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Les Combes

Chapitre 2

Marie et le Maire

Divers
Marie et le Maire(Les Combes, petit hameau de montagne à 15 kilomètres de sentier de son chef-lieu, voit au printemps 1915 ses derniers hommes rejoindre le front. Garance et Julie, veuve dès 1914, se rapprochent intimement)
Garance était heureuse avec Julie, facile à vivre, toujours d’humeur enjouée et tellement sensuelle. Ayant réuni leurs troupeaux, elles étaient dures à la tâche et se partageaient bien le travail. Elles vivaient harmonieusement leur sexualité sans que de malsaines rumeurs villageoises ne les inquiètent. Mais cette sérénité prit fin au milieu de l’hiver quand Garance surprit Marie et son époux Paul en plein ébat dans l’écurie.
Alors qu’elle venait leur acheter un manche de fourche, elle fut étonnée de ne pas les trouver ni à la ferme ni dans le petit appentis qui servait de bureau pour la Mairie. En cette fin d’hiver, les paysans étaient soit au bucheronnage soit avec leurs bêtes, et comme le Maire ne travaillait pas dans le bois, elle pensa qu’il était allé aider un de ses concitoyens. Mais alors qu’elle partait, en passant devant l’écurie, elle entendit des gémissements. Pensant que le Maire ou son épouse s’étaient peut-être blessés, elle tendit l’oreille en penchant la tête par la porte de l’étable, dont le battant supérieur restait toujours entrouvert. Alors que ses yeux s’habituaient à l’obscurité et qu’elle humait la chaude et odorante effluve des bêtes, elle aperçut au fond de l’écurie le couple dans une bien étrange et scabreuse situation.
Marie, nue, portait à la taille, attaché avec une ceinture, son tabouret de traite à un pied, mais pas sous ses fesses, devant elle. Elle tapait vigoureusement sur les fesses de son mari en lui demandant de se cambrer encore plus. Le vigoureux édile, appuyé sur un tas de bottes de foin, lui tendait le plus possible son postérieur musclé et déjà rouge écarlate. Garance ne comprenait pas ce que tramaient ces deux-là. Emue aussi bien par l’étrange situation que par le corps incroyablement musclé et svelte de la femme, elle sentit la fameuse boule se nouer à nouveau dans son ventre et son sexe devenir moite.
Marie avait fini de taper sur les fesses de son mari et prenant une motte de graisse à traire, elle en enduisit le manche de sa chaise puis largement le fondement de son époux en lui disant :
— Tu veux défoncer mon cul tous les soirs avec ton horrible engin, alors tu vas savoir ce que cela fait à ton tour si tu veux encore y goûter dans le futur.
L’homme s’agrippa sans un mot au foin alors que Marie frottait doucement le bout du manche de la chaise à l’entrée de son rectum. Puis elle commença à donner des coups de reins. Garance ne pouvait croire qu’un pareil engin put pénétrer dans le fondement de l’homme et découvrait que cet orifice puisse servir à un quelconque usage sexuel. Elle aimait bien naturellement que Julie le lui titille, le lèche, mais de là à imaginer une intromission...Elle fut tirée de sa rêverie par un gémissement de douleur. Marie venait de donner un grand coup de reins et visiblement une partie de l’engin avait pénétré le cul de son mari. Elle arrêta de bouger :
— Respire et détends-toi !
Elle attendit un peu et se remit à bouger doucement. Les gémissements reprirent, mais plus avec la même intensité et semblaient indiquer un début de plaisir. Alors la femme saisit fermement les hanches du Maire et elle s’enfonça complètement dans ses reins provoquant un long gémissement mêlant douleur et plaisir. Elle se retira un peu, le laissa respirer puis s’enfonça à nouveau. Garance vit alors que l’homme se mettait à bander. Elle n’avait vu rapidement que le sexe de son propre mari, mais elle se dit que soit son mari était très mal pourvu, bien qu’il ait réussi à lui faire mal, ou cet homme était un monstre et qu’elle n’imaginait pas se faire défoncer par son engin. Marie continuait à pistonner vigoureusement le postérieur de son mari, elle ressortait à moitié, plantait à nouveau le morceau de bois poli et usé :
— Tu aimes mon salaud, j’ai toujours pensé que tu étais un inverti, qu’est-ce que tu as dû prendre lors de ton service militaire.
