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Les cocus anonymes.

Chapitre 6

Confession d'un cocu bien docile ...

Voyeur / Exhibition
Ce matin en prenant mon petit-déjeuner, je ne peux pas m’empêcher de repenser au témoignage de frère Jean-Eudes. Bien que cocu, il a finalement réussi à retourner la situation à son avantage. Il joue au voyeur, il participe parfois aux ébats, il organise les rencontres, il sélectionne les amants, c’est finalement lui le maître du jeu.Contrairement à Joséphine la femme de Jean-Eudes qui sait que son mari est au courant de tout, ma femme Chantal ne sait nullement que je suis au courant de ses petites infidélités. Lorsqu’elle se fait baiser dans notre appartement, elle est à cent lieues de se douter que je regarde la scène, en direct ou en différé, depuis mon salon de coiffure. Je trouve donc que ma situation est bien plus excitante que celle de Jean-Eudes !Cela me fait d’ailleurs penser que je dois absolument m’acheter un écran pour mieux suivre au boulot les ébats de ma femme et de son amant du moment. Comme mon premier client n’est qu’à 10h00 ce matin, je décide de passer chez Darty pour réaliser mon achat. J’ai de la chance, je tombe sur un vendeur super sympa et hyper-compétent. Je lui explique alors que je fais de nombreuses vidéos au cours de mes promenades dans Paris et que j’aimerais pouvoir les visionner sur un écran plus grand. Au bout de vingt minutes d’explications, je repars avec un écran LCD et un câble de raccordement. Aussitôt arrivé au salon de coiffure, comme j’ai encore quelques minutes de libre, je vais dans l’arrière boutique, j’installe l’écran et le câble. Tout est prêt, il n’y aura plus qu’à brancher mon téléphone. J’ai hâte que mon ami Ali revienne à la maison finir ses travaux.
Les jours passent le plus tranquillement du monde et Chantal est des plus attentionnées avec moi. C’est vraiment une adorable épouse et j’ai vraiment de la chance de l’avoir à mes côtés. Parfois le soir, elle me fait une douce fellation et de temps en temps elle n’hésite pas à venir me chevaucher. J’aime la douceur de sa peau, j’aime sa nuque si gracile, j’aime ses jolis seins, j’aime sa chute de reins, j’aime ses fesses, j’aime ses longues jambes, j’aime son ventre plat, j’aime sa chatte, oui tout en elle n’est que grâce et douceur.Ce week-end est passé à toute vitesse car nous avions les enfants et petits-enfants pour la fête des mères ; il y avait de l’animation dans l’appartement. Chantal a montré à nos fils les deux chambres déjà rénovées ainsi que les travaux toujours en cours. Alors que je suis dans la cuisine, j’entends Charles notre fils aîné lui dire— C’est pas mal cette petite kitchenette mais ce n’est pas fini !Chantal lui répond— Non, l’ouvrier revient mardi matin.Ainsi donc, la prochaine visite de mon ami Ali est déjà prévue au planning de Chantal. Pourtant elle s’est bien gardée de m’en parler ! Cela n’est pas grave, je vais continuer à faire comme si je ne le savais pas !Lors du dîner du lundi soir, alors que nous discutons tous les deux de tout et de rien, je lance — J’espère qu’Ali ne va pas trop tarder à revenir, il ne faudrait pas que le chantier s’éternise. Je crois bien que je vais l’appeler demain dans la matinée.Chantal me répond— Je pense qu’il va revenir vite, il a l’air très séreux ! Il m’a semblé débordé la dernière fois et a peut-être du mal à trouver un créneau pour repasser.Je ne peux que souscrire à son avis pour ne pas l’inquiéter— Oui tu as raison, il est très sérieux et j’ai toute confiance en lui. Je verrai demain ce que je décide !
