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Les cocus anonymes.

Chapitre 2

Premières preuves ...

Erotique
Chaque matin, quand je pars à mon salon de coiffure, je tente de voir comment Chantal s’habille. Mais assez souvent, quand je quitte notre appartement, elle est encore en chemise de nuit et robe de chambre et il m’est donc impossible de savoir si elle va mettre de la lingerie sexy. Le soir, je tente alors de la surveiller du coin de l’œil lorsqu’elle se prépare pour la nuit. Par ailleurs, chaque soir après ma douche, je fais une inspection du panier de linge sale. Mais je dois me rendre à l’évidence, aucun indice ne me permet de conforter mes soupçons. Ouf, je me suis trompé ; ma femme ne me trompe pas !Cependant, ce jeudi soir une fois à table, je réalise que Piotr n’est pas venu ces quatre derniers jours pour poursuivre les travaux. Je demande à Chantal— Chérie, tu as des nouvelles du peintre ? Je viens de me rendre compte qu’on ne l’a pas vu depuis lundi.Tout en mangeant sa salade accompagnée d’un petit morceau de fromage, elle me répond— Oh oui, j’oubliais ! Cet après-midi, alors que j’étais avec le club de la paroisse, il m’a téléphoné. puis elle poursuit— Il viendra travailler demain après-midi. Mais je dois le retrouver à 12h00 au magasin Castorama de la place de Clichy car il faut choisir la peinture pour repeindre les plinthes de la deuxième chambre.Après qu’elle m’ait précisé qu’elle avait complètement oublié de me prévenir sur le coup car elle était occupée à discuter avec le curé lorsque Piotr l’a appelée, nous en restons là. Le lendemain matin, alors qu’elle est toujours en robe de chambre, je la surveille du coin de l’œil tandis qu’elle prépare sa lingerie et ses vêtements pour la journée. Je suis rassuré car elle choisit tout ce qu’il y a de plus classique comme petite culotte et soutien-gorge. Je vois qu’elle ne sort ni collants ni bas, il faut dire qu’une très belle journée est annoncée en ce début de printemps. Elle sort ensuite une robe mi-longue de mi saison, je suis rassuré.Ma matinée se passe normalement au salon et je suis loin d’être débordé. Il faut dire que les gens ont eu peur que les salons de coiffure soient fermés pour le troisième confinement alors ils se sont tous précipités la semaine dernière avant les annonces du premier ministre. Comme nous sommes restés ouverts, cette première semaine est bien calme. A 11h30, n’ayant plus personne dans le salon, je me décide à baisser le rideau et je vais aller voir si je croise Chantal vers la place de Clichy pour rentrer avec elle déjeuner à la maison. Je fonce à la station de métro la plus proche et il est à peine midi lorsque je sors de la station place de Clichy. Alors que je remonte vers Castorama en passant devant la grande salle de cinéma Pathé, je vois Chantal et Piotr sortir de Castorama. Ils n’ont vraiment pas traîné pour choisir et acheter la peinture. Ils ne m’ont pas encore remarqué et je m’attends à ce qu’ils viennent vers moi pour aller au métro. Mais ce n’est pas le cas, il traverse la rue et remonte ensemble le boulevard de Clichy en direction du Moulin Rouge. Je décide de les suivre à distance pour voir où ils vont ainsi. Après quelques minutes de marche à pied, ils passent devant le célèbre cabaret et je pense qu’ils vont prendre le métro à la station Blanche. Mais non, il poursuivent encore quelques mètres et s’arrêtent devant la devanture d’une boutique. Je les vois parler et rire ensemble avant de se décider à discuter avec la vendeuse qui se tient à la porte. Au bout de quelques instants, la vendeuse disparaît puis revient avec un paquet que ma femme glisse dans son sac à main. Ceci fait, Chantal et Piotr traversent la rue et s’engouffrent dans la station de métro.Je patiente un peu puis me dirige à mon tour vers la boutique où ils se sont arrêtés. Il s’agit du magasin Rebecca Rils, un « supermarché érotique » qui affiche dans sa vitrine des tenues plus que coquines. Je me demande ce que ma femme a pu acheter ici. Je me décide à remonter à pied jusqu’à mon salon de coiffure pour me changer les idées mais je ne peux pas m’empêcher de m’interroger sur le comportement de ma femme.Une fois de retour au salon, vers 13h30, je me décide à appeler ma femme. Le téléphone sonne plusieurs fois avant qu’elle ne décroche. Je lui dis— Allo chérie, c’est moi. Alors, tu as trouvé la peinture pour les plinthes de la chambre ?Elle me répond— Oui chéri, j’ai trouvé ce qu’il faut. Le peintre est déjà au travail. Nous en restons là ; il est inutile de la questionner sur son achat chez Rebecca Rils car je sais que cela ne servirait à rien. Une fois rentré à la maison le soir, Chantal s’empresse de me montrer les travaux réalisés dans la seconde chambre. Je reconnais que c’est déjà bien avancé et que ça a fière allure. Une fois installé à table, elle me dit— Tu ne crois pas qu’on devrait essayer de louer l’une des deux chambres quand les travaux seront finis ? Ça nous ferait un petit complément de revenus !puis elle poursuit— Ces deux chambres sont isolées au bout de notre appartement, il y a un petit cabinet de toilette et elles bénéficient du petit escalier de service. Il suffirait juste d’installer une petite kitchenette dans le débarras du fond et ce serait bien suffisant pour une étudiante.Bien que n’y ayant jamais pensé, je reconnais que l’idée est séduisante.