Il ne répondait que par des ahanements à chaque coup de reins. Son sexe avait atteint sa taille maximale et pendait comme celle d’un âne entre ses jambes. Il commençait à exsuder un long filet blanc et plus sa femme le bourrait plus le flux de sperme s’écoulant de son gland devenait importante. Après quelques minutes de ce traitement, alors que le corps de Marie luisait de transpiration, que le mouvement de ses fesses qui se contractaient à chaque fois qu’elle donnait un coup de reins, rendait folle leur voyeuse, le Maire se mit à râler :
— Je jouis, je jouis.
Son immense bite coulait par à-coup, dans le rythme imprimé par la pénétration de l’olisbos improvisé et sa jouissance sembla durer de longues minutes. Garance qui se frottait les jambes pour se donner inconsciemment du plaisir, était trempée jusqu’aux chevilles. Elle vit alors Marie se redresser en extirpant le manche du rectum de son mari, détacher la ceinture et lancer la chaise à traire dans la paille tout en s’étirant. Avant de fuir pour ne pas être surprise, Garance admira les formes admirables de la femme, l’attache fine de ses articulations, ses jolis petits seins et son sexe dont les poils semblaient avoir été taillés très courts. Elle courut sans s’arrêter jusqu’à chez elle, comme poursuivie par le diable. En arrivant, échevelée, sous le regard étonné de Julie, elle la prit par la main et l’emmena autoritairement dans la grange surplombant la pièce d’habitation. Elle se laissa tomber dans le foin, en remontant ses jupons jusqu’à la taille, et les jambes écartées :
— Fais-moi jouir, je n’en peux plus.
Surprise par les jambes dégoulinantes de son amante et par son état d’excitation, elle ne bouda pas son plaisir, et écartant la culotte trempée, colla sa bouche au sexe en ébullition. Alors qu’elle la lapait consciencieusement, elle constata que Garance se tortillait pour qu’elle insiste sur son anus. Elle en eut la confirmation lorsqu’en se concentrant sur cette zone, son amie cessa de gigoter et commença à montrer les signes avant-coureurs et typiques annonçant ses orgasmes. Puisqu’elle semblait apprécier que sa langue titille le petit cratère froncé, elle décida pour la première fois d’y glisser un doigt. Elle rencontra une petite résistance au début, puis son doigt fut comme avalé jusqu’à la moitié. Garance feula et se remit à gigoter. Julie fit donc coulisser le doigt, mais son amie râla :
— Mets en un deuxième.
La jeune femme retira donc le premier puis joignant deux doigts, elle les renfonça vigoureusement. Feulement à nouveau, mais trouvant que les doigts coulissaient trop facilement, et avant qu’on ne lui réclame, elle joint trois doigts et pénétra à nouveau le cul de son amie. L’anus se détendait bien autour de ses doigts, Garance gémissait sans interruption maintenant, son sexe sourdait de cyprine, alors elle saisit son clitoris entre ses lèvres en le pinçant, le mordillant violemment, tout en plantant de toutes ses forces ses doigts dans les entrailles de son amante. Le corps de Garance se tendit, elle n’avait plus que les épaules et les pieds touchant le sol, et jouit avec une intensité que son amie n’avait encore jamais vue. De leur côté, les époux Favre se remettaient de leurs émotions. L’homme assis à sa grande table en bois regardait amoureusement son épouse, il se rafraîchissait d’un grand verre d’eau glacée :
— Je ne sais pas d’où te viennent toutes ces idées, mais je n’ai jamais joui comme cela et sans me toucher la queue.— En plus tu as pu me prendre directement après.
Car ce que Garance n’avait pas vu, c’est qu’alors que son mari se relevait de sa position assez peu respectueuse de son statut de Maire, il n’avait absolument pas débandé. Ayant fini de s’étirer, sa « tortionnaire », voyant des filets de sperme pendre au bout de son gland, se pencha pour les nettoyer d’un coup de langue. Puis elle décida de fourbir plus complètement l’énorme engin, et distendant le plus possible sa mâchoire, elle l’avala goulûment, pensant qu’après un tel orgasme, il allait débander. A sa grande surprise, il n’en fut rien. Après quelques minutes de pompage, léchage et coups de langue, il releva énergiquement sa femme et l’appuya contre l’échelle. Elle râla pour la forme, mais il n’en eut cure et se plaça derrière elle en lui appuyant sur les reins pour qu’elle se cambre plus. Il appuya alors son gland à l’entrée du vagin et poussa doucement, mais fermement.
Il était d’une nature douce, ce qui enchantait en général son épouse, mais cet après-midi, faisant fi de toute prudence, elle lui commanda :
— Défonce-moi la chatte, coupe-moi en deux.
