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Les cousines

Chapitre 1

Isa

Avec plusieurs femmes
CHAPITRE 1

Retour de voyage
Vendredi 15h00
Ma femme Isa et moi formons un couple bien assorti: elle, superbe liane d’1,75m et 60kg, à la longue chevelure blonde pendant sur les épaules et aux longues jambes fines, aux seins fermes et haut placés, au ventre plat et à la chatte étroite; moi, tout aussi blond qu’elle, athlétique et sportif (1,87m et 82 kg), que du muscle jusqu’au fond du slip, doté d’un sexe de belles dimensions et sachant m’en servir. Nous avons 32 (elle) et 35 ans (moi).L’histoire que je vais vous raconter commence par un beau jour du mois de juin, bien ensoleillé. Mon métier (cadre technico-commercial) m’éloigne souvent de chez moi pour plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Je pourrais en profiter pour batifoler à gauche et à droite, les occasions ne manquent pas, mais cela ne m’arrive pas car je n’en éprouve pas le besoin: comme je viens de vous le décrire, tout ce que je peux désirer je l’ai à la maison! De même, je n’ai jamais éprouvé aucune crainte quant à la fidélité de ma femme et je ne m’attendais donc pas à ce qui va suivre. Et pourtant …Ce jour-là donc, je rentrais d’un voyage de trois semaines à l’étranger. Profitant d’un changement dans la correspondance de mes avions, j’arrivais chez moi dans l’après-midi avec 4 heures d’avance sur l’horaire prévu. Je n’avais pas prévenu ma femme afin de lui faire une surprise à son retour du boulot. Vous imaginez bien le genre de surprise que je lui réservais après trois semaines d’abstinence!En garant ma voiture dans l’allée de notre villa, je m’aperçois que la sienne est présente alors qu’à cette heure-là elle devrait encore être au bureau. J’espère que rien de fâcheux n’est arrivé mais je me rassure bien vite en constatant que la voiture de sa cousine Maud est également garée dans l’allée. Elles ont dû se ménager une après-midi de papote.Il faut que je vous précise que ces deux-là sont proches comme des sœurs car elles ont été élevées ensemble. En effet, les parents de Maud ont divorcé lorsqu’elle était jeune, abandonnant la gamine à son sort. Ce sont alors mes beaux-parents qui l’ont prise en charge. Elle a maintenant vingt-huit ans. J’ai toujours fantasmé sur elle car elle est jolie comme un cœur mais, comme elle est la proche cousine de ma femme, autant dire ma belle-sœur, je me suis toujours abstenu avec regret de toute tentative de séduction.À peine entré dans le hall de la maison, j’entends à l’étage des bruits et des gémissements laissant peu de doutes quant aux activités qui les provoquent. Intrigué, je referme doucement la porte et je monte à pas de loup jusqu’à notre chambre d’où proviennent ces sons caractéristiques. Notre espace de repos est divisé en trois volumes: au centre un dressing par où on accède depuis le hall de nuit, séparé de la chambre par deux placards disposés têtes bêches, à droite la salle de bains et à gauche la chambre proprement dite.J’ouvre silencieusement la porte et entre dans le dressing. Je me faufile le long du placard et je jette discrètement un coup d’œil dans la chambre d’où viennent ces gémissements. Et là s’offre à moi un spectacle aussi inattendu qu’explosif. Maud est couchée sur le dos en travers du lit king size, la tête légèrement penchée en