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Les confessions de LaLupa, soumise sexuelle

Chapitre 2

Je te ferai aimer tout ce que tu as toujours refusé

SM / Fétichisme
Partie 2 : « je te ferai aimer tout ce que tu as toujours refusé »
Même si je ne suis pas une coincée sexuellement, que je suis une vraie jouisseuse, que j’aime baiser et souvent, que j’ai fait certaines choses dans mon passé de jeune fille pas toujours très avouables, je vois bien dès la première séance, qui était l’entrée en matière, que je vais sortir de ma zone de confort... vite et bien. J’ai l’impression que je vais avoir une formation accélérée bien dans les règles.
Comme beaucoup de femmes, j’ai beaucoup fantasmé sur la sodomie sans la pratiquer, car j’avais essayé une fois... et mon Dieu... j’ai eu mal à mon trou de balle pendant plusieurs jours. Du coup, je me contractais tellement quand mon conjoint a essayé plusieurs fois qu’il avait renoncé se limitant à y mettre les doigts.
Quand avec Monsieur nous avons abordé le sujet, je lui ai dit direct que c’était quasi impossible parce que j’ai de gros soucis de colopathie fonctionnelle, que j’ai un anus sensible, voire hyper-sensible... et qu’il faut que je sois douce avec cette partie de mon corps si je ne veux pas avoir de gros soucis.
Évidemment, ça l’a fait rire doucement, se moquant de moi en m’imaginant aller demander un certificat médical au médecin pour interdire la sodomie. Eh ben moi, ça ne me fait pas rire du tout cher Monsieur... mon trou du cul est sensible, il faut le ménager !
Mais je sens que c’est l’une de ses obsessions... et je revois alors en tête le clip de Mylène Farmer « pourvu qu’elles soient douces ».
Depuis vendredi 13, nous continuons nos échanges en messagerie, entre les confidences intimes et perverses à faire, les vidéos qu’il m’envoie pour que je manifeste mon intérêt ou au contraire que je mette des vétos afin de cerner mon profil.J’ai vraiment du mal avec ce vocabulaire cru et les mots qu’il emploie à mon égard... me traitant de chienne ou de salope, me demandant d’employer un vocabulaire que je n’emploie habituellement que lorsque je suis très en colère. Dans la vie courante, j’ai un langage assez fleuri naturellement, mais là... mon Dieu que c’est dur pour mon cerveau.
Puis petit à petit, je m’habitue à ce qu’il me dit tout en lui faisant comprendre que pour moi la soumission n’a pas forcément la même signification que lui.
Quand il me fait lire les échanges avec ses autres soumises... je suis sidérée. Même si je sais que ces personnes ne jouent qu’un rôle, ça fait bizarre quand même de lire ce qu’il leur demande... je ne m’imagine pas une seconde dans ce genre de situation. Mais peut-être que je me plante complètement sur ce que je suis vraiment au fond de moi et que je vais découvrir dans cette expérience des aspects de ma personnalité qui m’avaient échappé jusqu’à présent.
Ce qui revient souvent dans nos échanges, c’est qu’il arrivera à me faire faire des gorges profondes (ah oui là aussi c’est un calvaire pour moi... j’ai l’impression que mes tripes vont remonter et sortir... c’est horrible), à me faire lécher son cul... technique qui porte le joli nom de « feuille de rose »... enfin bon... Il ne faut pas se mentir, aller mettre sa langue dans une fente et dans un trou du cul, il y a plus sexy pour fantasmer. Puis moi et mon nez hyper-sensible... si ça sent mauvais... je ne peux pas !
Puis arrive l’obsession de Monsieur, la sodomie qui me parait être l’ascension de l’Everest en termes de difficulté... pour moi qui la refuse depuis si longtemps. Je ne vais pas jouer la fière sur ce coup-là.
Je ne savais pas encore ce qui allait me tomber dessus le mardi 17 septembre entre midi et quatorze heures.
Mardi 17 septembre 2019
Nous avions bloqué ce créneau pour approfondir le test de l’antipasti... et pour le coup, je vois dans mon esprit que je vais avoir droit à l’entrée, le premier plat, le deuxièem plat... et le bouquet final... l’explosion en vol.