Le cul encore douloureux du traitement que lui avait réservé Marie, il n’eut pas trop de scrupule à lui obéir et d’un coup de hanche de terrassier, il s’enfonça d’un coup, sur toute la longueur de sa bite démesurée. Il tenait ses hanches fines et donnait des coups de reins violents venant chaque fois taper son ventre contre les fesses musclées. Marie gémissait de douleur et de plaisir mêlés, la bite la distendant à l’extrême et venant un peu trop frapper son utérus.
Mais ce jour-là, elle ne voulait pas que souffrir, elle avait des désirs d’anéantissement. L’ordre de marche des derniers hommes du village venait d’arriver au village, ils avaient un mois pour organiser leur départ, déplacer ou vendre le bétail si les hommes restants (deux vieillards et deux adolescents) ne pouvaient suffire pour la tâche. Alors elle voulait oublier et là où certaines femmes auraient pleuré, elle avait besoin de sexe, de douleur et d’orgasmes ravageurs.
La bite coulissait bien, et Marie s’était mise à genoux pour qu’il puisse aller au plus profond de son ventre, qu’elle sente ses organes bousculés à chaque fois. Elle adorait baiser dans l’écurie, l’odeur et la chaleur des bêtes l’excitaient au plus haut point. Elle sentait les animaux intrigués par leur comportement. Ça renâclait dans les étables, on entendait les sabots frapper le sol en pierre, remuer la paille.
L’homme de la montagne habitué aux tâches physiques interminables ne se fatiguait pas et la pilonnait métronomiquement depuis des minutes. Elle sentait le plaisir monter et elle savait qu’il ne jouirait que lorsqu’elle commencerait à l’exciter verbalement. Alors elle profitait pleinement de sa vigueur tout en alimentant la houle de plaisir, qui avait totalement remplacé la douleur, en titillant son bourgeon.
Le visage collé au sol souillé de l’écurie, l’orgasme commença à monter irrésistiblement, alors elle se mit à l’exciter :
— Tu te vantes beaucoup de la taille de ton horrible engin, mais je le sens à peine.— Voilà voilà ..... essaye d’aller plus loin je sens rien.— Tu es déjà fatigué mon chou, ce n’est pas très viril tout ça.— Bourre-moi, défonce-moi ou la prochaine fois que je m’occupe de ton cul, tu pourras plus marcher durant une semaine.
Les yeux hors de la tête, Monsieur le Maire pilonnait violemment sa femme écartelée, les bras en croix, bavant, et qui entre deux gémissements de plaisir murmurait :
— C’est boooon... c’est tellement bonnnnn.
L’homme finit par se vider dans le ventre de son épouse, se retira à bout de souffle, mais sa bite crachant toujours son foutre intarissable, il macula les fesses et le dos de Marie d’un sperme bien épais. Alors qu’elle gisait au sol, souillée de partout, il l’attrapa d’un bras pour la redresser et arrachant d’une botte un peu de foin, il entreprit de la débarbouiller. Il frottait amoureusement le corps de la femme de sa vie en se remémorant leur première rencontre.
Ils s’étaient rencontrés à la foire aux bestiaux en 1910. La maison de ses parents, tous deux instituteurs, donnait sur la place où étaient exposées les vaches. Les paysans avaient mis leur habit du dimanche pour descendre à la ville. Paul Favre était le seul jeune de la délégation des Combes. Il remplaçait le père qui s’était cassé la cheville quelques semaines plus tôt. Marie de sa fenêtre avait immédiatement repéré le jeune homme. Il était plus grand que les autres et portait bien son costume, pourtant un peu court. Il avait une autorité naturelle, aussi bien avec les vaches qu’avec les hommes. Elle le surprit à plusieurs reprises avec un livre à la main, assis sur une souche, surveillant d’un œil les allées et venues, mais concentré principalement sur sa lecture dont elle réussit à reconnaître la couverture à l’aide des jumelles de son père.
N’y tenant plus, elle trouva le livre dans la bibliothèque paternelle et descendit se « promener », comme elle le dit à sa mère. Dire que Paul fut subjugué par cette jeune femme de la ville serait une litote, quant à Marie, la virilité et le charisme, la douceur qui émanait du garçon eurent tôt fait de faire tomber le peu de résistance qu’elle s’apprêtait à lui opposer.
Ils passèrent les deux jours de la foire à discuter littérature, à rire, à se taquiner et aux yeux de tous un couple venait de naître. Aux yeux de tous sauf de la mère de Marie qui voulait d’un meilleur mariage pour sa fille que ce bouseux.
