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Les collants de Anne-Lise

Chapitre 1

SM / Fétichisme
1
Anne-Lise
Elle était issue de très bonne famille, venant d’un milieu fort aisé. Elle était très bien éduquée, très polie, très soignée sur elle, toujours bien coiffée. Elle était souvent contactée par des agences de mode de vente en ligne pour poser dans la rubrique vêtement fille. Elle était toujours au premier rang en classe, elle n’avait jamais redoublé, bref, la petite fille modèle à ses parents chéris. Contrairement à ce que pouvait laisser paraître son apparence de petite pétasse à papa et maman venue des quartiers riches et contrairement à beaucoup d’autres filles venues du même milieu, Anne-Lise n’était pas arrogante. Tout au contraire, elle était toujours très souriante, très généreuse, attentive et à l’écoute des autres, toujours prête à aider. Elle était nouvelle à la fac et la plus jeune, en 1ere année, et déjà la petite chouchoute préférée de tous les professeurs. Une vraie petite Sainte Nitouche. J’admirais sa façon de se tenir, de rire mais surtout de s’habiller et se coiffer avec son diadème. Elle devait avoir une garde robe immense car elle s’habillait journellement avec les nouveaux vêtements des boutiques dont elle promouvait la marque mais jamais de pantalon. Elle portait toujours des jupes avec des collants haut de gamme.
En ce beau jour de printemps, j’étais chez moi, appuyé sur la balustrade de mon balcon, la vue était des plus agréable. Je pouvais y admirer une bonne partie du parc avec ses nombreux promeneurs. J’avais donné mon renom au propriétaire et j’avais placé une annonce « A LOUER » pour trouver un nouveau locataire. J’attendais bien patiemment la visite de 14 heures. Oh ! Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant la porte lorsque je reconnus la charmante jeune et jolie Anne-Lise!
« Bonjour ! » dit la charmante demoiselle. « C’est bien ici pour la visite ? » .
— Oui c’est ici, viens, entre, je t’en prie. Lui répondis-je. – Moi c’est Bastien.
— Et moi Anne Lise, mais il me semble que je t’ai déjà vu à la fac si je ne me trompe pas ?
— Oui, effectivement, je suis en 2e année de médecine. Viens, entre, je vais te faire visiter.
Elle était, comme à son habitude, vêtue d’une nouvelle tenue très chic de jeune fille élevée dans les bons quartiers branchés. Elle portait un chemisier blanc très élégant par dessus un body moulant sa poitrine et couvert de motifs à fleurs en dentelles. De petites formes rondes et fermes se profilaient à l’embrassure de son décolleté. Elle portait une mini jupe bleue marine coupe écossaise jusqu’à mi cuisse ainsi que, comme une nouvelle fois à son habitude … de fabuleux collants. Aujourd’hui elle portait des collants noirs très opaques et merveilleusement satinés, légèrement brillant, de très haute qualité, acheté très cher dans une haute maison de prêt-à-porter.
- Ne prête pas trop attention au bazar lui dis-je. Je suis occupé à faire mes caisses.
— Oh, pas de soucis, c’est pareil pour moi, je suis en plein dedans. Ce sera libre à partir de quand ? Me demanda t-elle.
— A partir du 1er mars, peut être un jour avant. C’était dans 8 jours.
Nous parcourions le studio 3 pièces. Je lui faisais visiter ma chambre, la salle de bain, … A chaque fois que je passais à côté d’elle, j’avais le bonheur de pouvoir sentir la fraîcheur de son délicieux parfum à la vanille qui réveillait en moi des envies de soulever sa jupe et de la prendre par derrière contre le mur. J’éprouvais des difficultés à rester concentré et j’avais du mal à prononcer des phrases correctes. Après avoir visité les différentes petites pièces du logement elle alla sur le balcon.
— C’est sympa ce studio, j’aime beaucoup la vue qu’on a d’ici. - Dit elle.
Je me tenais derrière elle. En se penchant légèrement en avant par dessus la balustrade pour regarder le parc en bas, sa jupe se souleva et s’offrit à moi alors une vue insaisissable sur son joli postérieur tout de collant vêtu.
— Oui, absolument, la vue est fantastique – Balbutiai-je. Ca te plaît la fac?
— Oui. Je suis en première année. Au début c’était dur à cause des trajets mais pour finir après avoir négocié avec mes parents, ils se sont mis d’accord pour que je prenne un kot.
— Quelle bonne nouvelle. Tu dois être contente j’imagine. Il te plaît alors le studio ?
— Oui, beaucoup. Je vais en parler avec mes parents ce soir. Normalement je pense que ça devrait aller.
— Ok. Tiens moi au courant rapidement. Il y a d’autres personnes intéressées.
— Je repasserai demain, me dit-elle. - Pour signer le bail si le proprio est d’accord.
— Oui, très bien. Je l’appelle tout de suite pour le prévenir.
Je rentrai à l’intérieur pour téléphoner au propriétaire. Tandis qu’elle contemplait la vue donnant sur le parc, je me régalais de la vue imprenable qu’elle m’offrait sur son joli postérieur. J’avais du mal à décoller mon regard de ses jambes.
— Je vais devoir y aller, dit-elle. - Je peux emprunter ta toilette avant de partir ?
— Oui, certainement, tu sais déjà maintenant où c’est. Fais comme chez toi.
Elle se dirigea vers la salle de bain. Elle verrouilla la porte. C’est à ce moment, alors que j’étais occupé au téléphone avec le proprio que je vis mon sac de courses du supermarché par terre dans lequel il manquait les rouleaux de papier toilette que j’avais oublié d’acheter, car il n’en restait plus. Quel embêtement ! Que fallait-il donc que je fasse ? Devais-je lui apporter un petit paquet de mouchoir en papier à la place ? … Non. Je préférai attendre. On verra bien me dis-je, quitte à la mettre un peu dans l’embarras, on verra bien. Si ça se trouve, elle fait juste un petit pipi. Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire en pensant qu’elle allait devoir revêtir ses collants sans pouvoir s’essuyer après avoir uriner. Portait-elle seulement une petite culotte ? Cette question me rongeait l’esprit et faisait travailler mon imagination.
J’entendis qu’elle ouvrait et fermait les portes des armoires de la salle de bain. Sans doute était elle occupée à chercher du papier ? J’eu alors une sueur froide en me rappelant les DVD porno que j’avais planqué dans l’armoire du milieu en dessous de l’évier! J’étais embarrassé. Que va-t-elle donc penser de moi ? Sûrement que du mal, je n’avais désormais plus aucune chance avec elle. Au bout de quelques instants elle sortit de la salle de bain. Elle fit comme si de rien était. Nous nous dîmes au revoir et à demain à la même heure pour signer le contrat de bail. Une fois qu’elle fut sortie, j’allai directement dans la salle de bain. J’ouvris l’armoire en question et vis que les DVD n’étaient plus exactement à la même place comme avant. J’avais été démasqué. Je me sentais gêné mais je tentai de déculpabiliser en me disant que c’était normal car après tout j’étais bien un garçon et que peut être elle comprendrait.
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