Deux ou trois semaines viennent de passer et j’ai bien l’impression que Chantal n’a pas fait de nouvelles rencontres. D’un côté je suis rassuré et je me dis qu’elle a dû avoir une mauvaise période et qu’elle avait besoin de se changer les idées. D’un autre côté, je m’aperçois que ma libido est de nouveau en berne alors que j’arrivais à bander un peu lorsque je la savais avec Piotr ou avec Ali. C’est vraiment con comme situation ! Je ne vais tout de même pas pousser ma femme à prendre des amants de passage sous prétexte que cela semble me redonner un peu de tonus sexuel.C’est à l’heure du dîner que Chantal me dit— Chéri, comme je te l’ai dit lorsque nous avons lancé la rénovation des deux chambres, j’aimerais bien que l’on trouve à louer la chambre verte, cela nous ferait un petit complément de revenus. Au début, je pensais que ce serait parfait pour une étudiante mais j’ai réfléchi et je crois que ce serait plus sûr par Airbnb. Avec la vue sur le parc des Buttes Chaumont et la proximité de Montmartre, cela devrait plaire aux touristes.J’acquiesce sans avoir vraiment évalué l’affaire— Oui tu as raison. Mais la chambre seule ne suffit peut-être pas !Chantal a sûrement plus médité le projet que moi car elle me répond— Oui je sais ! C’est pour cela qu’il faut que j’aménage une petite kitchenette dans le cagibi du fond. Comme il y a la petite douche et les WC juste à côté, cela permettra aux personnes d’être indépendants avec un accès privatif par le petit escalier de service. Nous ne sommes qu’au premier étage ! Et puis, il ne seront là que pour deux ou trois jours.Je lui réponds— Oui, c’est très bien ! Je pense qu’avec une plaque à cuisiner électrique, un micro onde et un petit frigo, ce sera parfait !Chantal poursuit— Oui, comme il y a déjà un petit évier, cela doit suffire.Je lui rétorque alors— Tu sais que cela va nécessiter quelques menus travaux et je n’ai pas vraiment le temps de m’en occuper.D’une voix rassurante, elle me dit— Sois tranquille, j’en ai déjà parlé avec ton ami Ali qui est venu pour l’électricité. En deux matinées, il est capable de faire cela.Je lui demande alors— Tu crois qu’il pourra venir le week-end, ainsi je pourrai lui donner un coup de main !Aussitôt elle me répond— C’est ce que je souhaitais, mais c’est impossible pour lui le week-end car sa femme le veut à la maison avec leurs enfants.Au fond de moi, je me demande si elle lui a vraiment demandé de venir le week-end. Cela m’étonnerait ! En semaine, pendant que je travaille au salon, elle sera plus tranquille pour lui faire des avances. Vaincu, je lui dis— OK, je l’appelle demain matin et je lui donnerai ton numéro de portable. Il pourra ainsi caler ses travaux en fonction de tes réunions à la paroisse.Le lendemain soir, toujours à l’heure du dîner, Chantal me dit— Ton ami Ali m’a appelé aussitôt après que tu lui ais donné mon numéro. IL va passer demain matin en coup de vent, juste pour voir ce qu’il y a à faire.
Une fois au lit, elle se colle à moi et me dit— J’ai très envie de te sucer, cela fait si longtemps !Elle sort ma queue de mon pantalon de pyjama et la prend en bouche. Tandis qu’elle me suce, je pense à sa précédente rencontre avec Ali et à la manière dont elle s’est offerte à lui. Sans discours ni préliminaire, elle a ouvert grand ses jambes et lui montré son intimité. Il n’en fallait pas plus pour que ce jeune beur dans la force de l’âge la prenne et la besogne rapidement. Rien que de penser à cette scène enregistrée sur mon téléphone, mon sexe se tend et je bande d’une manière presque normale. Chantal me dit— Oh chéri, tu sembles être en forme ce soir ! Je vais bien te vider les bourses pour que tu sois plus léger demain en repartant au travail.Elle s’applique vraiment, me tète le gland et m’aspire la queue. Je me vide en elle tout en pensant à son accouplement prochain avec Ali.Le lendemain matin, il y a foule au salon et je n’ai pas le temps de jeter un œil à mon téléphone. Cependant, alors que je suis en train