Elle s’employa alors à empêcher toute rencontre, envoyant sa fille au chevet d’une vieille tante à Grenoble. Paul remonta aux Combes, le cœur gros, n’ayant pas eu le temps de la revoir avant son départ. Mais Marie lui écrit alors de longues lettres qu’elle postait chaque jour et leurs échanges devinrent de plus en plus passionnés, de plus en plus amoureux, avant de devenir de plus en plus suggestifs. Dans une de ses dernières lettres, elle révéla son goût pour les étreintes viriles dans les écuries.
— Je rêvais cette nuit que tu étais au pied de mon balcon et que tu criais mon nom. Je me levais alors, et t’apercevant sous le candélabre, je descendais te rejoindre en robe de chambre. Frissonnante, tu m’entourais de tes bras et m’attirais dans l’écurie. Et là, dans la chaleur odorante des chevaux et du crottin fumant, tu me prenais sur une couverture piquante et rêche. Je me donnais à toi toute la nuit.
N’y tenant plus, il descendit effectivement à Grenoble, convainc Marie de le suivre et tous deux allèrent demander le consentement du père. Ce dernier, faisant fi de l’hostilité de sa femme, consentit au mariage. Mais il le fit à la condition que son futur beau-fils se présente à la Mairie des Combes sous les couleurs de son propre parti.
Il était évident que les jeunes fiancés ne purent attendre leur nuit de noces pour consommer leur idylle, et c’est bien dans l’étable familiale, entourés de chevaux de race, que Marie découvrit que son futur mari n’avait rien à envier à ses voisins. Elle en fut autant surprise et effrayée que Paul gêné et embarrassé. Mais bonne fille, elle le rassura en lui demandant juste d’être patient et doux.
Il avait heureusement eu la chance d’être initié par sa cousine, Maité, de dix ans son aînée, qui l’ayant aperçu nu dans la gouille du Portalait, un petit lac glaciaire jouxtant leur chalet d’estive, n’avait eu de cesse que d’être pénétrée par le sexe démesuré du garçon. Elle le rejoignit donc tout l’été dans sa chambrette. On n’y entrait que par la fenêtre le long du rocher auquel le chalet était adossé. Il y avait peu de chance d’être surpris, et les cousins découvrirent ensemble le meilleur moyen d’utiliser le chibre du garçon sans blesser une femme.
Ne pouvant accueillir la totalité de l’engin sans qu’il finisse par lui faire mal, elle tenta la sodomie. Après maintes tentatives douloureuses et maladroites, elle finit par dompter aussi bien son cousin qu’assouplir son derrière bien plus apte que son vagin à engloutir la bête. Elle put enfin laisser son cousin s’exprimer avec toute la vigueur de son jeune âge, sur toute la longueur de son sexe et avec le plaisir de sentir ses couilles frapper son clitoris à chaque coup de reins.
Le rituel était toujours le même. Il lui caressait longuement le corps, l’embrassait de la tête au ventre, prenait le temps de quasiment la faire jouir des seins avant de plonger dans son entrejambe et de lui procurer un premier orgasme avec sa langue. Puis avec précaution il pénétrait son vagin, le distendait à l’extrême avant de donner de petits coups de reins en faisant bien attention de ne pas aller frapper l’utérus. Emplie au-delà du raisonnable, Maité jouissait une seconde fois, en douceur, comme une mignardise avant le plat principal. Puis elle se retournait, tendait ses fesses au garçon, qui commençait par enduire son trou du cul de l’abondante mouille qui avait coulé de son sexe durant les deux premiers orgasmes ; il lui glissait deux puis trois doigts, les faisait longuement coulisser et quand il estimait qu’elle s’était suffisamment détendue, il approchait son dard douloureusement bandé de l’entrée de ses reins.
Il commençait avec douceur, puis une fois la première résistance franchie, il plongeait alors vigoureusement le reste de son sexe dans le boyau de la femme qui gémissait alors de douleur et de plaisir. Le jeune homme pouvait alors se déchaîner durant de longues minutes, ravageant avec délice le cul de sa compagne, sortant son vit tout entier pour le replonger avec rage dans le fondement qui s’ouvrait de plus en plus. Maité perdait alors le sens du temps, son corps se résumait à ses entrailles perforées et elle entrait dans un long et interminable orgasme. Paul pouvait ainsi la pilonner durant des dizaines de minutes sans faiblir. Maité rassasiée, secouée par maints orgasmes, s’effondrait alors sans que le garçon ait joui. Elle le finissait donc à la main, peu encline d’avaler sa pine souillée. C’est quand elle le tançait pour son manque d’hygiène qu’elle comprit que le garçon réagissait aux « insultes ».
