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Les cousins

Chapitre 1

les retrouvailles

Inceste
Fin d’après-midi. Le téléphone de Camille émet la petite musique alertant de l’arrivée d’un SMS alors qu’elle sort de la douche et vient de terminer de se sécher. Elle prend son téléphone et le consulte.
— Boris ?— Oui Camille ?— Je viens de recevoir un SMS incroyable. Je t’ai parlé des deux cousins avec lesquels j’étais très proche quand j’avais 12 ans ?— Oui, je me souviens. Antoine et Raphaël.— Je viens de recevoir un SMS d’eux. Ils sont dans le coin et demandent s’ils peuvent passer faire un petit coucou.— Tu ne les as pas vus depuis combien de temps ?— Plus de quinze ans, presque vingt !— Alors, dis-leur de passer. Ce serait con de les rater.

Elle pose le téléphone et enfile un débardeur en retournant dans la chambre pour prendre une jupe.
— OK, je leur dis qu’ils peuvent rester pour manger avec nous s’ils veulent.
Camille s’allonge sur le lit et pianote sur son téléphone.
Une heure plus tard, on sonne à la porte. Un peu fébrile, elle va ouvrir :
— Tony ! Raphy !— Salut cousine ! Waouh, tu es magnifique !
Camille a un temps d’arrêt. Elle est troublée, car les deux enfants de 9 et 11 ans dont elle se souvenait sont désormais de beaux jeunes hommes plutôt sexy. Et elle prend conscience qu’ils peuvent eux aussi la trouver très sexy, surtout dans la tenue qu’elle arbore : une jupe en jeans et un petit débardeur blanc sans soutien-gorge.
Elle regrette de ne pas avoir pensé à mettre un soutien-gorge, même si cela est maintenant assez rare qu’elle en mette. Elle se reprend rapidement, ne montrant pas son trouble.
— Entrez entrez.
En passant devant elle, les deux cousins lui font la bise et ne se privent pas de regarder dans son décolleté.
Boris arrive alors :
— Salut, je suis Boris.— Antoine et Raphaël, mon frère. Mais appelez-nous Tony et Raphy.
Antoine, le plus âgé, se tourne vers Camille :
— Ecoute Camille, on ne va pas s’imposer. Déjà qu’on passe à l’improviste. On discute, on boit un coup et après on vous laisse. On voulait juste profiter d’être dans le coin pour te voir.— OK, mais restez quand même manger. Je vous ai comptés. Vous dormez où exactement après ?— Bah en fait, on doit aller voir un pote à Bourges...— Quoi ? Mais c’est pas du tout dans le coin ! Vous allez en avoir pour plus de deux heures de route.— Ouais, mais bon, pour une fois qu’on remonte... On comptait se trouver un hôtel ici et repartir demain matin pour Bourges.
Raphaël prend la parole pour ajouter :
— Et on comptait un peu sur toi pour nous indiquer une adresse d’un hôtel à un prix raisonnable dans le coin.
Boris intervient aussitôt :
— Non, mais restez dormir ici. On a une chambre d’ami. Le lit sera vite prêt.
Antoine regarde Boris :
— C’est super gentil, mais encore une fois, on ne veut vraiment pas s’imposer.— Après vingt ans sans voir Camille, ce serait lui faire injure que de passer ainsi en coup de vent. C’est décidé : vous restez manger ce soir et vous dormirez ici cette nuit.
Antoine et Raphaël battent en retraite devant le ton catégorique de Boris :
— OK, c’est vraiment super sympa. Merci.
En guise de souper, Camille a préparé un apéritif dînatoire avec plein de petites choses à grignoter, ce qui leur permet de s’installer dans le salon autour de la table basse pour discuter confortablement. Boris note que les garçons posent un regard très intéressé sur leur cousine, en particulier sur son décolleté et sur sa poitrine libre de tout soutien-gorge.
Ils parlent des souvenirs d’enfance, en particulier des nuits passées ensemble à se raconter des histoires d’horreur pour se faire peur :
— Camille, tu te souviens de nos nuits-horreur ?— Ah oui, c’était un sacré moment !
