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Les CRS

Chapitre 11

Gay
Je change de chaussures pour aller courir. J’aime bien la caresse du vent sur ma peau quand je cours nu et les mouvements de ma queue me font me sentir totalement libre. Plusieurs mecs font comme moi en ce dimanche matin et certains ne me laissent pas indifférent. Ces petits hétéros m’excitent, jamais vraiment sûr de ne pas basculer de l’autre côté. Je repère le mignon petit père de famille qui jouait avec Mathieu l’autre nuit et je comprends qu’il coure avec un copain légèrement en avance sur lui. Le copain s’arrête pour l’attendre et se retourne vers nous. L’autre est bien foutu, très grand, très mince, barbu, avec un corps encore assez blanc, un torse légèrement poilu, mais des jambes et un petit cul couverts d’une véritable forêt de poils sombres. Belle queue très fine et longue. Je ralentis pour profiter du spectacle et passe à leur hauteur en simulant la plus totale indifférence. Je m’arrête un peu plus loin pour les regarder.
Visiblement, ils décident de prendre un chemin plus caché qui s’enfonce dans la forêt et j’ai envie de les suivre, à une distance raisonnable cependant.
Pour le moment, les deux ont l’air d’être motivés par la course et je profite de l’ambiance plus fraiche de cette partie plus dense de la forêt de pins. Puis ils s’arrêtent pour reprendre leur souffle, l’un face à l’autre comme deux copains de sport. Je vois que le grand brun tend la main lentement vers le sexe du jeune papa. Il se rapproche pour caresser la queue dont je n’arrive pas à voir si elle bande. Mais je n’ai pas de doute compte tenu de ce que je sais des attirances du garçon. Le grand a l’air timide, hésitant, j’imagine presque sa main trembler. Et je me dis que c’est sa première fois, sa première tentative d’approche sexuelle d’un homme. Il y a quelque chose de touchant dans cette image.
Le jeune père, qui lui a de l’expérience, reprend l’initiative, saisit à son tour la belle queue blanche et longue de son ami et commence à le masturber. Le beau grand sexy bande à fond et moi aussi, j’aime sa queue bien visible au milieu des poils noirs touffus de son pubis. Le plus hardi pose la main sur la nuque du débutant, qui se penche de ses presque deux mètres pour trouver les lèvres de celui qui sera sa première fois. Ces deux hommes nus et tendres, au milieu de cette nature sublime éclairée à travers les feuillages des pins, offrent un spectacle d’une beauté sauvage et irrésistible. C’est beau en même temps que totalement excitant. Je me sens soudain un peu voyeur et importun. Je ne pense pas qu’ils souhaitent avoir de témoins. Je m’éclipse discrètement, la queue dressée à fond sous l’effet de cette rencontre inattendue.
Je trouve un autre chemin qui me permet de contourner les deux amoureux sans les déranger. Je cours une dizaine de minutes sans croiser personne et j’arrive presque à la limite du camp, marquée par des barbelés. Je m’arrête pour reprendre mon souffle. Il me semble entendre une présence humaine un peu plus loin. Des voix dont je ne comprends pas bien ce qu’elles disent. Je prends cette direction puisque de toute façon, je ne peux pas aller plus loin sans sortir du domaine et je ne vais quand même pas me faire arrêter parce que je suis à poil en dehors de la zone autorisée.
Plus j’approche, plus je suis sûr que ce sont exclusivement des voix d’hommes. Je finis par aboutir dans une petite clairière que je ne connaissais pas avec au milieu un cabanon presque à l’abandon. Il y a une table attachée à deux bancs pour permettre aux promeneurs de pique-niquer. Sur la table, un mec est allongé sur le ventre, les jambes écartées, pieds posés sur le sol, les deux bras tendus retenus par deux beaux mecs. Tous sont nus comme tout le monde dans le camp. Le mec allongé me fait face pendant que les deux qui lui tiennent les poignets sont de dos. J’admire deux culs bien fermes, l’un imberbe et l’autre légèrement velu, couvert d’après ce que j’arrive à voir d’une jolie toison de poils blonds. Entre eux deux, je vois le quatrième qui est en train d’aller et venir fermement dans la chatte de celui qui est couché sur la table.
Belle gueule de trentenaire, assez bon genre, style jeune cadre que l’on ne s’attend pas à trouver en train de pilonner un homme au milieu des bois. Il me voit et me sourit. Celui qui se fait baiser sourit aussi et je suis rassuré qu’il ne s’agisse pas d’une agression.
Une fois que la surprise de mon arrivée est passée, la conversation reprend :
— T’aimes ça hein salope ?— Oui... baise-moi bien... donne-moi ta queue... oui... vas-y.
