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Les Combes

Chapitre 4

Lesbienne
(Où l’on apprend que Garance est tombée folle de désir de Marie, que Julie l’apprend sans qu’elle en soit jalouse et que finalement le couple Favre fantasme d’attirer les deux filles dans leurs joutes sexuelles)
Mais l’espoir de Marie de pouvoir « dresser cette pouliche » avec son mari s’était envolé avec l’arrivée des gendarmes et leurs ordres de mobilisation pour tous les hommes valides du village, soit, excepté deux jeunes adolescents et un vieillard totalement aveugle, la totalité des hommes.
Arrivés à l’aube, afin de prendre par surprise les futurs combattants et ne leur laissant ainsi aucune chance de penser à déserter ou à se perdre dans la montagne, les gendarmes se rendirent directement à la Mairie. Ils trouvèrent un Maire grave et digne et une femme aux yeux remplis de rage, mais élégante dans sa détresse.
Le couple prit en main les choses. Tout avait été organisé en amont et les transferts de bétails, d’une étable à l’autre, avant la montée à l’estive, étaient organisés. Les femmes regroupées par secteur du village.
Marie fut nommée Mairesse suppléante, sa voisine Madeleine, responsable de la laiterie et de la fromagerie. La grande Jeanne serait la responsable de l’armurerie, car les hommes, sachant que le village serait à la merci de déserteurs ou autres voleurs de grands chemins, elles avaient appris le maniement des fusils de chasse et de quelques fusils militaires que les maris avaient déclarés égarés en rentrant de leur service militaire. Le village pouvait compter sur une petite milice d’une quinzaine de femmes capables de défendre des positions préétablies par le Maire et le sergent-chef Gaston, le mari de Jeanne. Les hommes partant à la guerre voulaient se persuader qu’elles sauraient faire fuir les quelques maraudeurs qui seraient surpris par la défense farouche et organisée de leurs femmes.
Les gendarmes exigeaient un départ rapide, au prétexte d’un train à ne pas rater, et les femmes accompagnèrent en fin d’après-midi leurs maris, frères, pères jusqu’au bout du village.Lorsqu’ils disparurent au fond de la combe, et que les ombres froides du soir tombèrent sur le village, Garance, frissonnante, donna le signal du départ.
— Bon les filles, on a encore de l’ouvrage...
La vingtaine de femmes et leurs enfants s’ébrouèrent. Les enfants muets jusque-là, reprirent leurs jeux et leurs rires. La troupe s’égailla, chaque femme retournant finir le travail que leurs hommes avaient laissé en plan.
Marie précédait Julie et Garance, qui la suivaient de près et regardaient ses hanches danser, ses bonnes chaussures de cuir montantes sauter d’une pierre à l’autre du mauvais chemin.Les filles arrivèrent donc à la ferme des Favre avec une certaine excitation et appréhension de la part de Garance, de la curiosité de la part de Julie et beaucoup de tristesse chez Marie. Les draps maculés de leurs ébats de la nuit précédente n’avaient pas encore été changés, et l’odeur d’huiles essentielles se mélangeait encore avec celle de la fumée du poêle et du foin surplombant la cuisine.
Julie vit du coin de l’œil un étrange objet déposé à côté d’un grand pot entrouvert et odorant, mais elles partagèrent immédiatement le labeur du soir. Une fois les bêtes regroupées dans la vaste écurie de Marie qui pouvait toutes les recevoir, elles s’occupèrent de la traite, de les nourrir et de changer la paille. Une fois les bêtes soignées, et une fois s’être lavées, elles décidèrent de partager le repas du soir avec Marie, afin de ne pas laisser la jeune épouse toute seule. Elles grignotèrent un peu de pain avec du fromage pour accompagner la soupe, mais ne se décidaient pas à abandonner leur hôtesse à sa tristesse. Julie, pour rompre la lourdeur du moment, tenta de relancer la discussion et mentionna le pot ouvert d’huiles essentielles et l’odeur entêtante.
