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Les CRS

Chapitre 8

Gay
Mes fantasmes me poursuivent toute la matinée pendant la visite des deux postes des secours annexes en compagnie de Romain qui fera les comptes-rendus de visite. Il a l’air tout à fait à l’aise à poil maintenant. Tout le monde l’a applaudi au petit-déjeuner et je sais que Sébastien et Mathieu ne sont pas restés insensibles à la plastique de mon bel aide de camp.
J’imagine la nuit qu’il a passée avec Eric et je les vois tous les deux tout essayer de l’amour entre hommes, ou au contraire passer la nuit simplement à se parler et se caresser avant d’oser aller plus loin. Mon imagination vagabonde et je pourrais presque écrire le scénario d’un film porno où les deux garçons penchés et appuyés sur la rambarde en bois du poste de secours m’offriraient leurs adorables petits culs poilus que je pénétrerais chacun à son tour pendant qu’ils s’embrasseraient, heureux de partager ma queue.
Il faut que je fasse un effort pour me concentrer si je ne veux pas que cette inspection se révèle totalement infructueuse, les idées pour la suite du film se bousculant dans mon cerveau.
Je me libère pour l’après-midi. Nous sommes samedi et j’ai décidé que nous resterions jusqu’à lundi matin. Nous rattraperons le retard sur le programme initial en partant très tôt lundi pour remonter vers Royan.
Je sais maintenant que le blockhaus est un lieu de rencontres pour les hommes du camp naturiste et je me dis que les après-midis y sont peut-être animés, surtout le week-end. Je m’approche en restant discret et je vois à travers une ouverture que je ne me suis pas trompé. Je bande aussi sec en voyant le spectacle. Un jeune mec, 22 ou 23 ans à mon avis est visiblement attaché, les mains dans le dos, par une chaîne fixée à un anneau dans le mur par un cadenas. Le garçon est à genoux devant un beau mâle musclé, poilu, mais rasé à ce que je peux deviner, dont il avale la queue entièrement avant de la ressortir de sa bouche pour mieux l’avaler sur toute sa longueur. Le beau mâle lui baise la bouche avec une certaine ardeur.
Autour, trois mecs se masturbent en regardant la scène les yeux rivés sur les deux protagonistes. Deux autres sont en train de baiser. Un autre encore, penché en avant, les mains posées sur les genoux, le cul offert à la bouche d’un autre qui lui bouffe le cul avec beaucoup de dextérité. Le léché gémit de plaisir sous les caresses de la langue de son partenaire qui lui fouille la chatte avec gourmandise.
Belle scène de cul collective. J’ai envie de me joindre à ce petit groupe, mais je n’ose pas. Je suis peut-être déjà repéré comme le commandant des CRS et je ne veux pas que les estivants apprennent que leurs sauveteurs ont des pratiques qui flirtent avec la légalité dans la mesure où cette exhibition est tout de même publique.
Le jeune suceur se relève et offre son anus à son partenaire. Le mec puissant est équipé d’une belle queue particulièrement épaisse, qui, une fois protégée, s’enfonce dans l’anus du jeune homme. Il a d’abord le souffle coupé sous l’effet du diamètre qui s’invite en lui, mais il trouve le moyen de s’enfoncer sur la verge tendue visiblement sans trop avoir mal. Suivant cet exemple et parce que la température monte le bouffeur de cul passe aussi aux choses sérieuses et pénètre doucement l’anus de son partenaire qu’il a préalablement bien lubrifié. Je regarde l’assemblée et me demande combien ont quitté leurs petites familles sagement assises sur le sable un peu plus loin dans la zone de baignade surveillée par mes hommes pour venir s’encanailler dans la fraicheur du blockhaus.
Le bruit du va-et-vient des deux queues dans les chattes des deux passifs résonne contre les parois en béton, les grognements des mecs en rut aussi et je sens ma queue mouiller sous l’effet de la sauvagerie des corps livrés au plaisir.
Je vois arriver un autre mec, la trentaine, torse imberbe joliment bronzé, et je regarde sa belle grosse queue se balancer entre des cuisses poilues et bien musclées. Je ne l’ai jamais vu, mais il respire le sexe. Je ne saurais pas l’expliquer. Il croise mon regard et je sens qu’il n’est pas ravi de me voir. Je comprends qu’il doit penser que je suis en intervention de surveillance et que peut-être une descente de mes équipes va mettre bon ordre à ce qui se passe dans le bunker. Il rejoint les autres et en effet, en quelques secondes, tout s’arrête et les mecs se dispersent en empruntant les nombreux accès possibles au bloc de béton. Ils ont cru que j’étais en service et j’ai la confirmation que je suis bien identifié comme représentant de l’autorité. Si seulement ils avaient correctement deviné ce qui m’amenait là...
