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Les découvertes de Karine

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire, que je vais vous conter est réelle, en tous cas, je le crois bien. Elle ne m’est pas arrivée, je la conte moi-même car je suis celle qui l’a, pourrait-on dire, déclenchée. Mettons-les choses en perspectives. Je suis une fille, disons, très nymphomane. J’avais vingt ans et j’étais célibataire et je voulais pousser mes limites sexuelles. Je faisais des rencontres par internet et je baisais à gauche et à droite.

Un jour, une femme sur l’internet me proposa un jeu. Je lui envoyais une photo de moi, et si je lui plaisais, avec les quelques renseignements que je lui donnais, elle déciderait si elle me prenait ou non comme « apprentie ».

M’ayant acceptée, elle me donnait, pourrait-on dire, des ordres, quoi qu’au bout du compte, j’aurais pu mentir, ou bien refuser et cela n’aurait rien changé. J’ai fait tout ce qu’elle m’avait demandé de faire, allant toujours de plus en plus loin, repoussant mes limites et m’épanouissant dans ma sexualité d’un coin à l’autre de Montréal, jusqu’à ce que j’atteigne mes propres limites.

Depuis ce temps, je suis moi-même maîtresse de jeu, et j’ai déjà joué avec quatre filles, dont les seuls critères communs étaient qu’elles étaient célibataires et québécoises, même montréalaises comme moi, parfois petits seins, entre la vingtaine et le milieu de la quarantaine.

Cette histoire vient d’une demande de l’une des filles avec qui je viens d’achever de jouer. Elle m’a demandé de rédiger cette histoire selon les rapports qu’elle m’a laissés de ses premières expériences au début du jeu. Je sais qu’elle s’appelle Karine, qu’elle a vingt-six ans, des cheveux bruns, des petits seins et une taille moyenne, voire petite. Est-ce vrai ou faux ? Comme je l’ai dit, je l’ignore, mais je prends pour acquis que oui.

C’était au début de l’été passé, Karine avait reçu de ma part comme consigne de se dénicher un homme dans l’autobus pour être son amant de jeu. Pour se faire, elle devait prendre l’autobus après l’heure de pointe, en jupe et sans sous-vêtements. Une fois dans l’autobus, elle devait écarter les cuisses, et dès qu’un homme laisserait planer les yeux sur son entrejambe, aller le voir et le soudoyer.

D’après la photo qu’elle m’avait envoyée d’elle, ça ne devrait pas être trop difficile, pensais-je. Or donc, d’après les récits de ses aventures qu’elle me fit, elle alla s’asseoir dans l’autobus, à l’arrière où elle vit qu’elle pouvait s’asseoir face à un homme. Il devait avoir une trentaine d’années, cheveux bruns.
Lorsqu’elle écarta les cuisses, l’homme ne le remarqua pas immédiatement. C’était la troisième soirée qu’elle faisait ça sur la ligne et elle espérait vraiment que cette fois-ci un homme la remarquerait. Cela arriva finalement, son regard passa entre ses cuisses, les yeux se détournèrent rapidement et le visage de l’homme s’empourpra.

Karine alla donc s’asseoir à côté de lui pour tenter de l’attirer dans son jeu. Ce ne fut pas une tâche facile, mais Karine était prête à tout pour pouvoir commencer à jouer. Prendre la main de l’homme et la coller à sa fente chaude et humide finit par le faire céder. Ils descendirent près de l’appartement de Karine et ils se rendirent chez elle. Elle ne laissa pas le temps à l’homme d’entrer dans l’appartement qu’elle s’était déjà dénudée et qu’elle plaquait ses seins sur le torse de l’homme tout en se mettant à l’embrasser tout partout.
Elle se fit caresser la chatte assez vite, les doigts de l’homme pénétraient sa chatte avide de bites qui dégoulinait d’envie.

Karine vivait le fantasme, mais elle voulait que ça se fasse tout en douceur. Elle reprit ses esprits et emmena l’homme dans sa chambre à coucher. Il se dévêtit à son tour et, sensuellement, il entreprit de donner de petits baisers sur le corps de Karine. Elle était couchée sur le lit et goûtait avec délectation ces petites attentions. Elle se laissa caresser la peau, surtout les seins tranquillement, prenant de bonnes respirations pour profiter le plus possible du moment.