de couper les cheveux de monsieur Lenoir, un vieil octogénaire du quartier, j’entends un bip sur mon portable. De loin, je vois que l’icône de la caméra installée dans notre chambre s’est allumée. C’est donc qu’il se passe quelque chose à la maison !A midi, comme j’en ai pris l’habitude lorsque je veux être tranquille, je ferme à clé le salon et m’isole dans une petite pièce de rangement à l’arrière. Une bouteille d’Evian sur la table, mon sandwich dans une main, je lance l’enregistrement qui fait quinze minutes.Sur le petit écran de mon téléphone, je vois alors Chantal et Ali entrer ensemble dans la chambre. L’ouvrier se déshabille rapidement puis vient vers ma femme qui s’est assise sur le bord du lit. Son sexe pointe déjà vers l’avant et Chantal dit à son amant— Oh, cela fait si longtemps ! Je n’ai pas baisé depuis ta dernière visite pour réparer l’électricité.Ali lui demande— Ton mari ne s’occupe pas de toi ?Ma femme se contente de lui répondre— Si, de temps en temps ! Mais ça ne me suffit pas !Ali retire lui-même la jupe et le chemisier de Chantal qui apparaît alors simplement vêtue d’un petit string noir. Elle lui dit— Oui, j’ai mis le minimum pour ne pas perdre de temps !Les deux amants sont maintenant allongés sur le lit. La qualité de l’image sur le petit écran de mon téléphone n’est vraiment pas terrible. Je me dis alors qu’il faudrait que je trouve une solution pour transférer l’image sur la télévision installée dans cette pièce de rangement dans mon salon. Ce serait beaucoup plus excitant, un peu comme si j’étais dans un ciné X.Mais j’arrive tout de même à voir Chantal et Ali se positionner en 69. Tandis que ma femme lui prodigue une belle fellation, le jeune beur lui fait un long cunnilingus. Une fois qu’ils sont bien chauds tous les deux, Ali fait placer ma femme en levrette et vient se positionner derrière elle. Pendant de longues minutes, il va et vient en elle en la maintenant bien serrée par la taille. Chantal gémit de plaisir ! Soudain elle lui dit— Donne moi tout ton foutre J’en ai trop envie !Ali est maintenant bien collé à elle et il accélère la cadence. J’imagine sa grosse queue coulisser dans le sexe de ma femme. La situation m’excite, j’ouvre ma braguette et sors ma queue. Tandis que mon ami beur baise ma femme, je me branle en les regardant.Le voici qui se retire et vide tout son foutre sur les fesses et les reins de Chantal. Je jouis moi aussi, mais bien moins violemment !Les deux amants disparaissent ensuite de l’écran, j’imagine que Chantal lui montre le cagibi où il va devoir réaliser les quelques travaux souhaités.L’après-midi se passe normalement mais je n’arrête pas de repenser à cette excitation qui m’a gagné en regardant ma femme se faire baiser par Ali. Il n’y a pas de doute, elle me fait cocu à la maison. Mon autre constat est que cela m’excite mais je ne voudrais pas que la situation m’échappe. Jusqu’à présent, c’est un peu grâce à moi – si j’ose dire – qu’elle a pu franchir le pas et se faire baiser à la maison. C’est finalement moi qui ai fait entrer Piotr puis Ali dans son existence, c’est moi qui ai donc introduit les loups dans la bergerie. Ce qu’il ne faut absolument pas, c’est que cela se passe ailleurs que chez nous, qu’elle aille prendre des amants de passage à droite ou à gauche sans que je m’en rende compte.C’est alors que je repense à ma récente conversation avec Ernest, mon copain de régiment, et à son association des Cocus Anonymes. Peut-être que je pourrais trouver là, avec quelques autres hommes qui vivent la même chose que moi, les solutions pour arriver à contrôler et supporter ma situation de cocu. Il me serait peut-être même possible de tirer profit de cette situation pour rebooster vraiment ma libido et redevenir pleinement un homme aux yeux de ma femme.J’appelle aussitôt Ernest et lui dis que je suis partant pour assister à une première réunion de l’association s’il veut bien être mon parrain pour l’occasion. C’est avec plaisir qu’il accepte et