arrière au-delà du matelas. Elle est entièrement nue, a les jambes largement ouvertes, les yeux fermés et ses lèvres laissent s’échapper des râles et des gémissements de plaisir. Isa, tout aussi nue, à genoux sur le lit, le cul relevé et les jambes écartées, a la tête enfouie entre les cuisses de sa cousine et lui suce le clitoris tout en lui prodiguant un profond mouvement de va-et-vient au moyen d’un énorme gode enfoncé dans son vagin. De son autre main, elle pétrit les seins de Maud et lui tortille les mamelons. Maud, quant à elle, presse ses deux mains sur la tête d’Isa pour maintenir un contact aussi étroit que possible entre sa chatte et la bouche de ma femme.À côté d’elles gisent plusieurs sex toys, un vibromasseur, des boules de geisha, un strap-on et des flacons d’huiles érotiques, ce qui laisse supposer que la séance n’en est pas à ses débuts.Comme d’habitude, Isa a le pubis entièrement rasé et, vu sa position, je peux admirer tous les détails de son anatomie parfaite: son clitoris est gonflé et trépide entre ses petites lèvres écartées, sa chatte béante dégouline de cyprine et ses seins aux pointes dressées et dures bougent sous son torse au gré de ses mouvements. Son dos cambré ouvre ses fesses et expose sa rosette bien serrée.Maud a un physique assez différent de sa cousine, ce qui n’est pas pour me déplaire: elle est plutôt petite et mince (1,58m et 48 kg), elle est de type méridional et a des cheveux noirs qu’elle porte également longs. Elle a la peau mate et bronzée, une taille de guêpe, des petits seins ronds, fermes et souples à la fois, des fesses hautes et musclées. Elle s’est aussi rasé le pubis mais elle a laissé un petit buisson triangulaire au-dessus de sa fente, en prenant bien soin d’en raccourcir les poils. Son clitoris, gorgé de sang par l’excitation, palpite sous les coups de langue d’Isa et sa tête dodeline de chaque côté au rythme des mouvements du gode qui la pénètre. Un râle quasi continu sort de sa gorge, témoin de sa jouissance totale.Je n’avais jamais eu la chance de la voir nue et, comme première occasion, je ne pouvais pas rêver mieux!Instantanément, ce spectacle provoque chez moi une formidable érection et m’impose un besoin urgent de fourrer ma bite dans un vagin. Et justement, celui d’Isa s’offre à moi, largement disponible.Les filles, tout occupées à leurs ébats, ne m’ont pas aperçu et je retourne donc dans le dressing me déshabiller silencieusement. Vu le temps printanier, je ne porte pas grand-chose et, en un clin d’œil, je me retrouve nu comme un ver, une érection triomphante me précédant gaillardement.Je rentre sans bruit dans la chambre, sans me faire repérer. Isa me tourne le dos et Maud a les yeux fermés afin de mieux profiter des sensations délicieuses que lui procurent les caresses de sa partenaire. Je me poste donc entre les jambes de ma femme et, dans un même geste, je l’empoigne par les hanches et lui enfonce ma trique dans la chatte jusqu’à la garde. Surprise par cet assaut, elle tourne la tête et me reconnait avec un grand sourire, sans dire un mot. Elle entame alors des mouvements ondulants du bassin et les parois serrées de son vagin se mettent à pomper ma bite avec vigueur. Pendant ce temps, elle n’a pas cessé d’agiter son gode dans le sexe de Maud qui n’a rien remarqué et continue donc de profiter de ses bienfaits.