Cet homme, elle ne le connaissait pas, mais elle se laissait toucher dans toute son intimité ! Cela l’excitait au possible. Elle entreprît alors une fellation sur la bite de l’homme qui lui donnait appétit depuis qu’elle l’avait vu. Elle entreprit de lécher délicatement le gland, avec un regard coquin, et ensuite, elle aspira au fond de sa bouche la tige de chair, la pompant avec lenteur et retenue, regardant toujours le visage de l’homme qui devait tout de même, j’imagine, se demander dans quel genre d’histoire il était tombé.

Karine le suça longuement ; elle fit durer le plaisir pendant plus d’une demi-heure, et entreprit ensuite de le mener à l’éjaculation. Elle aussi avait hâte de jouir et de sentir ce membre en elle. Karine, après avoir léché et avalé le sperme qui avait giclé du pénis de l’homme, se coucha langoureusement sur son lit. L’homme s’avança alors vers elle, se coucha sur elle et finalement, pénétra la petite chatte de Karine.

D’après la description que m’en fit Karine, ce dut être extrêmement bon, car elle m’écrivit sur cette première baise du jeu que ce fut l’un des moments les plus exaltants de sa vie, celui de s’offrir ainsi librement à un inconnu. Paraît-il qu’il savait comment s’y prendre, la limant avec vigueur, bien installé entre les jambes de Karine. Celle-ci soufflait extrêmement fort de plaisir, elle gémissait, criait sa jouissance, remontait le bassin vers le haut pour venir à la rencontre du pénis de l’homme.

Après un certain temps, les deux se renversèrent l’un et l’autre, Karine se retrouva sur le dessus pour chevaucher l’homme ; elle le chevaucha sauvagement, jamais elle n’avait « swingué » autant que cela en baisant. L’homme lui pétrissait les seins, la tenant fermement par les hanches. La situation était tellement cocasse que finalement, ça ne prit pas beaucoup de temps avant que l’homme expulse sa semence dans le vagin de Karine. Ils s’effondrèrent ensuite tout deux sur le lit, repus sexuellement.

Une fois cette merveilleuse soirée terminée, elle donna rendez-vous à l’homme dans une semaine, chez elle. La raison pour laquelle elle a fait ça, c’est qu’elle devait passer à deux autres consignes que je lui avais données : baiser en plein air et baiser dans un endroit public. Elle avait donc choisi de baiser dans une salle de cinéma. Ça a dû être difficile de le convaincre de faire cela, mais en tout cas, elle réussit.

Mais n’allons pas trop vite, retournons au rendez-vous. Ils prirent l’autobus à nouveau, Karine n’ayant pas d’automobile, car c’est plus gênant qu’autre chose à Montréal. Ils discutèrent de tout et de rien. Pour l’homme, il semblait, trouva-t-elle, qu’il était en train de commencer à croire qu’ils pourraient bâtir une relation solide tous les deux. Elle riait dans sa barbe, même si à la fin du jeu, et ce fût la seule fois dans toutes les fois que je l’ai fait, ils développèrent effectivement une sérieuse relation de couple.

Ils arrivèrent au Cinéma et achetèrent une paire de billets pour aller voir le film « L’Enlèvement », avec Liam Neeson. Il n’y avait pas beaucoup de monde dans la salle, au grand plaisir de Karine. Elle emmena l’homme s’asseoir en haut, où il n’y avait personne. Les lumières se fermèrent, les bandes-annonces commencèrent. Karine ne faisait rien, hormis caresser discrètement l’entrejambe de l’homme, et elle sentit sous ses doigts une bosse grossir.
Excellent, se dit-elle. Le film commença, elle attendit un peu, et lorsque la fille du film se fit enlever, elle sortit un, ensuite deux seins de sa camisole et plaqua une des mains de l’homme dessus. L’homme eut une réaction de surprise assez intense, Karine eut juste le temps de mettre sa main devant la bouche de l’homme. Elle se caressa les seins avec la main de l’homme, qui finit par prendre lui même le relais. Karine ferma les yeux et inspira profondément.

