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Les cours du mercredi

Chapitre 1

Divers
La quarantaine, mariée, deux enfants, je suis professeur agrégé de sciences et vie de la terre dans un lycée privé de province. Mon mari ayant une bonne situation, j’aurais pu me passer de travailler, mais j’ai toujours aimé une certaine indépendance financière et mon travail me permet de sortir de chez moi, de rencontrer d’autres personnes et de rester au contact de la jeunesse. Le lycée se voulant élitiste, les classes dépassent rarement une vingtaine d’élèves triés sur le volet. Chaque année, je suis nommée professeur principale d’une classe préparatoire aux concours d’entrée aux grandes écoles. Ce sont des élèves âgés de 18 à 20 ans dont la principale motivation est la réussite professionnelle.
Chaque mercredi, je retrouve cette classe pour deux heures de travaux dirigés entre 9h et 11h. Cette journée étant consacrée aux devoirs surveillés des lycéens, les couloirs sont quasiment déserts. L’établissement, une vieille bâtisse des années 1850 ressemble alors à un vieux monastère où seules quelques portes grincent de temps en temps.
Après un bref passage en salle des professeurs, je grimpe les trois étages pour retrouver mes étudiants. Mes talons raisonnent dans les couloirs. Devant la porte de la classe, avant d’entrer, je prends le temps de souffler une seconde en réajustant ma coiffure. En élèves consciencieux, aucun bruit n’émane de la classe. Lorsque j’ouvre la porte et entre, par respect tous les étudiants se lèvent de leur chaise et attendent mon approbation pour s’asseoir. La vision des élèves me laisse sans voix et complètement désarçonnée. Au pied de l’estrade où se situe mon bureau, un amas de vêtements gît sur le sol. Tous les élèves sans exception sont nus de la tête au pied. C’est à peine si j’ose les regarder. Partir ou rester et faire comme si de rien n’était tel est la question qui trotte dans ma tête. Partir c’est offrir une tribune à ces élèves, rester et faire cours normalement annuleraient toute volonté de revendication si leur attitude en est une.
C’est donc cette seconde option que je décide d’adopter. Je monte sur l’estrade et leur fais face. Je reste un moment à les observer. Tous me fixent sans dire un mot attendant ma réaction. Je suis surpris de constater l’aisance avec laquelle ils restent tous nus les uns devant les autres. Pas un seul ou une seule ne semble mal à l’aise, aucun ne bande, aucune n’a les tétons qui pointent.
— Asseyez-vous, dis-je d’un ton assez sec, la première heure nous allons continuer le cours et la deuxième nous mettrons en pratique en réalisant des expériences. Anne, peux-tu nous rappeler le principe de la photosynthèse ?
Anne me regarde droit dans les yeux, mais ne prononce aucun son. J’interroge deux autres étudiants, mais l’attitude reste la même. Pour avancer dans le cours, je décide de faire moi même ce rappel. Après quinze minutes de monologue dans un silence de cathédrale, je décide de retenter ma chance en interrogeant de nouveau un élève, espérant que le temps qui passe débloque la situation. Faire cours dans une classe agitée est difficile, mais le faire face à des statues donne une dimension irréelle à la chose. Alors que j’allais reprendre mon monologue, un garçon se lève et se dirige vers l’estrade. Il passe à côté de moi, prend un feutre et commence à écrire sur le tableau. Lorsque je me retourne pour voir ce qu’il a écrit, il me défie du regard, fier qu’il est de ce qu’il vient de noter. Celui-ci vient d’écrire la phrase suivante :
"Faites comme nous si vous voulez qu’on participe."
Pas besoin de me retourner pour savoir que tous les regards sont pointés sur moi. Difficile de réfléchir dans de telles circonstances. Cette phrase tourne en boucle dans ma tête, mais je me dois de réagir. Le garçon regagne sa place.
— D’accord, dis-je soudain pour mettre fin au suspense.
Un à un, j’ouvre les boutons de mon chemisier et le retire, dévoilant à l’assemblée mon soutien-gorge en dentelle blanche. Je dégrafe mon soutien-gorge libérant mon 90c. Moi qui n’ai jamais fait de seins nus à la plage et qui n’accepte de faire l’amour que dans le noir, je me retrouve à exposer ma poitrine à une vingtaine d’étudiants en pleine lumière dans ma salle de cours. Battant le fer tant qu’il est chaud et surtout pour ne pas gamberger dans ma tête, j’enlève le bouton de ma longue jupe et la laisse tomber au sol. Ma culotte assortie à mon soutien gorge prend la même direction dans la foulée. Je rassemble le tout que je jette sur le tas de vêtements des étudiants. Par réflexe, je positionne un bras en travers de ma poitrine et pose une main sur ma toison. Vingt paires d’yeux sont braquées sur moi. Consciente de ne pouvoir garder mes bras comme ça, je les laisse tomber le long de mon corps, m’exposant totalement.