Je pénètre maintenant Isa en levrette au plus profond de son intimité pendant qu’elle reprend le léchage du clito de Maud. Je lui donne des grands coups de reins, ma pine vient buter à chaque mouvement contre son utérus et mes couilles battent contre ses fesses à un rythme de plus en plus soutenu. Contrairement à ma femme qui n’a pas l’air d’avoir trop souffert de mon absence, je sens que l’abstinence que je me suis imposée pendant trois semaines va me jouer des tours et que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.Et, de fait, au bout de quelques minutes de ce manège, je commence à ressentir dans le bas de mon ventre et dans mes couilles les picotements annonciateurs de l’orgasme. D’un seul coup, je me raidis en m’enfonçant le plus loin possible et je lâche tout mon foutre en longs jets brûlants dans le ventre de ma femme. Ce moment d’extase dure délicieusement longtemps et le corps d’Isa est traversé de soubresauts qui me vident de mes dernières goutes de sperme. Elle émet un long soupir et serre tous les muscles de son vagin pour retenir mon sexe prisonnier le plus longtemps possible.En même temps, elle a transmis dans le gode toute la fougue de mes coups de boutoir ce qui provoque chez Maud un orgasme d’une violence inouïe, exactement en même temps que le mien. Elle hurle son plaisir en cabrant tout son corps ce qui fait jaillir ses seins. Tout son être est pris de tremblements qui semblent ne jamais devoir cesser et sa chatte laisse jaillir des flots de cyprine qu’Isa lèche avidement. Sa jouissance décuple la mienne et celle de ma femme.Au bout d’un moment, chacun émerge de la plénitude de son plaisir et ce n’est qu’à cet instant que Maud s’aperçoit de ma présence. Contrairement à ce que je craignais, elle ne semble pas s’en offusquer. Au contraire, elle me regarde droit dans les yeux et me fait "Merci" du bout des lèvres. Je me retire alors du fourreau brûlant d’Isa d’où ressort tout mon foutre par giclées épaisses.Epuisés par tant de jouissance, nous nous allongeons côte à côte sur le grand lit, moi au milieu, Maud à ma gauche et Isa à ma droite.Après avoir récupéré un peu, je me sens envahi du désir de connaître le corps de Maud que je n’ai jamais touché. Nous n’avons pas encore dit un mot mais, manifestement, mon interruption dans leurs ébats n’a pas l’air de lui avoir déplu. Je me décide donc à partir à la découverte de cette magnifique jeune femelle.Je commence par poser ma main droite sur son ventre ce qui la fait frémir. Je tourne la tête vers elle et je constate qu’elle a de nouveau fermé les yeux et qu’elle affiche un grand sourire sur son visage. Cette attitude m’encourage à continuer mon exploration. Je remonte donc lentement ma main vers sa poitrine. Sa peau est douce comme du velours, chaude comme de la braise. Dès que je les touche, je sens les pointes de ses seins s’ériger. En un instant, ses tétons sont durs comme de la pierre et je les roule doucement entre mes doigts. Passant d’un sein à l’autre, je palpe sa jolie poitrine très ferme pendant un long moment.Maud se met à ronronner de plaisir et cela m’incite à m’enhardir. Abandonnant pour un instant ses seins, je glisse ma main vers son sexe qui, immédiatement, se soulève à la rencontre de mes caresses. Le message est on ne peut plus clair et j’abandonne alors mes dernières hésitations. Ses petites lèvres sont déjà entrouvertes et son clitoris se gonfle rapidement. Sa vulve laisse déjà échapper son élixir d’amour ce qui présage des délices à venir. J’ai toujours été étonné de la rapidité avec laquelle les femmes récupèrent après un orgasme, aussi puissant fût-il. J’ai toujours aussi envié leur capacité à jouir à de nombreuses reprises successives, ce qui n’est pas le cas des hommes, en tout cas pas moi. Quand j’ai giclé, ma tringle est out pour un moment. Ma femme, par contre, n’en a jamais assez. Elle m’a ainsi très souvent imploré de lui procurer le plus possible d’orgasmes et d’user pour cela de tous les