Les mois passent, Valéria et Alexandre continuent leur petit manège.Il pense constamment à sa grand-mère et rêve de la voir porter les vêtements dans lesquels il se masturbe. Mieux, d’éjaculer sur elle quand elle les porte.Il n’a pas non plus oublié que "Mamie est une coquine". Depuis presque un mois, il lui demande régulièrement ce qu’elle voulait dire, mais elle répond "Je te le dirai plus tard" avant de changer de sujet. Son comportement a aussi beaucoup changé ces dernières semaines, il est de plus en plus entreprenant avec sa grand-mère, ses mains sont baladeuses et restent parfois un peu trop longtemps sur son corps. Elle le repousse gentiment quand ça arrive, mais elle lui laisse à chaque fois un petit bisou appuyé au coin des lèvres. Valéria est loin d’être innocente, elle montre un peu plus son décolleté et laisse parfois apparaître la dentelle de son soutien-gorge. Et si elle semble ne pas accepter les mains de son petit-fils sur son corps, elle ne se prive pas de poser les siennes sur les cuisses d’Alexandre. Elle s’est aussi acheté de nouvelles pièces de lingerie, relevant les préférences du jeune homme, pour être sûre de choisir quelque chose qui lui plaira. Quand ils sont devant son tiroir, elle lui fait même parfois des recommandations salaces, "Celle-là serait très agréable contre ton... je pense", ou en encore "Mauve, ce serait joli avec de longues traînées blanches, non ?". Elle ne sait plus vraiment si c’est pour lui ou pour elle qu’elle dit ça et bien sûr, elle ne lui a jamais avoué que voir sa lingerie ainsi souillée l’excite au plus haut point.
Ce jour-là, quand Alexandre arrive chez ses grands-parents, Valéria porte une jupe longue et un cache-cur qui lui donne un joli décolleté, avec un foulard autour du cou. Il se sent déjà gonfler dans son caleçon.Papy Robert est sur le point de sortir faire son jogging, même si ce n’est plus un secret qu’il trotte un moment, puis passe une heure ou deux au café dans le centre-ville. Salut mon grand ! Comment vas-tu ? l’embrasse son grand-père. Bien, Papy et toi ? Bonjour, Mamie. Bonjour, mon grand. Ça va, comme des vieux ! répond Robert. Ils échangent quelques banalités, parlent un peu des cours, puis Robert les salue, prend ses clés, ses papiers et sort retrouver ses amis. Valéria et Alexandre s’installent dans la cuisine, ils discutent calmement pendant qu’elle nettoie la vaisselle du matin. Il profite qu’elle soit dos tourné pour se lever et se mettre derrière elle, les mains sur son ventre, son bassin contre ses fesses.D’abord surprise, Valéria ne bouge pas.Il lui fait un petit bisou sur l’épaule et resserre ses bras autour de sa taille.
Il est joli ton foulard, Mamie, il est en quoi ? Merci, mon chéri. En soie, il est très doux. Mamie, pourquoi est-ce que t’es une coquine ? demande-t-il à nouveau après un court silence, remontant une main juste sous sa poitrine. Pourquoi est-ce que tu veux le savoir ? demande cette fois Valéria, excitée par la raideur qu’elle sent contre ses fesses et par la position que prennent les mains du jeune homme sur son corps, sa réponse change enfin. J’y pense tous les jours depuis que tu me prêtes tes culottes, j’ai envie de savoir. Valéria a envie de céder. Chaque fois qu’Alexandre lui laisse un sous-vêtement plein de sa semence, elle doit faire un énorme effort pour résister à l’envie de lécher sa décharge. Elle rince vite le vêtement, puis file sous la douche se masturber, imaginant son petit-fils lui éjaculer chaudement dessus.Elle sait qu’elle doit immédiatement mettre un terme à leur jeu, et pourtant elle frotte ses fesses contre l’avant du pantalon d’Alexandre. Mamie est une coquine parce qu’elle aide son petit-fils à se masturber... elle lui offre sa lingerie... et elle aime ce qu’il laisse dedans. Elle se retourne pour faire face à son petit-fils et passe ses bras autour de son cou. Lui, redescend ses mains sur les fesses de sa grand-mère. J’aime voir les gros paquets blancs que tu laisses dans mes petites affaires, lui souffle-t-elle à l’oreille, avant de déposer un baiser tendre sur les lèvres de son grand garçon. Elle sait qu’elle est allée trop loin. Tu... tu aimes ? Valéria sourit, mais ne répond pas. Elle agite juste ses hanches contre le bassin d’Alexandre. Tu as une grosse envie on dirait, tu veux que Mamie te prête une culotte ? demande-t-elle, amusée. "Viens, on va te trouver quelque chose."