Affairée à tartiner quelques toasts, Camille est penchée au-dessus de la table basse et offre à ses deux cousins en face d’elle une vue imprenable dans son décolleté.
Boris voit les regards gênés des deux garçons qui ne peuvent malgré tout pas s’empêcher de regarder. Il alimente la conversation :
— En quoi est-ce que ça consistait ?— Eh bien, on se racontait des histoires sordides, de meurtres, de monstres en y mettant le ton, histoire de se flanquer la frousse.— Ah ? Histoire de se donner des cauchemars ?— Non, car on essayait de tenir éveillés le plus longtemps possible. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, c’était plus souvent Camille qui nous faisait trembler.
Raphaël hoche la tête :
— J’avais que 9 ans. J’étais facilement impressionnable. Camille a été à l’origine de plusieurs cauchemars, mais j’avoue que je ne regrette pas du tout ces nuits.
Camille redresse la tête :
— J’avoue que ça me faisait jubiler de vous flanquer les pétoches. Vous vous serriez contre moi, à la recherche de sécurité.
Boris fait un clin d’œil à Antoine :
— Oh je vois ! Et ça a parfois dérapé ?
Comme Camille s’était glissée sur le bord du canapé pour faire les toasts, elle ne s’était pas rendu pas compte que sa jupe était retroussée haut sur ses cuisses. L’attention attirée par son décolleté, ses cousins n’avaient pas remarqué que cette position révélait l’intérieur de ses cuisses. Ce n’est que quand elle se redresse pour s’insurger de la remarque de Boris qu’elle exhibe involontairement son entrejambe.
— J’avais 12 ans ! Bien sûr que non !
Les deux cousins en ont la bouche sèche, car ils ne peuvent manquer de remarquer que leur cousine ne porte pas de culotte.
Boris, qui ne peut rien voir étant assis à côté de Camille, se demande alors si le trouble des cousins ne vient pas de souvenirs pourtant croustillants de ces proximités nocturnes.

Après le repas, les cousins sortent pour fumer. Boris et Camille discutent en débarrassant la table :
— Tu as vu comment ils te dévoraient des yeux ?— Oui, je crois que mon débardeur est un peu décolleté...— Tu aurais pu mettre un soutien-gorge.— Oui, mais je ne trouve pas désagréable de sentir les regards sur moi, même mes cousins. Tu es jaloux ?
Camille s’amuse à serrer les bras sous ses seins pour les faire ressortir dans le décolleté.
Boris sourit.
— Non, ça m’excite de me dire que tu les fais bander...— Espèce de pervers ! Je te laisse finir, je vais prendre une douche.
En se déshabillant dans la salle de bain, Camille se dit qu’elle a peut-être exagéré avec sa tenue. Ne pas mettre de soutien-gorge était excitant, mais ne pas mettre de culotte l’a obligée à faire attention à toujours serrer les cuisses. Elle se demande d’ailleurs si elle y a réellement fait attention.
En entrant sous la douche, elle repense aux deux cousins et se demande si cela les a fait bander de regarder dans son décolleté. Alors qu’elle commence à se laver, sa main s’attarde un peu entre ses cuisses et ses doigts se perdent sur son clitoris et ses lèvres. Les petits garçons qu’elle a connus sont désormais des hommes et sont peut-être équipés. Détendue par l’eau tiède qui coule sur elle, Camille se caresse.
Boris termine de ranger la table basse et la cuisine. La fenêtre de la cuisine étant ouverte, il écoute distraitement la conversation d’Antoine et Raphaël qui fument sur la terrasse et continuent d’évoquer leurs souvenirs d’enfance avec Camille. Dès que Boris a terminé, il passe à la salle de bain pour demander à Camille si elle s’est occupée d’installer les draps dans la chambre d’amis. Quand il entrouvre la porte de la salle de bain, il reste en arrêt dans le couloir. Une érection se déclenche à la vue de sa femme en train de se masturber sous la douche. Il ne s’agit pas que d’une ablution, il voit distinctement les doigts aller et venir dans la fente et la tête rejetée en arrière ne laisse aucun doute sur son activité.