Le lendemain matin, Chantal est encore en robe de chambre lorsque je l’embrasse et quitte l’appartement. J’ai hâte d’arriver au salon pour brancher mon téléphone sur le grand écran acheté il y a quelques jours. Pour être tranquille, je laisse le salon fermé et affiche un petit écriteau sur la porte « Ce matin, ouverture exceptionnelle à 9h00 seulement ». Je me précipite dans l’arrière boutique, raccorde mon téléphone à l’écran et mets tout en route.Sur l’écran, je découvre Chantal dans notre chambre en train de finir de s’habiller. Zut, j’arrive un peu tard pour voir ce qu’elle a mis dessous. Quelques secondes plus tard, elle disparaît de l’écran ; elle doit vaquer à ses tâches ménagères dans la maison.Il doit être 8h30 lorsque j’entends la sonnette de l’appartement vibrer et aussitôt après des voix se font entendre. Je reconnais la voix grave d’Ali qui dit— Viens Ahmed, je vais te montrer le chantier !Aux bruits de pas qui s’éloignent, je comprends que l’on se dirige vers le fond de l’appartement.Quatre ou cinq minutes plus tard, Chantal et Ali reviennent dans la chambre conjugale et réapparaissent à l’écran. L’ouvrier se colle à Chantal, plaque ses grosses mains sur ses fesses, l’embrasse longuement sur la bouche puis lui dit— C’est mon neveu Ahmed, il a tout juste 18 ans et il vient de finir son diplôme d’électricien. Tu vas voir, c’est un as ! Il va tout brancher dans la kitchenette et ce sera impeccable.Il entraîne Chantal vers le lit, défait les boutons de sa robe et la fait glisser au sol. Ma femme est vraiment superbe ! Elle a mis un soutien-gorge redresse seins qui ne cache rien de ses aréoles, elle porte un petit string blanc dont la ficelle disparaît entre ses globes fessiers et dont le fin tissu blanc dessine parfaitement la fente de son abricot, ses jambes sont gainées de fins bas noirs autofixants. Même de loin, cela me fait de l’effet et je bande. Je vais vraiment finir par croire que le cocufiage et le candaulisme sont la meilleure thérapie contre la baisse de tonus sexuel.

Chantal est en levrette sur le lit, la tête posée sur l’oreiller et la croupe bien relevée. Ali lui retire son string, se place derrière elle le visage bien collé aux jolies fesses, écarte de ses mains les deux globes et j’imagine sa langue préparer l’œillet brun de ma femme. Le bougre, il va bien l’enculer et ensuite il va aller jouer l’inspecteur des travaux finis avec son neveu.Chantal gémit déjà sous les coups de langue de son fougueux amant. Elle l’encourage de la voix— Oui Ali, c’est bon !— J’avais hâte que tu reviennes, l’attente a été si longue !— Vas-y, prends moi maintenant ! J’ai envie de ta queue !L’ouvrier se redresse, se positionne derrière ma femme, frotte son gland circoncis contre l’entrée du boyau tant convoité. Il jubile d’excitation— Quel cul tu as ! C’est du premier choix !— Quand on y a goûté, on ne peut plus s’en passer !— C’est bon de savoir que tu deviens accro à ma queue entre tes fesses.Sur mon grand écran, la qualité des images est exceptionnelle et le son est d’une très bonne qualité. J’ai bien fait d’investir dans ce système car c’était vraiment frustrant de regarder cela sur le petit écran de mon téléphone.Chantal maintient sa croupe bien relevée, Ali se tient bien droit derrière elle, solidement campé sur ses genoux et bien agrippé à la taille de guêpe de ma femme. Tout en la besognant, il réussit à lui défaire son soutien-gorge et ne se gêne pas pour lui caresser les seins et lui travailler les tétons. Le salaud, il a trouvé le point faible de Chantal qui est hypersensible de la poitrine.Ma femme se laisse aller — Oh oui, pince moi bien les tétons ! — Que ta queue est grosse, j’ai l’impression que tu vas m’écarteler !— Je suis ta petite salope, profites-en bien !
