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Les copines de ma mère.

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Les copines de ma mère.
C’était les vacances d’été et je flemmardais au bord de la piscine pour bronzer un peu avant de descendre sur les plages du Midi : je venais de terminer mon BTS avec les félicitations du jury et en septembre, j’allais entrer définitivement (j’y avais effectué des stages pendant ma formation) dans une entreprise de la banlieue nord de Paris. Cool, car nous habitions l’Oise et je n’aurais que quelques kilomètres à faire !
Gilles, mon père était au boulot... Séverine, ma mère, avait dû s’absenter à l’improviste et j’étais seul lorsque deux de ses amies sont arrivées en demandant après elle. Que répondre ? Je ne savais pas à quelle heure ma mère allait revenir, mais comme le milieu de l’après-midi approchait, je leur ai offert de l’attendre et éventuellement de profiter de la piscine si elles en avaient envie.
— Oh oui... Pourquoi pas... Il fait si chaud ! Merci Olivier...— T’as raison... mais on n’a pas nos maillots...— Bof... ça ne me gêne pas de me baigner à poil et je pense que ce beau jeune homme ne sera pas fâché...— Oh non... évidemment et pour être à égalité, je vais poser mon string de bain !

Françoise, celle qui semblait la plus délurée et qui avait rétorqué en premier, a fait passer sa robe d’été par-dessus ses épaules et a ôté son soutif et son string dans la foulée... Elle a interpellé son amie Noémie en lui disant d’en faire autant.
— Regarde, il n’y a plus que toi à avoir quelque chose sur le dos... Olivier est nu lui aussi et à ce que je vois, il me semble bien équipé...— Et encore vous n’avez rien vu ! Ma copine ne tarit pas d’éloges sur « mon service trois-pièces »... à croire qu’elle veut me partager !— On ne demande qu’à te croire... Et ta bite se redresse déjà... c’est de nous voir Noémie et moi à poil qui te font cet effet ?— Un peu mes belles !

C’est vrai que ces femmes matures à qui je donnais un peu plus de quarante ans étaient « canon »... Elles n’avaient rien à voir avec les minettes que je fréquentais habituellement. Bien qu’un peu tombants, les seins ronds et généreux étaient appétissants avec un téton qui saillait au milieu d’une aréole bistre assez vaste. Les hanches s’évasaient au-dessous d’une taille relativement mince, ornée pour Françoise d’une chaînette dorée. Et bien que ne soit plus trop la mode (surtout chez les femmes de leur âge), elles avaient le pubis glabre... Elles avaient les cheveux coupés court, un visage rieur et des lèvres pulpeuses, un peu comme si elles avaient été gonflées...
— Mettez-vous à l’eau, je vais chercher des serviettes pour après...— OK... Reviens vite... Je sens qu’on va bien s’amuser, n’est-ce pas Noémie ?— Si tu le dis... Mais que va dire Séverine si elle nous voit à poil devant son fils ?
— Oh... sois tranquille... c’est une naturiste très coquine... J’ai déjà baisé avec elle dans une partie à quatre avec son homme...— Ah bon... je te savais coquine, mais de là à partouzer... en plus avec une autre femme...— Tu as du retard ma belle... c’est si bon de changer de partenaire, quand l’un te baise, tu peux sucer l’autre ou même te faire prendre en double ! Et un 69 féminin, je te dis pas... — C’est-à-dire ?— Décidément, toute ton éducation est à refaire : une bite devant, une autre dans le sphincter !— Waouh... Mon ex a voulu me prendre par-derrière, mais je ne l’ai pas supporté !— C’est un peu tard, mais ça peut s’arranger... C’est mon premier amant qui, alors que j’avais à peine 18 ans, m’a défloré la rondelle... et depuis je ne manque pas une occasion...— Comme tu y vas...— Je suis certaine que Gilles saurait y faire...— Pourquoi Gilles ? Ne me dis pas que tu veux me dépraver et me faire participer à vos partouzes !— Tu verras, il sait y faire et quand tu auras goûté à une bonne pénétration arrière, tu ne pourras plus t’en passer de temps à autre...— Ah... Voici Olivier... Ce coquin a dû nous espionner discrètement et se palucher... Regarde comme il bande !— Dis donc, il est bien pourvu ce jeune homme !— OUI, et s’il tient de son père, il doit être endurant !