Restant dans le couloir pour ne pas être vu et laissant la porte entrebâillée, Boris la mate discrètement. Il se demande si c’est la présence de ses deux cousins qui l’excite ainsi. Gardant les yeux fixés sur sa femme qui se donne du plaisir, il écoute plus attentivement la conversation des cousins dehors qu’il perçoit encore :
— Elle a bien changé en 18 ans...— Tu m’étonnes. C’est une bombe sexuelle maintenant. Tu as vu la paire de seins qu’elle a ?— On ne voyait que ça pendant tout le repas...— Et pas seulement !— Ouais ! T’as vu ça toi aussi ! C’est une femme libérée, pas de soutif, pas de culotte.— Dommage que ce soit notre cousine...
Cette conversation pourrait rendre Boris jaloux et furieux, mais il se sent surtout très excité. Son érection lui est presque douloureuse, retenue dans le pantalon. Sans scrupule, il se libère pour se masturber.
Mais il n’a pas le temps de se donner du plaisir, car il entend le glissement de la porte vitrée du salon. Les cousins rentrent. Une idée lui vient alors. Il laisse la porte de la salle de bain entrouverte et l’ouvre même un peu plus, puis il va discrètement se cacher dans la chambre presque en face, laissant la pièce dans le noir et la porte juste assez entrebâillée pour observer sans être vu. Antoine et Raphaël s’engagent dans le couloir à la recherche de Boris ou Camille. Quand ils arrivent au niveau de la salle de bain, ils sont tous les deux en arrêt, car Camille est en train d’avoir un orgasme. Elle leur tourne le dos, mais ils voient les doigts qui s’activent entre les cuisses et les gémissements de leur cousine sont suffisamment explicites.

Boris les voit rester quelques minutes à observer. Il aurait presque voulu les voir se libérer et se masturber en regardant sa femme se doucher, mais leurs invités sont bien élevés et n’osent certainement pas faire une chose aussi vulgaire. Se rincer l’œil discrètement, en silence, semble déjà suffisamment osé. Après son orgasme, Camille termine de se doucher rapidement avant de couper l’eau.
C’est à ce moment que les deux garçons retournent à pas de loup dans le salon attendre que leurs hôtes leur indiquent où se trouve la chambre d’amis. Ils restent silencieux, encore sous le choc du magnifique spectacle qu’ils viennent d’avoir. Décidément, rendre visite à leur cousine était une riche idée. En sortant de la douche, Camille attrape une serviette et remarque la porte entrouverte.
Aussitôt, elle va à la porte et regarde dans le couloir, mais celui-ci est désert et silencieux. Elle se sèche rapidement, se demandant si elle a été vue. Quand elle vient retrouver Boris dans la chambre, elle semble un peu troublée :
— Je crois que j’ai oublié de refermer la porte de la salle de bain. J’espère que Tony et Raphy ne sont pas passés dans le couloir...— Un acte manqué, ma chérie...— Ils toujours sont dehors à fumer ?— Dans le salon, je crois.— Tu crois qu’ils m’ont vue ?— Si la porte était ouverte, ils auraient eu tort de se priver.— Tu n’es pas fâché ?— Non, je te l’ai dit, je trouve ça plutôt excitant.— Quand même.
Camille attrape une nuisette et l’enfile.
— Au fait, tu leur as installé des draps pour la nuit ?— Non, j’enfile une culotte et j’y vais.— Laisse tomber la culotte, ta nuisette est assez sage.
Camille sait qu’il ment. Sa nuisette n’a rien de sage puisqu’elle est légèrement transparente et laisse voir sa poitrine, mais voit bien que ça excite Boris qu’elle s’exhibe encore devant ses cousins.
Par défi, elle n’insiste pas. Boris ajoute :
— Et montre-leur peut-être d’abord la chambre pour qu’ils installent leurs affaires.
Camille sort de la chambre et va rejoindre ses deux cousins. Ceux-ci restent éberlués en découvrant sa tenue, mais se gardent de faire le moindre commentaire.
Camille les invite à la suivre :
— Venez, je vous montre où vous dormez. La chambre d’amis est en face de la nôtre, juste à côté de la salle de bain.