Dans mon arrière boutique, j’ai comme l’impression d’être assis dans le fauteuil de notre chambre en train de les regarder. Je me suis débraguetté et je me branle lentement en regardant les deux amants copuler comme des bêtes, se croyant seuls au monde et à l’abri de tout regard indiscret. Pour voir leur réaction, je me décide à appeler Ali avec le poste fixe du salon de coiffure. Sur l’écran, j’entends son téléphone sonner, je le vois s’en saisir et regarder le numéro qui s’affiche. Il dit à Chantal— C’est ton mari. Chut !Il décroche et, comme s’il y avait de l’écho, je l’entends me dire— Oui, c’est Ali.Je lui réponds— Bonjour Ali, je ne te dérange pas longtemps mais hier soir, avec Chantal, on se demandait quand tu allais passer pour finir les travaux.Il me rétorque— Et bien figure toi Henri que je suis finalement chez toi ce matin. Un client du quartier s’est décommandé au dernier moment et j’en ai profité. Là je suis en train de finir les branchements électriques.Sur l’écran, je vois qu’il continue à besogner lentement et silencieusement Chantal. Il est bien branché mais dans la prise femelle de ma femme !Il poursuit— Tu veux que je te passe ta femme. Je crois qu’elle est dans la cuisine à faire du rangement.Je lui réponds— Non pas la peine. Finis plutôt ce que tu es en train de faire. Je verrai cela avec elle ce soir. Bonne journée.A peine ai-je raccroché que je le vois redoubler d’activité. J’imagine le plaisir qu’il a dû ressentir à me répondre au téléphone tout en enculant ma femme. Il a dû se dire que c’était vraiment le comble du cocu, appeler l’amant de sa femme alors qu’ils sont en train de forniquer comme des bêtes. S’il s’avait que j’ai éprouvé une excitation bien plus grande que la sienne, que j’en ai joui sur mon pantalon, il serait bien surpris !Mais voici que lui aussi va jouir car il s’écrie— Oh putain, je vais jouir !— Ton cocu de mari m’a excité à m’appeler pendant que je te baise.— Je vais te remplir de foutre !Bien accouplé à Chantal dont le ventre est secoué de spasmes de plaisir, il se vide dans la croupe qu’il tient fermement pour qu’elle ne lui échappe pas.
Chantal est toujours allongée nue sur le lit alors qu’Ali est en train de renfiler sa salopette d’ouvrier. Une fois la fermeture éclair remontée, je me dis qu’il va maintenant aller vérifier les travaux de son arpète de neveu. Mais qu’elle n’est pas ma surprise de l’entendre héler l’intéressé— Ahmed, viens voir ici. Y a de l’ouvrage pour toi !Visiblement Chantal n’est as au courant des intentions de son amant car elle se cache les seins et la chatte de ses deux bras.Le jeune apprenti arrive maintenant dans mon champ de vision. Son oncle lui dit— Allez, ne fais pas le timide ! Je sais que tu es encore puceau. Cette gentille dame va s’occuper de toi et je suis sûr qu’elle va y prendre beaucoup de plaisir. Pendant ce temps, je vais continuer le chantier.Le jeune beur hésite et répond à Ali— Mon oncle, tu crois que madame est d’accord ?S’adressant à ma femme, Ali lui dit— N’est-ce pas Chantal que tu as envie de déniaiser ce jeune puceau.Chantal jette la robe au loin, exhibe fièrement ses seins et écarte bien les jambes. Elle dit à Ahmed— Si je ne te plais pas, je ne veux pas te forcer !Le jeune homme cède aux charmes de ma femme, il faut dire que c’est bien difficile de résister à une telle tentation— Oh si madame, vous êtes si belle. Mais je n’y connais pas grand-chose !Chantal lui répond— Ne t’en fais pas ! Allez, déshabille toi et viens vite me rejoindre.Tandis que le neveu défait sa salopette puis retire son caleçon, son oncle sort de la pièce. Lorsqu’il fait face à la caméra, je constate alors qu’Ahmed à une superbe queue déjà bien raide, longue et fine, dressée fièrement vers le ciel.