moyens. C’est pourquoi, en plus de mon sexe, je suis devenu très habile pour la faire grimper avec ma bouche, mes doigts et tous les sex-toys imaginables. Et, clairement, Maud semble aussi gourmande que sa cousine et ne pas avoir l’intention d’en rester là. Je regrette donc d’avoir déjà éjaculé car je risque malheureusement de ne pas avoir la raideur nécessaire pour la baiser et de devoir utiliser mes armes auxiliaires! Tant pis, ce sera bon quand même et, au moins, je la ferai jouir.Je bascule donc sur le côté et pose ma bouche sur son sein gauche. Tout de suite, je me mets à suçoter son mamelon brûlant ce qui a pour effet de la faire se tordre de plaisir. En même temps, je pose ma main droite sur sa vulve et je commence à masser son clitoris turgescent. Comme elle semble apprécier, je décide d’aller plus loin. Du bout de mes doigts, j’entrouvre son vagin qui dégouline déjà et j’y introduis un, puis deux et enfin trois doigts que je commence à faire bouger contre ses parois internes. Je recherche son point G, sachant que, si je l’atteins, je pourrai lui procurer plusieurs orgasmes coup sur coup.Pendant que je commençais à m’occuper de sa cousine, Isa est partie faire un brin de toilette à la salle de bains. Avec tout le foutre que je lui avais balancé, c’était sans doute nécessaire.La voilà donc qui revient de ses ablutions. Elle se couche à côté de moi et constate que Maud et moi sommes en plein avis de tempête. Apparemment, elle semble plutôt contente de nous voir redémarrer et, connaissant ma difficulté à rebander tout de suite, elle décide d’apporter sa pierre à l’édifice.Elle empoigne donc ma bite ramollie et l’enfourne dans sa jolie bouche. Elle décalotte mon gland et se met à le lécher en tournant doucement sa langue autour de mon point sensible. En même temps, elle entreprend un lent massage de ma queue par des mouvements de va-et-vient en serrant sa main autour de ma tige. Elle passe alternativement sa bouche de mon gland à mes couilles qu’elle gobe pour mieux les palper. Rapidement, je sens que son traitement commence à me faire de l’effet et je me dis que j’aurai peut-être la chance de tringler Maud dès notre première rencontre sexuelle. Rien qu’à cette idée, ma bite reprend des proportions intéressantes à toute allure et, quelques instants plus tard, je présente une érection aussi puissante que la précédente.Par expérience, Isa sait que, quand ce traitement de choc me réussit, je suis capable de performances hors normes. En effet, lorsque je rebande après avoir giclé une première fois, il me faut plus d’une heure de baise intense pour arriver à projeter à nouveau mon foutre. Et pendant tout ce temps-là, je continue à bander comme un taureau.Je me doute bien qu’en agissant de la sorte, elle n’a pas seulement songé à faire plaisir à son homme et à sa jolie cousine. Elle compte certainement en profiter et prendre sa part des réjouissances à venir. Je n’y vois de mon côté aucune objection!Sur ces entrefaites, Maud s’est complètement embrasée sous mes doigts et réclame tacitement son dû. Elle coule comme une fontaine et se trémousse dans tous les sens. Je me dis qu’il est temps de passer à l’action.Comme je me suis remis sur le dos pour mieux profiter des caresses de ma femme, je glisse mon bras sous la taille de Maud et, d’un seul geste, je la retourne sur moi. Elle se retrouve couchée de tout son long sur mon corps, bras et jambes écartés, ses seins écrasés contre mon torse. Sa grotte dégoulinante est grande ouverte et est juste au bon endroit. Je m’y engouffre d’un puissant coup de reins. Ah quelle sensation délicieuse!!! Elle est encore plus étroite que ma femme et ses muscles internes semblent doués d’autonomie. Ils se mettent à masser ma queue sans qu’elle ne bouge son bassin. Ça me rend fou d’excitation mais j’en veux encore plus. Maintenant que je suis en elle, je compte bien en profiter un maximum et la baiser dans toutes les positions possibles. Je commence par poser mes