Donc je me prépare pour ce premier vrai test et plus l’heure avance, plus je commence à devenir... nerveuse. Ça fait longtemps que je n’ai pas pratiqué ma sexualité avec un autre homme que celui qui partage ma vie depuis trente-cinq ans. Donc forcément ça va être... très différent. Mais avant toute chose, je ne sais pas du tout comment mon corps va réagir... car "Monsieur mon corps" vit en toute autonomie, il a des réactions physiques tout seul dans son coin sans consulter mon cerveau... donc c’est tout l’un ou tout l’autre.Ou j’accroche tout de suite avec Monsieur, et alors ça va être topissime... ou alors je découvre que non, finalement ce n’est pas possible... alors là on est dans la merdasse. Étant en apprentissage soumission, j’apprends que si je ne réponds pas à ses questions ou ses ordres, il me colle une punition.
Donc en théorie, comme c’est le dominant, c’est lui qui devrait avoir les « blancs » aujourd’hui et commencer la partie.
12h10 il arrive, j’ouvre ma porte et lui assène direct :
— Bon ! Monsieur a dix minutes de retard, donc je commence.
Il se dirige vers notre canapé de travail où nous sommes habituellement, s’y assoit, m’attends avec ses petits yeux rieurs, l’air de me dire « je vais voir comment tu t’en sors ma petite ».
Je me dirige vers lui et je monte sur lui à califourchon lui mettant sous son nez mes deux gros seins au balcon. Tout mon corps est en tension, j’ai un tel désir de lui et du plaisir qu’il va me procurer (car je n’ai aucun doute là-dessus, je le sais déjà) que j’ai l’impression que je vibre si fort qu’il peut l’entendre ou le sentir. Lui en revanche a l’air tout à fait à l’aise dans ses pompes... il m’agace un peu sur ce coup-là.
Comme la première fois, il se précipite sur le droit (pourquoi pas le gauche ?? poverino !!) qui se prend le même assaut que la première fois. Il le prend dans ses deux mains, le presse comme pour en faire sortir du jus (non, non il n’y aura pas de montée de lait, j’ai passé l’âge) et se met à le téter de plus en plus fort tout en croquant mon bout tout rose... qui a gardé un souvenir mémorable de la fois précédente.
Comme le vendredi treize, je me sens partir, lâcher complètement prise dans ses mains qui me malaxent... vous savez... ces mains que je regardais parfois en me demandant ce qu’elle pourrait me faire... ben voilà nous y sommes, je commence à entrevoir tout ce qu’elles me feront bientôt.
Pendant qu’il s’occupe de mes seins, le feu s’empare de mon ventre et je commence à onduler sur son pantalon, je me penche aussi sur son cou pour me frotter contre son odeur et lui passer ma langue.
Bien évidemment, il ne me faut que quelques secondes pour commencer à mouiller la culotte puisque je suis carrément en train de me masturber sur son pantalon à la recherche de la tension de sa verge sous le tissu. Alors je ne sais plus si à ce moment-là il m’a pénétrée alors que j’étais sur lui... là j’ai un blanc... mais je crois bien que oui.
Ce qui va suivre n’est pas forcément dans l’ordre, car nous avons basculé dans un autre monde où l’espace-temps et la chronologie des positions deviennent imprécis.
Donc si je me souviens bien (vu que mon cerveau a commencé à lâcher l’affaire au bout d’un moment... tellement je suffoquais), après la séance de tétons il me retourne, m’enlève ma culotte et commence à me fesser mon postérieur. Je sens ses mains qui s’abattent avec fermeté, mais sans violence à des endroits précis de mes fesses. Il m’avait expliqué que cela servait à réactiver la circulation du sang au niveau de l’anus et que cela décuplait le plaisir. Je reçois donc ses claques sur mes fesses et contre toute attente, je me retrouve dans la position de cette petite fille que j’étais qui recevait sa fessée parce qu’elle avait été rebelle ou insoumise... et dieu sait que j’en ai reçu beaucoup, car je tenais tête aux adultes... et avec Monsieur, j’ai parfois cette sensation d’être une petite fille, ce qui est inédit pour moi.
Alors que ses mains claquent bruyamment sur mes fesses, j’en ressens un plaisir inattendu quand je perçois la chaleur qui se répand et se répartit comme il me l’avait expliqué.