Je devrais reprendre le cours, mais je ne sais pourquoi j’aime sentir leurs regards sur moi.
— Madame, dit soudain un étudiant, ne devons-nous pas avancer dans le cours si nous voulons réussir les expériences ensuite.
— Heu oui, bien sûr, excusez-moi, la situation est tellement inédite pour moi que j’en ai oublié le fil. Reprenons.
La demi-heure qui suit, je retrouve une classe attentive et participative. Je m’habitue à voir ces corps nus et oublierais presque que moi aussi je suis dans le plus simple appareil devant eux. Le cours fini, je lance la première expérience qui consiste à faire des observations au microscope. Je suis constamment sollicitée pour venir en aide aux étudiants. Si être nue sur une estrade face à des élèves est une chose très troublante, une certaine distance reste cependant de mise entre eux et moi, par contre déambuler au milieu d’eux, sentir la proximité des corps me perturbe au plus haut point. Alors que je n’ai jamais éprouvé le moindre sentiment à l’égard d’un ou encore moins d’une élève, je sens mon entrejambe se mouiller et mes tétons pointent tellement qu’ils me font presque mal. Je ne suis plus maître de mes émotions, mon corps réagissant indépendamment de ma volonté. Je suis d’autant plus mal à l’aise qu’il est impossible de le cacher.
Alors que je viens aider deux étudiantes à régler leur microscope, je sens soudain plusieurs présences dans mon dos. Une main se pose sur mes fesses, ce qui me fait sursauter. Pas le temps de recadrer le téméraire qu’une autre main glisse dans mon dos jusque dans ma raie.  En femme mariée fidèle à son mari, professeur de surcroit, la logique aurait voulu que je me retourne pour corriger ces impolis mais au contraire, non seulement je ne dis rien mais j’ai envie de les encourager. d’autres étudiants se collent à moi, m’empêchant de bouger.  Des mains me saisissent les seins et les palpent sans vergogne.
Une seconde plus tard, j’ai le souffle coupé, n’arrivant plus à sortir un mot de ma bouche. Deux doigts viennent de trouver le chemin de ma chatte, se glissent entre mes lèvres humides avant de me pénétrer. Mes tétons sont martyrisés à outrance. Seuls quelques cris et râles émanent de ma bouche. Une bouche s’approche de mon oreille et me dit d’une voix calme douce et sucrée.
— Laissez-vous faire, en acceptant de vous dévêtir vous aviez déjà signé le contrat, à l’instant présent vos tétons et votre chatte brûlante ne font que confirmer l’excitation dans laquelle vous vous trouvez. Pensez juste à tout ce plaisir que vous allez recevoir et l’immense bonheur que vous allez procurer à vos étudiants et étudiantes.
— Promettez moi que jamais vous ne divulguerez rien à personne.— Tout le monde vous aime et a envie de vous ici, voici les nouvelles règles que nous avons votées à l’unanimité : tous les mercredis désormais dès que vous entrerez dans la classe vous ôterez tous vos vêtements. La première heure vous ferez cours normalement, car nous avons des concours à préparer pour la fin de l’année, et la deuxième nous jouerons tous ensemble pour prendre du bon temps. Rassurez-vous, tous ont juré de ne jamais rien dire de ce qui se passera dans cette salle de classe.
Au même moment, il commence quelques va-et-vient avec ses doigts, m’arrachant un "Ho oui" de gémissement. Inconsciemment, je venais pour tous les élèves de donner mon accord. Un applaudissement général envahit la classe. Ne pouvant dire non et remettre les choses en ordre, essayant de me retenir de jouir sous l’effet de ses doigts, je me vois contrainte d’abdiquer. Les doigts ont enfin quitté mon antre et les étudiants forment maintenant un cercle autour de moi. Un premier garçon s’avance vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Un deuxième puis un troisième font de même. Je comprends que je vais devoir embrasser tous les garçons, mais quand en quatrième position s’avance une fille, je suis totalement désappointée. Jamais je n’ai imaginé rouler une pelle à une fille, c’est contre ma nature et ma morale. Je fais plusieurs pas en arrière, mais le cercle s’est resserré et sa bouche se rapproche inéluctablement. Elle m’embrasse deux fois plus longtemps que les garçons.