nous prenons rendez-vous pour le mardi suivant à 20h00. Aussitôt rentré à la maison, je demande à Chantal— Alors chérie, Ali est venu pour voir le chantier ?Elle me répond ave le sourire— Oui, il a fait un passage rapide ! Il a jeté un coup d’œil et cela ne lui pose aucune difficulté. En deux ou trois matinées, ce sera réglé.Je pense en moi-même— Oh la salope ! Pour un passage rapide, il a quand même eu le temps de lui faire son affaire !Je vais prendre une douche et j’en profite pour vérifier le linge sale. Le string noir est encore imprégné d’effluves érotiques acres et maculé de foutre blanchâtre. Je respire à plein nez les preuves de mon cocufiage matinal et je me branle dans le fin tissu. Je jouis de nouveau, même si je me suis branlé au salon en regardant le film de leurs ébats, et je n’en reviens pas. Etre cocu semble vraiment me faire du bien à la libido !La semaine suivante, le mardi matin, je dis à ma femme— Chérie, Ernest mon copain de régiment m’a invité à une petite soirée entre anciens. Je rentrerai vers 22h00.Elle me répond— Pas de souci chéri, j’en profiterai pour regarder sur internet comment s’inscrire à Airbnb en tant que propriétaire d’un bien que l’on veut louer.La journée passe vite et il doit être 19h00 lorsque mon copain Ernest me retrouve au salon. Il me dit— Comme on a encore un peu de temps devant nous, tu peux me faire une petite coupe rapide ?Tandis que je lui coupe les cheveux, je lui raconte la dernière rencontre de Chantal avec Ali. Je lui explique combien cela m’excite de la regarder ensuite en vidéo puis comment je prends plaisir à regarder sa lingerie souillée et à me branler dedans.Il me rassure d’une voix tranquille— Ne sois pas inquiet ! Chaque homme vie différemment le fait d’être cocu. A la réunion, tu vas voir tout l’intérêt de partager ces expériences parfois humiliantes. Cela permet de relativiser la situation, de se déculpabiliser et de rebondir.Je lui réponds— Je te fais confiance car j’avoue que je ne sais pas trop quoi faire. Dois-je lui dire que je sais tout, demander le divorce à ses torts, avoir moi aussi des relations extra conjugales ou tout simplement la mettre à la porte de l’appartement ? Oui, je suis perdu !Il est à peine 20h00 lorsque nous franchissons la porte d’une petite salle de réunion à la mairie du XXème arrondissement. Ernest m’explique que la mairie prête régulièrement des salles aux associations comme les Cocus Anonymes. Quelques hommes sont déjà là, assis sur des chaises placées en cercle. Ernest et moi nous installons côté à côte.Un quinquagénaire barbu à lunettes – Gérard, l’animateur de la réunion me précise mon copain – prend alors la parole— Bonjour à tous et bienvenue à cette réunion mensuelle du mois d’avril. Aujourd’hui nous accueillons Henri, un nouveau membre de l’association, qui est parrainé par Ernest que certains parmi vous connaissent bien. Souhaitons la bienvenue à notre frère Henri.Tout le monde reprend alors en chœur— Bienvenue frère Henri, bienvenue parmi les Cocus Anonymes.S’adressant alors à moi, Gérard me demande— Henri, souhaites-tu prendre la parole dès cette première réunion ? Sois tranquille, il n’y a aucune obligation, ni ce soir, ni jamais.Je lui réponds un peu apeuré— Euh non merci. Ce soir, je préfère écouter.Gérard opine de la tête puis poursuit— Nous allons donc laisser Henri suivre tranquillement sa première réunion. Qui veut parler ce soir ?Je remarque alors que tous les hommes présents penchent la tête vers le sol comme s’ils cherchaient l’inspiration ou évitaient de regarder les autres. Les secondes s’égrènent en silence jusqu’à ce qu’une voix s’élève— Je suis Jean-Pierre et je veux bien vous conter mon histoire.Gérard lui répond— C’est bien frère Jean-Pierre, nous t’écoutons. Comme tu le sais, nous ne sommes pas là pour juger mais simplement pour nous écouter les uns les autres.Pendant une quinzaine de minutes, Jean-Pierre, la quarantaine, nous explique le chemin qui l’a mené aux Cocus Anonymes. Comme