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Les Concours Poétiques

Chapitre 1

La Queue et la Chatte

Divers
Le parti Internationale de la Poésie Erotique (P.I.P.E.) vous présente :

Son second concours, qui s’est déroulé en ce début de Novembre 2022.
LA QUEUE ET LA CHATTE

Rappel des défis :

— Le poème doit compter entre 11 et 22 vers (lignes).— Il devra se présenter sous forme de Fable(court récit allégorique, généralement en vers, qui se conclut par une sentence morale, appelée moralité).
Dix-sept formidables aventurier.e.s de la prose et du sonnet ont osé s’affronter pour votre plus grand plaisir. Nous avons la joie de vous les présenter, dans l’ordre des gagnants.

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1ère place et grand Gagnant


🥇Euphémizm 🥇
Esclave Corbeau, sur Croix de Saint-André, Arborait une posture volage.
Maîtresse Renarde, par cette vue excitée, Lui rendit bien vite hommage : « Hé ! Bonjour, Esclave au Corps Beau. Que vous êtes poli ! Que vous semblez chaud ! Sans mentir, si notre cordage, Donne accès à votre bagage, Vous êtes le pénis que je souhaite glisser en moi.» Ces propos, le corniaud les accueille avec joie ; Et pour montrer sa bonne foi, Il déplie un large sexe, trempé d’émoi.La renarde s’en saisit, et dit « mon bon monsieur, Apprenez que toute moiteur Prend grand soin de celui qui l’écoute. Cette érection mérite ma douceur sans doute. » Le corbeau, heureux et tendu, Hurla, poussant son dard dans le sexe fendu.
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2ème place


🥈 Ardsy 🥈
Le Priape* et les Nymphes*
Un Priape charmant, fut, parait-il, un soir, Admis à s’introduire en un secret boudoir Qu’après lui, l’on ferma de deux tours de verrou. On ne sait si quelque œil marital vint au trou De la serrure ; mais ce qu’on sait sûrement, C’est que l’on reçut bien, ce soir-là, notre amant.
Passent une heure ou deux. la Lune, sur minuit, Nimbe de sa pâleur la scénette qui suit, Et le sire Priape est tout à discourir Devant deux nymphes dont on le voit parcourir L’amande délicate et tendre qu’elles forment. Voici ce qu’il leur chante, à l’heure où d’autres dorment :
- Ô gémelles beautés, cruelles que vous êtes ! Laissez donc s’entrouvrir la porte que vous faites Et laissez que l’on entre au corps de cette dame, Dont la grâce a ravi notre cœur et notre âme ! - Fi de toi, de ton âme, et la grâce, et ton cœur ! Si tu comptes passer entre moi et ma sœur, Dit l’une, aies le respect d’encapoter ta peau ! - On n’entre pas chez nous, dit l’autre, sans chapeau.
Il fait bon rappeler que piment ou vanille, Tout amant découvert s’expose à la béquille.
*Priape : L’un des nombreux surnoms du pénis. *Nymphes : L’un des rares surnoms des petites lèvres de la vulve.
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3ème place