Rien de très original, mais c’est amusant.Les deux qui me tournent le dos commentent :
— Oui... il la prend bien sa queue...— Oui... il aime ça...— Il a bien aimé la tienne aussi...
— Sûr... il m’a bien avalé aussi... c’est une bonne chatte et une bonne bouche...
Les échanges se poursuivent sur cette tonalité.
— P..... les mecs je crois que je vais venir...— Non Yann... attends... il en veut encore.
Le baisé donne son avis :
— Oui... baise-moi encore...
Celui qui s’appelle Yann est vraiment sur le point d’éjaculer. Il a une idée et me fait signe.
— On a un nouvel ami.
Je m’approche, les deux beaux culs se retournent et comprennent qu’un cinquième les a rejoints.
— Salut !— Salut !— Tu veux faire connaissance avec le cul de notre copain Julien ?— Ben oui... je veux bien...
Je rejoins les mecs et fais le tour de la table pour venir me poster près de Yann. Le beau petit cadre convenable retire sa queue de l’anus du Julien et m’embrasse avec une lueur d’une intense lubricité dans le regard.
— T’es super bandant toi.
Je suis sensible au compliment de Yann et j’admire au passage la taille de sa verge grosse verge enflammée par le limage du cul de son copain.
— Tiens.
Il me tend un préservatif.
— Il est bien lubrifié, tu peux y aller.
Ce mec commence vraiment à m’exciter. Je ne réfléchis plus trop, déroule la capote sur ma queue dure et m’enfonce dans l’anus offert. Le cul de Julien est un petit paradis, musclé, poilu, bien serré comme j’aime et son anus m’accueille comme une bouche experte en fellation.
— Waouhh, il est bon...
Je ne peux pas m’empêcher de me laisser aller, mais je sais que les autres ne seront pas choqués. Je le baise... il me baise... toutes les images de ces derniers jours me reviennent et je sens que je vais jouir à fond.L’un des deux qui me font face se décale et vient poser sa queue à hauteur de la bouche de Julien qui ne se fait pas prier pour le sucer. Julien se laisse faire et ce sont les mouvements de ma verge dans son cul qui impriment le rythme de sa fellation.Yann tourne autour de nous pour se régaler de chaque angle de vue puis il revient dans mon dos et se colle à moi. Je sens son gland au bord de ma raie. Il me parle tout bas à l’oreille.
— Tu m’excites... tu me plais...
Je ne peux pas lui répondre sans me déconcentrer, mais ses mots accélèrent la montée de mon sperme dans mon système génital.
— Tu veux ma queue ?... J’ai envie de la fourrer dans ton petit cul poilu...
Il n’en faut pas qu’il soit déçu et je lui dis que je suis actif.
— OK... pas de souci... mais je peux te bouffer le cul quand même ?
Je lui fais comprendre que oui... oui... mille fois... il peut me bouffer le cul autant qu’il veut...Je prends les jambes de Julien pour qu’il les pose sur mes épaules pendant que je m’appuie sur le bord de la table. De cette façon, même si je n’ai pas le cul totalement offert, Yann peut accéder à mon anus qui n’attend que ça. Je sens ses deux mains sur mes fesses qu’il écarte puis une sensation folle, chaude et humide, d’une incroyable douceur sur ma rondelle. Il lèche les poils de ma raie à grands coups de langue pendant que le continue à visiter activement le trou accueillant de Julien.Je ne le vois pas, mais j’imagine Yann accroupi derrière moi avec sa belle petite gueule innocente à moitié enfouie dans ma raie. C’est trop bon et je sens que je vais bientôt jouir.
—... Mmmmm, c’est bon... je vais jouir...
Yann redouble d’efforts puis je sens que ce n’est plus sa langue, mais un doigt qui me caresse le trou et entre en moi. C’est divin et il n’en faut pas plus pour que les digues cèdent et que je remplisse la capote au fond de l’intimité de Julien. Je reste immobile une fois que j’ai craché la dernière goutte de mon jus et Yann reprend ses coups de langue sur ma chatte. Il se relève, se colle à moi, je sens son corps contre moi, sa queue dure entre mes fesses. Il pose ses mains sur mon torse, me caresse et me chuchote à l’oreille...
— Alors commandant... on a pris son pied ?
Je manque de m’étrangler, mais le ton de sa voix est plein de douceur...
— J’adore les CRS quand ils me font bander...
Je me dégage de l’anus de Julien, la queue encore à moitié en érection pour lui faire face. Il est furieusement bandant. Il continue à me parler tout bas à l’oreille.
— Je me présente... commissaire Yann Canson... enchanté de t’avoir bouffé le cul chez collègue bandant...
Nous échangeons un sourire plus que complice.
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