Pendant les minutes qui suivent, j’assiste à l’initiation du jeune beur par ma femme. Elle commence par le faire allonger sur le dos et vient entre ses jambes pour lui prodiguer une savante fellation dont elle a le secret. Pour connaître ses talents dans ce domaine, je sais qu’elle enserre bien la hampe de ses lèvres, qu’elle excite le gland de la pointe de sa langue et qu’elle veille à bien enduire la bite de salive pour qu’elle coulisse parfaitement dans sa bouche. Le jeune Ahmed en gémit de plaisir.Maintenant Chantal lui dit— Je vais venir à califourchon sur toi et je vais te sucer de nouveau. Tu peux en profiter pour me dévorer la chatte, tu vas voir comme c’est bon.Elle se positionne en 69 au-dessus de son jeune amant et reprend aussitôt son travail de succion. Au début, le jeune beur hésite à prendre des initiatives mais il finit par s’enhardir. Il pose ses mains sur les fesses de Chantal, glisse son visage entre les cuisses de la belle et commence à lui brouter le minou. Ma femme l’encourage— Oui, c’est bien ! Continue.— Mets bien ta langue au fond et agite là. Oui c’est ça !Il est maintenant temps de passer au dépucelage proprement dit. Chantal s’allonge sur le dos et guide Ahmed pour qu’il vienne sur elle. Je vois que sa bite est bien raide et brillante de salive. Ma femme écarte grand les jambes, je vois qu’elle aussi est ruisselante de salive. J’ai l’impression de regarder un film porno.Ahmed se redresse, monte sur le corps et Chantal pousse alors un grand— Oh oui, ça y est ! Tu es rentré.Le jeune beur lui répond— Comme c’est chaud et doux ! Chantal lui dit— Vas-y, bouge et prends moi bien. Je suis toute à toi. C’est ta première fois alors il faut en profiter.Au début, le jeune apprenti la baise comme un lapin, avec frénésie et de petits va-et-vient. Chantal le conseille— Doucement Ahmed, je ne vais pas me sauver ! Doucement et retire toi bien avant de revenir en moi.Il apprend vite et bien car, quelques instants plus tard, ma femme gémit comme une salope sous les puissants et lents coups de boutoir du puceau— Oh oui, que tu me fais du bien !— Tu baises aussi bien que ton oncle ! Oui, bien profond !— Vas-y, vide-toi bien en moi !Le jeune beur s’immobilise, pousse un long râle, se couche de tout son long sur Chantal, l’embrasse à pleine bouche et se vide longuement en elle. Une fois qu’il s’est retiré, Chantal se penche vers son bas-ventre et le reprend en bouche. Elle le suce et l’aspire puis s’essuie les lèvres avant de lui dire— Ton sperme a très bon goût ! Je veux en profiter jusqu’à la dernière goutte.Le jeune remet sa tenue de travail, ma femme remet sa robe. Quelques instants plus tard, j’entends leurs voix, la porte de l’appartement qui s’ouvre puis se referme et le silence se fait. Je quitte mon arrière-boutique, rejoint le salon et ouvre à mon premier client qui m’attend déjà derrière la porte.
Le soir en rentrant à l’appartement, Chantal m’attend déjà en tenue décontractée. Je lui dis — Alors finalement Ali est passé ce matin !Elle me répond— Oui et il a eu de la chance. S’il était arrivé cinq minutes plus tard, j’étais partie au marché !Je ne lui demande pas s’il était accompagné car je veux voir si elle m’en parle d’elle-même. Elle m’entraîne au bout de l’appartement et me dit— Regarde, tout est fini. Il travaille vite et bien !Effectivement, je n’en reviens pas de la vitesse à laquelle il a réussi à baiser ma femme et finir l’installation.Je lui demande— Il en a fini ? Si c’est le cas, il va falloir que je le voie pour le payer.Elle me répond— Oui, il a dit que tout fonctionne mais il ne faut pas hésiter à le solliciter s’il y a un petit souci de finition.Puis elle ajoute— Viens, on va arroser la fin de ces travaux !Deux minutes plus tard, nous sommes dans le salon à boire un petit apéritif. Féline, elle se met à genoux devant moi et me dit— Cela fait quelques jours que je ne me suis pas occupée de toi. Viens, je vais te faire une petite gâterie !La voici en train de me sucer mais j’ai peur de ne pas bander après ma masturbation de ce matin dans l’arrière-boutique. Je ferme les yeux et je m’imagine devant mon grand écran. Je revoie les scènes de ce matin, son enculage par Ali, le dépucelage d’Ahmed et me voilà qui bande comme un âne. Elle m’aspire littéralement la queue et je me vide longuement dans sa bouche. Je n’en reviens pas de jouir aussi longuement ! Je retrouve vraiment la forme !Tandis qu’elle prépare le dîner, je vais prendre une douche. Bien évidemment, je me précipite sur le panier de linge sale et en sors le petit string blanc qu’elle a porté toute la journée avant d’enfiler une tenue plus cool. Le petit morceau de tissu est encore tout gluant et plein de traces de foutre. A eux deux, ils lui ont vraiment mis la dose car le string est tout visqueux. Je porte le fin tissu à mes narines et hume les effluves acres et musquées qui s’en dégagent. Cela sent la salope qui s’est abandonnée à la luxure, cela sent le mâle en rut qui s’est longuement soulagé et cela sent la copulation bestiale et la saillie rapide. Et, je dois bien le reconnaître, cela sent bon la femme adultère et le mari cocu. Sauf que dans le cas présent, je suis un mari consentant et candauliste, ma femme n’en sait rien et cela ne fait qu’accroître mon plaisir.
