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Les cocus anonymes.

Chapitre 5

Les confidences d'un cocu diplomate ...

Voyeur / Exhibition
Mon réveil sonne et, comme chaque matin, je m’étire longuement avant de sortir du lit. Comme je vois que Chantal reste au lit alors que d’habitude elle se lève en même temps que moi pour que l’on prenne le petit-déjeuner ensemble, je lui demande— Alors chérie, tu as décidé de faire la grasse matinée ?Elle me répond— Je suis désolée mais j’ai vraiment mal dormi ! Je reste encore un peu au lit sinon je vais être vaseuse toute la journée.Je la rassure— Pas de souci chérie, pour une fois je peux bien me débrouiller seul et  préparer mon petit-déjeuner.Je file donc dans la cuisine où, tout en prenant mon café noir avec mes tartines au beurre et à la confiture, je pense à ma coquine de femme qui préfère rester bien au chaud au fond de son lit pour y attendre Ali comme ils l’ont convenu hier après leurs galipettes que j’ai pu suivre en direct sur mon téléphone.Alors que je suis ensuite dans la salle de bain à me raser, je vois grâce au jeu des miroirs - celui devant lequel je me rase et celui de l’armoire de notre chambre – qu’elle est en train de changer de chemise de nuit. Elle retire celle qu’elle avait pour la nuit, une classique en coton gris, et la remplace par une courte nuisette couleur jaune paille qui est ultracourte et très décolletée. Aussitôt fait, ma salope de femme retourne rapidement sous la couette. Ni vu, ni connu pense-t-elle ! Lorsque je viens l’embrasser au lit juste avant de partir, elle me dit— Bonne journée chéri. Je me rendors vite pour être en forme quand tu rentreras.Au moment de refermer la porte de l’appartement derrière moi, je me doute qu’elle va rapidement reprendre du tonus…. Je suis au salon de coiffure depuis dix minutes, préparant mon matériel pour mes premiers clients, lorsque mon téléphone s’allume et m’annonce la mise en route de la petite caméra installée dans la chambre. Je vois Ali entrer dans la pièce, se déshabiller rapidement et se glisser au chaud dans le lit tout contre Chantal. Zut, ils restent tous les deux cachés sous la couette !! Je sens que je vais être frustré de ne pas les voir s’ébattre.Sur mon écran, je devine aux formes que prend la couette qu’il doit être entre les jambes de ma femme en train de lui dévorer la chatte. Puis, la couette se déforme pour ressembler à un chapiteau de cirque. Ali serait-il allongé sur le dos et Chantal plantée sur sa queue ? Cela en a tout l’air ! Ils s’agitent hors de ma vue mais, même si les sons me parviennent atténués par les plumes de canard de la couette, je devine le plaisir de ma femme et la satisfaction de l’ouvrier.— Oh oui, je te sens bien en moi. J’adore être réveillée ainsi !— Tu es encore toute serrée et c’est bon. Y’a pas meilleur que la baise en début de journée.— Oui, prends moi bien. J’aime ta queue !— T’es une belle salope ! Tu dois aimer toutes les bites.— Non pas toutes, que les grosses et les bien dures !— Henri n’est qu’une petite bite ! T’es accro aux grosses teubs !— J’adore Henri mais côté sexe c’est pas ça !— Tu vas voir, tu vas prendre ton pied !La couette se déforme de nouveau, cela ressemble maintenant plutôt à un dromadaire. J’imagine que Chantal est en levrette et Ali bien calé à genoux contre sa croupe. Les mouvements sont plus intenses et je comprends qu’ils sont dans le sprint final. Leurs cris me le confirment— Oh putain, ce que t’es bonne !— Oui vas-y, je jouis !— Je vais te remplir de tout mon foutre ! Tu vas voir !