Elle put alors décider à quel moment déclencher l’orgasme de son insatiable amant. En caressant Marie dans la grange, il était naturellement hors de question pour lui de proposer de but en blanc à sa future épouse de l’enculer sauvagement sur une botte de foin. Contrairement à sa première expérience, c’est lui qui mena le jeu de cette première étreinte. Il se détacha donc de la bouche de Marie, qui l’embrassait fougueusement et maladroitement, pour l’embrasser dans le cou, lui mordiller les oreilles alors qu’il ouvrait délicatement son corsage. Puis il descendit doucement entre ses seins, faisant courir sa bouche et sa langue autour des tétons avant de les emboucher et les mordiller gentiment. Marie gémissait, les mains posées sur la tête de son futur mari. Il commença à descendre doucement vers son nombril avec sa bouche alors que ses mains se faufilaient sous le jupon pour la débarrasser de sa culotte.
Il allongea alors la fille sur une couverture lancée sur le foin, et plongea sa bouche sur le sexe de Marie qui, en toute confiance, laissait Paul manœuvrer à sa guise et profitait d’un plaisir inédit qui montait irrésistiblement dans son ventre. Lorsque le garçon lui plongea un doigt dans le vagin, elle connut son premier orgasme amoureux qui l’emmena assez loin, au bord de l’inconscience. Paul surpris par la discrétion de cet orgasme, mais aussi par sa durée, se régalait de la mouille qui coulait en abondance du sexe de l’amour de sa vie. Une fois qu’il la sentit calmée, il remonta doucement s’emparer de sa bouche et lui faisant profiter du goût de son propre sexe, il l’embrassa longuement jusqu’à qu’elle reprenne conscience. Marie, blottie dans les bras puissants de son homme, savait instinctivement que c’était maintenant à elle de jouer. Elle descendit alors la main vers l’entrejambe de son compagnon. Elle sentit la puissante bite palpiter sous ses doigts.
Paul l’aida en la sortant de son pantalon. Elle commença par la découvrir tactilement. Sa main n’en faisait pas le tour. Elle descendit jusqu’aux bourses légèrement poilues, qu’elle soupesa, ne pouvant s’empêcher de les comparer aux étalons de son père. Puis elle remonta la hampe et se servant de sa deuxième main, elle l’enserra à la base du gland et commença un léger va-et-vient.
Elle recula un peu pour voir ce qu’elle faisait. La vue de ce sexe bandé lui provoqua une nouvelle onde de plaisir dans le ventre. Onde de plaisir qui s’accompagnait d’un frisson de crainte qu’elle trouva tout aussi délicieux.
Elle continua d’astiquer consciencieusement le sexe du garçon, mais comprenant qu’elle devait faire autre chose, en n’imaginant pas pour l’heure perdre sa virginité, elle commença à donner des petits bisous et des coups de langue au gland violacé. Paul gémit et elle comprit que cela lui plaisait. Tout en augmentant la cadence de son mouvement, elle tenta d’emboucher le sexe en faisant tournoyer sa langue, en essayant de pénétrer le méat comme il avait pénétré son sexe auparavant. Paul comprenant qu’il n’aurait rien de plus ce jour-là et sachant que cela pourrait durer indéfiniment, convoqua ses souvenirs les plus excitants, et particulièrement les insultes les plus efficaces de sa cousine pour provoquer sa jouissance.
Élégant, il voulut retirer le visage de Marie afin de ne pas jouir sur elle, mais elle s’accrocha et colla sa bouche sur le gland, voulant lui offrir ce cadeau. Imaginant alors le foutre jaillir sur le visage de sa belle, Paul jouit enfin dans la bouche de sa bien-aimée, qui essaya de tout avaler, mais dut finalement retirer sa bouche du sexe pour ne pas étouffer et reçut les dernières giclées de sperme sur le visage, dans les cheveux et entre les seins.
Ses souvenirs provoquèrent une nouvelle érection au garçon, qui frottait toujours amoureusement le corps de Marie, devenu rouge et sensible à force d’être astiqué par le foin sec et rugueux. Celle-ci, sentant à nouveau le sexe de son époux battre contre son dos s’échappa de ses bras et courut, nue, vers la maison principale en lui criant :— Viens me réchauffer...
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