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Les confidences d'une conseillère financière.

Chapitre 1

Une erreur de frappe qui coûte cher ...

Avec plusieurs hommes
Cette histoire a été écrite en collaboration avec Fanny63, qu’elle en soit ici infiniment remerciée. Je compte sur son imagination pour les prochains chapitres ...
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Je m’appelle Stéphanie, j’ai 40 ans et je suis mariée depuis près de vingt ans. J’ai été heureuse jusqu’à ces dernières années, jusqu’à ce que je découvre que mon mari commençait à aller voir ailleurs. Pourtant physiquement, je suis plutôt bien conservée ; une jolie plante comme disent beaucoup d’hommes. Mais je sais que sexuellement, je ne le satisfais plus. J’en suis d’ailleurs à me demander si je l’ai satisfait un jour ! Il faut dire que j’ai eu une éducation assez stricte dans laquelle le sexe n’existait que pour faire des enfants, certainement pas pour prendre du plaisir !Au fil des ans, consciente de ce fait et soucieuse de répondre aux attentes de mon mari, j’ai mis du piment dans nos ébats mais pas assez à son goût. Faire l’amour une fois par semaine à la missionnaire, dans l’obscurité de notre chambre conjugale, l’a satisfait quelque temps mais il a fini par se lasser. N’obtenant pas à la maison avec moi ce dont il avait besoin, c’est finalement avec sa prof de tennis qu’il a trouvé son plaisir, ses répugnantes fantaisies, fellations, levrette, sodomie et autres pratiques que je ne connais pas.En fidèle épouse, ne pouvant lui donner tout cela, je ferme les yeux. Et chaque soir il revient à la maison, preuve qu’il m’aime et que le sexe n’est peut-être pas aussi important que cela pour lui.
Sur le plan professionnel, je travaille comme conseillère financière dans une grande banque et j’adore mon métier. Malheureusement, j’ai dû changer d’agence il y a six mois et cela a été le début de mes ennuis.Nous sommes sept, dont seulement deux femmes, et ces messieurs sont des machos finis rêvant du monde des années 70. Donc tous les jours, sans exception, ce ne sont qu’allusions sexistes, regards salaces, blagues grivoises et petits gestes obscènes.Parmi les cinq hommes, il y a le patron de 65 ans, monsieur Charpeau, plus macho que tous les autres. Un petit jeune de 25 ans, fraîchement sorti de HEC, doit prendre sa place d’ici un an. Les trois autres ont 30, 40 et 50 ans. Le trentenaire change de petite amie tous les jours, le quadragénaire est marié – je plains sa femme – et le quinquagénaire est divorcé, je comprends son ex !
Régulièrement, leur grand sujet de conversation c’est la nécessité de recourir à des assistantes commerciales pour faciliter les affaires. En fait, ces assistantes sont des femmes qui doivent ouvrir les cuisses, la bouche et les fesses afin d’inciter nos clients à signer des contrats, mais aussi soulager ces messieurs de la pression du travail.Notre patron a connu ça à ses débuts dans une grosse agence parisienne et il en garde un souvenir ému.-    Et je peux te dire que les nanas avaient des journées bien remplies, aime-t-il préciser à chaque fois sous le rire des quatre autres mâles de l’agence.Au début, je leur disais que ce n’étaient pas des assistantes mais des prostituées et qu’ils auraient dû se faire virer pour ça. Ils se moquent de moi car eux, bien évidemment, n’y voient pas de mal. La preuve c’est que jamais elles ne se sont plaintes.-    Elles aimaient ça, elles ! me lancent-ils avec des rires graveleux.A ma collègue Héléna, ils ne disent jamais rien ; c’est une lesbienne affichée et je pense qu’elle leur fait peur.
A ma plus grande surprise, lorsque je suis arrivée dans cette nouvelle agence, le patron m’a confié la gestion du portefeuille d’actions de monsieur Al Mansour, le plus gros client. C’est un franco-algérien très fortuné, et tous ici l’appelle « l’impitoyable ». Il faut dire qu’il a déjà fait virer quatre ou cinq conseillers ; avec lui la moindre erreur est fatale ! Compte tenu de son statut, tout le monde l’écoute et le craint, jusqu’à notre directeur régional.Ce matin, lorsque j’arrive à l’agence, je comprends tout de suite qu’il y a un problème car je n’ai pas droit au rituel « Bonjour ma belle ! » des trois hommes qui sont déjà présents.-    Grouille-toi, le patron t’attend dans son bureau ! me lance Xavier le petit jeune.Je n’en mène pas large lorsque j’entre dans le bureau de monsieur Charpeau et je n’ai même pas le temps de lui dire bonjour qu’il m’agresse verbalement.-    Vous les femmes, vous revendiquez des responsabilités mais à peine vous en donne-t-on que vous merdez lamentablement !