Il me la promettait depuis des mois... et bien voilà tout arrive à temps pour qui sait attendre... Donc je dois avouer que je l’ai appréciée ma première fessée consentie, car non punitive.
Je crois qu’ensuite il s’allonge et me fait faire une fellation. Je me retrouve donc mon nez dans ses couilles à identifier plus en profondeur son odeur, à les lécher pour m’en imprégner puis à lui sucer sa bite qui se tend de plus en plus.
Ah oui je ne vous l’ai pas dit, mais Monsieur a une autre obsession. Interdiction de gâcher la moindre goutte de son précieux jus, donc je vais devoir tout avaler... moi qui ne l’ai jamais fait. Bon, bon... on verra bien.
Donc après cette partie-là, je sais qu’à un moment je me suis retrouvée allongée avec la tête légèrement inclinée sur l’accoudoir pour que Monsieur tente une intrusion dans ma bouche dans une position très atypique spécifique gorges profondes.Je le vois alors derrière moi qui s’avance bite en tête pour l’introduire dans ma bouche, mais surtout dans ma trachée.
C’est un truc de dingue, déjà j’ai l’impression que sa queue est encore plus volumineuse... et j’ai surtout l’impression que je vais avoir des haut-le-cœur terribles à m’en faire péter la mâchoire. Évidemment comme c’était la première fois... mon corps a rejeté la position.Donc Monsieur voyant mes difficultés, arrête et surtout vient devant moi, me lève les jambes et dans la position de l’enclume, il commence à faire son va-et-vient dans mon vagin qui se lubrifie au contact de sa queue... puis il en sort brusquement, se lève, me tire la tête vers le bas en prenant mes cheveux, puis enfonce sa bite dans ma bouche pour éjaculer au fond... Du coup j’ai avalé sans me rendre compte et surtout sans aucun dégout... encore une première !Alors très franchement... je n’ai pas eu le temps de réfléchir à ce qu’il était en train de me faire.
Puis vient le bouquet final... mon dépucelage sodomique. Alors que je lui avais bien dit toutes mes difficultés, je commence à le sentir mettre ses doigts dans mon petit trou pour débrider doucement l’entrée.Au bout de quelques minutes de farfouillage anal et lubrification de la zone sensible à l’huile d’Argan, il me plaque contre l’appui du dossier sur le canapé, la tête légèrement inclinée aussi vers l’avant du dossier où je prends une position pouvant l’accueillir.Après sa minutieuse préparation (où nous avons bien ri, car je n’arrêtais pas de lui dire qu’il n’y arriverait pas), je sens alors sa bite qui doucement rentre péniblement dans mon anus tout sensible.Je commence par avoir mal au niveau du sphincter et je lui dis.
Il est très patient donc tout se passe avec beaucoup de délicatesse. Je reste baba quand je sens son membre s’introduire dans mon anus, le dépucelant. La douleur est assez vive, mais sentir son pieu me pénétrer ainsi devient presque une victoire. Il remettra de l’huile d’argan en cours de pénétration, ce qui permettra à sa pine de rentrer sur toute la longueur... je m’en rends compte quand d’un seul coup je sens son ventre qui touche mes fesses... et là je suis béate d’admiration... il a réussi à faire ce que nul autre n’avait pu... le petit miracle du jour.
Après la douleur, viennent déjà les prémices du plaisir anal... je le sens immédiatement... que je vais en redemander. J’en suis très agréablement surprise. Je m’attendais à une douleur violente et durable. En fait, je me surprends pendant l’acte à gémir de plaisir.Quand on arrête, une heure trente se sont écoulées. Nous nous écroulons sur le canapé tous les deux. Nous avions perdu la notion du temps et nous sommes presque étonnés de la longueur de cette séance.
