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Les confessions de LaLupa, soumise sexuelle

Chapitre 3

Bon anniversaire cher Monsieur : au menu feuille de rose, tétons et french kiss au chocolat

SM / Fétichisme
Partie 3 : le 25 septembre 2019 "Happy Birthday to you"
Voilà plusieurs jours que je prépare l’anniversaire de Monsieur.
Pour commencer, je lui envoie un message d’amitié très profond, une déclaration pourrait-on dire de ce que je ressens pour lui depuis le début. Je l’accompagne d’un poème écrit pour celui que je considère déjà pour une des personnes qui aura le plus compté dans ma vie, humainement parlant, pas seulement sexuellement. Il est si important pour moi que je n’hésite pas à lui dire, bravant ma réserve naturelle, ma pudeur émotionnelle. Sur le plan de notre relation Dominant/Soumise, j’ai envie de lui faire plaisir, de me dépasser.
Sachant que nous avons une réunion de travail prévue entre 12 et 14h, j’ai prévu une séance pour la précéder. Je l’attends de pied ferme. Il se souviendra de la séance 4 de l’apprentie... en tout cas c’est mon intention.
Il arrive à peu près à l’heure. Je lui demande de se rendre dans la chambre de nos plaisirs et de s’y allonger à plat ventre... nu.
Je prépare du chocolat chaud et je descends simplement vêtue d’une chemise qui s’ouvre sur le devant afin de pouvoir libérer mes seins facilement pour faciliter l’accès à Monsieur.
Cette fois-ci, je commence la séance et je décide d’attaquer directement par une feuille de rose... au chocolat tiède. Comme je refusais de le faire à la base, mais que j’aime bien les challenges, je décide donc de mon plein gré de lui offrir ce petit cadeau, même si je sais que ses précédentes soumises lui en faisaient des "en veux-tu, en voilà"... mais la mienne sera la première de notre « relation ».
Je m’enduis les doigts et répands le chocolat dans sa fente, son cul et un peu sur ses couilles. Il doit sentir la douce chaleur se répandre sur sa peau et trouver cela très agréable.
En grande gourmande que je suis, je me mets littéralement à laper le chocolat fondu. Je lui lèche goulûment son anus, son périnée et ses couilles. Subitement, je sens mon cerveau qui commence à déconnecter et ma version animale qui prend le dessus.
Je retartine un peu de chocolat et ma langue envahit totalement sa zone anale. Je gémis de ce plaisir inconnu qui se répercute dans ma chatte qui s’ouvre à chaque coup de langue que je lui assène.
Je me saisis d’un bout de bois dont on se sert pour faire de la digipuncture faciale et lui enfonce dans son anus en faisant un léger va-et-vient pendant que je me concentre sur ses parties génitales en les gobant, les léchant avec cette gourmandise qui me caractérise. Je n’ai jamais pratiqué avant et pourtant les gestes me viennent naturellement.
Sa queue se tend sous l’effet procuré par cette feuille de rose gourmande et il soulève ses fesses pour la libérer. Je m’empare immédiatement de sa bite en érection qui s’offre à moi. Elle est particulièrement gonflée et moelleuse à souhait.
Je fais mine de vouloir me glisser sous lui, mais la position n’est pas aisée. J’essaye malgré tout de prendre son pieu dans ma bouche le plus profondément possible pour le faire glisser dans ma gorge.

Je ne me souviens plus ensuite de tout ce qui s’est passé parce qu’avec Monsieur, les séances sont vraiment mouvementées.
En revanche, ce dont je me souviendrais jusqu’à la fin de mes jours, c’est la façon dont il m’a sodomisée et qui deviendra ma position favorite par la suite.
Alors que je ne m’y attends pas du tout, il me plaque sur le lit à plat ventre la tête entre les deux oreillers. Je sens que je vais passer un drôle de quart d’heure... mais j’en mouille d’avance. Il ne faut pas oublier qu’il y a encore quinze jours, je n’avais jamais goûté à cette pratique donc je suis encore serrée à cet endroit.