beaucoup de maris, il éprouve un jour l’envie de voir sa femme Clara faire l’amour avec un autre homme. Bien sûr, sa femme refuse et le traite de vicieux et de pervers. Jean-Pierre n’insiste pas mais il y pense tout de même à chaque fois qu’ils font l’amour. Pour tenter de faire changer d’avis Clara, il commence à lui raconter des histoires cochonnes pendant qu’il la baise. Il lui dit de fermer les yeux et d’imaginer que c’est un inconnu qui la prend. Sa femme a alors des orgasmes plus fort et crie son plaisir. Puis, il achète un godemiché et fait jouir sa femme en lui disant d’imaginer que c’est une vraie queue qui est en elle. Progressivement, tout cela excite Clara et elle a ensuite du mal à jouir sans penser à un autre homme. Un jour, elle lui dit— Chéri, je veux bien essayer une fois pour te faire plaisir mais je veux que ce soit avec un inconnu que l’on ne reverra jamais.Quelques jours plus tard, après des recherches sur internet, Jean-Pierre annonce à sa femme— Chérie, nous allons au resto samedi soir dans le quartier de Pigalle. Fais toi belle et sexy !Il veut en effet que cela se passe en terrain neutre, vite fait bien fait, et une chambre d’hôtel fera très bien l’affaire.Après le repas avec l’inconnu, tous les trois se rendent à l’hôtel et, bien calé dans un fauteuil, Jean-Pierre regarde les deux amants d’un soir copuler devant ses yeux. L’homme sait y faire car les préliminaires durent un long moment et Clara se donne ensuite sans compter en gémissant comme une chienne. Le mari, enfin cocu, se branle longuement en regardant son fantasme devenir réalité.Depuis cette première rencontre, la scène s’est reproduite de nombreuses fois et c’est maintenant dans le lit conjugal de leur appartement qu’il offre sa femme a des inconnus recrutés sur des sites de rencontres. Son souci, c’est que sa femme y prend goût et en redemande. Pour ne pas être un cocu malheureux, Jean-Pierre fini par se joindre aux ébats et il partage donc sa femme avec ces inconnus de passage. Clara a fini par aimer ces rencontres à trois, elle dit que cela est beaucoup plus jouissif. Elle parle maintenant de rencontres à plusieurs mais Jean-Pierre n’ose pas franchir le pas. Pourtant, ne vaut-il pas mieux être un cocu complice qu’un cocu vraiment cocu ?Deux jours après cette réunion, alors qu’il est au salon, sa femme l’appelle et lui demande s’il rentre déjeuner avec elle ce midi. Après qu’il lui ait répondu par la négative, elle lui précise alors qu’Ali doit passer vite fait pour déposer du matériel avant de revenir le lendemain matin pour débuter les travaux. A 12h30, seul devant le petit écran de son téléphone, il voit Chantal et Ali s’accoupler fougueusement sur leur lit. Sa femme ne porte qu’un simple porte jarretelles qui retient ses bas noirs. Elle est superbe perchée sur ses escarpins. Ali ne prend même pas le temps de se déshabiller ; il se débraguette et elle le suce goulûment. Lorsqu’il est bien raide, l’ouvrier beur lui dit— Tourne-toi petite salope, aujourd’hui je vais t’enculer !Chantal obtempère sans rien dire, se positionne en levrette en travers du lit et Ali vient se caler derrière elle. Dire qu’elle rechignait toujours à se faire prendre ainsi par lui avant son cancer de la prostate ! Sans longue préparation, Ali parvient à glisser sa tige dans la croupe offerte à ses assauts. Il saisit Chantal par la taille, la besogne avec fougue et se répand longuement dans l’étroit boyau. Une fois retiré, il lui dit— Demain matin, je te veux en nuisette ! Et reste au lit en m’attendant.Chantal lui dit— Oui, je ferai comme tu le souhaites.Quelques instants plus tard, l’écran devient noir. Tout cela n’a pas duré un quart d’heure mais je me suis de nouveau bien branlé en regardant Chantal se faire rapidement sauter comme la dernière des salopes.Le soir, une fois au lit tous les deux, je lui dévore longuement la chatte avant de la prendre. Vivement demain matin me dis-je ……
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