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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les collègues de mon mari

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Proche de la quarantaine, moi 38 ans et mon mari Pierre 39, j’aime sentir le regard des autres hommes se porter sur moi. Je suis un peu exhibitionniste et mon mari aime me montrer. Ce petit penchant réciproque provoque parfois quelques aventures.
Un soir en rentrant du travail, Pierre m’annonce que nous sommes invités le samedi soir chez des collègues à lui, Daniel et Caroline, qui travaillent dans le service commercial. Généralement, je n’aime pas ce type de soirée où je ne connais personne et que lorsque la conversation déborde immanquablement sur le travail, je n’ai plus qu’à écouter et rester dans mon coin. Néanmoins, cette fois là, j’ai accepté. Pierre m’avait déjà parlé d’eux et cela faisait plusieurs fois, qu’il m’avait dit qu’on devrait passer une soirée ensemble lorsque nous serions sans les enfants. Je savais, parce qu’il me l’avait avoué, que Pierre trouvait Caroline très mignonne et sexy, mais je ne savais pas qu’il avait montré des photos de moi à Daniel et que je ne l’avais pas laissé indifférent. Pierre m’avait seulement dit qu’il souhaitait que je mette une tenue très sexy.
Le samedi, peu avant de partir, je vois les yeux de Pierre briller lorsqu’il me découvre en veste noire, satinée, sur une minijupe rouge très courte et très moulante. Par le décolleté de ma veste, on pouvait facilement deviner que je ne portais pas de soutien gorge, mais un chemisier en tulle transparent noir. Comme à son habitude très coquine, il m’embrasse dans le cou tout en faisant glisser sa main sur le bas de mes reins, pour sentir au travers de ma minijupe mes bas noir et mon string.
— Hum... que tu es ravissante, ce soir Cécile ! — C’est pour que tu n’es pas que des regards pour Caroline, vu ce que tu m’as avoué !
Nous arrivons assez rapidement chez eux. Ils habitent une belle maison, au fond d’un parc. Daniel et Caroline sont là, à nous attendre sur le perron, ayant entendu notre voiture arriver. C’est un bel homme entre 35 et 40 ans, d’allure sportive. Je remarque immédiatement son pantalon en cuir noir qui le moule parfaitement. Caroline doit avoir à peine 30 ans. Elle est en effet très mignonne et très sexy. Elle porte une mini robe en dentelle noire, moulante et suffisamment transparente pour laisser deviner ses bas et son string noir. Elle aussi avait décidé de ne pas mettre de soutien gorge.
— Entrez, faites comme chez vous, mettez vous a l’aise. Tu es très ravissante Cécile, je dirais même excitante.
Le commentaire de Daniel m’a fait un peu rougir, mais le tutoiement utilisé à mon égard me mettait en confiance et me prouvait que j’étais d’ors et déjà acceptée.
— Oh merci Daniel ! C’est toujours agréable les compliments d’un homme.
Nous nous installons au salon pour prendre un apéritif. Je suis assise à cote de Pierre sur une banquette profonde, les jambes croisées. Daniel et Caroline sont en face dans des fauteuils. La conversion s’engage, comme je m’y attendais, sur leur travail. Mais tous les trois me racontent à tour de rôle des anecdotes, relatives à la société et à leurs collègues, et non comme je le craignais des discutions sérieuses et rébarbatives sur les affaires en cours. Les anecdotes racontées deviennent de plus en plus coquines et notre bavardage commence délicieusement à me troubler et même à m’exciter. Puis la conversation s’engage sur la différence de tenue portée par le personnel féminin suivant les services de la société. Daniel explique alors qu’il trouve l’habillement des femmes du service commercial beaucoup plus agréable à regarder et prends alors Caroline pour exemple :
— Moi j’aime quand Caroline s’habille très sexy, les cuisses dévoilées par sa minijupe, les fesses bien moulées. Ca m’excite beaucoup de voir le regard des clients se porter sur elle. Et je pense que ce type de tenue excite aussi Pierre, vu tes vêtements sexy, Cécile. D’ailleurs bravo, tu es vraiment très attirante - Oh Daniel ! Tu vas me faire rougir.
L’ambiance et le champagne qui a toujours tendance à me faire de l’effet, font que la remarque de Daniel transforme mon trouble en un émoi véritable. Ressentant mon état d’excitation, Pierre lui précise alors qu’il n’a encore rien vu. Il me fait retirer ma veste, et Daniel découvre mon chemisier noir qui ne cache rien de mes seins tendus d’excitation, les pointes dressées sous le tulle transparent.
— Houa ! Super Cécile, et pas de soutien gorge, j’adore. Si Pierre n’était pas la, je te sauterai dessus, la tout de suite.
Ce dernier commentaire a lancé en moi comme une poussée d’adrénaline. Je sentais qu’il suffisait d’un rien pour que cette soirée bascule vers une rencontre que je qualifierai de plus intime. Et comme poussée par une pulsion incontrôlable, je lui précise :
— Pierre aime que j’aie les seins libres et... provoquant. Et moi j’aime ton pantalon. Le cuir, son toucher, son odeur, ça m’excite les sens.
Je lui ai alors avoué que depuis le début de la soirée, je ne pouvais m’empêcher de le regarder discrètement lui et plus particulièrement son pantalon. Et que depuis dix minutes, je n’arrivai pas a détacher mes yeux de son entrejambe où je voyais le cuir se gonfler au niveau de sa braguette. Caroline, prenant la balle au bond, me précise alors que c’est un cuir très souple et vu que Daniel ne porte pas de slip, il se déforme complètement quand il est excité et que c’est ce qui se passe en ce moment vu l’effet que je dois lui faire.