Il me prépare doucement mon sphincter en faisant glisser ses doigts enduits d’huile d’Argan pour faire un doux va-et-vient préparatoire de la zone. Il est très patient dans les préliminaires, attendant que la zone soit bien assouplie avant de tenter quoi que ce soit.
Dès qu’il sent que la zone est prête à accueillir sa bite, il se positionne sur moi, me plaquant de ses mains vigoureuses et faire rentrer tout doucement son membre tendu à bloc.
Je sens que l’entrée est douloureuse et qu’il y a une barrière à franchir, mais une fois ce seuil délicat passé, il se lance dans l’assaut de mon cul sans délicatesse.
Pendant que je suis totalement allongée à plat ventre, je le sens au-dessus de moi qui s’enfonce au plus profond de mon anus. Ses couilles semblent presque entrer avec sa bite dans mon petit trou dorénavant élargi.
Tout mon corps est maîtrisé par le sien, sa queue qui me laboure et une jouissance inconnue qui monte peu à peu. Ses couilles qui cognent sur ma vulve produisent un effet totalement jouissif.
Je crie de douleur au début et les cris deviennent ceux du plaisir infini, celui qui vous envahit, vous faisant perdre toute notion du temps. Je lui demande même en criant : « encule-moi profond », ce qui est incroyable alors que quelques jours avant la porte de mon cul était verrouillée avec un cadenas, qu’il a fait sauter en un tour de main.
J’aime à en crever sentir son corps sur moi comme s’il allait entrer complètement en moi, son va-et-vient puissant, brutal qui déclenche ce nouveau plaisir, ses bras qui me clouent au lit et m’empêchent de faire le moindre mouvement.
A ce moment, je me sens complètement à sa merci. Je suis en soumission totale. Je suis la lionne recouverte par son mâle, qui feule prête à se retourner pour lui donner un coup de griffe. Mais Monsieur lui assène le dernier coup de massue en la mordant légèrement dans le cou, ce qui a pour effet de l’immobiliser encore plus. Le cou est ma zone érogène, celle qui me fait perdre tout contrôle, celle qui donne des frissons qui vous font croire que vous allez mourir.
Je sens qu’il va éjaculer, je lui demande de le faire à l’intérieur, il ne peut en être autrement, je veux qu’il se lâche en moi, je lui dis dans un hurlement « vas-y lâche tout ».
Il s’exécute accélérant et forçant le mouvement quand subitement je l’entends rugir dans mon dos annonçant le coït.
Il s’écroule alors sur moi, m’enveloppant de toute sa chaleur. Je l’entends respirer rapidement dans mon cou, son souffle qui me caresse doucement, sa queue encore au chaud dans mon cul et c’est très sensuel.
Après un acte tout en force, cette douceur vient contraster avec ce qui a précédé. Je sens son odeur sur moi qui m’envahit et je l’absorbe de tout mon être. Quand on dit "avoir quelqu’un dans la peau", je pense que c’est exactement le cas.
Je me sens alors comblée. Je n’en attendais pas moins de sa part. Il m’emmène sur le chemin de mes plaisirs jamais expérimentés et comme je lui dis depuis des mois dans le cadre de nos activités : « Tu nous emmènes en terres inconnues et nous te suivons les yeux fermés en toute confiance ».
Je me sens repue, satisfaite, très apaisée. Alors qu’il se retourne et s’allonge sur le dos, il me jette un regard vers sa bite qui commence à ramollir, recouverte de son sperme mélangé à mes substances anales. Je sais qu’il attend que sa soumise lui nettoie avec sa bouche. Mais je ne suis pas encore prête. Je me lève pour prendre une lingette et enlever le plus gros. Je finis avec ma bouche, l’enfournant pour biberonner. Ce geste sera notre rituel de fin de séance, j’en décide ainsi ce jour-là.