Une fois les sacs déposés, elle constate qu’elle n’a pas encore amené les draps :
— Installez-vous, je vais chercher les draps.
Camille retourne dans la chambre. Boris sourit en la voyant entrer et se hisser sur la pointe des pieds pour attraper les draps en haut de l’armoire.
— Jolies fesses... J’espère que tes cousins ont apprécié ta nuisette.— Ils ne sont peut-être pas aussi vicieux que toi.
Camille est très excitée à l’idée de retourner voir ses cousins. Quand elle ouvre la porte, elle tombe en arrêt devant Raphaël en train de se déshabiller.
— Oups ! Désolée...
Mais au lieu de refermer la porte, elle reste en admiration devant le corps somptueux de son jeune cousin. Celui-ci est un peu gêné par sa présence et cache son sexe avec ses mains :
— Camille, tu peux te tourner pendant que je me change ?— Oui, je suis confuse... Antoine n’est pas là ?— A la salle de bain.— OK, ne t’occupe pas de moi, je vous installe les draps et, promis, je ne regarde pas.
Pendant que Raphaël enfile un boxer pour la nuit, elle étend les draps sur le lit, s’y mettant à quatre pattes pour positionner les coins. Ce n’est qu’en sentant une certaine tension qu’elle comprend qu’elle offre au regard de son cousin sa croupe nue.
— Hey ! Toi non plus tu ne regardes pas, OK ?
Raphaël hoche la tête, mais détourne difficilement son regard. Camille fait comme si cette situation était tout à fait naturelle :
— Je fais vite et je vous laisse dormir.
Quand elle fait le tour du lit pour border les draps sous le matelas, elle se penche tant que ses seins finissent par sortir du décolleté.
Elle sait très bien quel spectacle elle a offert à son cousin. Elle évite son regard, car elle a du mal à contenir son sourire de satisfaction. Quand elle a terminé, elle relève enfin les yeux sur lui :
— Voilà, c’est prêt, vous allez pouvoir faire de beaux rêves.
Elle pose alors son regard sur le boxer de Raphaël, outrageusement déformé par une érection énorme. Celui-ci est très gêné qu’elle découvre ça et ne sait pas où se mettre.
Il est sauvé par le retour d’Antoine, lui aussi en boxer. En entrant, il reste les yeux fixés sur Camille.
— Je heu... Camille... tu...— Oui, je viens de terminer votre lit.— Ah merci. Sympa...
Camille constate que lui aussi est en érection.
Même s’il n’a pas profité du spectacle comme son frère, sans doute a-t-il pensé à elle dans la salle de bain...Il jette un coup d’œil au lit, mais son regard retombe comme aimanté par le bas de la nuisette. Camille comprend enfin que sa nuisette est un peu retroussée et qu’elle dévoile son sexe nu. D’un coup sec, elle tire sur le bas, mais cela a pour effet de dégager un sein du décolleté.
— Merde... désolée...
Trop troublée par cette situation, elle rajuste sa nuisette et salue rapidement les garçons :
— Bonne nuit les gars. A demain.
Elle referme la porte et pousse un profond soupir. Quand elle vient rejoindre Boris, celui-ci est en pleine lecture dans un livre, mais le referme pour regarder sa femme s’installer.
— C’est bon ?— Oui, je suis un peu passée pour une conne, je pense...— Ah oui ?— Pour ton information, Raphaël a pu voir mon cul, ma chatte et les seins et Antoine en a aperçu pas mal lui aussi.— Oh... très bien.
Camille voit le drap se soulever et comprend que Boris est en train d’avoir une érection.
— Et ils ont réagi comme toi. Une gaule terrible que les boxers ne cachaient pas vraiment... Je suis carrément excitée. Il va falloir que tu t’occupes de moi.
Elle retire sa nuisette pour le rejoindre dans le lit.

Mais Boris se relève pour aller rouvrir la porte. Camille ne comprend pas :
— Qu’est-ce que tu fous ?
Boris lui fait un clin d’œil :
— On ne sait jamais... Ils peuvent peut-être avoir encore envie de se rincer l’œil ?— T’es un grand malade toi !