Je lui réponds— Moi je veux bien mais je te laisse gérer tout cela. Cela ne t’ennuie pas !Elle me répond— Non au contraire. Cela va m’occuper un peu car c’est plutôt calme en ce moment au niveau de la paroisse.Tandis qu’elle range la cuisine et fait la vaisselle, je vais prendre ma douche. Comme j’en ai maintenant pris l’habitude, je vérifie aussitôt le contenu du bac à linge sale et suis surpris d’y trouver un superbe petit string rose que je ne connaissais pas. Serait-ce l’achat effectué ce midi sur le boulevard ? Si c’est le cas, il a bien été utilisé car il est trempé de mouille et de foutre. Oui, je ne me trompe pas, c’est bien du sperme que je reconnais à l’odeur. Je ne me suis donc pas trompé, elle baise avec Piotr !Ne souhaitant nullement faire un scandale qui ne servirait à rien, je décide de faire comme si rien n’était. Cependant, je vais faire en sorte de mieux les surveiller. Le lendemain midi, au lieu de déjeuner au salon en regardant les infos, je fonce au métro et me rends au magasin Darty le plus proche rue Cardinet dans le XVIIème arrondissement. J’ai de la chance, je tombe sur un vendeur très compétent et je lui explique que je cherche à m’équiper d’une petite caméra pour mon magasin. Je lui fais comprendre que je souhaiterais pouvoir la déclencher à distance et voir les images sur mon téléphone portable. Il me présente quelques modèles, me détaille les avantages et inconvénients de chacune. Je finis par me décider pour un petit boîtier caméra magnétique avec détection de mouvement, suivi en temps réel et une excellente autonomie.De retour au salon de coiffure, dès que j’ai un moment de libre, je feuillette le manuel d’utilisation pour me familiariser avec l’appareil et étudier la meilleure façon de procéder. Je me demande toutefois dans quelle pièce je vais installer l’appareil. Dans le salon ? Je ne pense pas que ce soit l’idéal. Dans la chambre qui est en train d’être refaite ? Impossible de la dissimuler. Dans la chambre déjà refaite ? Oui, cela me semble bien.Le samedi suivant, profitant que Chantal soit en réunion avec l’association paroissiale, j’installe la caméra dans la chambre juste refaite par Piotr. Je réussis à la dissimuler sur une étagère haute, derrière des livres, de telle manière qu’elle puisse filmer vers le lit. Pour assurer le coup, je fais un test en m’allongeant sur le lit et en bougeant les bras. Super, la caméra se déclenche en silence et je peux me voir sur l’écran de mon portable en train de gesticuler sur le lit. Il n’y a plus qu’à attendre ! Le samedi soir, peut-être parce qu’elle a mauvaise conscience, Chantal me propose un petit câlin au lit. Alors que je suis déjà couché, elle s’approche du lit et fait glisser jusqu’à ses pieds sa robe de chambre. Elle m’apparaît dans toute sa splendeur, ses superbes seins pointés vers l’avant, son ventre plat, ses fesses galbées, ses jambes fuselées et son sexe dissimulé derrière le petit string rose découvert dans la salle de bain en début de semaine. Elle me dit— Comment trouves tu ce petit string ? Je l’ai acheté ce matin en revenant de ma réunion à la paroisse. Oh la salope ! Elle ose me dire qu’elle vient de l’acheter alors que je sais parfaitement qu’il a déjà bien servi. Cela m’excite et j’ai comme un début d’érection. Elle se glisse sous la couette et me caresse la queue. Elle me dit en souriant— Oh coquin, tu bandes !! C’est mon petit string qui t’excite ! Viens je vais te sucer comme il faut.Pour une fois, j’arrive à avoir une érection correcte et je me laisse sucer pour bien en profiter. Ma femme a toujours été une super suceuse et je me dis qu’elle doit certainement en faire profiter Piotr. Cela m’excite de l’imaginer avec Piotr et bien vite, je me positionne de manière à pouvoir lui dévorer la chatte tout en me faisant sucer. Elle a toujours son string et je l’écarte de mes doigts pour glisser ma langue en elle. Dire que je suis en train de dévorer le sexe dans lequel le peintre s’est longuement répandu. Excité comme je suis, ce qui est rare ! je fais mettre Chantal en levrette sur le lit et, sans même lui retirer son string, je la prends et réussis à cracher quelques gouttes de foutre en elle. Je m’endors ravi ! Ce lundi après-midi, alors que je sais que Piotr doit venir poursuivre les travaux, je surveille mon portable afin de