Une nouvelle semaine s’écoule mais, faute de travaux à réaliser à la maison, Chantal n’a pas l’occasion de s’envoyer en l’air et je n’ai malheureusement pas l’occasion de la mater aux cours de ses ébats. Ce mardi, je la préviens que je rentrerai tard car je dîne avec mon ami Ernest et un autre copain. En fait il n’en est rien, j’ai simplement envie de participer une nouvelle fois à la réunion des Cocus Anonymes. Depuis que j’y vais, cela me fait du bien d’écouter les confidences d’autres maris cocus et c’est grâce à ces confessions que je relative mon sort et retourne la situation à mon avantage.Lorsque j’arrive dans la salle, comme lors des fois précédentes, c’est Gérard l’animateur qui fait l’accueil à l’entrée de la pièce. Il me donne l’accolade et me salue d’un franc et jovial— Bonsoir frère Henri ! Si cela continue, vous serez bientôt l’un de nos plus fidèles frères cocus.Je lui fais un grand sourire et je lui réponds— Je ne sais pas si je suis l’un des plus fidèles mais je suis certainement l’un des plus attentifs. C’est fou ce que le témoignage des autres peut m’aider à y voir plus clair.Il me rétorque— Voilà l’essentiel, la raison même de notre association ! Mais n’oubliez surtout pas que lorsque vous y verrez bien clair, vous pourrez continuer à venir pour éclairer le chemin des autres. Chaque jour qui passe, de nouveaux hommes se découvrent cocus. Nous devons les aider à notre tour comme d’autres nous ont aidés.Je choisis au hasard une place dans le cercle des chaises et je m’installe. Je me dis en moi-même que c’est tout de même drôle de parler de la fidélité d’un cocu dans un tel lieu où nous avons été conduit par l’infidélité d’une femme. La vie est parfois bien étrange !
Lorsque frère Gérard nous sollicite tous pour savoir lequel d’entre nous veut prendre la parole, un frère cocu prend aussitôt la parole alors que d’habitude il fallait attendre de longues minutes avant que l’un d’entre nous se décide. Ce soir, c’est un petit bonhomme chauve, l’air triste comme un chien battu, qui s’adresse à nous d’une voix timide— Bonsoir à tous, je suis frère Benoît, j’ai 55 ans, je suis chef comptable dans une banque, je suis marié depuis trente ans à Bénédicte, elle a dix ans de moins que moi, nous habitons rue de Meaux entre la mairie du XIXème et le grand bassin de la Villette, nous n’avons pas d’enfants, elle est artiste peintre et travaille dans notre appartement où elle s’installée un petit atelier, je suis un philatéliste amateur et ma collection compte plus de 5 500 timbres du monde entier, ...A l’écouter réciter sa longue tirade de présentation, quasiment sans respirer, j’ai l’impression qu’il ne faut surtout pas lui couper la parole car il ne pourrait plus reprendre ensuite. Il a besoin de se confesser, il faut que ça sorte et j’imagine que cela fait des semaines, peut-être même des mois, qu’il se prépare chaque mardi soir, hésite, reporte et finalement renonce à dire tout ce qu’il a sur le cœur. Ce soir, il a trouvé la force de se lancer et il ne faut surtout pas l’arrêter. Nous retenons tous notre souffle, nous évitons de faire le moindre bruit, nous nous tassons au fond de nos chaises, nous regardons le vieux lino qui recouvre le sol de la pièce mais nous sommes tout ouïe.