Marie, surprise, parla vaguement d’une sorte d’onguent à base de bleuet des champs, d’achillée millefeuille, de badiane, de sarriette...
— Tiens, ma grand-mère la mentionnait toujours comme pouvant redonner de la vigueur aux hommes défaillants.
Marie éclata de rire et Julie demanda alors :
— Et l’objet à côté du pot, c’est pour appliquer l’onguent ?
Le rire de Marie s’éteignit d’un coup et elle devint pivoine.
— Bon à vrai dire, l’onguent permet d’utiliser l’objet dont tu parles, qui est un jouet sexuel que j’ai utilisé hier soir avec Paul et que je n’ai eu le temps de ranger ce matin.
Entre tristesse et amusement, elle se leva pour aller prendre la chaînette qu’elle déploya devant les filles.
— L’une de mes tantes a beaucoup voyagé avec son premier mari qui était officier. Quand il a été trucidé au fin fond de l’Algérie, elle est revenue s’installer au bourg, en veuve joyeuse. J’étais la seule de la famille à lui rendre visite, car mes parents ne supportaient pas de lui connaître tant d’amants. Elle m’a offert plusieurs cadeaux pour notre mariage, tous d’ordres sexuels, dont cette boîte avec cette fine chaînette. Elle en avait amélioré l’utilisation en la faisant tremper en permanence dans cet onguent afin que son usage ne transmette pas de cochonneries aux hommes sur lesquelles elle en faisait usage et qu’elle coulisse plus facilement.
Marie expliqua alors avec force détails comment elle faisait jouir son mari avec cet olisbos plutôt original, et qu’en plus des incroyables quantités de spermes produites durant un orgasme interminable, cela n’atténuait en rien les forces de son mari qui pouvait la prendre tout de suite après, sans aucune défaillance. Une tension érotique avait soudain empli la pièce, et Julie, troublée laissa échapper :
— Avec un tel, enfin il serait dommage qu’il connaisse des défaillances.— Comment ça avec un tel engin ? s’exclama Marie. — Comment peux-tu le savoir ?
Puis voyant que les deux filles s’empourpraient de concert, elle les regarda, suspicieuse :
— S’il y a des choses que je dois savoir, vu que l’on va passer quelques mois ensemble, c’est le moment ou jamais, j’avoue être assez étonnée de devoir penser que Paul m’a trompée avec l’une de vous ou toutes les deux !— Mais non, ce n’est pas cela du tout ! répondit Garance, transpirante et agitée.— Il y a quelques semaines je vous ai surpris à l’étable, Paul et toi, ou plutôt toi et Paul, car c’est toi qui le prenais avec une chaise à traire attachée autour de la taille, et j’ai pu voir que selon le peu que je puisse connaître des sexes masculins, ton mari semble en avoir une énorme, en tous les cas, tu dois la sentir passer, mais c’est tout hein, il n’y a rien eu de plus, et je l’ai raconté à Julie.— Et donc c’est pour cela que tu tournes autour de lui depuis des semaines donc !— Mais non ce n’est pas autour de Paul ! rajouta naïvement Julie.Garance lui lança un regard désespéré, puis baissa les yeux.Marie, amusée et troublée par ses pensées de la soirée précédente, tint à garder l’avantage. Elle ne dit rien et fixa les deux filles. Si elle ne réussit pas à croiser celui de Garance, elle vit les yeux affolés de Julie qui s’était rendu compte de sa bourde. Elle la fixa alors avec une lourde instance. Julie chercha bien du secours auprès de son amie, mais cette dernière ne levait plus les yeux. Elle tenta alors de donner une explication.
