?as si bien fait cette nuit, car après, je me vais te nous faire jouir mon doux Alex, tu n?en reviendras pas...    Après seulement quelques minutes de dégustation vaginale, elle se releva, descendit juste à ma queue encore bien droite, se souleva au-dessus et sans crier gare, se l?engouffra directement au fond des entrailles. Elle s?était empalée sur ma queue et j?étais absolument certains qu?elle ne me la rendrait pas avant d?avoir jouit plusieurs fois.    Un coup bien placé au fond de son corps, elle commença à monter et descendre sur ma queue toute juteuse. Cette femme avait la chatte tellement lubrifiée qu?elle aurait pu monter et descendre au rythme d?une ?Formule 1? sans même faire chauffer le piston. Elle montait et descendait sur ma queue, les yeux fermées, savourant chaque mouvement de mon membre en elle. Puis elle se pencha légèrement vers l?arrière, posant ses mains à la hauteur de mes genoux, continuant ses allées et retours sur ma queue qui ne demandait pas mieux. J?ai alors baissé les yeux vers le spectacle qu?elle venait de mettre sous mes yeux. Ma queue entrait et sortait d?elle, étirant les lèvres de sa chatte vers l?extérieur puis les refoulant profondément vers l?intérieur. Cette vue ne faisait qu?augmenter mon excitation. Je me trouvais privilégié de pouvoir m?observer, fourrageant de long en large une si belle femme qui n?en désirait rien de moins. Je sentais, à chacun de ses mouvements, mon gland se frotter contre l?intérieur de sa vulve, raclant au passage le point G qui l?avait tant fait jouir plus tôt dans la nuit. À chacun de mes passages, je pouvais sentir les aspérités de cette boule de chair devenue rugueuse me gratter la couronne du gland, s?y coller, s?y accrocher à chaque fois de plus en plus, profitant ainsi au maximum de cette intrusion masculine dans son monde entièrement féminin.    Plus elle bougeait, plus elle semblait éprouver du plaisir. Après deux ou trois minutes de ce manège, elle porta un doigt à son clitoris, se mit à jouer avec. Tantôt le frottant doucement, tantôt énergiquement, l?étirant doucement, le pressant tendrement. J?avais le spectacle d?une femme en train de se masturber, allant et venant à son rythme sur un homme qui n?avait pour goût que de se laisser faire et d?admirer la scène.    Elle se mit à gémir de plus en plus, bougeant son doigt de plus en plus vigoureusement, montant et descendant de plus en plus rapidement. Puis elle atteint le top des top, le plaisir des plaisirs. J?ai alors senti son intérieur devenir bouillant. Elle s?égorgeait à geindre et à gémir de plaisirs, savourant le plus longtemps possible cet état de parfait bonheur, ce passage dans un monde incomparable, le monde de l?orgasme.    Telle une femme qui connaît parfaitement son corps, elle s?était fait jouir sur moi, devant moi, par moi et sans que je ne fasse rien autre que de la laisser se faire jouir.    Après ces quelques instants passés dans l?autre monde, elle ouvrit les yeux et me regarda. Ses yeux étaient devenus scintillants, elle possédait un regard incomparable et unique, celui d?une femme qui venait d?atteindre LE plaisir. Je la regardais sans même oser parler, de peur de la faire sortir de cet état second.    Avant de sombrer dans un sommeil profond, nous avons échangé un tendre et long baiser qui, nous guidé dans le monde de Morphée, nous a transporté au petit matin.    Au réveil, le temps était à la douche rapide et au départ. Elle se devait d?aller quérir son charmant époux à son avion qui devait se poser d?une minute à l?autre.
    nda : J?aurais pu continuer mais le temps me manque... peut-être plus tard...
E-mail: sinedtobraj@hotmail.com
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