Frère Benoît nous raconte alors d’une seule traite, comme un nageur en apnée, ce qu’il vit depuis cinq ans. De tous temps, c’est sa femme qui porte la culotte à la maison car il est d’un naturel gentil, voire docile, et il déteste les conflits. C’est lui qui gagne l’essentiel des revenus du ménage grâce à son excellent salaire ; sa femme gagne en quelque sorte son argent de poche pour ses petites dépenses personnelles. En plus de ses huit heures de travail à la banque, c’est lui qui fait la cuisine à la maison, ainsi que la vaisselle et la lessive. Heureusement, il paye cinq heures à une femme qui vient faire le repassage, le ménage et d’autres travaux ménagers divers deux fois par semaine.Son artiste de femme passe son temps en peignoir dans la pièce où elle dessine, peint et refait le monde. C’est une superbe femme, sculptée comme une déesse, avec des seins en forme de poire, des fesses divines, un ventre plat, un port de tête altier et un corps gracile parfaitement cintré au niveau de la taille. Benoît sait très bien qu’elle l’a épousé pour sa situation mais il l’a tout de suite accepté. De toute façon, c’est la seule à s’être intéressée à lui !Aussi loin qu’il se souvienne, Bénédicte s’est toujours comportée au lit comme une dominatrice et cela a certainement aussi contribué à ce qu’elle l’épouse, lui dont l’esprit de soumission se lisait déjà dans son regard et sur son visage lorsqu’ils se sont rencontrés la première fois. Bénédicte en corset de cuir, en cuissardes noires, c’est une scène des plus érotiques dit-il avec une flamme brillante dans les yeux. C’est donc elle qui a toujours mené leurs jeux, usant parfois du martinet, souvent d’une laisse en cuir et toujours d’une voix autoritaire. Mais au fil du temps, les jeux se sont espacés puis ont disparu. Il pensait, qu’avec l’âge, sa femme avait perdu le goût du jeu et du vice ; lui s’en accommodait sans problème en se réfugiant dans ses classeurs de timbres bien rangés et ses vieux catalogues Yvert et Tellier.
Mais il y a cinq ans, Bénédicte a soudain eu envie de transformer l’une des deux chambres d’amis de leur appartement. Pendant deux mois, soit toute la durée des travaux, il avait l’interdiction de pénétrer dans la pièce. Puis un soir elle lui annonce— Viens chéri, je vais te montrer le temple que je nous ai fait.Il est surpris car cela fait longtemps qu’elle ne l’appelle plus ainsi. Il la suit sagement et entre derrière elle dans la pièce récemment refaite. Quelle n’est pas sa surprise de découvrir que la tapisserie a été changée et remplacée par une peinture rouge satinée. Le lustre de sa vieille mère a disparu et la pièce est éclairée par quatre gros cierges blancs posés dans les coins sur des colonnades en albâtre. Le plafond autrefois blanc est aujourd’hui laqué noir avec un énorme miroir dans lequel se reflète l’autel de marbre qui remplace le lit. Surélevé d’environ un mètre, l’autel est recouvert d’un fin matelas recouvert de soie rouge. A la place des copies de tableaux d’impressionnistes auparavant fixés aux murs, on trouve de grandes aquarelles érotiques montrant de jeunes hommes nus se prosternant devant une superbe créature en tenue de cuir ressemblant étrangement à sa femme. Il se doute bien qui en est l’artiste ! Avec la douce lumière des cierges, on a l’impression d’être dans une sorte de chapelle. Benoît note enfin que de discrets hauts parleurs sont insérés dans le pied de l’autel et diffusent une douce musique.Surpris, il interroge du regard sa femme mais ne peut pas prononcer une seule parole tellement tout cela le déconcerte. Elle répond tout de même à son interrogation silencieuse— Demain soir, je t’expliquerai et tu comprendras alors !
Le lendemain matin au travail, il est plutôt euphorique car il se dit qu’ils vont très certainement reprendre leurs jeux dans cette nouvelle pièce dédiée à la renaissance de leur plaisir et à la reprise de leurs ébats charnels. Mais l’après-midi, plus la journée s’écoule, plus il est inquiet. Si Bénédicte semble avoir envie de rebooster sa libido, quel va être son rôle dans tout cela ? Il n’a jamais été très entreprenant dans les choses du sexe, il n’a jamais été imaginatif lors de leurs corps à corps, il n’a jamais été le maître de leurs jeux coquins et ce n’est pas à 55 ans qu’il va devenir un boute-en-train sexuel.Lorsqu’il rentre le soir à l’appartement, sa femme l’accueille le plus naturellement du monde et ils dînent comme chaque soir. C’est après le dessert qu’elle lui explique en détail ce qu’elle attend de lui. Il la regarde et lui demande— C’est vraiment ce que tu veux ? Tu en es sûre ?Elle lui rétorque d’une voix autoritaire— Oui, c’est ce que je veux ! Si tu ne l’acceptes pas, je te quitte dès demain.Sans la regarder, d’une voix tremblotante, comme un petit chien apeuré la queue entre les jambes devant sa maîtresse, il lui répond— Bien sûr chérie. Nous ferons comme tu le souhaites. Je t’aime si fort que seul ton plaisir compte.Elle vient tout contre lui, se love telle une chatte, embrasse sa calvitie et lui dit— Tu es un amour de mari. Je savais bien que tu comprendrais. J’ai vraiment de la chance de t’avoir à mes côtés.Puis elle lui dit d’une voix toujours aussi mielleuse— Va da ns la chambre, j’ai préparé ta tenue de soirée sur le lit.Sa femme se dirige vers la pièce rénovée qu’elle lui a montrée la veille tandis que lui se dirige vers la chambre conjugale. Il doit faire vite, il ne reste plus qu’une petite demi heure avant le début de cette première soirée qui va changer le cours de sa vie.