— C’est que ce n’est pas Paul qui l’intéresse, mais toi, mais pas dans le sens où tu pourrais le penser, comme une amie, tu vois, elle passe son temps avec moi et elle a besoin de plus.— Donc c’est parce qu’elle cherche une autre amie que toi, « juste comme ça » qu’elle regarde le sol depuis deux minutes, sans oser dire quoi que ce soit ni me regarder. Donc par « elle a besoin de plus », tu veux dire que tu ne la contentes pas, qu’elle cherche une autre femme pour assouvir ses besoins.
Garance vint alors à la rescousse de son amie.
— Non, Julie est une merveilleuse compagne et une amante encore plus merveilleuse, elle me fait jouir et découvrir mon corps jour après jour, en plus elle est patiente et gentille, je me sens si bien avec elle. Mais depuis que je t’ai vue avec Paul, il est vrai que ton corps m’obsède. Nous nous ressemblons tellement que j’ai l’impression que je me vois dans un miroir et cela me trouble beaucoup...
Les trois filles restèrent alors silencieuses. La tension érotique du début de la soirée gagnait encore quelques degrés. Marie sentit que si elle n’en profitait pas à ce moment-là, la magie serait définitivement perdue, et elle voulait garder l’ascendant sur les filles.Elle se leva et alla mettre deux bûches dans le feu, puis se retournant, elle dit à Julie :
— Prends ce foulard et cache-toi les yeux, tu devras nous dire si nous nous ressemblons tellement, simplement au toucher, quant à toi, déshabille-toi ! dit-elle à Garance en se déshabillant elle aussi.
Julie se banda les yeux avec un grand sourire, alors que son amie, les yeux toujours baissés, les joues brûlantes, s’exécutait. Julie dut s’asseoir sur un tabouret au milieu de la pièce, et quand Garance leva enfin les yeux, elle vit Marie, souriante, mais sévère, lui intimer le silence avec un doigt sur la bouche. Puis elle lui fit comprendre qu’elles allaient tourner autour de Julie pour la désorienter.
C’est une fois nue que la remarque de Garance parlant « de se voir dans un miroir » prit tout son sens. Les deux filles paraissaient sorties du même moule. Elles s’observèrent, troublées. Plus d’un mètre soixante-dix, port de tête altier, visage et nez fin, bouche aux lèvres dessinées, cheveux courts à la garçonne, petits seins hauts, fesses fermes en forme de poires, ventre plat aux abdominaux dessinés, elles auraient pu paraître comme des sœurs jumelles. Mais la différence d’âge, donnant à Garance un air d’éternelle cadette timide, accentuait l’autorité et la maturité de Marie.
Elles se mirent donc à tourner autour de la jeune blonde. Marie commença par lui passer la main dans les cheveux, puis Garance l’imita à son tour avant de lui caresser l’épaule et chaque centimètre de peau visible autour de ses vêtements.
Une fois qu’elle estima qu’elle ne pouvait plus se rappeler des positions de départ, Marie stoppa Garance en l’attrapant par les hanches, ce qui fit frémir cette dernière. Puis elle la retourna et la força à présenter ses fesses à Julie. Celle-ci comprit et tendit les mains en avant. Elle palpa le postérieur de son amie, mais ne dit mot, puis retira ses mains. Alors Marie présenta elle aussi ses fesses et elles furent palpées de la même manière. Comme elles avaient vraiment des fesses similaires, c’est à une cicatrice, qui devait dater d’une récente flagellation avec une branche de noisetier par son mari, que Julie put dire que ce n’était pas celles de Garance. Elle l’annonça alors, triomphante.
— Désolée Marie, mais Garance n’a pas la moindre cicatrice sur les fesses...