— Oui vas-y, arrose moi bien ! Donne moi tout !Soudain le chameau sous la couette s’effondre et je les devine encore emboîtés l’un dans l’autre. Même si je n’ai rien vu du spectacle, j’ai bien bandé et j’ai pris mon pied. Quelques instants plus tard, je les vois sortir de dessous la couette et disparaître de mon champ de vision. Peut-être vont-ils prendre une douche ensemble et baiser de nouveau. Lorsque je rentre en fin de journée, je trouve Chantal rayonnante. Elle m’accueille d’un grand sourire et m’embrasse sur la bouche.— Bonjour chéri, ta journée s’est bien passée ?Je lui réponds— J’ai eu des clients toute la journée et il m’a été quasiment impossible de souffler. Et toi ?Tout en continuant à se lover contre moi, elle me répond d’une voix très assurée— J’ai réussi à dormir jusqu’à 9h30 et je suis en pleine forme. L’ouvrier est arrivé vers 10h00 et j’ai surveillé un peu ce qu’il faisait tout en vaquant à mes taches ménagères. Tu veux que je te montre les travaux qu’il a fait ? Il bosse vite et bien !Ça pour bosser vite et bien, j’en sais quelques chose ! me dis-je.Je la suis au fond de l’appartement où je constate que son amant Ali a effectivement fait du bel ouvrage. Le plan de travail est installé, une petite hotte aspirante est fixée au-dessus mais il y a encore quelques fils électriques qui pendent en dessous. Je demande à Chantal— Quand doit-il revenir pour finir l’installation ?— Un matin la semaine prochaine m’a-t-il assuré.me répond-elle.De retour au salon, je lui dis— Bon, je prends une rapide douche avant de dîner.Aussitôt elle me réplique— Je viens te rejoindre dans deux minutes. Cela fait si longtemps ! Une fois dans la salle de bain, je mets mon linge au sale et je me glisse sous le jet d’eau chaude. Lorsque Chantal me rejoint, elle se déshabille et glisse furtivement sa lingerie dans le panier. La voici maintenant à genoux devant moi en train de me caresser les bourses et me téter le gland. Je ferme les yeux et pense à sa séance de baise de ce matin avec Ali. Elle s’est donnée comme une vraie salope et se comporte maintenant avec moi comme si elle cherchait à se faire pardonner sa faute et expier son péché d’adultère.Mon sexe se dresse et cela confirme bien que le fait d’être cocu et de voir ma femme se faire baiser par un autre rebooste ma libido chancelante depuis mon opération. Chantal me prend à pleine bouche et m’aspire le gland, quel régal ! Je pose mes mains derrière sa nuque et plaque son visage tout contre moi. Je lui dis— Mais tu deviens une vraie salope ma chérie ! J’adore !— Vas-y, pompe bien ton homme. Je vais te jouir dans la bouche !Tandis que l’une de ses mains me malaxe bien les couilles, l’autre se glisse entre mes jambes et l’un de ses doigts excite mon œillet. Dans un long râle d’animal apaisé, je me vide sous sa langue.Ayant ainsi fait pénitence, elle sort avant moi de la douche, enfile un peignoir et quitte la pièce. Je me sèche puis enfile un jogging mais avant de rejoindre Chantal pour le dîner, j’ouvre le panier de linge sale et en ressort le string qu’elle y a jeté. Le fin tissu de soie rose est plein d’auréoles blanchâtres et de taches brunâtres. La salope, à chaque rencontre avec Ali, elle ne se contente donc pas de lui offrir sa chatte. Non, elle se fait systématiquement enculer par l’ouvrier. Dire qu’au temps où j’étais en pleine possession de mes moyens, elle me refusait toujours son petit cul. Pour y avoir accès, il fallait que j’attende sa fête ou son anniversaire et la fasse boire plus que d’ordinaire. Comme elle a un faible pour le champagne, elle est rapidement dans un état second - euphorique et désinhibée – me permettant de profiter d’elle comme je le souhaite. Le mardi suivant, je décide de retourner à la réunion des Alcooliques Anonymes pour profiter une nouvelle fois de l’expérience de ces cocus bien plus