A 21h00, Benoît a revêtu une sorte de robe de bure blanche, au tissu bien rêche, que Bénédicte avait posée sur le lit. Un ceinturon de cuir marron lui serre la taille et il est chaussé de simples sandales de corde. Une capuche noire sur la tête et un scapulaire assorti complètent sa tenue de moine.Lorsque retentit la sonnette, il se dirige vers la porte d’entrée ; l’appartement est plongé dans une douce pénombre qui accentue le décorum et l’aspect religieux des lieux. Il ouvre la porte et s’incline devant le jeune homme qui entre. Ce dernier doit avoir vingt-cinq ans à peine, présente bien, style jeune cadre dynamique et porte costume et cravate.S’adressant à Benoît, il lui dit— Bonsoir, je suis Nicolas. Je viens pour la cérémonie d’offrande à la grande prêtresse Hakhor.Benoît lui répond— Je suis Hakri, son plus fidèle servent et le grand maître des offrandes. Suivez-moi, je vais vous conduire au temple.Les deux hommes se dirigent vers la pièce sacrée dont Hakri ouvre la porte et la ferme derrière eux. La flamme vacillante des cierges éclaire à peine la pièce, de l’encens brûle sur une petite console dressée devant une fenêtre dont les lourds rideaux de velours violet sont bien tirés. Une musique sacrée plonge la pièce dans une ambiance particulièrement envoûtante.Pleinement investi dans son rôle d’Hakri, Benoît dit au jeune homme— Mettez-vous nu, la grande prêtresse sera bientôt là.L’intéressé se déshabille rapidement, range délicatement ses habits sur une chaise basse et attend. Il est bien foutu et assez musclé mais, certainement à cause du stress, son sexe est minuscule sur ses grosses bourses.Soudain, la musique se fait plus forte, une tenture s’entrouvre et Bénédicte apparaît, le corps caché par une longue cape de satin noir et le haut du visage dissimulé derrière un loup noir. On ne voit que ses pieds aux ongles vernis et chaussés de vertigineux talons hauts.
La cérémonie d’offrande peut maintenant commencer. La belle déesse Hakhor fait le tour de l’autel, passe devant les deux hommes et vient ensuite s’arrêter sur le côté gauche de l’autel où il y a comme un petit marchepied. Elle monte les quelques marches et s’allonge sur le matelas qui recouvre l’autel. Hakri sait maintenant que c’est à lui d’œuvrer. Il s’approche de l’autel, défait la broche dorée, en forme de phallus, qui retient ensemble les deux pans de la robe. Il ouvre la cape et Hakhor apparaît dans toute sa splendeur comme un papillon sortait de sa chrysalide. Elle est entièrement nue mais ses jambes et ses bras sont ornés de longs bracelets dorés en forme de serpent. Une fine chaînette d’or lui ceinture le ventre. Son sexe est entièrement épilé et ses lèvres intimes brillent comme enduites d’huile. Ses seins sont également huilés et ses tétons sont rehaussés par un peu de rouge.S’adressant à Nicolas dont le sexe semble parfaitement réagir à la vision qui s’offre au jeune homme, Hakri lui dit— Ta première offrande à la grande prêtresse va consister à embrasser tout son corps. Tu peux bien sûr user de ta langue si tu as envie de lui témoigner ton dévouement.Pendant la demi-heure qui suit, sans pouvoir utiliser ses mains, Nicolas va déguster la moindre parcelle du corps de la déesse. Bien évidemment, il va longuement s’attarder sur la bouche, sur les seins et sur la chatte mais sa langue n’ignore aucun endroit. Et lorsque Hakhor s’allonge sur le ventre, il va longuement lui lécher et lui chatouiller son petit œillet brun divinement parfumé au lait d’huile d’amande.