Marie sourit, mais d’un regard, intima encore le silence à sa complice. Elles recommencèrent à tourner autour de leur amie, mais cette fois en lui enlevant à chaque tour une pièce de vêtement. Quand elle se retrouva le torse nu, les filles se posèrent de part et d’autre de son dos et saisirent chacune un sein de la jeune fille. Garance regardait faire Marie, afin de faire les mêmes gestes, et non pas une caresse à laquelle son amante était habituée et qui aurait pu la trahir. Elles commencèrent à soupeser la lourde poitrine, puis un doigt sur chaque sein, se mirent à faire des ronds autour des tétons, ce qui les fit bander. Garance fit signe avec sa main libre à Marie de pincer le téton en lui faisant un clin d’œil. De concert, elles pincèrent alors les tétons de leur amie qui ne put s’empêcher de gémir de plaisir. Voyant qu’elle se trémoussait sur sa chaise, elles appuyèrent encore plus fort, étirant les pointes le plus possible.
La pauvre fille gémissait de plaisir, et quand elles se retirèrent soudainement pour la laisser s’exprimer, elle donna la fausse réponse au grand plaisir des deux filles. Elles la firent alors se relever, et chacune, tour à tour, elles lui tendirent un sein pour qu’elle l’embrasse, mais en lui empêchant d’utiliser les mains. Ce dont elles ne se privaient pas du tout elles-mêmes, afin de continuer à la déstabiliser. Alors que l’une se penchait pour faire déguster sa poitrine à la bouche gourmande et vorace, l’autre, collée à son dos nu, lui pinçait encore et encore les tétons, la plongeant dans une ivresse de plaisir qui nuisait à son discernement.
Elle se trompa encore au moment du verdict. Les filles finirent de la déshabiller et l’allongèrent sur le lit en lui écartant très largement les jambes. Elles lui posèrent ses propres mains sur sa poitrine en lui faisant comprendre qu’elle devait continuer à les caresser.
Garance se pencha alors entre les jambes de sa maîtresse, et commença à la caresser assez maladroitement, en indiquant à sa complice que ce n’était pas ce que Julie préférait. Elle s’attardait volontairement sur les grandes lèvres, commençait à pénétrer son sexe dégoulinant avec un doigt alors qu’en général, elle aimait être caressée longtemps, particulièrement en s’attardant sur son clitoris, avant d’aller plus avant. Mais paradoxalement, le fait que Julie pense qu’il s’agissait vraiment de Marie lui déclencha quasiment un orgasme bref et généreusement liquide. Garance ne put s’empêcher de plonger la bouche à la source afin d’en récupérer le plus possible. Elle se releva alors, le regard triomphant, et se tourna vers Marie en la fixant droit dans les yeux. Elle lui prit délicatement le visage entre les mains avant de coller sa bouche contre la sienne et de lui partager sa récole.
Marie perdait un peu la maîtrise du jeu, mais accepta néanmoins ce troublant baiser et goûta pour la première fois le plaisir d’une femme mêlée à la salive d’une autre. Elle se pencha alors à son tour sur le sexe de Julie et fit le contraire de son compère, en suivant ses instructions du regard. Elle pinça délicatement le clitoris, le faisant sortir de sa gaine comme une petite bite d’homme, qu’elle commença à branler légèrement. A peine remise de son orgasme, la jeune fille, laissant enfin ses seins tranquilles pour se concentrer sur ce qu’il se passait entre ses jambes, goûtait cette lente remontée du plaisir, les sens exacerbés par le premier orgasme, qui n’avait pas encore libéré la tension sexuelle qui l’habitait. Une fois le clitoris bandé, Marie tendit alors sa langue pour le titiller longuement ; elle jetait des coups d’œil à Marie pour être sûre qu’elle faisait bien les choses.
Alors que les hanches de la fille se mirent à nouveau à onduler, elle reçut la permission de plonger sa bouche dans la chatte béante en faisant pénétrer sa langue le plus loin possible et en frottant son nez sur le clitoris.
— Oh Garance mon Amour, tu vas aussi me faire jouir.
Cette dernière fit signe alors à Marie de joindre trois doigts et de la pistonner énergiquement, ce qu’elle fit, provoquant un clapotis de chair et de liquide qui fut suivi par un nouvel orgasme beaucoup plus violent. Marie ne s’arrêta que quand Julie la repoussa gentiment en se redressant et en enlevant le foulard qui occultait ses yeux.