Elle craignait de se faire surprendre les seins à l’air, mais cette crainte l’excitait profondément, elle ressentait en fait une foule de sentiments contradictoires. Elle ouvrit les yeux, personne ne la regardait, elle commença donc à ouvrir la fermeture éclair du pantalon de l’homme, et sortit sa bite. Elle souleva sa jupe et s’assit délicatement sur ce pieu de chair, l’enfonçant profondément dans sa chatte, en pleine salle de cinéma. L’homme étant tétanisé, Karine me raconta qu’elle dut faire elle-même tous les mouvements de va-et-vient. Elle y alla délicatement, sensuellement, et de façon à ne pas se faire repérer.

Karine m’a dit qu’elle est une fille qui respire très fort lorsqu’elle fait l’amour et qu’elle est excitée, là elle devait contenir sa respiration et ses gémissements. Elle ferma de nouveau les yeux pour se délecter de ce moment, elle montait et descendait doucement sur le membre de l’homme, son vagin était inondée, ses seins étaient toujours à l’air, et elle se les caressait désormais d’une main, gardant son équilibre avec son autre bras. Elle se sentait extrêmement bien m’a-t-elle dit.
À un moment donné, elle vit un employé rentrer dans la salle et s’en venir dans leur direction. Le cœur de Karine (et probablement du pauvre homme aussi) s’arrêta de battre, mais ce fut une fausse alerte.
La multitude d’émotions ressenties par Karine la mena à l’orgasme, dont elle réprima difficilement le bruit. Sentant que l’homme, lui, était trop nerveux pour qu’il lui arrive quoi que ce soit, Karine se retira du membre de l’homme, et se recouvrit les seins, amusée d’avoir été la seule à jouir dans le rapport sexuel qu’elle venait d’avoir, fait inusité avec un homme !

À la sortie du cinéma, Karine pensait déjà à se faire baiser en pleine rue. Évidemment, elle pensait plutôt à une ruelle. Cette fois-ci, plutôt que de le prendre au dépourvu comme dans le cinéma, elle lui parla de son projet qu’il la prenne dans une ruelle. Encore là, l’homme parut hésiter, mais après la démonstration qu’elle lui avait faite dans le cinéma, le désir qui était monté en lui bien qu’il n’avait pas éjaculé dut finir par prendre le dessus, car Karine me raconta que c’est même lui qui l’entraîna dans une ruelle et qui la plaqua au mur pour soulever une de ses jambes afin de lui étirer la chatte et de planter sa bite dans son vagin.

Elle me dit qu’autant les deux premières baises furent délicates et sensuelles, autant celle-ci fut, d’après son compte-rendu, aride et brutale, dans les bons sens du terme. L’homme la pistonnait sans relâche, avec des sons de grognements qui venaient de la bouche. Karine était secouée, son clitoris était en feu ; elle ne pensait même plus à se faire surprendre. Elle me dit qu’elle devait être à cette heure l’être humain le plus facile à entendre respirer sur la planète tellement qu’elle respirait fort, au milieu de ses gémissements. Ses seins, découverts à nouveaux, étaient pelotés par l’homme, qui ne semblait plus intimidé par ce genre de situation.

Karine se sentait au septième ciel, elle se déchaînait, et quand l’homme finit par éjaculer en elle, Karine explosa en une immense jouissance, et plein de liquide vaginal coula le long de ses jambes. Ils se reposèrent, quelques instants, jusqu’à ce qu’ils entendent un passant parlant à qui, ils ne le surent jamais, et dire qu’il avait vu deux personne baiser et ils l’entendirent désigner leur ruelle. Ils partirent donc en courant, et prirent de justesse l’autobus qui partait. Ils éclatèrent de rire une fois à l’intérieur. Firent trois arrêt et retournèrent ensuite prendre l’autobus les menant vers chez Karine.

Karine avait respecté toutes les premières consignes du jeu que je lui avais données, et elle avait joui comme une folle. Ce fut donc de son propre gré que, me dit-elle, elle baisa à nouveau secrètement en public, dans l’autobus retournant chez elle. Elle s’épanouissait donc de plus en plus sexuellement.
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