Tandis que nous nous reposons de cette séance très sportive, moi le caressant de mes doigts fins que je fais courir sur son torse ou son visage... il me fait remarquer qu’il sent l’odeur du chocolat dans la pièce.
Je me saisis alors du récipient contenant les restes de chocolat chaud. Je me mets à califourchon sur lui, essayant de ne pas trop l’écraser, eh oui, je suis lourde.
Je plonge les doigts dedans à plusieurs reprises puis les introduis dans sa bouche, enduits de chocolat, pour qu’il les suce. Ensuite j’en mets sur les bouts de mes seins pour qu’il les tète avec gourmandise. Ça devient très excitant. Je sens mon clito qui se tend, se contracte.
Excitée par ce petit jeu, je me précipite sur sa bouche pleine de chocolat pour y introduire ma langue et me repaitre de sa langue toute chocolatée. Je me mets d’un seul coup à lui rouler des pelles chocolatées et là me monte un nouveau désir... de manger Monsieur.
Je ne sais pas ce qu’il a pu penser de mon assaut subi, si cela lui a plu ou non, mais je m’en fous parce que moi, j’ai adoré.
Je ne me souviens plus comment s’est terminée cette séance numéro quatre, qui fut à mon sens mémorable.
Quant à Monsieur, son message en dit assez pour moi « la soumise a bien rempli sa tâche : apaiser son mâle, le rendre inoffensif sur son matelas ». Cool !!
Verdict de cette séance. Monsieur a bien apprécié l’épisode Chocolat anal... et je pense qu’il a été agréablement surpris par ce que je lui faisais... surtout en si peu de temps de pratique avec lui.
Mais je dois reconnaitre un truc essentiel, comme dans notre vie normale, tout me parait simple et évident avec lui. Tout coule de source, grâce à ma confiance totale avec lui, je me permets des choses que je n’aurais jamais faites avant.
Partie 4 : le 30 septembre 2019 "Consolidation des connaissances acquises "
Monsieur décide de me lancer un défi. Je reçois la veille au soir un message sur notre tchat :
— 8h30 Anaïs sera sur le petit parking où elle a déposé Monsieur. Elle montera à l’arrière du 4x4, offrira ses tétons puis elle videra les couilles de Monsieur.
Evidemment, je dois aller travailler, mais on ne dit jamais non à son Maître, alors j’accepte, mais à 8h45.
Je suis quasi sûre qu’il pensait que je commencerais par refuser. Or, je lui dis oui direct. J’en ai taillé des pipes dans ma voiture quand j’étais plus jeune donc pas de problème. En plus, il y a de la place dans son 4x4.
Je me prépare vite fait, ce qui est pour moi un exploit surhumain, mais je suis à l’heure, car je dois partir à 9h30 dernier carat.
J’ouvre la porte arrière du 4x4 et je m’assois. Etant pressée, je lui présente directement mes grosses mamelles pour qu’il les croque comme il dit, et ça pour les croquer, ah la vache, il y va, et pas mollo. En même temps, il m’introduit un doigt dans mon anus, "pour l’ouvrir" précise-t-il.

Je suis obligée de me gaver d’arnica à chaque passage entre ses mains. Mes seins sont constamment parsemés de petits bleus depuis dix jours.Puis il ouvre sa ceinture et me demande d’aller le renifler et le sucer (pas la peine de demander ! j’y vais toute seule comme une grande, non, mais !!).Ah oui, il faut que je vous dise, ça c’est son grand truc, il faut que sa soumise sente le rebord de son boxer, puis le bout de son gland qui sort.
Pas de problème, je renifle comme une chatte (je précise, vous saurez pourquoi plus loin) et je tiens à cette nuance. Je suis une chatte en chaleur, pas une chienne.
Je lui prends donc sa queue dans ma bouche, je la lèche doucement et il m’appuie sur ma tête pour que je l’enfourne complètement.