Je les rejoignis dans la piscine et je les complimentai sur leur allure et Françoise me répondit que je n’étais pas mal non plus en se saisissant de mon sexe qui flottait entre deux eaux. Elle me masturbait lentement, se collant contre moi en m’offrant ses lèvres : ça devenait chaud !Je savais Françoise très libre au point de multiplier les aventures, mais je n’aurais jamais cru qu’elle me gratifierait d’une branlette comme celle qu’elle était en train de me faire. Soudain Noémie s’écria :
— Mais tu branles Olivier !— Et alors, qu’est-ce que tu attends... Viens... sortons de l’eau ! Les matelas de plage sont là pour nous !

Les deux femmes se sont agenouillées côte à côte sur les matelas de plage et m’ont fait face. Françoise emboucha ma bite aussitôt après avoir dit à Noémie (pour l’encourager) de s’occuper de mes couilles... C’était bien bon de sentir deux bouches voraces me sucer, mais je ne voulais pas aller jusqu’au bout de cette fellation à deux bouches... J’avais envie de baiser (au diable ma copine...) l’une ou l’autre de ses femmes et c’est Françoise qui la première s’est allongée et m’a dit de venir lui faire plaisir : je croyais avoir deviné ce qu’elle voulait ! Mais je me trompais...Alors que je me penchais sur sa chatte pour lui faire un cunnilingus, Françoise me dit de venir la baiser, qu’elle avait envie d’essayer ma bite, qu’après celle de mon père, elle voulait savoir si j’allais bien la remplir...Après tout puisque la fin de l’après-midi était partie pour une séance de sexe, je n’allais pas lui refuser ce plaisir.
— Mais je n’ai pas de capotes...— Pas besoin de se couvrir... je ne te fais pas de dessin... dès que j’ai découvert que c’était si bon de baiser sans entrave, mon copain de l’époque a fait le nécessaire pour me ligaturer les trompes... et depuis tous mes amants ont pris un plaisir certain à inonder ma chatte !— Mais Noémie... je ne peux pas vous satisfaire toutes les deux...— Ne t’inquiète pas pour elle... Elle va se placer au-dessus de moi et je vais lui brouter le minou pendant que tu me baiseras. Elle aime bien s’offrir ce plaisir de temps à autre...— OK... si c’est ce que vous voulez...— Oui... mais va quand même doucement, je ne suis pas sûre d’absorber ton calibre, mais ma chatte bave déjà d’envie ! Heureusement !

Françoise a pris ses aises en s’allongeant sur le matelas de plage le plus proche et elle m’a ouvert ses cuisses. Elle n’avait rien à voir avec les filles de mon âge... Ses seins s’étalaient un peu sur les côtés du buste, mais restaient très agréables à regarder avec cette aréole bistre et ce téton érigé qui semblait attendre que je vienne le sucer... Mais, je me suis un peu amusé avec la pointe de mon sexe qui est allée fouiller les lèvres de la chatte qui suintait de plus en plus jusqu’à ce que je m’introduise dans son vagin... chaud et humide à souhait, souple et musclé à la fois. Et j’étais bien !
— Vas-y... baise-moi bien... et fort !— J’attendais que tu t’habitues à mon calibre !— Tu peux y aller... L’introduction a été un peu rude, mais tu as su faire ce qu’il fallait ! Regarde Noémie... elle semble y prendre goût !— En effet... c’est la première fois qu’elle te fait un cunni ?— NON, mais elle semble libérée. Elle n’a jamais mis autant d’entrain.

Noémie était au-dessus de la tête de Françoise, les genoux de chaque côté et semblait être sur un nuage d’autant que Françoise avait pris les hanches dans ses mains et plaquait le sexe de son amie sur sa bouche...
Nous copulions à trois quand la voiture de ma mère est entrée dans la propriété... Séverine est venue nous rejoindre près de la piscine et son seul commentaire a été :
— Je vois que vous vous amusez bien en m’attendant ! Continuez !

Je n’étais pas gêné par la présence de ma mère, aussi ai-je continué à baiser son amie Françoise jusqu’à ce qu’en même temps ou presque, nous prenions notre pied... Noémie avait joui depuis bien longtemps dans un grand soupir de soulagement et en inondant de sa cyprine le visage de Françoise.
— Je peux aller me laver... Ta cyprine colle à la peau !— Je pense que tu sais où se trouve la salle de bains ?— Oui... ne t’inquiète pas, je connais la maison...— Noémie, je te réserve pour plus tard, car je pense que Séverine va vous retenir à dîner.— Ça serait cool !