— Marie ?
Les deux filles éclatèrent d’un rire complice, et bonne joueuse, leur victime se joint à leur rire. Marie s’étendit alors sur le corps rebondi de la jolie blonde et l’embrassa à son tour pour lui partager le goût de son propre plaisir.
Garance s’allongea à son tour et se serra contre les deux corps emmêlés. Alors que les deux filles continuaient à s’embrasser langoureusement, elle laissa courir ses doigts sur le corps tant convoité.Elle commença par dessiner ses épaules, puis redescendit le long de sa colonne vertébrale, et juste avant d’atteindre le bas du dos, elle remontait le long des flancs, faisant frissonner la peau, puis elle contournait le petit sein écrasé contre le buste de Julie. Elle recommença deux ou trois fois le manège, jusqu’à ce que Marie se décale un peu pour lui donner accès à son mamelon. Garance se concentra alors, en faisant de petits cercles concentriques, s’approchant et s’éloignant du téton qui pointait maintenant comme un petit crayon. Marie gémit de frustration et de plaisir, alors la jeune femme le titilla doucement pendant que sa deuxième main s’était glissée entre les deux corps et caressait la vulve de Julie. Cette dernière n’était pas inactive puisqu’en plus d’embrasser encore plus goulûment sa nouvelle amante, elle promenait ses mains sur ses fesses en les malaxant.
Marie, sentant que la main entre leurs deux corps ne lui était pas destinée, se mit à frotter sa vulve sur les phalanges à sa portée. Julie glissa alors une main vers le sexe de Marie, non sans lui titiller l’anus en passant, et commençait à lisser les bords de la vulve avec toute la cyprine qui s’en écoulait. Marie sentait son ventre se tordre de plaisir, et alors que Garance s’était approchée pour lui mordiller le mamelon, ses gémissements de plaisir indiquèrent à Julie qu’il était temps d’offrir enfin Marie à sa compagne. Elle roula alors sur le côté, mettant les deux jolies brunes en miroir, et la bouche de Garance passa du mamelon à la bouche tant désirée ce dernier mois. Elle continua néanmoins de titiller les tétons de la fille d’une main tout en remplaçant de l‘autre, celle de Julie entre ses cuisses. Elle s’empara vigoureusement de son clitoris et se mit, à son habitude, à le branler comme un minuscule sexe d’homme. Julie quant à elle s’était retrouvée derrière leur nouvelle amante et avait décidé de s’occuper de ses fesses.
Elles les avaient écartées au maximum avec les mains pour plonger sa langue dans les replis du petit puits serré, mais très réactif.Marie se laissait faire, se contentant de serrer la tête de Garance entre ses mains alors que leur baiser amoureux se prolongeait et qu’un orgasme inédit se dessinait dans son ventre. Sentant l’anus palpiter sous sa langue et ayant vu les trois doigts de Garance plonger dans le fourreau brûlant juste sous son nez, elle remplaça sa langue par un doigt qu’elle enfonça d’un trait au plus profond du cul bien lubrifié. La double pénétration eut raison de Marie qui se mit à gémir et crier son plaisir, inondant les mains de ses tourmenteuses ; elle sentit tous les muscles de son corps se relâcher de la terrible tension de la journée et jouit longuement, pleurant de bonheur et de tristesse.
Elle se blottit dans les bras de Garance, alors que Julie les recouvrait de la couverture et d’un édredon avant de se coller à son tour dans le dos de sa compagne. Garance ne pouvait exprimer le bonheur absolu qu’elle ressentait d’être dans les bras de Marie tout en ayant donné du plaisir aux deux femmes qu’elle aimait et qui s’assoupissaient. Elle n’avait pas joui, mais savait que cela n’était que partie remise, et s’endormit à son tour, après avoir séché les larmes de Marie d’un coup de langue amoureux.
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