expérimentés que moi. Ayant été déjà introduit par Ernest – mon parrain pour la circonstance – auprès des membres de la confrérie, il m’est possible de me rendre seul à cette seconde réunion. A mon arrivée, Gérard l’animateur me souhaite chaleureusement la bienvenue en me donnant l’accolade— Bonsoir frère Henri, bonsoir cher cocu !Je suis un peu surpris par les termes mais, après réflexion, je me dis que c’est pourtant la vérité.Comme je suis un peu avance, j’ai le temps de discuter avec quelques autres personnes en attendant le début officiel de la réunion. Un homme d’une trentaine d’années s’avance vers moi et me dit— Bonjour frère Henri, je suis frère Jérémy. Cela fait près d’un an que je viens aux réunions. Au début, comme toi, j’étais impressionné et je me contentais d’écouter. Mais tu verras, un soir, tu oseras prendre la parole et cela te fera énormément de bien.J’ose alors lui demander— Je suis surpris qu’il n’y ait pas de femmes à nos réunions. Il y a pourtant des maris qui trompent leurs femmes.Il me donne une tape dans le dos et m’explique— Bien sûr qu’il y en a ! Mais elles ont des réunions à part car, en fonction de son sexe, on ne vit pas le cocufiage de la même manière. L’association se répartit donc en deux grands courants, les frères cocus et les sœurs cocues. Nous n’avons pas le temps de poursuivre notre discussion car frère Gérard invite tout le monde à s’asseoir en lançant la formule traditionnelle-Bonsoir chers frères cocus ! Je déclare ouverte notre réunion de ce jour et j’invite l’un d’entre vous à prendre la parole. Comme la fois précédente, tout le monde se cale au fond de sa chaise et regarde la pointe de ses chaussures. Gérard laisse le silence s’installer et on entendrait une mouche voler s’il y en avait une dans la pièce. Les secondes s’égrènent, chacun est plongé dans ses pensées et nous devons tous nous poser les deux mêmes questions— Est-ce que je me lance ce soir ?— Si oui, qu’est ce que je vais leur raconter ?En ce qui me concerne, je ne réfléchis pas à la deuxième question car la réponse à la première est— Non, pas ce soir ! Je suis bien trop novice dans la confrérie pour mettre mon âme à nue devant tout le groupe.Pour tenter de motiver le groupe et susciter une confession, Gérard se lève et se met à marcher en rond à l’extérieur du cercle formé par nos chaises. De sa voix grave mais chaleureuse, il dit— N’oubliez pas que nous ne sommes pas ici pour juger, pour critiquer ou pour nous moquer. Non, nous sommes ici pour nous écouter les uns les autres. L’expérience montre que chacun peut trouver dans la parole des autres la force d’aller de l’avant. Il n’y a pas mieux placé qu’un cocu pour aider un autre cocu. Les encouragements de Gérard portent leurs fruits puisqu’un homme d’une quarantaine d’années, grand et élégant, relève la tête et annonce— Moi je veux bien parler ce soir.Gérard reprend sa place dans le cercle de chaise et remercie l’homme— C’est bien frère Jean-Eudes ! Nous t’écoutons. Devant un auditoire attentif, Jean-Eudes commence à nous raconter son histoire. Pour lui, son parcours de cocu commence il y a une dizaine d’années. Issu d’une famille parisienne bourgeoise, il vient d’avoir trente ans et est alors jeune diplomate au quai d’Orsay après de brillants résultats à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris. Marié à Joséphine - cinq ans de plus que lui, rencontrée lors d’une soirée étudiante dans un bar à Saint-Germain des Prés - il mène une vie paisible. Ils ont deux jeunes enfants dont Joséphine s’occupe à plein temps. Son Mari ayant un excellente situation, ils ont décidé d’un commun accord qu’elle ne travaillerait pas et se consacrerait essentiellement aux enfants.En juin 2010, il apprend qu’il est muté à Dakar à l’ambassade de France au Sénégal pour y occuper les fonctions d’adjoint au chef du Service