J’entends des bruits de chaîne à l’intérieur et je comprends que le jeune mec est resté, probablement incapable de se défaire de ses entraves. Je vais voir ce qu’il en est.
Le garçon est rouge de honte quand je m’approche.
— Bonjour.
— Bonjour... il va m’arriver quoi ?— Comment ça ?— vous êtes CRS non ? vous allez m’arrêter ?— OH... non... ne vous inquiétez pas... je ne suis pas en service.
Il parait un peu soulagé.
— pourquoi vous n’êtes pas parti comme les autres quand ils ont su que j’étais là ?— je peux pas... je suis attaché... j’ai pas la clé.— elle est où ?— c’est mon père qui l’a...
Je reste ébahi et je ne comprends rien. Qu’est-ce que c’est que cette histoire d’un père qui viendrait offrir son fils aux assauts de tous les mecs en rut du camp ?
— Votre père ?????— Oui... c’est une punition. Il m’a surpris en train de regarder un porno gay et il a compris pour moi...
Le garçon est à deux doigts de se mettre à pleurer.
— et il vous a amené ici... de force ?— Oui... il m’a traité de tous les noms et m’a menacé de tout raconter à ma famille, à leurs amis...à mes copains... Il paye mes études, je peux pas faire autrement...
Je réfléchis aussi vite que je peux.
— mais tout à l’heure... vous n’étiez pas en train de demander de l’aide à ceux qui...étaient là...— Non... c’est bien fait pour sa gueule. Sa punition il peut se la...... j’en ai profité et c’était super.— il revient quand ?— je sais pas.— qu’est-ce que je peux faire pour vous ?— rien... surtout, faites rien... ça serait pire que tout...— mais on ne peut pas vous laisser là... imaginez ce qu’il pourrait arriver...— j’ai pas peur... je m’en fous.....— non... nous allons l’attendre.— NON... faites pas ça...ça sera pire après...— je vais allez chercher mes équipes et du matériel pour vous libérer. Si votre père revient vous détacher, venez me voir au poste de secours après. D’accord ?— Non... revenez pas... s’il vous plaît.— c’est quoi votre prénom.— Cédric.— Cédric, vous n’avez pas à subir ça. Nous allons parler à votre père de toute façon.
Je me dirige rapidement vers le poste principal pour parler à Sébastien qui comprend vite et bien la situation. Il appelle Mathieu qui prend une caisse à outils et nous retournons vers le blockhaus.
Nous arrivons sur place en même temps qu’un mec d’une petite cinquantaine, bien foutu, trapu, mais qui ne respire pas l’intelligence.Nous lui parlons avant qu’il retrouve son fils.
— Monsieur, vous êtes le père de Cédric.— Euh... oui...— vous vous croyez autorisé à torturer votre fils ?— Ca va pas non ? C’est un PD, il va falloir que ça lui passe.— vous allez venir avec nous.— Non... j’ai rien fait.— Pardon ? Sébastien et moi le prenons chacun par un bras pendant que Mathieu va libérer Cédric. Les deux garçons nus ressortent du blockhaus après quelques minutes. Nous avions convenu avec Mathieu qu’il parlerait à Cédric pour le rassurer.— Cédric, est-ce que vous voulez voir notre médecin ?— Non, merci, ça va aller.— OK, allez vous reposer. Nous nous emmenons votre père.
Le mec s’agite et avant qu’il se débatte trop fort nous resserrons notre prise sur lui.
— Il va falloir vous calmer. Si votre fils porte plainte, vous êtes très mal parti. En plus nous sommes tous témoins de la maltraitance.
Nous emmenons le gars au poste pour lui coller une bonne frousse avec interdiction de s’approcher de Cédric que nous proposerons d’héberger dans un bungalow où il reste des chambres disponibles. Le garçon après s’être installé vient nous remercier. Son regard a changé, il semble libéré d’un poids. Sébastien a confié à Mathieu la mission de veiller sur lui et de vérifier qu’il ne vit pas mal le contrecoup de l’expérience de l’après-midi. Mathieu s’acquitte de la tâche avec beaucoup d’implication à laquelle la séduction qui émane de Cédric n’est peut-être pas totalement étrangère.
Au dîner, Eric et Romain sont ensemble et respirent la joie de vivre. Cédric est plus sombre, mais nos efforts pour le mettre à l’aise lui font du bien. Les sauveteurs hétéros sont aussi solidaires que les gays et je suis fier de cette équipe à laquelle Sébastien transmet de vraies valeurs.
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