Sa langue joue avec la mienne. Tous sans exception vont connaître le goût de ma bouche. A mon grand étonnement, j’ai beaucoup plus aimé embrasser les filles que les garçons. Les filles seraient-elles toutes devenues lesbiennes, car aucune n’a été réticente et toutes ont mis beaucoup d’enthousiasme dans leur baiser. J’espérais que pour une première on allait en rester là mais je dus bien vite me rendre à l’évidence, chacun et chacune voulaient découvrir mon corps.
Le temps défilant plus vite sans doute qu’ils ne l’espéraient, ils décident que durant trois minutes, par deux, un garçon et une fille, ils peuvent venir explorer mon corps. Face à cette annonce, je ne cherche même pas à me défiler acceptant mon sort avec bienveillance. L’excitation est grandissante espérant même dans un petit coin de ma tête prendre du plaisir.
On ne peut s’imaginer combien trois minutes sont longues quand on vous touche partout avec virilité et sensualité, mais trop courte pour vous faire jouir. Les garçons adorent jouer avec mes seins n’hésitant pas à les martyriser au point de me faire crier. Les filles sont plus délicates, mais n’en demeurent pas moins actives jouant la majeure partie du temps avec mon clito. Je gémis à en perdre haleine. J’ai moi aussi envie de les toucher, mais j’avoue ne pas oser. Les dix groupes ayant œuvré, je suis excitée au plus haut point, mais ma culpabilité m’empêche de l’admettre. Il reste quelques minutes avant la fin du coup, la tension commence à retomber un peu. C’est à ce moment précis qu’un élève prend tout à coup la parole.
— On a même pas vu comment elle jouissait, dit-il, je propose que pour finir en beauté, elle se masturbe devant nous jusqu’à ce qu’elle prenne son pied.
Aussitôt deux garçons me saisissent et me font asseoir sur une chaise, les jambes bien écartées. Je ne me rappelle même plus la dernière fois que je me suis caressée. Je ferme les yeux, approche ma main de mon sexe, écarte mes lèvres, décalotte mon clitoris et commence à faire des ronds dessus avec un doigt. Ma chatte luit de mille feux tellement je suis mouillée.
— Ouvrez les yeux que l’on voit votre plaisir monter, dit une voix.
Presque machinalement, j’ouvre les yeux. Tous les étudiants se pressent devant moi et m’observent avec la plus grande attention. Je remarque que quelques filles se massent la poitrine et que quelques garçons agitent leur main sur leur mandrin. Mon excitation grimpe encore d’un cran. J’attrape mon sein gauche pour le masser tandis que j’enfourne deux doigts dans mon con. Ma respiration devient haletante et mes yeux commencent à se révulser. Lorsque mon pouce appuie sur mon clitoris, un tremblement de terre envahit mon bas-ventre. Je resserre les jambes pour prolonger au maximum cet état jouissif. Le temps est comme suspendu, plus un bruit ne résonne dans la salle de classe, les étudiants étant visiblement médusés par ce qu’ils viennent de voir. Mon cœur bat si fort que j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine.
La sonnerie de fin de cours retentit et fait sortir tout le monde de sa torpeur. Les élèves se précipitent sur le tas de linge à l’entrée de la classe et se rhabillent avant de sortir. N’ayant plus cours de la journée, je laisse passer l’orage. Alors qu’il ne reste presque plus personne, je me décide à me lever de ma chaise pour aller moi aussi me revêtir. Alors que je m’étonne de ne pas retrouver mes sous-vêtements, les délégués de classe encore présents me montrent qu’ils les ont gardés en souvenir.
— Madame, me disent-ils, le mercredi vous ne devrez plus porter ni soutien-gorge ni culotte, votre jupe ne devra pas descendre en dessous des genoux et votre jolie petite chatte devra avoir perdu sa toison.— Rendez-moi au moins mon soutien-gorge, dis-je, si je croise des gens, ils vont le remarquer tout de suite, c’est très gênant et pour ce qui est de mes poils pubiens comment voulez-vous que j’explique ça à mon mari.— Ce n’est pas négociable, répondent-ils, et pour votre mari, à vous de faire marcher votre imagination.
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