Economique. Deux mois plus tard, la famille s’installe dans une luxueuse villa dans un quartier résidentiel huppé de la capitale sénégalaise. Les enfants sont inscrits à l’Ecole française des Almadies, à proximité immédiate de leur domicile.Son nouveau travail l’occupe à plein temps ; il part tôt le matin et rentre tard le soir. Heureusement, les week-ends lui permettent de profiter des enfants et de son épouse. Cette dernière a rapidement pris goût à la vie oisive des épouses d’expatriés. Elle fréquente tout particulièrement les épouses des autres fonctionnaires de l’ambassade ; elles occupent leurs longues journées en se retrouvant pour des sorties culturelles, des promenades touristiques et des après-midi thé chez l’une ou l’autre. Régulièrement en déplacement pour un ou deux jours dans les pays voisins (Gambie, Guinée-Bissau et Cap-Vert) puisque les services de l’ambassade de France au Sénégal y veillent aussi aux intérêts français faute de moyens dédiés sur place, c’est au retour de l’un de ces déplacements que Jean-Eudes a découvert l’inconcevable.Revenant plus tôt que prévu de Banjul, la capitale de la Gambie, il décide de rentrer directement chez lui sans repasser par son bureau à l’ambassade. Compte tenu de l’heure, les enfants ne seront pas encore rentrés de l’école et il pourra ainsi passer un moment tranquille avec Joséphine qu’il n’a pas vu depuis quarante-huit heures. Aussitôt descendu du taxi qui vient de le déposer devant le large portail de la propriété, il remonte l’allée recouverte de petits graviers blancs et pénètre dans la villa où il y est saisi par la douce fraîcheur qui y règne. Sa femme n’est pas dans le salon au rez-de-chaussée, elle doit être dans le bureau à l’étage installée devant son ordinateur. Il commence à monter l’escalier en beau bois exotique lorsqu’il entend une voix ; oui Joséphine doit être sur Skype en train de papoter avec sa mère. Cela lui arrive souvent !Mais il n’y a personne dans le bureau et la voix semble venir de leur chambre. Il avance sans faire de bruit et il a comme un uppercut en pleine gueule lorsqu’il voit deux ombres s’agiter sur leur lit sous les pales du grand ventilateur qui brasse l’air. Il reste tapi derrière la porte sans l’entrouvrir davantage et regarde la scène qui se déroule devant lui. Malgré la moustiquaire qui fait comme un baldaquin au-dessus du lit et dissimule en partie les deux corps qui s’enlacent, il reconnaît sans peine sa femme, nue, les cheveux défaits. Elle gémit sous les coups de boutoir de son amant qui la prend en levrette— Oh oui, que c’est bon !— Prends moi bien, embroche moi de ta grosse queue !— C’est encore meilleur que l’autre jour.Celui qui baise ainsi sa femme a une peau d’ébène, noire comme la nuit, qui contraste avec la blancheur des draps et de la moustiquaire, mais surtout avec la croupe qu’il baise sans retenue.— Oh oui maîtresse, que c’est bon !— Comme toutes les blanches, tu prends vite goût au gros zob des blacks.Jean-Eudes a aussi reconnu Babacar, le jeune boy de 21 ans, mis à la disposition de la famille par l’ambassade pour s’occuper du jardin, accompagner les enfants à l’école et effectuer mille autres petits travaux dans la villa. Jean-Eudes filme pendant quelques minutes la scène avec son portable puis redescend au rez-de-chaussée et sort de la villa. Une vingtaine de minutes plus tard, le voici qui revient à la villa ; Joséphine est installée au salon devant la télé pour regarder les informations françaises. Elle est seule, Babacar a certainement pris le chemin de l’école pour y récupérer les enfants dans une demi-heure. Jean-Eudes se penche vers son épouse, l’embrasse longuement à pleine bouche et lui dit— Viens chérie, montons ! J’ai envie de toi après ces deux jours d’abstinence.Sa femme lui répond— Mais chéri, les enfants vont arriver !Il insiste— Nous