mains sur ses fesses et je démarre un mouvement de va-et-vient qui me fait pénétrer au plus profond de son ventre. Sachant que je ne risque pas d’éjaculer avant un bon moment, j’accélère le rythme ce qui lui fait pousser un long gémissement. Je pousse ensuite sur ses épaules pour la redresser jusqu’à ce qu’elle soit à genoux sur moi et qu’elle me chevauche. Je peux alors regarder avec excitation mon sexe entrer et sortir avec frénésie dans le sien. Chaque coup de trique semble plus profond et lui arrache un petit cri. Je continue à la besogner ainsi pendant plusieurs minutes tout en lui malaxant les seins et elle se met à haleter de plaisir.À cet instant, Isa profite de notre position pour venir s’installer à califourchon au-dessus de moi, face à sa cousine. Elle lui prend le visage des deux mains et l’embrasse à pleine bouche. En même temps, elle présente sa chatte toute rafraîchie par sa douche juste devant mes lèvres dans une invitation muette. Je pose mes mains sur ses fesses et je les écarte doucement pour bien dégager sa vulve. D’un seul coup, j’enfonce ma langue le plus loin possible dans son vagin et je lèche longuement l’intérieur de ses parois intimes. Puis je descends vers son clitoris que je suce frénétiquement et j’introduis deux doigts dans son fourreau que je masturbe profondément. Elle mouille tellement que ma main est rapidement trempée par tout son jus qui coule.Je connais bien Isa, et pour cause, nous baisons ensemble depuis plus de dix ans. Je sais qu’elle ne va pas résister longtemps à ce traitement. Je ralentis donc chez elle mais je continue de plus belle à labourer le vagin de Maud qui ne demande que ça.Isa, profitant de la trêve que je lui accorde, s’empare des seins de sa cousine et les pétrit à pleines mains. Maud en fait autant et les filles se caressent mutuellement la poitrine, se lèchent les tétons et emmêlent leurs salives. Leur excitation est à son comble et je sens bien qu’elles ne vont pas tarder à arriver.Toujours profondément empalée sur ma verge, Maud bascule vers l’arrière et prend appui sur ses mains posées derrière elle, de part et d’autre de mes jambes. Elle tend ainsi son buste vers le haut faisant pointer ses seins gonflés de désir. Isa, incapable de résister à cet appel, se penche vers elle pour lui sucer les tétons. Par ce mouvement, elle relève sa croupe qui se présente pile devant moi. J’attrape le gode qui traîne encore sur le lit, l’enfonce complètement dans son vagin et commence à la pomper avec ce gourdin.Il faut dire que les filles ne se sont gênées lorsqu’elles ont acquis ce sex toy. Il est impressionnant et sûrement très efficace: la tige doit bien faire 23cm de long et 4 à 5 cm de diamètre et se termine par une superbe paire de couilles par où on l’empoigne. Il est en silicone couleur chair, à la fois souple et raide et de texture soyeuse, très proche de celle de la peau humaine.Et c’est avec cette massue que je fais grimper Isa vers l’orgasme qu’elle atteint en même temps que Maud que j’ai continué à emboutir de toute la raideur de ma queue. Elles sont toutes deux secouées de spasmes violents qui semblent ne jamais devoir finir.Elles finissent par se déboiter chacune de l’origine de leur extase et retombent épuisées et satisfaites sur le lit: elles ont joui comme jamais … Mais pas moi!Et, ça, Isa le sait. Après quelques instants bien utiles à chacune pour savourer son plaisir, Isa se retourne vers moi et enfourne ma bite qui n’a pas débandé. Elle l’enfonce bien profondément dans sa gorge tout en serrant mes testicules qu’elle malaxe. Elle monte et descend avec sa bouche le long de ce bâton de chair qu’elle connaît si bien. Elle sait aussi que de cette manière, elle va m’inciter à les besogner de plus belle.Pendant qu’Isa s’occupe de moi, Maud, qui a récupéré, s’est couchée avec le visage entre les cuisses de sa cousine. Elle pose sa langue sur son clitoris en enfile trois doigts dans sa chatte. Elle entre et sort ses doigts à toute allure