Puis Nicolas peut effectuer sa seconde offrande en utilisant cette fois-ci ses mains pour caresser et polir le corps de la déesse. Il s’applique tellement que les tétons de la belle durcissent à vue d’œil lorsqu’il lui caresse longuement les seins. Lorsqu’il glisse sa main entre les jambes divines, Hakhor ondule du bas-ventre et l’on entend de légers gémissements sortir de sa bouche. Dans la paume de sa main, Nicolas recueille la rosée qui perle du fruit déjà bien ouvert. Il porte la main à sa bouche et lèche sa paume ; faisant ainsi vœu d’allégeance à la grande prêtresse.Alors que Benoît pense que la séance va se terminer, il est surpris lorsque Bénédicte tend la main au jeune homme et l’invite à la rejoindre sur l’autel. Pendant l’heure qui suit, devant Hakri, cocu candauliste plus par obligation que par vocation, le couple va copuler sans repos, enchaîner les positions les plus acrobatiques et partager caresses, fellation, pénétration et sodomie. Il n’y a pas à dire, Bénédicte est vraiment une belle femme et elle semble insatiable. Nicolas montre une belle endurance et Dieu sait qu’il en faut pour répondre aux attentes de la déesse.Lorsque le jeune homme quitte enfin les lieux, Bénédicte dit à son mari— Oh chéri, tu as été parfait dans ton rôle et j’ai lu dans ton regard combien tout cela t’a excité.Bien évidemment, le pauvre homme n’ose pas lui avouer que c’est tout le contraire. Puis sa femme poursuit— Allez, viens me lécher la chatte. J’ai envie de ta langue dans mon sexe.Le voici maintenant obligé de faire un cunnilingus à sa femme, de recueillir dans sa bouche la mouille et le sperme des amants. Il doit vraiment boire le calice jusqu’à la lie.
Depuis ce soir et ce depuis maintenant cinq ans, environ trois ou quatre fois par mois, Benoît endosse les habits de Hakri grand maître des offrandes. Parfois, ce sont jusqu’à trois jeunes mâles qui viennent apporter en même temps leurs offrandes à la belle déesse Hahkor. Une fois la cérémonie débutée, Hakri s’assoie sur un siège dans un coin de la pièce et assiste aux fougueux ébats. Il a fini par y trouver un certain plaisir, par raison plus que par passion.Parfois lorsque la cérémonie est terminée, au lieu de devoir lécher lui la chatte, il a le droit de venir se branler sur ses seins ou son ventre. Il en profite, fait durer le plaisir et se répand longuement sur le corps de sa femme qui a été auparavant longuement honoré comme il se doit par ses fidèles adorateurs.Parvenu à la fin de son récit, Benoît lève la tête, regarde l’un après l’autre tous les frères cocus présents autour de lui puis dit d’une voix lente— Finalement, je ne peux pas dire que la situation me rende malheureux car je vis toujours avec Bénédicte que j’adore. Je ne vais pas vous dire non plus que je sois ravi de mon rôle de cocu voyeur mais je me suis habitué à la situation. Et n’est-ce pas là l’essentiel !
Une fois la réunion terminée, je remonte à pied jusqu’à notre appartement où Chantal doit certainement être couchée depuis longtemps. Je repense à l’histoire de frère Benoît et je me dis que ma situation est bien plus enviable que la sienne. Moi au moins, je ressens un plaisir certain à assister aux ébats adultérins de ma femme, même si c’est à distance. Ce n’est pas elle qui court après les hommes, c’est moi qui les fais venir à la maison, bien innocemment au début mais avec une certaine malice maintenant.Cela me fait d’ailleurs penser que les travaux d’aménagement de la cuisine sont terminés et que mon ami Ali ne va plus avoir l’occasion de passer à la maison pour quelques menus travaux. Il va falloir que j’y réfléchisse car je sais pertinemment que je ne pourrai pas rester trop longtemps sans regarder Chantal se faire bien besogner à la maison en mon absence.Me souvenant du récit de frère Jean-Eudes, il y a quinze jours, et de la passion de sa femme Joséphine pour les belles queues d’ébène, je me dis qu’il serait peut-être tentant de voir ce qu’il en est pour Chantal dans ce domaine.Lorsque je me glisse dans le lit tout contre Chantal endormie, je bande. Je suis déjà en train de répertorier mentalement les africains qui viennent se faire couper les cheveux dans mon salon ......
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