avons largement le temps ! Allez viens !Un peu à contrecoeur, sa femme le suit à l’étage et, quelques minutes plus tard, les voici nus sous la moustiquaire.Il fait mettre sa femme en levrette, se positionne derrière elle et frotte son gland contre la chatte dans laquelle il s’introduit sans difficulté – bien évidemment !Tout en tenant fermement Joséphine par les hanches et en la besognant, il lui dit— Mais tu es drôlement trempée chérie ! Tu t’es donnée du plaisir en solitaire en pensant à moi ?Elle lui répond— Non chéri, mais il fait si chaud aujourd’hui que je transpire un peu.Il sort alors son portable, lance la vidéo des deux amants en train de copuler et pose le téléphone sur l’oreiller sous les yeux de son épouse.Sa femme ne répond pas et il se met à la besogner encore plus fort. La situation l’excite comme jamais, il se répand longuement mêlant son foutre à celui de Babacar.Un peu plus tard, alors qu’ils sont toujours allongés l’un contre l’autre sous la moustiquaire, sa femme lui explique en détail comment elle en est arrivée là. Lors des sorties avec les autres femmes d’expatriés français, à maintes occasions, quelques épouses ont échangé des propos sur les relations coquines qu’elles entretiennent avec de jeunes sénégalais. Certaines de ces dames, plutôt matures, lui ont expliqué combien elles étaient souvent seules, loin de leurs diplomates de maris toujours en réunion ou en déplacement. De plus, compte tenu de leur âge, ces vieux messieurs perdent leur tonus à cause de la trop forte chaleur et prennent de la bedaine avec leur propension à la bonne chair et leur goût immodéré pour le whisky. C’est ainsi que ces dames, pour passer le temps et apaiser leurs envies, batifolent régulièrement avec le personnel masculin mis à leur disposition.De plus, lors de ces confidences féminines, Joséphine s’est souvent entendue dire qu’on ne pouvait plus s’en passer une fois qu’on y avait goûté. Même la femme de l’ambassadeur, issue pourtant d’un milieu particulièrement bourgeois et catholique, vantait la taille de ces sexes d’ébène, la dureté de ce bois exotique et l’endurance de ces fougueux étalons noirs. Quelle n’avait été la surprise de Joséphine d’apprendre que la plupart des maris étaient au courant de la chose et ne s’en offusquaient nullement. Leurs consignes étaient simples : Jamais en dehors du domicile conjugal, toujours avec discrétion, jamais de sentiments, toujours lorsque les autres employés de maison sont absents.Après avoir longuement écouté son épouse, Jean-Eudes s’exprime à son tour— Chérie, je suis depuis très longtemps au courant des pratiques de ces dames qui ont en général plus de cinquante ans. Et je sais que c’est avec la bénédiction de leurs époux, souvent bien défaillants au lit, qu’elle s’encoquinent avec le jardinier de la villa, le chauffeur de monsieur ou l’homme à tout faire de la maison qui n’a jamais aussi bien porté son titre.Puis il lui dit— Mais moi je ne suis pas défaillant au lit ! Quand nous faisons l’amour, tu prends toujours un pied du tonnerre. Est-ce que tu simules ?Joséphine lui répond aussitôt— Mais non chéri, je ne simule jamais ! Tu me fais jouir à chaque fois.Il lui coupe la parole-Mais alors, pourquoi ? Pourquoi baises-tu avec Babacar ? Joséphine lui explique alors qu’elle a surpris un jour Aminata, la vieille cuisinière, en train de faire une fellation à Babacar dans la cuisine. Sans se montrer, elle a observé la scène jusqu’à son terme, fascinée par l’énorme mandrin d’ébène qui coulissait dans la bouche de la grosse mama sénégalaise. Elle n’avait jamais vu un sexe aussi gros et aussi long. Les mains d’Aminata n’arrivaient même pas à faire le tour de la hampe et elle avait bien du mal à prendre en bouche un tel sucre d’orge.Joséphine avoue à son mari combien le spectacle l’a excitée et qu’elle a dû se caresser jusqu’à la