tout en faisant tourner sa main pour atteindre tous les recoins intérieurs de son fourreau. Je sais qu’Isa adore ce traitement et Maud a l’air d’être aussi au courant que moi. J’en déduis que ce n’est pas d’hier que datent leurs effusions. Je me sens un peu frustré de n’avoir jamais rien remarqué et, surtout, de ne pas en avoir profité plus tôt. Je me dis qu’il est grand temps de me rattraper. Je décide donc, puisque Maud s’est enfin offerte à moi aujourd’hui, que c’est elle qui recueillera mon sperme bientôt, quand je jouirai. Ce n’est d’ailleurs que justice, Isa a tout reçu il y a une heure!Comme je l’ai dit auparavant, les caresses buccales de ma femme ont le don de me faire monter à toute vitesse. Il ne faut donc pas longtemps pour que je commence à sentir ma deuxième onde de plaisir arriver. Maud ne va plus tarder à recevoir sa charge.Pour cela, il est grand temps de préparer le galop final. Je m’échappe à regret de la bouche d’Isa, je m’allonge sur le côté, dans le dos de Maud, en cuiller. Je lui soulève une jambe par-dessus mes cuisses pour bien ouvrir sa vulve et enfonce ma queue dure comme du béton dans son puits d’amour. Isa vient prestement se mettre en soixante-neuf contre sa cousine et, pendant que je fouraille puissamment celle-ci par-derrière, elle lui suce à fond le clitoris. Maud n’est pas de reste et a repris son léchage et sa masturbation du vagin d’Isa. Il ne faut évidemment pas longtemps à ce régime pour que chacun atteigne le paroxysme de son plaisir. Je sens une vague brûlante monter de mes reins et envahir tout mon sexe. Je me tends comme un arc et je lâche tout mon foutre par jets successifs dans le ventre de ma nouvelle amante. Je pousse un long cri de jouissance au moment même où Maud, tétanisée par un fantastique orgasme, lâche une éjaculation féminine qu’Isa s’empresse de lécher et d’avaler intégralement. Elle en profite aussi pour recueillir mon sperme qui commence à sortir du vagin de Maud et jouit à son tour sous les doigts et la langue de sa cousine.Je m’écroule sur le lit, toujours emboîté dans ma partenaire et m’endors instantanément, assommé par ce marathon du sexe ajouté au décalage horaire dû à mon voyage. …………………….Samedi 10h00
J’émerge doucement de mon sommeil après avoir dormi comme une masse. Il faut dire qu’entre mes douze heures de voyage, les sept heures de décalage horaire et les deux heures de cavalcade sexuelle effrénée, la journée d’hier m’a épuisé.Je regarde autour de moi et je remarque que je suis seul dans la chambre. Le lit est tout chiffonné et, en baissant les yeux, je constate que j’aurais bien besoin d’une douche. Mon ventre, mes cuisses et mon sexe sont couverts d’un mélange séché de sperme et de cyprine. Les souvenirs délicieux de nos ébats me reviennent et j’en suis tout ragaillardi.Je me lève et vais droit sous la douche, histoire de me rafraîchir car la journée s’annonce chaude (je vous rappelle que nous sommes en juin). Après m’être essuyé, je retourne dans ma chambre et j’enfile un slip et un short, cela suffira largement vu la température.Je descends ensuite à pieds nus vers le rez-de-chaussée, à la recherche de ma femme que je repère rapidement. Elle est au salon, assise dans un canapé et elle regarde un film à la TV. Elle a mis le volume du son assez bas, sans doute pour me laisser dormir. Je reconnais bien là toute la délicatesse de mon grand amour. Apparemment donc, rien de particulier… à quelques détails près. Mais, comme on dit, c’est dans les détails que se cache le diable. Et le diable, manifestement, Isa l’a au corps!Ses fesses reposent tout au bord du canapé et elle est couchée légèrement en biais, les jambes pendant à l’extérieur, le dos allongé à moitié sur le dossier, à moitié sur l’accoudoir. Son peignoir de bain blanc est entièrement ouvert, laissant voir son superbe corps dénudé. Sa main gauche caresse ses seins pendant que sa main droite guide un engin infernal dans son sexe. Ce gode high-tech est composé d’un