Je suis sortie du canapé les jambes coupées, le mascara qui avait coulé et le sentiment d’avoir passé le meilleur moment de ma vie sexuelle.Je crois avoir beaucoup couiné comme il dit, et de lui avoir glissé un « je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux ».Alors oui je peux le dire, sans contrefaçon, Monsieur est un bon coup, je dirais même le meilleur que j’ai rencontré. D’ailleurs, je lui exprime quand notre séance s’achève par un BRAVO retentissant et sincère. Ce qui le fait sourire.Oui, bravo de m’avoir donné autant de plaisir en une heure trente, d’avoir forcé deux barrières sans que je m’en rende vraiment compte : avaler le Sperme et ma première sodomie.Depuis le début, il me le dit « je te ferai aimer tout ce que tu as toujours refusé »... je suis obligée de l’avouer : « oui Monsieur, c’est encore vous qui aviez raison »... comme souvent.
Après cet épisode plus qu’agréable, Monsieur part quelques jours en vacances familiales.
Commencent alors de longues séries d’échanges téléphoniques, tchat, et emails sur mes fantasmes, nos attentes respectives en termes de plaisir, on s’échange des vidéos ou des photos de nos parties intimes... moi qui aurait détesté faire ça avec quiconque avant... me voilà encore prise à nos jeux d’enfants... car c’est bien de cela qu’il s’agit parfois « cap, pas cap ».Quand je vois arriver les photos de sa bite en érection, je me mets à saliver... j’ai une furieuse envie de l’avaler, direct, sans préavis. Bizarre comme réaction... Même si je ne comprends pas... pourtant j’ai l’habitude de sucer mon conjoint.
Malgré nos âges respectifs, même si je suis plus jeune que lui de huit ans, je ne suis plus une jeunette, mais quand nous sommes ensemble, nous sommes des garnements espiègles et joueurs. Nous n’avons plus l’âge de nos artères.
Il sait que s’il me lance un défi, je vais le relever immédiatement... tout comme si je remets en doute certaines de ses capacités... il s’empressera de me prouver que j’ai tort.
D’ailleurs, en y réfléchissant, je crois bien que le fait déclencheur de notre passage de l’autre côté de la lune était une phrase assez anodine que je lui avais écrite dans notre Whatsapp commun dédié à notre binôme où je lui disais que tout ce qu’il m’écrivait depuis la veille n’était que du blablabla, et alors là d’un seul coup, j’ai senti que je l’avais piqué aux fesses et qu’il allait tout faire pour me prouver le contraire. Et ben voilà... j’ai gagné.
De même, il croyait que j’allais me dégonfler ou que je mettrais du temps à ouvrir les hostilités... et ben loupé ! J’y suis allée, mes obus de cent en première ligne... et là, le premier tir a été le bon. Droit au but, et l’attaque-surprise était la meilleure des solutions... celle qui fait gagner du temps, radicale, ça passe ou ça casse.
Pas le temps de réfléchir à quoi que ce soit. Se laisser porter par le courant, prendre la vague et la laisser nous porter vers les plaisirs de la vie... il n’y a aucune stratégie à mettre en place, ni de but, juste le plaisir au jour le jour, rien que cela... tout cela... et à nos âges... le temps ne se perd plus, il doit être optimisé et ne produire que des moments positifs. Prendre ce que la vie nous apporte sur un plateau... et rien d’autre.
Cela ne fait que quelques jours que tout a commencé et il me fait déjà faire des choses qui auraient été inimaginables avant ce vendredi treize septembre... et il est clair que ce n’est que le début.
J’ai l’impression que toute ma vie sexuelle qui a précédé ce moment c’était "avant". Il y a toujours un avant à toute chose... et un après... nous sommes au tout début de « l’après ».

24 Septembre 2019- troisième séance d’apprentissage retour de vacances.
Autant vous dire qu’après l’échauffement psychologique qu’il m’a fait subir pendant son absence, j’ai bien l’intention de le bouffer tout cru à son retour. Je suis littéralement en manque de lui.Je lui propose donc qu’il fasse un détour chez moi pour remettre le couvert et regoûter certains plats, pour être sûre de leur saveur.
Je vais donc le chercher à la gare. Dès qu’il monte dans la voiture, son odeur percute mon nez de plein fouet avec effet immédiat du cerveau à ma vulve qui se contracte et s’échauffe toute seule.
A peine arrivés, nous passons directement du garage à la chambre du plaisir qui se situe dans mon sous-sol. Nous savons que le temps est compté, car il doit rentrer rapidement.Il se précipite immédiatement sur mes seins pour les caresser. J’ai pris soin de les laisser libres sans entrave sous ma longue chemise... il m’avait indiqué les préférer ainsi. Il peut donc jouer plus facilement avec eux et les croquer à souhait... ce qu’il fait à merveille.