ne pas louper le déclenchement de ma caméra. Mais rien ne se passe et je me demande si finalement, je ne me ferais pas des idées. Pourtant, je pense vraiment que c’était du foutre dans sa lingerie !Le soir, je vérifie de nouveau le panier de linge sale. J’y trouve des bas et un porte-jarretelles noir marqué de taches gluantes blanchâtres. Pas besoin de réfléchir longtemps pour imaginer la scène ; Chantal se faisant bien prendre par Piotr et ce dernier lui éjaculant longuement sur sa lingerie après s’être retiré. Cela m’excite et j’ai un début d’érection. Une fois nu, avant de prendre ma douche, je me masturbe rapidement en me caressant avec le porte-jarretelles puis je mêle mes petits jets de foutre aux larges auréoles tachées du peintre.Sitôt le dîner terminé, alors que Chantal est au salon en train de discuter au téléphone avec l’un de nos enfants, je fonce dans la chambre refaite et démonte rapidement la caméra. Discrètement, je retraverse le salon tout en disant à ma femme d’embrasser les petits-enfants pour moi. Une fois dans notre chambre, je grimpe sur une chaise et installe la caméra en haut de la vitrine à bibelots qui fait face au lit conjugal. Dissimulée entre quelques boites laquées noires décoratives, l’appareil est vraiment difficile à repérer.Une fois au lit, je dis à Chantal— J’ai regardé la seconde chambre. Piotr fait vraiment du bon travail, tu sais s’il doit venir demain ?Tout en poursuivant la lecture de son roman à l’eau de rose, elle me répond— Oui, il travaille bien et vite. Mais en fait je ne le vois quasiment pas ! Il arrive, se met au travail et repart dès que c’est l’heure. C’est rare qu’il accepte un café !Puis elle poursuit— Oui, il doit venir demain matin vers 9h30. Mais il ne fera que quelques peintures car il doit partir dès midi pour se rendre sur un chantier de son entreprise.Je m’endors en me disant que demain j’aurai peut-être la preuve que je recherche. Ce vendredi matin, je me lève normalement, prends mon petit-déjeuner et me prépare pour aller au salon. Elle est toujours en robe de chambre et ne semble pas presser de s’habiller. Je n’y fais pas trop attention car je pars à 8h00 et je sais qu’elle a largement le temps de se préparer ensuite, « quand je ne suis pas dans ses pattes » comme elle dit.Aussitôt arrivé au salon, vers 8h25, je pose mon téléphone portable sur la tablette où sont déjà installés tous mes outils de travail pour la journée, ciseaux, peignes, tondeuses, brosses et autres rasoirs. A 8h30, j’ai à peine ouvert la porte du salon que déjà deux clients se présentent. Depuis le temps que j’exerce ici, je connais tous mes clients et il est rare d’avoir de nouvelles têtes. J’attaque donc avec monsieur Lebaud, qui porte très mal son nom. Comme toujours, on parle du virus et de la météo. Vous ne pouvez pas imaginer combien on me refait dans la journée l’histoire de la pandémie et du dérèglement climatique. Une fois terminée la coupe à la brosse de monsieur Lebaud, je passe au shampoing et à la coupe en dégradée de monsieur Lepèze, un retraité du ministère des finances. Lui, il me parle de la dette publique qui devient abyssale et des prélèvements qui vont encore peser sur les retraités. Il se plaint mais ne faisait-il pas partie de ceux qui ponctionnaient les retraités lorsqu’il était encore aux affaires ?Alors que je lui explique que la vie est ainsi faite, que les baisés d’aujourd’hui sont souvent les baiseurs d’hier, mon téléphone se met à biper. Je pose aussitôt mes ciseaux et m’empare de l’appareil. La caméra vient de se mettre en route dans la chambre conjugale et je vois ma femme apparaître sur l’écran, toujours en robe de chambre. Comme je dois reprendre la coupe de monsieur Lepèze, je lance l’enregistrement sur mon téléphone et repose mon portable. Pendant les deux heures qui suivent, impossible de jeter un œil sur le téléphone car le salon ne désemplit pas. Tout en coupant les cheveux, raccourcissant les pattes, dégageant la nuque et coiffant mes clients, je ne cesse de penser à Chantal. Il était un peu plus de 9h30 quand la caméra s’est déclenchée, c’est peut-être tout simplement parce que Chantal s’est rendue dans la chambre pour se changer et mettre ses habits pour la journée. Tellement obsédé par mes pensées, je suis un peu distrait et celui que je coiffe me rappelle