A son retour au bord de la piscine en compagnie de ma mère, Françoise confirme l’invitation à dîner, ajoutant même :
— Nous attendrons Gilles pour nous mettre à table... En attendant, Noémie va me rendre ce que je lui ai fait !— Oh... après t’être fait sauter par le fils de la maison, tu as envie de te faire bouffer la chatte ?— Oui... Tu vas aller chercher ce qu’il y a injecté !— T’es vraiment une salope ! Et pendant ce temps-là, Séverine et son fils nous regarderont !— Pourquoi pas ! A moins qu’ils trouvent autre chose à faire...

Pendant que Noémie et Françoise s’offraient un 69 très érotique dans lequel Françoise se laissait manger la chatte et que Noémie dégustait le jus qui s’en écoulait, Séverine s’était mise nue pour profiter des rayons du soleil déclinant.Cela faisait plusieurs années que je n’ai plus vu ma mère nue, aussi ai-je été surpris de voir qu’elle portait de petites barrettes dorées qui traversaient les tétons et le capuchon du clitoris...
— Waouh ! C’est nouveau ! Ca te va très bien !— Merci... Oui ça va faire six mois que je me suis fait percer les tétons et le capuchon... C’est ton père qui m’a payé cela pour le Nouvel An... J’avais le choix entre un tatouage et cela !— Tu as bien fait... C’est beaucoup plus érotique...

Pendant ce temps-là, je regardais Françoise et Noémie et je me masturbais tout doucement, entretenant une bandaison plus que prometteuse quand ma mère s’est exclamée :
— Viens près de moi... Montre-moi comment tu es monté ! Tu ressembles beaucoup à ton père dans ce domaine !— Oui ! Françoise me l’a dit tout à l’heure...— C’est vrai qu’elle peut comparer ! Ton père l’a baisée et sodomisée à plusieurs reprises lors de nos soirées coquines...— Tu m’en diras tant ! Ah voici mon père... Il y a quelqu’un avec lui !— Je pense que ce doit être Hervé ! On va être à égalité ! Trois femmes pour trois hommes !— Donc on va partouzer ?— Oui... C’était prévu !

Mon père et Hervé nous ont rejoints au bord de la piscine et ont dit :
— Les hostilités ont déjà commencé ? !— Oh non... elles ne font que se poursuivre... Olivier a baisé Françoise et Noémie déguste le nectar que ton fils lui a servi !— Je savais que Françoise était bi, mais je suis étonné que Noémie se livre ainsi en public et elle a l’air d’aimer ça !— Oh... malgré ses 40 ans, elle a encore beaucoup de choses à découvrir !— Et quoi donc mon fils ?— Par exemple, elle n’a jamais été sodomisée !— C’est étrange... Elle a un beau cul qui me fait envie... J’y penserai...

L’humeur des uns et des autres continua de se développer autour de la table du dîner, mais le temps ayant fraîchi, nous sommes tous rentrés dans le salon. Tout le monde s’était rhabillé, mais je pensais que cela ne durerait pas.Le premier à ouvrir les hostilités coquines fut mon père qui fort de ce qu’il avait appris avant le repas commença à flirter avec Noémie qui répondait de moins en moins timidement aux allusions grivoises et aux caresses de mon père. Il avait passé sa main sous la jupe qui cachait le pubis de Noémie laquelle n’avait pas renfilé son string... Puis ils se sont levés et ont quitté notre assemblée...Hervé avait entrepris Françoise dont il avait relevé la robe pour lui faire un cunnilingus que la faisait se pâmer...Mais il ne restait que ma mère et moi... Séverine s’est tournée vers moi et elle m’a dit :
— Je crois que le moment est venu de comparer... je vais te sucer un peu pour achever de te faire bander en ensuite tu me baiseras...— Oh... Merci... Je n‘osais pas le demander !— Grand fou... Plus on est, plus on s’amuse... et baiser avec toi, il y a longtemps que j’en rêve !— Coquine !