🥉 hélène75 🥉
Monsieur Lechat, comme chaque soir, Dans le whisky noie son désespoir ; La queue en berne depuis des années Sa femme il ne peut plus honorer.
Mais la chatte est toujours très sexy Et lui veut encore jouir de la vie, Si c’est impossible de la queue Alors que ce soit par les yeux.
De candaulisme il rêve chaque nuit, Un inconnu et son épouse en lingerie Cela suffit à lui rendre son bonheur Même s’il n’en est que spectateur.
Après avoir très longtemps refusé De guerre lasse, la jolie chatte a cédé. Cette première fut si enchanteresse Que depuis plus jamais ça ne cesse.
Chaque soir dans la solitude de son lit Tandis que la chatte joue la belle de nuit Ailleurs avec l’un de ses jeunes amants Monsieur Lechat apprend à ses dépends Qu’à trop tirer le diable par la queue On finit en enfer plutôt qu’aux cieux !
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Gakamadria
Leçon de Chatonne
Il y avait, sur le mur des voisins, une chatte rousse Qui se trémoussait sur le bord d’un muret, le soleil cherchant. Elle s’étirait parfois, miaulant de bonheur et le jardin scrutant Elle vit, sinon bondir, du moins lui fuir une étonnante frimousse.
De longues moustaches spiralées et une jolie queue Furent les seuls appendices qu’elle eu le temps de mater : Et paré de si jolies extrémités, l’on ne peut se hâter.Alors, d’un élan majestueux, elle s’engouffra sous les glaïeuls.
Elle, pauvre chatte solitaire, couru du mieux qu’elle pu, Jusqu’à atteindre la clairière où elle allait dominer l’adversaire.Mais en dégageant sa vue, elle ne pu faire qu’un constat amer : Elle s’était faite piégée et bravait désormais huit matous trappus.
Car dans la vie, à trop courir après les queues touffues, on finit par se perdre parmi les glandus.
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Donatien A.F. de Sade
Qui aime bien...
On le prenait pour un don juan, ce chat errant. Sa réputation était faite à toutes les chattes du quartier, Dont celles des bas-quartiers qui, la journée se terrant, Une fois la nuit tombée, en convenaient bien volontiers !
Mais Duchesse savait que ce n’était que des ragots de ruelles, Malgré la première impression que lui avait faite ce Thomas O’Malley. Sa longue paire de moustaches avait le don d’émoustiller la belle, Tout comme sa queue en panache qu’il savait si bien tortiller !
Nul besoin de grands clair de lunes pour entendre les miaulements, Les appels tonitruants au luxe des chattes sur les toits brûlants ! Il y avait fortes montées d’adrénaline quand passait minuit, Lorsqu’il offrit à une féline un voyage au bout de la nuit !
Il y avait une file d’attente pour profiter de ses faveurs, Une prestation éclatante : c’était un merveilleux trousseur, disait-on ! Malgré cela, une seule ne retint à jamais ses petits bonheurs, Il n’était pas homme à changer de chatte comme on change de pantalon.
Il y a matou et matou, les velus, les sans poils et les magnifiques, Ceux qui possèdent vraiment tout, y compris le talent phallique ! Pour Duchesse peu importait si son homme avait jadis connu de jolies mirettes, Il était là avec elle et c’était tout ce qui comptait pour cette minette.
Morale y est s’il en est, quelque chose qui sonne bien, Une maxime peu banale, tiens... « Qui aime bien chatte y vient ! »
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Sunstone
Il était une fois une chatte et sa queue… L’une n’allait jamais sans être accompagnée De l’autre; inséparables ? Oui, pour sûr, mais pas que : Exclusives aussi, nul n’eût pu l’ignorer
Nulle autre minette n’était autorisée A baver, même juste un peu, sur l’appendice; La chatte quant à elle, abhorrait les délices Des étrangères queues voulant la caresser
Une mouche s’en vient, et elle est aboureuse, Attirée par l’odeur de nos inséparables
“Vous sentez bon, ma foi, et je suis travailleuse; Permettez-moi, pour vous, de me montrer capable – Passe donc ton chemin, vilaine envahisseuse, Nous ne sommes de celles devant qui l’on s’attable”
Ainsi s’en fut la mouche, attristée, résignée; Quant à la queue si fière et la chatte si belle, Leurs fragrances finirent par devenir telles Qu’elles ne purent bientôt plus du tout s’approcher…
Retenez donc, amis grivois, cette leçon : Oui ! indissociables sont la chatte et la queue, Mais quand la mouche approche, accueillez-la, voyons ! Ce duo, vous savez, s’en portera bien mieux !
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Slaanesh
Une chatte un peu coquineAvait très envie de pines
Ouverte à toute proposition perverse et lubrique Chatte ne s’interdisait absolument aucune limite
Elle testa nombre de queues, en vraie gourgandine Par une, par deux, par trois, de toute forme et de tous calibre
Longues ou courtes, épaisses ou fines Elle vida moult paires de bourses, éreinta pléthore de chibres
Mais malgré la mâle arrogance et hardiesse A vouloir aux rideaux notre chatte faire grimper
Chaque fois ces rudes braquemarts sont pris de mollesse Et adieu jouissance ineffable et orgasme tant espérés
Trop de mou du zgeg s’insurge Chatte, déçue et rageuse Trop de blaireaux qui ne savent se servir de leurs queues
