Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 1 Commentaire

Les CRS

Chapitre 3

Gay
Il fait une chaleur proche de la canicule en cette fin de journée et donc assez chaud pour rester à poil pour le dîner. Je retrouve Romain un peu avant 20H00 dans le salon. Il me rejoint, l’air un peu troublé. Il a changé de maillot de bain et il porte maintenant un Aussiebum orange. Je regarde furtivement son bas-ventre et il me semble voir une tache plus humide à l’endroit ou un renflement appétissant laisse deviner son gland. J’imagine tout de suite qu’il était en train de se masturber quand je l’ai appelé pour qu’il me rejoigne et qu’il a dû se rhabiller précipitamment pour ne pas me faire attendre.
— Il fait encore chaud, je pense qu’ils auront prévu le repas dehors.— Sympa.— Ca vous plaît comme endroit ?— Oui... enfin, c’est un peu bizarre.— Mais vous êtes à l’aise quand même non ?— Oui oui...ça va.
Toute l’équipe est réunie pour cette belle soirée qui annonce l’été. Par souci du respect de la hiérarchie, la place d’honneur au bout de la table m’a été attribuée, les autres se placent librement et je vois que Romain se met en face d’Eric, le maître nageur sauveteur qui nous accueillit au poste principal quand nous sommes arrivés.Le dîner est très sympathique et je me régale du spectacle de ces corps d’hommes nus et bronzés. Nous nous racontons des anecdotes et les événements de l’année qui vient de s’écouler. Beaucoup sont des habitués et nous finissons par bien nous connaître.
Dans la soirée, chacun regagne son mobile home ou les bungalows qui sont mis à la disposition de mes équipes. Il fait trop chaud et je n’arrive pas à dormir. Je tourne dans mon lit et au bout d’une heure, je préfère aller prendre l’air. Je prends le chemin de la plage. Tout est calme. Quelques nuages élevés glissent dans le ciel, mais demain devrait encore être une belle journée.
Au bord de la plage, je me sens libre et heureux. L’air tiède me caresse le corps et je sens ma queue à moitié en érection sous l’effet de la caresse de la nature. Soudain, je vois un mouvement vers le blockhaus tombé sur la plage sous l’effet de l’érosion. Il me semble discerner deux silhouettes, mais je ne suis pas sûr. Puis un nuage s’écarte et la lune éclaire la scène. Mes yeux sont habitués à l’obscurité et je reconnais un des sauveteurs de l’équipe, Mathieu, un beau mec de trente ans qui doit faire chavirer les nanas et qui va bien occuper ses soirées cet été. En regardant plus attentivement, je vois que l’autre silhouette est celle d’un homme et je reconnais le jeune papa qui a amené sa fille au poste au début de l’après-midi et qu’Eric a prise en charge. Lui et Mathieu sont face à face, leurs deux sexes tendus à l’horizontale et l’un des deux caressent les deux glands collés l’un à l’autre. Le jeune mec joue avec les tétons de Mathieu.
Je suis touché par la beauté de cette étreinte nocturne et secrète. Je ne veux plus bouger pour ne par révéler ma présence et ne pas déranger les deux hommes.Après les caresses sur leurs deux sexes, Mathieu s’agenouille et commence à sucer son partenaire. Quelque chose dans son attitude me fait penser qu’il n’a pas l’habitude de plonger son pénis dans la bouche d’un mec. Puis il se laisse aller et pose sa main sur la tête du beau CRS qui l’avale avec beaucoup de douceur. La fellation dure, le petit père de famille s’enhardit et bloque maintenant la tête de Mathieu comme s’il avait l’intention de jouir dans la bouche qui lui fait découvrir des sensations inconnues.