Dès que j’ai été bien bandé, ma mère a fait passer sa robe par-dessus sa tête et c’est entièrement nue qu’elle s’est agenouillée sur un des fauteuils, m’offrant la vision coquine de ses fesses menues fendues par la raie où palpitaient le sexe et le sphincter.
— Allez... Vas-y... Enfile ta cochonne de mère !— Mais c’est de l’inceste !— Entre adultes consentants, ça ne pose pas de problème... T’es d’accord ?— Si tu le dis... Je suis prêt !— Et moi, je t’attends...

La chatte de ma mère était pleine de cyprine. Après avoir excité son bouton, je suis entré dans sa chatte, allant au plus loin que me permettait cette levrette... J’avais oublié qui j’étais en train de baiser et je pris mon temps comme je l’aurais pris avec n’importe quelle femme... voulant lui montrer que je savais me conduire en lui procurant un max de jouissance. J’allais et venais dans ce sexe humide et chaud qui enserrait mon pieu et dont les muscles intimes ne cessaient de pressurer mon gland... Je sentais que mon plaisir montait dans mes reins et j’imaginais que la délivrance était proche quand ma mère m’a dit :
— Ne décharge pas en moi... Vide-toi sur mon ventre... J’ai envie de goûter ton jus... Tu me feras un cunni après pour me faire jouir !

Et ma mère s’est retournée et allongée en travers de la table de salon dont elle avait bousculé les verres pour que je lui donne satisfaction...
— Ah... tu as bon goût... Ton foutre de jeune mâle est bien bon... Tu dois rendre heureuse ta copine !— Ma copine... Tu peux en parler... Elle est tellement timide qu’elle n’ose pas me prendre en bouche et quant à la baiser, il faut que je me couvre... Elle ne veut pas que je l’engrosse !— Oh le pauvre chéri... Largue-la et trouve-t’en une qui soit plus ouverte...— Comme tes copines ?— Pas forcément... Elles sont un peu âgées pour toi... mais si je peux te donner un conseil : ne drague pas sur ton lieu de travail... C’est trop dangereux et les commérages vont si vite...— Ce n’est pas mon intention... On m’a toujours dit qu’il ne faut pas mélanger travail et plaisir !— Fais-moi jouir ! Ta langue est très bonne elle aussi !

Au moment où je faisais jouir ma mère, Hervé s’est approché d’elle, le sexe conquérant qu’il a posé sur ses lèvres. La bouche s’est ouverte aussitôt et ce coquin s’est introduit jusqu’au fond.
— Vas-y suce-moi bien... Si vous êtes d’accord, on fait une partie à quatre ensuite...— OK... même si j’ai déjà baisé Françoise en fin d’après-midi, j’ai envie de me la faire à nouveau... T’es d’accord ma belle ?— Oh oui... J’ai encore envie de ta bite longue et vigoureuse en moi.

Profitant de ce qu’Hervé était sorti de la bouche de ma mère, celle-ci a dit :
— OK... ça marche pour moi... Je n‘ai jamais baisé avec Hervé et je comptais bien le mettre entre mes cuisses ce soir ! Mais allons dans la chambre, nous y serons mieux...
Si au départ, les couples constitués ont commencé à baiser ensemble, nos avons changé de partenaire à plusieurs reprises, mais au final, Françoise est venue sur moi en cavalière et les mains posées sur mes genoux elle s’est donnée à fond jusqu’à ce que le plaisir nous emporte : il ne fallait pas lui en promettre !Et nous nous sommes endormis dans le même lit bras et jambes emmêlées jusqu’au petit matin... Heureusement personne n’allait bosser et moi, j’étais en vacances.Que s’était-il passé entre mon père et Noémie ?
C’est ma mère qui m’a raconté quelques jours plus tard les péripéties de la nuit avec mon père...Après avoir baisé deux fois dont, selon les dires de mon père, une levrette bien chaude, il avait tenté au cours de celle-ci d’introduire un doigt dans le fondement de Noémie. Elle avait réagi d’une manière assez favorable en disant que s’il voulait passer par là, il devrait ouvrir le passage, ajoutant que d’après les dires de sa copine Françoise, elle ne savait pas combien c’était bon de se faire prendre l’entrée de service.C’est ainsi que Noémie avait goûté à une bite dans son fondement pour la première fois et que pour une première, elle avait fait fort, car la taille du sexe de mon père était un peu « hors norme », mais elle avait pris son pied comme jamais. Elle recommencerait !
Le samedi matin, François et Noémie étaient repartis accompagnés d’Hervé...Qu’ont-ils fait ? Vous vous en doutez, mais c’est une autre histoire !
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