Je n’ai pas le temps d’en placer une qu’il poursuit -    Mais qu’est-ce que vous avez foutu avec les actions d’Al Mansour ? Il vient de m’appeler et m’a passé une engueulade comme si j’étais un moins que rien !Mon cœur bat la chamade et je réfléchis quelques secondes pour reprendre mes esprits.-    Hier en fin de matinée, il m’a demandé de vendre 100% de ses actions Renault et j’ai exécuté son ordre de vente au retour du déjeuner, lui expliqué-je.
Monsieur Charpeau se cale au fond de son fauteuil et prend cet air supérieur qui caractérise le patron macho qu’il est.-    Ma petite Stéphanie, commence-t-il d’un ton pédant, je crois bien que « l’impitoyable » va avoir votre peau ! Vous n’avez vendu que 10% de ses actions Renault et Al Mansour vient de perdre 15 000 euros à cause de vous. C’est comme si le ciel me tombait sur la tête ! Je ferme les yeux et essaye de me remémorer les faits. Après être allée déjeuner avec ma collègue, je suis revenue au bureau et je me suis connectée pour effectuer la transaction demandée. Je me souviens que j’ai été alors appelée par un autre client pour un renseignement ; il voulait savoir combien lui rapporterait la vente de 10% de ses actions LVMH. Après lui avoir répondu, j’ai poursuivi la saisie des informations pour la vente des actions d’Al Mansour. Et soudain, je me revois taper 10 au lieu de 100%, une erreur de frappe qui coûte cher à l’intéressé et qui va peut-être me coûter ma place dans l’agence.J’ai presque les larmes aux yeux lorsque j’explique cela à mon patron qui me rétorque-    C’est bien ce que je disais, vous avez merdé ma petit Stéphanie. Je vais devoir raconter votre bourde à « l’impitoyable » et je ne donne pas cher de votre peau.Je tente de le raisonner-    Mais monsieur Charpeau, les actions Renault peuvent remonter d’un jour à l’autre et il pourra alors les vendre. Il fera peut-être une meilleure affaire ! Et puis, c’est ma première erreur en six mois, je mérite tout de même une certaine indulgence.Il me rit au nez et je devine dans ses yeux combien il savoure l’instant.-    Stéphanie, n’oubliez pas le slogan de la banque, « Ici le client est roi ! »me dit-il. Et monsieur Al Mansour est bien plus qu’un client pour nous, c’est un Dieu. Repassez me voir à 19h00, d’ici là Dieu aura décidé de votre sort et je vous dirai ce qu’il en est.
De retour devant mon ordinateur, j’ai du mal à ouvrir mes dossiers ; l’attente va être longue jusqu’à 19h00. Je me vois déjà perdre mon emploi et avec le seul salaire de mon mari, comment allons-nous faire pour rembourser les crédits de notre appartement et de notre nouvelle voiture électrique.Bien évidemment, tout le monde est au courant dans l’agence. Les quatre mecs ne me le disent pas mais ils se réjouissent de la situation. Seule ma collègue Héléna cherche à me remonter le moral.-    Ne t’inquiète pas Stéphanie, le patron va défendre ton cas auprès de la direction. Depuis que tu es arrivée il y a six mois, tu as fait un super job et tu mérites bien une seconde chance, me dit-elle.La matinée s’écoule avec une infinie lenteur et à midi Héléna me dit qu’aller déjeuner chez l’italien du coin va me changer les idées. A table, nous papotons de choses diverses pour éviter de parler de mes soucis. Cependant, cela m’obsède.-    Tu te rends compte, lui dis-je, il ne peut pas me recevoir pendant les horaires de travail et m’oblige à rester au bureau jusqu’à 19h00. Mon mari va faire la tête si je rentre trop en retard. Déjà que c’est souvent la soupe à la grimace en ce moment.Héléna comprends parfaitement la situation car je lui ai déjà confié mes difficultés de couple et les infidélités répétées de mon mari.Soudain, alors qu’elle en train de déguster son tiramisu, elle s’écrie.-    Je crois que j’ai une idée pour tenter d’amadouer monsieur Charpeau !Je la regarde droit dans les yeux ne sachant pas quoi lui répondre car je pense que mon destin est d’ores et déjà scellé.-    Oui, il faut que tu sortes le grand jeu, annonce-t-elle. Tu as vu comme il te mate des pieds à la tête tous les matins quand tu arrives. Je suis sûre qu’il fantasme sur toi !