axe recouvert de boules en silicone. Cet axe tourne alternativement dans les deux sens dans son vagin et est également animé d’un mouvement de va-et-vient, d’avant en arrière. Un petit appendice en forme de langue est plaqué contre son clitoris et vibre intensément. Les vitesses de tous les mouvements sont réglables ce qui lui permet de doser son plaisir comme elle le veut. Et du plaisir, elle semble en prendre beaucoup en regardant à l’écran un magnifique athlète noir doté d’une vraie matraque qui défonce une jeune eurasienne avec des petits seins qui se tord sous les assauts de son amant. Le spectacle est à la fois étonnant et terriblement excitant vu la différence de gabarit entre les protagonistes.D’après ce que je peux voir, le couple est dans la dernière ligne droite et, effectivement, le bel étalon sort vivement son énorme trique du fourreau de sa partenaire et se répand sur son ventre en longues saccades de sperme qu’il étale du bout de son gland. La fille se redresse et empoigne le gourdin de son amant pour recueillir les dernières gouttes de foutre. Sa bouche est trop petite pour enfourner ce sexe fantastique et elle ne peut que le lécher de haut en bas en le secouant à deux mains pour le vider. À la vue de cet orgasme spectaculaire, Isa a mis les vitesses de son super-gode à fond ce qui l’amène instantanément à l’extase. Elle enfonce entièrement l’engin dans sa chatte et se presse les seins avec sa deuxième main. Elle se cabre vers le haut et hoquète de plaisir pendant une longue minute avant de se relâcher. Elle extrait alors son sex toy, l’arrête et le dépose sur la table du salon.Pendant tout ce temps, bon prince, je suis resté en retrait sans me manifester pour lui permettre de savourer son orgasme. Maintenant qu’elle est apaisée, je m’avance et je lui dis: - "Bonjour mon amour, c’était bon?"Surprise, elle se retourne, me sourit et me répond: — "Bonjour mon chéri. Oh oui, c’était bon mais pas autant qu’hier! Rien de tel que mon homme au fond de ma chatte. Vivement qu’on recommence."Je m’avance devant le canapé et me penche pour l’embrasser. Juste un petit bisou du matin mais elle ne l’entend pas de cette oreille.Le spectacle qu’elle vient de m’offrir ne m’a évidemment pas laissé indifférent. Mon chibre est à moitié bandé sous mon short et elle s’en est aperçue. En douceur, elle se laisse glisser du canapé et se retrouve à genoux sur la moquette, face à moi. Elle pose ses mains sur mes hanches, défait le bouton et la fermeture éclair de mon short et baisse dans le même mouvement le short et le slip.Elle s’empare de mon sexe et le porte à sa bouche. Elle l’engloutit lentement jusqu’à ce que ses lèvres butent sur mon pubis puis se met à monter et descendre sur mon organe qui gonfle une vitesse prodigieuse. En quelques instants, Isa a atteint son but: elle tient en main ma bite raide comme un I, dure comme du bois. Elle commence alors à me masturber en serrant fort ma queue dans sa main droite et mes testicules dans sa main gauche. En même temps, elle maintient mon gland enfoncé dans sa bouche et accompagne les allers-retours d’un mouvement de la tête. Connaissant Isa, je sais que si je la laisse faire, en quelques minutes elle va me faire exploser dans sa bouche. Or je tiens à faire durer le plaisir. Elle s’est probablement déjà procuré un voire plusieurs orgasmes en regardant le couple baiser à l’écran, mais ce n’est pas mon cas. Moi, je veux pouvoir à nouveau profiter pleinement du corps magnifique de ma femme, lui donner du plaisir et en prendre tout mon soûl. Et ce n’est pas en éjaculant dans sa bouche que j’arriverai à ce résultat. J’adore quand elle me prodigue une bonne fellation, mais alors plutôt en deuxième mi-temps, après avoir déjà joui dans son ventre.Je me retire donc de sa bouche à regret avant que ce ne soit plus possible et je m’assieds dans le canapé, à peu près dans la même position qu’elle il y a un instant. Je suis ainsi à moitié couché et ma verge pointe de