Sa voisine, tout aussi coquine, murmure qu’elles peuvent bien se passer d’eux Ni une ni deux les voilà en ciseaux, chatte contre chatte, brûlantes et baveuses
Chatte qui voulait prendre son pied comme jamais Est bien servit avec cette voisine perverse à souhait
Orgasmes sur orgasme cette dernière lui fait vivre Bien loin des plaisirs fades de ses amants mous du chibre
Pas besoin, se dit Chatte en ronronnant de plaisir, d’aller chercher des queues à Perpète Quand je peux avoir ma ravissante voisine sous ma couette !!!
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Monsieur Plume
Le chat à neuf queues
En ces temps-là vivait un chat Qui de tous les félins était le roi. Chacun le servait comme un pacha Sans critiques et toujours se tenant coit Car ce tyran, plus que par sa naissance, D’un étrange attribut tenait sa puissance.De queue il n’en possédait pas qu’une Mais neuf - ce qui est vraie perfection. Tandis que ses rivaux jaloux hurlaient à la lune, Toutes les chattes tombaient en pâmoison. Toutes ? Non. Lui résistait la plus belle, Fière, farouche et à jamais rebelle. Il avait beau de ses queues menacer de fouetter, Ou cajoleur, promettre présents et festin de souris Toujours et à jamais le fuyait le succès Car la belle avait bien d’autres appétits Et à la vigueur fantasmée de ces queues Préférait la douceur d’une langue amie ; Plus que d’être chevauchée en mode hippique Cette chatte recherchait des plaisirs saphiques. Moralité : de la puissance et des richesses n’ayez cure, Pour atteindre la jouissance ne suivez que votre nature.
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MaxenceC
La queue et la chatte.
Une femme et un homme perdus sur une belle île. Chacun de leur côté se croit abandonné. Un homme bleu à la force hors du commun, au nez aquilin, possède des yeux aux longs cils.Il se demande, ô combien et comment, il a pu survivre au crash de cet avion brisé. Zut, je suis un Dieu. Me retrouver seul, sur les terres des mortels, à la vie fade et éphémère, la punition ultime. Voici qu’il entrevoit, le bellâtre derrière un buisson, Persephone, déesse du printemps, à la peau et aux cheveux roses. Elle se promène presque nue le long du ruisseau en prenant la pose. Elle dévoile ainsi son corps parfait, aux formes sublimes. Elle est la vie, il est la mort et les enfers, destin impossible. Rien ne peut les rassembler, mais le coup de foudre, le désir, les attirent de manière sensible.Hades, Roy en son royaume bégaye, niaisement s’effraie de ne pas être à la hauteur, pourtant sa virilité le trahit. Persephone en joue, caresse ses cheveux en queue de cheval, ouvre sensuellement sa tunique en soie rare. Elle le voit, il la voit. Un seul regard qui pétille, même si tout les sépare. Elle aime cet homme fragile, pour lui, elle se fait chatte, elle ronronne, elle en jouit. Apollon lui a fait du mal, elle veut oublier, elle n’a plus confiance. Paradoxalement Hades la rassure avec douceur et patience. Un couple se forme, fusionne. A des étreintes câlines succèdent des ébats. Ils deviennent plus sauvages, intenses, une queue et une chatte, et sont de ceux qui mettent dans tous les états. Moralité : Dans la différence de l’esprit et du corps, l’amour peut naître.
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The Punisher
Il était une fois en la contrée lointaine de Xtory, Madame Chatte qui attendait l’arrivée de son taxi. Monsieur Queue est en route pour prendre sa cliente, Qui l’attend avec impatience chargée de ses emplettes. Monsieur Queue s’arrête enfin et ouvre son coffre, Tandis que Madame Chatte s’installe il se dit "voyons ce qu’elle m’offre". Dans le rétroviseur la vue d’un décolleté impudique, Fait durcir la verge de son propriétaire lubrique. Monsieur Queue à très envie d’une bonne bourre, Mais Madame Chatte n’en n’a cure. Monsieur Queue cogite à comment faire son affaire, Ce qu’il ignore, c’est que Madame Chatte est Commissaire. Il s’arrête dans un coin isolé dans le but de la tripoter, Mais il fini par se retrouver menotté. Tel est pris qui croyait prendre, C’est Monsieur Queue qui s’est fait prendre
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Moochette
Une chatte sans queue se languissait de n’en posséder aucuneElle allât en quémander une auprès d’un matou sans burneMon gros chat, mon minou, des queues tu en as deuxPrêtes m’en une que je profite d’elle juste un petit peu
Ca va pas la tête ! s’écria alors le pauvre vieux castré Les humains dans leur vilaine manie de tout châtré Ont déjà sorti mes gonades de mes jeunes boursesPour que plus jamais je ne parte en folles courses
Auprès des minettes à la croupe fièrement relevée Qui me narguaient et jouaient les belles Écervelées Finissant toujours par m’engueuler et me fustiger Car ma queue, pour finir, les avait soit disant blessée
Alors, je garde ma vieille queue flasque par devers moi Sois heureuse et contente déjà de ce que tu asCar ta queue est peut-être aux abonnés absentsMais de ton ventre, encore, peuvent sortir tes enfants
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Durandal71
"Morne queue"