J’ai effectivement remarqué que tous les matins à 10h30, lors de la pause-café que nous prenons tous dans la petite salle de repos de l’agence, il m’observe sous toutes les coutures et ses petits yeux porcins s’attardent sur ma poitrine et mes fesses. Même si je m’habille très classique, voire style vieille France comme dit mon mari, j’ai souvent droit à des remarques grivoises sur mes tenues comme-    C’est une robe de vieille fille que vous portez ! Mais elle vous fait de jolies fesses !-    Encore en pantalon Stéphanie ! Quand est-ce que vous porterez une mini-jupe ?-    Plutôt que vos collants gris de grand-mère, essayez plutôt de fins bas noirs. -    Encore ce chemisier du siècle dernier. Votre poitrine mérite mieux Stéphanie !La proposition de ma collègue me laisse donc plutôt dubitative car j’ai du mal à imaginer ce que peut être le grand jeu. Même si je suis plutôt sexy avec un 90D et de jolies jambes qui attirent les regards, je ne sais pas porter autre chose que ce que j’ai toujours porté, des hauts amples sans décolletés et des pantalons pas trop serrés. Oui, les petits hauts moulants, les chemisiers décolletés, les jupes à mi-cuisses et les robes colorées, ce n’est vraiment pas mon truc. Il faut dire que l’éducation stricte de mes parents et mes années d’études en pensionnat de jeunes filles chez les religieuses ne préparent pas vraiment à suivre les modes vestimentaires.
Héléna m’explique que je dois être sexy aux yeux du patron pour qu’il défende mon cas et fasse tout pour me garder à l’agence. Je lui dis que je veux bien essayer mais que le succès de cette opération séduction est loin d’être garantie. Elle me rétorque alors-    La question Stéphanie est de savoir si tu es prête à tout pour garder ton job ? Parfois, lorsque les circonstances l’imposent, il faut être capable de forcer sa vraie nature pour sauver sa peau. C’est comme l’instinct de survie !J’ai un peu de mal à comprendre où elle veut en venir.-    Bien sûr que je suis prête à tout, lui dis-je. Sauver mon job, mon couple, c’est l’essentiel ! Mais que veux-tu que je fasse pour cela ?Elle sourit, termine son tiramisu et me regarde droit dans les yeux.-    C’est simple vois-tu ! Il te suffit simplement d’être sexy et séduisante pour qu’il tombe sous ton charme et veuille te garder.Je réfléchis et je me dis que ce n’est vraiment pas dans ma nature de chercher à plaire à un autre homme que mon mari, et encore moins à monsieur Charpeau qui est chauve, court sur pattes et bedonnant. Vraiment rien d’un playboy ! Mais au fond de moi, je sais que ma collègue a raison et, même si c’est contre mes principes, cela vaut mieux que perdre mon job et mettre en péril ma vie familiale. J’annonce donc à Héléna que je suis prête à tenter le coup !-    Pour réussir l’opération séduction, il faut d’abord réussir l’opération transformation, me dit-elle tandis que nous sortons du restaurant.Comme je ne comprends pas, elle m’explique que je dois impérativement changer de look pour répondre aux critères de séduction de monsieur Charpeau. Et la voici qui m’entraine dans un magasin de prêt-à-porter pour femmes où elle semble avoir ses habitudes.