Camille n’insiste pas, car cela l’excite aussi de se dire que ses cousins pourraient les observer pendant qu’ils font l’amour. Dès que Boris est revenu dans le lit, elle écarte les draps et vient s’emmancher sur son érection.
Ils sont tous les deux si excités que les préliminaires ne sont pas nécessaires. Camille gémit déjà, sans chercher à être discrète. Elle se cambre, espérant offrir aux éventuels voyeurs la vision de ses courbes envoûtantes. Puis, elle se redresse et saisit le sexe de Boris pour le faire sortir lentement.
Quand elle positionne le gland contre son anus, Boris n’en revient pas :
— Ah oui ? Carrément !— Il faut leur donner du spectacle...
Lentement, Camille s’empale sur la queue raide de Boris en gémissant. Un discret coup d’œil vers la porte lui montre que ses cousins sont en place pour le spectacle.
Une fois la tige bien enfoncée en elle, Camille commence à monter et descendre. Boris la met en garde :
— Aaaaah... attention, je ne vais pas tenir longtemps comme ça...— Alors on va varier les plaisirs...
La jeune fille se redresse et laisse la queue s’extirper de l’étroit fourreau. Se reculant, elle se met à quatre pattes entre les cuisses de son mari et entreprend de le sucer.
Boris se redresse sur les coudes et râle de plaisir :
— Aaaah chérie, je ne suis pas sûr que ta bouche soit moins inoffensive que ton cul...
Camille interrompt sa fellation et murmure :
— C’est juste pour le spectacle...
Boris comprend que la position qu’elle tient, à quatre pattes, offre une magnifique vue sur sa croupe aux deux voyeurs. Camille lui fait un clin d’œil :
— Allez, prends-moi en levrette.
Boris adore quand c’est elle qui dirige. Il se dégage sur le côté pour qu’elle garde la position. Regardant entre ses cuisses, Camille aperçoit ses deux cousins dans l’entrebâillement de la porte.
Boris ne résiste pas au spectacle de cette croupe offerte. Sa queue tendue ne demande qu’à investir cette superbe fente. Alors qu’il la pénètre lentement, il se penche à son oreille et lui dit :
— Je ne suis pas sûr de pouvoir tenir longtemps... tout ça m’excite trop...— Il le faut ! Pense au spectacle.
Boris se redresse et commence un lent va-et-vient.
Il murmure :
— Tu me diras quand je serai autorisé à éjaculer ?— Pas en moi. Pour le spectacle, je préférerais que ce soit sur mon ventre...— Ton ventre ? Pas facile dans cette position...
Camille admet qu’il a raison, tout en le laissant continuer à le besogner, elle se déporte sur le côté et se laisse tomber sur le flanc. Mais tous ces mouvements ont raison de sa résistance et l’orgasme arrive.
Boris sait qu’il va éjaculer s’il bouge pendant qu’elle subit les spasmes de son orgasme. Il s’immobilise et la laisse donc profiter tranquillement de son plaisir. Quand elle semble s’apaiser et retrouve un souffle normal, Boris se redresse et, à genoux entre ses cuisses, il reprend ses pénétrations, sans se précipiter pour ne pas éjaculer trop vite. Il se déporte un peu sur le côté pour être sûr que les cousins voient la pénétration. Pourtant, le regard vitreux de sa femme après l’orgasme et sa moule dégoulinante de cyprine ont finalement raison de sa résistance.
— Je viens !— Montre-moi !
In extremis, Boris sort son membre turgescent alors que le sperme commence à jaillir.
Camille l’encourage :
— Oh oui ! Donne-moi ta semence. Mets en plein ma petite chatte.
Boris n’est pas habitué à ce qu’elle lui parle ainsi et cela l’excite encore plus. Se masturbant lentement, il laisse son sperme gicler sur le ventre et la fente encore béante de sa femme.
Dès qu’il s’allonge à côté d’elle, elle vient se blottir contre lui sans se soucier du sperme qui macule son ventre. Des mouvements dans le couloir indiquent que les cousins regagnent leur chambre. Pour des retrouvailles, Camille trouve que c’est plutôt réussi.
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