Ô ! Morne queue, qui devant la chatte défaille, Dresse toi sereine, et brave cet orifice ! Libère bien ton foutre au creux de ses entrailles Écoute la crier sous ce doux bénéfice.
Elle est là devant toi, ouverte et bienveillante, Qu’attends-tu pour la prendre et la laisser brisée Sous de jolis assauts, la laissant haletante Et à jamais soumise à cette queue dressée ?
Alors la queue se dresse et pénètre cette antre, Elle y glisse au profond du jardin interdit Car il ne faut jamais, laisser attendre, diantre, La femelle en chaleur qui t’attend en son lit !
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Armonia.fred
La ronronthérapie, vous connaissez ? Trois chats discrets m’entourent, Prénommés en O et en A Pour m’apaiser, chacun leur tour, Tendrement, se laissent caresser.
J’aimerai que l’épouse, leur maîtresse, Sans queue, ni tête, cachant son intime velours,Tant aimante, pourtant, achevée d’un Y,Me laisse, parfois, libérer son bouton d’amour.Et de mes griffes, le lustre de la perle, je caresse. A la longue, je préfère m’abstenir.Maintenant, à quoi m’en tenir ? Car c’est bien connu, une chatte, Si féline, retombe toujours sur ces pattes…
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toutendouceur
LA QUEUE, LA CHATTE ET LA MORT
Une trop vieille Queue, la veine exténuée, Sous un pouce calleux aussi bien que tremblant, Rubiconde et renflée, titubait sans allant, Et lassait du ressort l’affaire insinuée.A deux pas se toilette, impassible au sieur,Une mère Chatte, songeant l’iris voyeur, Quel plaisir n’a-t-il eu depuis qu’il est au monde ? Qu’arrache-t-il encore à la machine ronde ?Sans limite parfois, et jamais de repos. Sa femme, des vierges, un parent, quels suppôts ? Quel fantôme est à sa corvée ? Ci fait du monstre usé la peinture achevée. La queue prie à la Mort. Elle vient sans tarder, Lui demander ce qu’il faut faire. « Ma petite, c’est pour m’aider À redresser mon bois ; tu ne tarderas guère. »Le trépas vient tout guérir ; Mais ne bougeons d’où nous sommes : Plutôt mollir que mourir,C’est la devise des hommes. Et la Chatte sait bien qu’eux, S’éclairent mal à la chandelle.
(D’après LA MORT ET LE BÛCHERON - Jean De La FONTAINE)
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Norcle
La queue et la chatte
Par un soir de printemps, sur le chemin des champs, Minette allait gaiement, trottinant insouciante. Ainsi elle ne vit pas Monsieur Queue, ce méchant, Caché derrière un arbre, attiré par sa fente.
Attention ! Derrière toi ! Pauvre petite chatte ! Monsieur Queue se redresse, et c’est toujours ainsi : Dès qu’il voit une minette, il s’excite et a hâte De gagner en longueur, surtout d’avoir grossi.
D’un bond notre Queue saute et Minette sursaute, Puis choit dans une flaque. Humide, elle le tente : Il commence à grandir. Et trempée, qu’elle est "hot" ! Plus la chatte est mouillée, plus le désir augmente.
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SexyCatherine
C’est l’histoire d’une petite queue, appartenant à Léon, En quête d’un refuge, où il pourrait se reposer. Il fit un dur chemin, très dur et très long, Et allait presque abandonner. Mais enfin, il aperçut une jolie cave, C’était le sexe de Charlotte. Bien confortable, bien douillette, Dissimulée entre les hautes herbes blondes. Il écarta délicatement l’entrée de la grotte, Avant de la pénétrer avec douceur. Il eut un sentiment de plaisir, Enfin, se dit-il, j’ai trouvé un abri. Elle eut un sentiment de plaisir, elle aussi, Puis lui dit de ne pas s’en aller. Et la queue resta dans sa cave, Pour le reste de sa vie. C’est pour cela qu’on nous dit, Toujours persévérer, et tu trouveras ce dont tu as envie.
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Clothilde092
"Une chatte délurée, bien dans sa peau, Fut, dans une soirée, à une queue présentée. Polie, comme on le lui avait enseigné, Elle la salua et puis vers une sœur fila.
Surprise par cette fin de non-recevoir, La queue la suivit sans y être invitée. Notre chatte, avec sa complice dérangée, Vers d’autres horizons plus calmes s’éclipsa.
Tenace, la queue derechef à leurs ébats s’invita. Non contente de regarder elle voulut participer. Et se forcer un passage sans y être autorisée, Peu importait quelle chatte serait mouillée.
Nos minettes, importunées et fâchées, Face à l’intrus fermement insistèrent pour Qu’ailleurs il aille ses avances proposer. Celui-ci protesta de ses bonnes manières.
Vraiment, répondirent-elles en cœur, Que tu nous mates, nous le pouvons tolérer. Mais hors de question d’accepter Qu’à nos miaulements tu viennes te mêler!
Moralité : Par les chattes snobée, pour prendre son pied Cette queue a besoin d’un bon coup de main!"

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Encore une fois, nous avons été très heureux.ses avec Sue Mizan Bush, de vous offrir ce divertissement. Nous espérons bientôt vous offrir un nouvel évènement. Notre vocation est de promouvoir la poésie auprès de tous.tes les visiteur.se.s du site et sommes fier.e.s de pouvoir vous proposer ici une œuvre collective.
Poétiquement Dom Y. Nickenique P.D.G du parti International de la Poésie Essentielle (P.I.P.E.)
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