Nous commençons par acheter un tailleur sexy, avec une jupe bien trop courte à mon goût. Quant au chemisier, il est très près du corps avec un large décolleté ouvert sur ma poitrine. En sortant de là, elle décide qu’il me faut maintenant un ensemble de lingerie approprié J’essaye de refuser, prétextant que je n’ai pas prévu d’aller jusque-là avec le patron. Elle me rétorque qu’il faut que je sois prête à tout et je finis par céder devant son insistance. Elle est vraiment autoritaire, tout mon contraire !Nous voici maintenant dans une boutique de lingerie qu’elle semble très bien connaître. Elle commence par me faire essayer plusieurs soutien-gorge afin de voir lequel sera du plus bel effet avec le chemisier. On opte pour un ampliforme Aubade, noir, que je trouve trop fin car on voit un peu mes tétons au travers du chemisier. Elle me dit que c’est justement ce qu’il faut avec un homme comme notre patron. Elle décide ensuite que je dois impérativement porter un string pour éviter les marques sous la jupe qui est très serrée sur mes fesses. Je n’ose pas lui dire que c’est mon premier car je ne porte que des culottes en coton. J’essaye de refuser mais là aussi je n’arrive pas à la convaincre. Une fois le string choisi, Aubade noir également, nous avons une discussion sur le porte-jarretelles qu’elle veut me faire essayer pour tenir les bas. Même la vendeuse s’en mêle car je tiens à mettre des collants, comme j’ai l’habitude. Elles insistent toutes les deux et je refuse catégoriquement prétextant que c’est de la lingerie pour les prostituées et que je n’en suis pas encore à ce stade. Elles rient toutes les deux et soulèvent leurs jupes pour me montrer qu’elles en portent tous les jours. Je suis morte de honte et m’excuse pour mes propos maladroits. Héléna me dit alors qu’il faut que l’on voit que je porte des bas car tous les hommes adorent ça. Mettre des collants gâchera tout le reste de mes efforts finissent-elles par me dire. Finalement, nous nous accordons pour des dim-up, modèle à couture. Helena essaye une dernière fois de me convaincre de la nécessité du porte-jarretelles en me disant que les dim up peuvent glisser, mais je tiens bon.
Lorsque nous reprenons le chemin de l’agence, je suis une autre femme. Toutefois, en passant devant une boutique de chaussures, Héléna me dit que nous devons faire un ultime arrêt. Nous entrons et là je troque mes chaussures plates contre des talons hauts. Je dois reconnaître que cela change tout et complète idéalement le reste. En plus, j’arrive très bien à marcher avec. Allez hop, on les prend !Une fois de retour à l’agence, je me remets au travail et note tout de suite que mon changement de tenue n’est pas passé inaperçu. Oui, alors que mes collègues masculins me faisaient la tête ce matin, là ils n’arrêtent pas de venir me déranger pour des futilités ou des questions sans importance.Même Xavier le petit jeune, n’hésite pas à venir me voir et comme les autres ses yeux se perdent dans mon décolleté. Lorsque je quitte mon poste de travail pour aller aux toilettes, je devine leurs yeux qui me suivent du regard. Il faut dire que les talons hauts m’obligent à marcher plus lentement que d’habitude en cambrant les reins et redressant ma poitrine. Je mesure alors combien Héléna avait raison en me disant que je devais changer de look pour tenter d’apitoyer monsieur Charpeau.A partir de 18h00, les quatre hommes quittent l’agence non sans venir me souhaiter bon courage pour mon entretien avec le patron tout en lorgnant une nouvelle fois mes seins. Je me dis que ce sont vraiment des faux-culs de première !Avant qu’Héléna ne quitte à son tour le bureau, je lui confie mes inquiétudes et elle m’encourage une dernière fois à jouer le grand jeu de la faible femme et à laisser opérer mon charme.-    Mais il va croire que je fais tout ça pour l’allumer, lui dis-je. Et s’il veut aller plus loin ?-    Oui, ça c’est possible, me répond-elle. Tu es tellement sexy !-    Je fais quoi alors ? m’inquiété-je. Je claque la porte et je rentre chez moi ?-    Ce sera à toi de voir sur place, me conseille-t-elle. Mais n’oublie pas que ton travail est en jeu !-    Oui tu as raison, je ne dois pas l’oublier. Mais alors ?Elle se rapproche de moi.-    Ton mari te trompe déjà, me dit-elle. Alors moi je sais ce que je ferais si j’étais à ta place ! En plus, les types comme le patron sont souvent des grandes gueules, ils en disent bien plus qu’ils n’en font !Je la regarde droit dans les yeux et elle lit dans mon regard que j’ai compris ce qu’elle me conseille et que je n’hésiterai pas à user de mes charmes.-    Sois tranquille, quoi que tu fasses, je ne te jugerai pas, me confie-t-elle. Solidarité féminine !Puis elle me fait la bise et quitte l’agence me laissant seule avec mon destin.
A 18h50 il n’y a plus personne et les portes de l’agence sont fermées. Je suis assise sur une chaise devant la porte du bureau de monsieur Charpeau. J’ai les jambes en coton ; aussi sexy et BCBG soit-elle, ma nouvelle tenue ne fait pas pour autant de moi une Wonder Woman …
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