Mathieu se relève, les deux garçons se caressent le torse, le sexe, le cul et s’embrassent tendrement. Ils se parlent à l’oreille, j’imagine une conversation érotique et je bande à fond en les regardant. Puis le jeune mec s’agenouille à son tour et prend la queue de Mathieu dans sa main. Il approche la langue du gland gonflé, encore timide et hésitant. Je le vois de profil et j’admire au passage la belle queue tendue du CRS. Mathieu a un corps parfait et son sexe complète parfaitement un physique de rêve. Son pénis est maintenant à moitié avalé par le jeune papa qui est de moins en moins timide.
Cette nouvelle fellation est aussi longue que la première. Ils ne cherchent pas à se dépêcher, convaincus peut-être que personne ne viendra les déranger ou trop excités pour penser aux risques qu’ils prennent. La situation pourrait s’avérer contrariante pour le jeune père de famille, peut-être gay depuis toujours et qui a voulu se fondre dans la respectabilité ou hétéro curieux en voie de reconversion. J’imagine même un coup de foudre qui aurait saisi ce beau garçon au moment où il s’y attendait le moins et qui aurait perdu totalement le contrôle de la situation.
Je me dis que j’en ai assez vu et que je devrais les laisser s’amuser, mais si je bouge maintenant et qu’ils m’entendent, je ne leur aurai pas rendu un grand service. Je décide de rester. Mathieu relève son partenaire et doucement le fait pivoter sur lui même pour qu’il s’appuie contre la paroi en béton brut du blockhaus. Le beau CRS en rut pose sa queue verticale entre les fesses du jeune mec et fait des mouvements de bas en haut qui lui caressent les reins. Puis il prend son pénis durci dans sa main droite et caresse l’anus du papa avec son gland. Il est clair qu’il a une furieuse envie de lui faire l’amour et d’enfoncer sa belle tige de chair dans un petit cul qui n’a peut-être pas encore connu de visite virile.
Mais le garçon a probablement besoin d’un peu de temps pour se faire à l’idée de se faire pénétrer par un beau mâle. Mathieu s’agenouille à nouveau et plonge son visage dans la raie du jeune mec. Je me souviens d’un beau petit cul musclé, très légèrement velu, et de ses cuisses elles bien poilues. Mathieu prend son temps. Je devine qu’il se masturbe en même temps qu’il lèche l’anus tendre qu’il n’a pas encore le droit de transpercer. L’autre aussi se caresse la queue, le front collé à la masse de béton armé, le cul en arrière pour faciliter les caresses de mon collègue que visiblement il apprécie.
Après dix minutes de ce petit jeu, Mathieu se redresse, se donne quelques ultimes caresses tout le long de son sexe appétissant et jouit sur le dos de son amant. Lui fait de même et sans les voir, j’imagine les jets de son sperme chaud venir signer les graffitis qui ornent le vestige monstrueux de la seconde guerre mondiale.
Epuisés, les deux hommes s’étreignent étroitement. Je recule doucement pour me cacher derrière un groupe de pins. Je ne sais pas quel chemin ils vont prendre pour remonter de la plage, mais je ne veux surtout pas qu’ils s’inquiètent parce que leurs ébats, les premiers peut-être, auraient eu un témoin. Je bande toujours à fond, excité comme un animal, mais aussi ému par la tendresse qui se dégageait de la douce étreinte à laquelle je viens d’assister.
Les deux beaux mecs passent à proximité en silence et se séparent après un dernier baiser à l’abri d’un arbre protecteur. Je laisse passer dix minutes avant de regagner mon bungalow. Je n’entends rien. Je ne sais pas si Romain dort ou a lui aussi choisi de s’amuser à l’ombre de la nuit. Curieux, je monte à l’étage et entrouvre la porte de sa chambre. Il est là, allongé en chien de fusil sur son lit face à moi, en caleçon. J’écoute sa respiration lente. J’ai envie de lui, mais je ne peux rien faire. Je referme la porte sans bruit et regagne ma chambre.
Cette fois-ci, je m’endors vite.
Diffuse en direct !
Regarder son live