Je commence déjà à être addict à cette façon bien à lui de les prendre entre ses deux mains et de les presser pendant qu’il les suce et les mordille à la fois. C’est très particulier et très intense du point de vue sensitif. D’ailleurs, il commence à me laisser des traces de ses passages rapprochés, entre les petits bleus qui marquent ses doigts ou les gros bleu autour des tétons qu’il martyrise avec sensualité. Du coup, je suis devenue une adepte de l’Arnica en homéopathie 9ch, deux granules trois fois par jour... je donne la solution aux copines qui ont ce genre de problème.
Quand il se lâche sur mes seins, j’aime me pencher sur sa tête pour l’embrasser doucement et me frotter à lui comme les chats le font pour vous marquer de leur odeur et s’imprégner des vôtres.
Je n’arrive toujours pas à me lancer à prendre sa bouche pour y glisser ma langue gourmande et avide. Effectivement, ce genre de relation ne s’y prête pas. Dieu sait que j’en ai envie, car pour moi cela fait partie des préliminaires, c’est un ensemble. Mais là, je me mets une barrière naturelle.
D’un seul coup, il lâche mes mamelles et se presse sur mes fesses dénudées pour m’infliger une fessée... plaisir. Comme la fois précédente, je me sens réduite à mon état de petite fille sous l’effet de ses mains fermes... et j’aime ça. Pour une raison qui m’échappe, j’aime que cet homme prenne l’ascendant sur moi... depuis le début de notre collaboration, je le laisse me diriger, je me mets en retrait derrière lui... instinctivement, naturellement alors que je suis le parfait profil de leader à la maison comme au boulot, c’est plutôt moi qui dirige tout.
Dans nos parties de jeux sexuels, c’est encore pire... ou mieux. Mieux est plus approprié. Je le laisse me diriger en totale confiance, je m’abandonne complètement à lui, à ses mains.
Après cette petite fessée, il me prend la tête entre ses mains pour l’amener vers sa queue et ses couilles toutes tendues qui ont été enfermées pendant plusieurs heures dans son pantalon serré. Je m’attends à être gênée par l’odeur et là... oh surprise... pas du tout, je me précipite pour me frotter le nez dans son pubis et commencer à lécher son gland et ses burnes toutes rondes. A la troisième séance, je commence déjà à le sucer différemment. Ses leçons commencent déjà à porter leurs fruits.
Dorénavant, j’arrive à faire descendre plus de la moitié de sa verge dans ma bouche et ma gorge. J’avoue que des fois... ça coince un peu... mais bon, il y a quand même du mieux.
D’ailleurs, il a l’air d’apprécier l’exercice et les progrès de son apprentie pour finir par éjaculer au fond de sa gorge.
Au bout d’une heure de plaisir, je dois le ramener... Un peu frustrée de ne pas avoir eu un peu plus, mais je me résigne, car il a des contraintes familiales qui sont prioritaires aussi à mes yeux... et surtout je sais que trois jours plus tard... je l’aurais tout à moi pour deux heures... et là c’est moi qui mènerais la danse... au début. J’attends ce moment avec beaucoup d’impatience et d’excitation.
Ce sera son anniversaire... ce sera cadeau du début à la fin de la séance. Bon OK je suis apprentie... mais j’en ai sous le pied et j’ai bien l’intention de lui faire entrevoir un peu plus de sa Louve... step by step.Il essaie toujours d’en savoir plus sur ce qui se cache derrière mes portes secrètes... mais si je lui dis tout dès maintenant... il ne sera jamais surpris... et c’est ça que j’aime : Surprendre.
Ah Monsieur aime les salopes ? Elles peuvent prendre différentes formes, elles ne sont pas toujours avec des guêpières et talons hauts. Un simple décolleté mettant en évidence une poitrine généreuse... peut vous transformer en la pire des salopes... et surtout dans le comportement... et là je peux être la première de la classe sans avoir l’air d’y toucher, et c’est ça le plus intéressant.
Rendez-vous est pris pour fêter dignement son anniversaire, je vais devoir faire preuve d’imagination.
(A suivre)
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