L’atmosphère devient extrêmement électrique, Pierre et Daniel commencent à bander comme des taureaux. On voit les pointes des seins de Caroline traverser la dentelle de sa mini robe moulante et moi j’ai la chatte qui s’humidifie. Il suffirait d’un geste, pour que tout bascule.
Caroline étant penchée pour nous resservir, Daniel lui demande si elle est excitée et il tend sa main vers elle. Et en la remontant sous sa robe, il lui caresse l’intérieur des cuisses et les fesses. Pierre me fait alors remarquer que Caroline se laisse faire et même écarte plus les jambes pour faciliter la progression de la main de Daniel. Et tout en commentant la scène qui se déroule sous nos yeux, il pose alors une main sur ma cuisse et remonte ma minijupe jusqu’en haut de la limite de mes bas, sous le regard, intéressé, de Daniel.
— Dis Pierre, elle a vraiment de jolies cuisses Cécile. Caroline ! Relève un peu plus ta robe et montre les tiennes à Pierre et Cécile.
Pierre très excité aussi, m’embrasse dans le cou et me demande si je trouve Caroline sexy. Complètement allumée, je réponds que oui. Caroline s’approche et se met debout devant moi. Son ventre est juste sous mes yeux et je ne peux pas détacher mon regard, de son string rentrant dans sa fente complètement trempée. Daniel se lève et, par derrière, retrousse sa mini robe jusqu’aux hanches. Il lui caresse ses fesses et glisse la main le long de sa raie, accentuant la pénétration du string dans sa chatte. Je sens alors confusément ce qu’ils veulent. Pierre pour m’encourager me retrousse ma minijupe et pose sa main sur mon string. Les pointes de mes seins me font mal tellement elles sont dressées de désir. Elles tendent à l’extrême mon chemisier en tulle.
Timidement d’abord, puis plus franchement je pose une main sur le string de Caroline. Je la caresse au travers puis, je l’écarte pour atteindre son clitoris et enfoncer deux doigts dans sa chatte trempée. Caroline gémit sous mes caresses. Mais comme dans un jeu pervers, Daniel rappelle Caroline pour qu’elle s’assoie à côté de lui sur l’accoudoir du fauteuil. Je comprends alors que Pierre et lui, maîtres du jeu, voulaient que l’excitation monte de plus en plus jusqu’à ce que nous ne puissions plus se contrôler et que nous laissions derrière nous tous nos tabous. Pierre m’écarte alors complètement les cuisses pour que je m’offre totalement au regard de Daniel. Mon string ne pouvait cacher l’état plus qu’avancé de mon excitation et de mes envies.
— Qu’il est joli ce string, Cécile, mais je suis sur, au vu de son humidité, qu’en dessous c’est encore plus beau
Pendant que Daniel parlait, Caroline lui caressait la bite au travers de son pantalon tout en regardant Pierre d’un regard gourmand. Ne pouvant plus tenir, je glisse ma main entre mes cuisses et tout en écartant mon string, je me mets à me caresser franchement le clitoris. Et je crois qu’involontairement, j’ai lancé le signal que tout le monde attendait. Immédiatement, Caroline se lève et vient se mettre à genoux devant Pierre. Elle lui ouvre sa braguette et enfourne la queue de mon mari dans sa bouche gourmande. Daniel, lui, vient se mettre debout devant moi. Mon regard est braqué sur son entrejambe, son pantalon de cuir qui m’excite. Je pose la main sur sa braguette, je la vois gonfler et durcir sous mes caresses. Elle grossit. J’approche mon visage pour mieux sentir le cuir, je lui lèche la bite au travers de son pantalon, je la devine très grosse, énorme. Oh sa bite m’affole ! J’ouvre alors la fermeture éclair et elle jaillit sous mes yeux. Je la prends en bouche, je la suce, je lui caresse les couilles, oui c’est bon.
Caroline pendant ce temps, s’est empalée sur Pierre, elle hurle de plaisir. De les voir et les entendre, je deviens folle de désir. J’ai besoin moi aussi d’une belle grosse queue entre mes cuisses. J’implore Daniel de me prendre.
— Oh oui... Daniel ! Prends-moi, oui, j’ai la chatte en feu. - Hum... oui Cécile ! Retourne-toi, présente-moi ton cul. Ce cul que je rêve de baiser, depuis que Pierre m’a montré des photos de toi. Tends le vers moi - Oui... Daniel oui... Oh tu me défonces ! Oui c’est bon, oui... Je vais jouir...
Et une jouissance extrême déferla en moi, quant à l’unisson de nos cris, Daniel gicla en moi et que je vis le sperme de Pierre se répandre sur les fesses de Caroline prise à plat ventre sur la table du salon.
Comme prévu, ceci ne fut que l’apéritif. Après avoir repris des forces en mangeant, la soirée continua...
En rentrant chez nous, Pierre m’avoua que tous les trois, ils avaient prémédité ça depuis plusieurs semaines. En effet, Pierre avait très envie de coucher avec Caroline qui n’arrêtait pas depuis longtemps de l’aguicher. Mais ne voulant pas le faire dans mon dos et par soucis d’égalité, il voulait en même temps m’offrir à Daniel.
Et maintenant, je suis moins opposée à ce que Pierre me fasse rencontrer certains de ces collègues de travail...
Cécile cecile_pierre@yahoo.fr
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