jouissance pour apaiser l’onde de chaleur qui lui prenait le ventre. Lorsqu’elle a vu le boy se répandre longuement dans la bouche de la cuisinière, ses jambes ont flanché et elle s’est retrouvée pantelante à genoux, foudroyée par un orgasme d’une rare intensité. Jean-Eudes lui coupe de nouveau la parole— Chérie, je comprends que la scène t’ait excitée mais comment es-tu passée du rôle de voyeuse à celui de participante ? J’ai un peu de mal à le comprendre !Sa femme lui explique alors que Babacar, lors de ses ébats avec Aminata, s’était aperçu de la présence de la maîtresse de maison derrière la porte de la cuisine. Deux jours plus tard, alors qu’elle faisait la sieste dans sa chambre, le boy s’est introduit dans la pièce, a baissé son pantalon et lui dit— Maîtresse, si tu ne me suces pas, je dirai à tout le personnel de la villa que tu aimes me regarder quand Aminata me suce. Tu ne voudrais pas avoir une réputation de blanche voyeuse de nos ébats !Joséphine pourrait refuser cet odieux chantage, en parler à son mari et lui demander de renvoyer le jeune black. Mais elle est incapable de réfléchir. Ses yeux sont fixés sur le tuyau de caoutchouc noir qui pend entre les jambes de Babacar et qui lui arrive presque jusqu’au milieu des cuisses. Il est encore plus impressionnant que ce qu’elle a vu par la porte de la cuisine. Comme elle ne dit rien, Babacar se glisse sous la moustiquaire et rejoint sa maîtresse sous les pales du grand ventilateur. Il s’allonge sur le lit et dit à Joséphine— N’aie pas peur, tu peux le caresser !Lentement, ses mains se posent sur le sexe d’ébène qui prend reprend lentement vie sous ses doigts. L’animal gonfle, s’étire et se dresse. — Mon dieu, quel monstre !Le gros gland rose tranche avec la noirceur de la peau et Joséphine est comme hypnotisée par cette énorme queue qu’elle tient en main. Elle le branle lentement et elle peut sentir dans la paume de ses mains le sang coulé dans les grosses veines de cette bite bien raide. Quelques minutes plus tard, ensorcelée par cette vision des plus érotiques, elle tète la queue, malaxe les bourses et savoure le fruit défendu. Lorsque la semence de Babacar se déverse dans le fond de se gorge, cela suffit à déclencher son orgasme.Deux jours plus tard, elle renouvelait l’expérience et quatre jours après, Babacar se vidait dans sa chatte pour la première fois. Depuis, comme les autres françaises esseulées à Dakar, elle ne peut plus s’en passer !Pendant leur séjour de deux ans au Sénégal, Joséphine s’est donc régulièrement offert les services du boy avec l’accord de son mari. Elle s’est pourtant toujours refusée à lui offrir son petit cul - bien qu’il lui demande sans cesse – de peur de se faire éventrer par l’énorme braquemart de Babacar. Jean-Eudes s’est habitué à la chose et a même découvert que cela l’excitait de bien baiser sa femme alors qu’elle venait juste de s’offrir au boy. Avec la complicité de Joséphine, il lui est même arrivé de se masturber longuement - caché dans le dressing donnant sur leur chambre - en regardant le jeune sénégalais caresser sa femme, lui dévorer la chatte, se masturber entre ses seins, se faire chevaucher, la besogner avec fougue et déverser en elle tout son foutre. De retour en France, alors qu’il est affecté de nouveau au ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères et que la famille s’installe dans un appartement cossu à proximité du Champ de Mars, il comprend vite que Joséphine a de nouveau besoin d’exotisme. Il s’en est rendu compte un soir alors qu’il rentrait tard d’une réunion de préparation du prochain G20. Les enfants sont couchés et il découvre Joséphine dans leur chambre, allongé nue sur le ventre en train de regarder un film porno sur la tablette posée devant elle. Elle ne s’est pas rendue compte de la présence de son mari qui se tient debout dans