à l’ordre— Attention Henri, vous allez finir par me couper une oreille avec votre coupe-choux ! Je m’excuse confus— Excusez-moi monsieur Deudon, j’étais ailleurs !Il me répond— Vous avez des soucis ? Pourtant vous avez de la chance, cette fois ils ne vous ont pas obligé à fermer.Je lui rétorque— Non non, c’est pas ça ! Mais j’ai des travaux en cours à la maison et je voudrais que ce soit déjà fini.Il sourit et me rassure— Vous en faites pas, ça va bien finir un jour ou l’autre. L’important c’est qu’il fasse bien son travail !En moi-même, je me dis— Justement ! Je me demande s’il ne le fait pas trop bien. A midi quinze, j’en ai enfin fini avec mon dernier client de la matinée. J’ai maintenant une bonne heure devant moi et je vais pouvoir jeter un œil à l’enregistrement. Je ferme à clé la porte du salon et baisse le store pour être tranquille. Je sors mon sandwich du sac et m’installe dans le fauteuil des clients face au grand miroir. Tout en savourant mon morceau de baguette au jambon, beurre et gruyère, je lance le replay du film.L’image est bien nette et je vois donc Chantal entrer dans la chambre et se diriger vers le lit. Quelle n’est pas ma surprise de voir quelques instants après Piotr entrer à son tour dans la pièce. Chantal est assise devant sa coiffeuse et se parfume. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, le peintre retire ses chaussures, défait la fermeture éclair de sa salopette et la retire. Une fois nu, il s’allonge sur le lit.Chantal se rapproche du lit et c’est de dos que je la vois défaire sa robe de chambre et la laisser tomber à ses pieds. Oh la salope ! Elle porte une parure très sexy que je lui ai offerte il y a quelques années et qu’elle ne met plus depuis longtemps car elle a fini par m’avouer que cela fait vraiment pute. Il s’agit d’un ensemble noir, soutien-gorge demi balconnets et string ouvert. Elle a ajouté un large porte-jarretelles rouge qui retient de fins bas noirs. Pour couronner le tout, elle a mis des escarpins à très hauts talons qu’elle a toujours trouvé bien trop hauts pour les mettre avec moi.Je vois qu’avec Piotr, elle semble avoir repris goût à certaines choses qu’elles considéraient alors comme « plus de son âge ». Piotr est allongé sur le lit et la regarde ; l’animal est sacrément bien monté !  Le film dure finalement une petite trentaine de minutes mais tout y est passé. Chantal commence par lui faire une longue fellation. La caméra filme la scène de dos et j’ai un gros plan sur la croupe de ma femme. La ficelle du string lui rentre bien dans les fesses, quel cul ! Je commence à bander un peu. Après avoir bien sucé le peintre, la voici qui vient à califourchon sur lui et s’empale sur sa grosse bite. Je la vois onduler sur lui pour qu’il la pénètre bien à fond puis elle se penche vers l’avant pour l’embrasser. J’ai droit à un vrai film porno puisque je vois la bite de Piotr coulisser dans la chatte de ma femme. Elle doit apprécier car elle gémit comme jamais je ne l’ai entendu en vingt-cinq ans de vie commune. Je n’en peux plus, il faut que je me branle !C’est la queue à la main que je regarde la fin de l’enregistrement. Piotr fait mettre Chantal en levrette en travers du lit puis vient se positionner derrière elle. Au moins ainsi, je peux les voir de profil et j’assiste impuissant – mais avec excitation – à une longue saillie de ma femme par l’ouvrier qui devrait être normalement en train de faire de la peinture. Bien que le son de l’enregistrement ne soit pas terrible, j’arrive tout de même – en prêtant bien l’oreille – à entendre les encouragements de ma femme— Oh oui, vas-y ! Baise moi bien !— Que c’est bon ! C’est chaque fois meilleur !Dans un long râle, Piotr se soude à sa croupe et je comprends qu’il est en train de bien l’arroser de son foutre. Le salaud ! C’est la chatte de ma femme qu’il est train de repeindre !Une fois que Piotr a quitté la chambre, pour aller au travail j’espère ! Chantal enfile sa robe de chambre sans rien remettre dessous. La chienne ! Si ça se trouve, elle va lui refaire une petite gâterie dans la chambre où il travaille avant qu’il ne quitte son chantier. Quelques gouttes de foutre perle de mon gland. C’est bizarre mais tout cela semble finalement me rendre un peu de tonus sexuel……
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