toute sa hauteur droit vers le plafond. Je l’attire sur moi et elle vient s’empaler sans effort sur mon pieu de chair. Elle se laisse lentement descendre jusqu’à ce que ses fesses viennent buter sur mes cuisses. Elle ne pourrait pas être plus à fond. Elle se met alors à contracter puis relâcher tous ses muscles internes, me procurant ainsi un doux massage de la verge. Pendant que je lui pétris les seins et que je torture ses tétons, elle se caresse le clitoris avec ses doigts qu’elle a mouillé de cyprine. Petit à petit, le plaisir l’envahit à nouveau. Elle bascule alors son dos contre mon torse et entame un lent mouvement du bassin. Elle monte et descend sur ma queue et accélère progressivement. Mon excitation augmentant de plus en plus, je commence à l’accompagner et lui donne des coups de reins de plus en plus puissants. Ses seins sont gonflés et durs, sont ventre est agité de soubresauts ce qui présage l’arrivée de son orgasme. De mon côté, je suis bientôt prêt à jouir. Ma trique me fait presque mal tellement je me retiens, mais, à un moment cela devient incontrôlable. Arrivé au paroxysme de mon excitation, une onde de feu déferle dans mes reins, traverse ma verge et mes couilles et projette une éjaculation gigantesque au fond du vagin d’Isa. Les jets se succèdent avec force et je pousse tout ce que je peux pour qu’elle n’en perde pas une miette.Lorsque nous retombons entremêlés dans le canapé, anéantis de jouissance et collants de tous nos liquides corporels mélangés, nous savons tous les deux que nous venons de vivre un des plus extraordinaires orgasmes que nous ayons jamais connus.Je suis conscient que je viens de vivre les 24 heures les plus épanouissantes de ma vie sexuelle, mais je voudrais savoir à quel mystérieux concours de circonstances je les dois.Inévitablement, le temps des questions, et des réponses, est venu. Je laisse Isa savourer jusqu’à la dernière goutte de plaisir puis j’engage la conversation."- Dis-moi mon amour, j’ignorais que Maud et toi entreteniez une relation saphique dont j’ai d’ailleurs magnifiquement profité hier. J’ai été ravi d’être rentré plus tôt et de tomber sur un spectacle aussi détonant.""- Et moi, j’ai été surprise de te voir arriver si tôt. Je ne m’y attendais pas et c’est pourquoi nous avions décidé de nous faire du bien avant ton retour. Ceci dit, je ne le regrette pas et Maud non plus. Tu t’es vraiment surpassé pour une première fois avec elle et tu peux être sûr qu’elle en redemandera. Elle me l’a d’ailleurs confirmé hier soir en partant.
Pour répondre à ta question, oui ça fait longtemps qu’elle et moi entretenons une relation sexuelle. Je ne t’en ai jamais parlé, car, pour nous, c’était notre petit jardin secret. Pour moi, il n’y a jamais eu de concurrence entre mon amour pour toi et mon amour pour elle. Ce sont deux choses différentes et j’ai besoin des deux.Elle, par contre, je sais qu’elle a depuis longtemps un faible pour toi et qu’elle te désirait depuis longtemps. Mais par respect pour notre couple, elle n’a jamais tenté de te séduire. C’est pourquoi elle a été comblée de nous voir tous les deux prendre l’initiative hier. Cela prouvait que nous ne la considérions pas comme importune dans notre couple. Elle m’a dit qu’elle avait pris un pied extraordinaire hier, mais qu’elle ne voulait pas que cela pose un problème. Je lui ai répondu que nous pouvions continuer une relation à trois puisque ça semblait faire notre bonheur à tous.""- Super, ça me permettra de découvrir tous les secrets de son corps magnifique comme j’ai découvert tous les tiens. Je pourrai ainsi guider notre futur plaisir commun jusque dans les plus petits recoins de notre jouissance. Mais ça ne m’explique pas comment vous avez démarré cette aventure plutôt inattendue entre deux cousines, quasi deux sœurs.""- Ca, mon amour, je laisse à Maud le soin de le raconter, car c’est elle qui en est à la base."Et donc, maintenant …
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