Alors il faut savoir que sur ce plan, je progresse doucement, mais sûrement. Donc j’avale complètement sa pine et je commence à la travailler jusqu’à ce qu’elle durcisse et grossisse dans ma bouche, qui finalement l’accueille plutôt bien. Je tiens à préciser qu’il est plutôt bien membré, sans excès, mais elle est sacrément belle.
Au bout de quelques minutes, alors qu’il maintient ma tête (j’aime plutôt bien quand il fait ça, mais visiblement les précédentes soumises aussi quand je lis les comptes-rendus d’Anne-So ou que je regarde les vidéos d’Isis aussi, il semblerait que nous aimions toutes ce genre de pratiques, très bandantes, oui parce que nous aussi les filles nous bandons... du vagin), donc je disais alors qu’il maintient ma tête, il me dit « attention ça arrive » traduction je vais t’éjaculer dans le fond de ta gorge... ce qu’il fait en deux temps trois mouvements.
Alors moi qui n’avalais pas il y a encore dix-sept jours, ben voilà que j’y arrive sans problème, très surprenant !
Quand je me relève, je veux lui rouler une pelle au goût de son sperme... mais il s’esquive, le lâche. Mais ne vous inquiétez pas, vous pouvez compter sur ma patience et ma persévérance naturelle pour retenter ma chance... bientôt.
Subitement, alors que je viens à peine de terminer, Monsieur sort son portable histoire de voir les messages qu’il a reçus. Mais bien sûr ... on ne me la fait pas, il veut me faire le même coup qu’avec les autres soumises à savoir qu’une fois servi, il ne vous calcule plus... sous-entendu "casse-toi je n’ai plus besoin de toi".Sauf que là, il tombe sur un os, car je suis exactement dans le même schéma... une fois que j’ai tiré son jus comme on tire le lait du matin, je me remets en ordre (bon j’étais un peu défaite par les manipulations diverses), je l’embrasse sur sa joue (ben oui c’est mon pote avant tout) et je me casse sans essayer de discuter pour rentrer vite fait chez moi et me préparer.
Il m’envoie un message à 11h49 :
— Alors changement de petit-déjeuner ? Jus d’orange frais remplacé par jus de couilles chaud, de temps en temps c’est bon non ? Quand j’ai commencé à ouvrir ton cul, j’ai eu l’impression que tu en redemandais, me trompé-je ??
Monsieur a de l’humour, d’ailleurs on se marre bien tous les deux. Je commence à penser qu’il a du mal à se comporter comme il devrait le faire avec une apprentie soumise, car il sait que j’ai besoin d’être ludique dans tout ce que je fais. Alors Monsieur s’adapte à mon cas... un peu spécial.
Donc je trouve son message très drôle et lui réponds du tac au tac : « Plus dynamisant, d’autant que je suis dans le gaz jusqu’à 10h ».

Je reconnais que j’ai trouvé ce défi très ludique et je m’y prête facilement, car j’adore ce genre de situation, faire des choses là où il ne faut pas.Donc la pipe matinale m’a mise de bonne humeur pendant la journée.
Cela fait 15 jours que mon initiation à la soumission a commencé et je ne me reconnais déjà plus dans mes pratiques sexuelles. Il m’avait dit au tout début qu’il m’a présenté le rôle de la soumise que j’allais me vautrer dans le plaisir, j’avoue que c’est bien le cas. Ce que je n’avais pas anticipé, c’est l’addiction à mon Maître que je sens déjà grandir séance après séance. Ce manque de plus en plus flagrant qui m’envahit quand il n’est pas avec moi. Et ce n’est que le début... Cela m’inquiète déjà un peu.
Au prochain épisode, la découverte des soumises précédentes, et surtout celle qui fut sa plus belle histoire, la plus aboutie, une épine dans mon pied, l’écharde que je n’avais pas vu rentrer sous ma peau... Celle que vous ne vous attendiez pas à voir dans votre paysage, en tout cas de façon récurrente.
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