l’encadrement de la porte. Jean-Eudes ne peut pas détacher son regard des jambes de sa femme, grandes écartées, et de sa chatte dans laquelle coulisse un énorme godemiché noir. Joséphine ondule de la croupe sous l’effet du sextoy placé en mode « vibreur ».Silencieusement, Jean-Eudes se déshabille, vient sur le lit et encule longuement sa femme tout en tenant fermement le sexe factice d’ébène bien enfoncé dans la chatte de Joséphine. Il ne peut pas se retenir longtemps car les images sur le petit écran décuplent son désir. On y voit une jolie bourgeoise en lingerie se faire prendre par un black à la carrure imposante.  Il lui dit— Alors petite salope, tu penses à la queue de Babacar ?— Tu voudrais une belle et grosse queue black bien plantée tout en toi ?Dans un état second, elle lui répond— Oh oui chéri ! Je veux de la queue black !— Je veux être bien ouverte et que tu en profites ensuite !La samedi suivant en début d’après-midi, les enfants sont déposés chez les parents de Joséphine qui habitent près des Invalides. De retour à leur appartement, Jean-Eudes choisit dans le garde-robe de sa femme les vêtements qu’elle doit mettre le soir pour sortir avec lui. A 20h30, le couple arrive dans un club libertin d’Argenteuil qui organise ce soir une soirée « Blacks ». Pour cette première sortie, pas question de prendre le risque de tomber sur des connaissances en sortant dans un club parisien.C’est ensuite lui qui choisit l’homme a qui il va offrir sa femme, c’est lui qui la guide vers le petit salon, c’est aussi lui qui se joint aux autres voyeurs pour regarder sa femme se faire prendre par un black costaud monté comme un âne. Devant ses frères des Cocus Anonymes, dans cette petite salle de réunion, Jean-Eudes termine son exposé en leur avouant que cela dure maintenant depuis près de dix ans. Que c’est toujours lui qui choisit le black qui baisera sa femme, qu’il choisit parfois des jeunes et parfois des beaucoup plus vieux.En général, il assiste en voyeur aux ébats, surtout quand cela se passe dans un club, un sauna ou un cinéma porno. Parfois il se joint à l’homme choisi et ils baisent ensemble sa femme. Parfois, il organise la rencontre mais laisse Joséphine y aller seule. Elle sait qu’elle doit rentrer à la maison remplie du foutre de son amant pour qu’il puisse ensuite y mêler le sien.Oui, il l’avoue, il aime se savoir cocu et il est un cocu heureux. Il sait que Joséphine ne fait aucune rencontre de son côté, qu’elle se contente des rendez-vous exotiques organisés par son mari. Deux ou trois fois par mois, cela lui suffit amplement !Cependant depuis quelque temps, bien qu’il ne lui en ait jamais parlé, Jean-Eudes a envie de faire franchir un pas à son épouse. Il a envie de l’offrir à deux blacks en même temps, il a envie de la voir se faire pendre par deux énormes bites noires. Il avoue toutefois à ses frères de réunion qu’il a un peu peur que cela entraîne leur couple dans une spirale sans fin. Lorsque Henri rentre chez lui, il est déjà un peu plus de 23h00 ; Chantal dort à poings fermés. Silencieusement, il se glisse dans le lit et se branle longuement en imaginant sa femme avec un black. Il l’a vu se faire saillir plusieurs fois par Piotr puis par Ali. Puisque c’est lui qui a, sans le vouloir, provoquer les rencontres et donc son propre cocufiage, pourquoi ne pas continuer à être à l’origine des rencontres de sa femme.Il sait qu’elle ne cherche pas à faire des rencontres de son côté, cela il en est certain. Elle s’est contentée de saisir les deux opportunités qui se sont présentées à elle, elle ne les a pas provoquées, c’est le hasard qui a fait les choses !Henri jouit longuement en imaginant sa femme avec un black. En attendant qu’il trouve le bon candidat, Ali va encore avoir une ou deux occasions de la voir…..
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