Main dans la main, ils vont vers la chambre de Valéria et s’assoient sur le bord du lit, face à la commode contenant les sous-vêtements tant aimés.Valéria ouvre le tiroir et propose ses culottes à Alexandre, mais il n’est pas décidé. "Une nuisette peut-être ? Celle-là est nouvelle" dit-elle, en montrant un vêtement couleur ivoire en satin aux bretelles couvertes de dentelles, mais il refuse toujours. Rien ne te fait envie, mon chéri ? demande-t-elle en caressant le haut de sa cuisse. J’ai envie de toi, Mamie, dit-il, lui-même étonné de son aveu. Oh, mon chéri... je suis ta grand-mère, tente-t-elle de résister sans grande conviction, puis elle s’approche et dépose un baiser au coin de ses lèvres. Prenant ça pour une invitation, Alexandre se jette à son cou, ses mains lui caressant les seins. Du calme ! Du calme ! dit-elle en riant. Pardon, Mamie. On va déjà commencer par ton souci, dit-elle en caressant la bosse dans son jeans. "Baisse ton panta...", pas le temps de finir sa phrase, Alexandre est déjà debout face à elle, Jeans et caleçon autour des chevilles.
Valéria se retrouve face à l’érection de son petit-fils. Elle suit du regard une grosse goutte de liquide pré-séminal perler un moment au bout du gland avant de tomber en un long filet sur sa jupe. Elle salive et lutte intérieurement pour ne pas précipiter ses lèvres douces sur la chair dure et chaude afin de la traire sur sa langue et dans sa gorge. Hum, alors. Tu es sûr que rien ne te fait envie là-dedans ? bégaye-t-elle, en désignant le tiroir. Alexandre regarde le tiroir en faisant la moue, puis tourne ses yeux vers la gorge de sa grand-mère. J’aime bien ton foulard, en fait, dit-il en le touchant du bout des doigts. A deux doigts de lui faire une fellation, Valéria accueille gracieusement l’échappatoire qui lui est offerte. C’est vrai qu’il est beau, dit-elle en le dénouant, avec un sourire charmeur. Alors qu’elle s’apprête à l’enrouler autour de l’intimité de son petit-fils, elle se rétracte soudain. Alexandre, c’est plus grave que de te prêter mes culottes pour que tu te fasses plaisir dans la salle de bain. Là, c’est avec mes mains. Pas un mot à qui que ce soit, tu comprends ? Pas même à tes copains ! Tu dois me le promettre. Oui, Mamie. C’est promis. Elle le jauge un instant. Assieds-toi. Alexandre obéit et se positionne sur le lit, à la droite de sa grand-mère. Il soupire quand Valéria enroule le foulard autour de ses testicules et de son pénis, créant un fourreau délicieusement doux autour de sa virilité. Il est si dur et si chaud entre les doigts de Valéria.Elle tire sur son décolleté pour le faire passer sous son soutien-gorge, puis prend la main droite d’Alexandre et la place sur son sein gauche. Embrasse-moi, mon chéri, et leur bouche se connecte. Il glisse ses doigts dans le bonnet du soutien-gorge pour mieux toucher la poitrine de sa grand-mère. Elle commence alors à bouger sa main droite de haut en bas. Avec son pouce, elle caresse sous le gland, à travers le tissu à chaque fois qu’elle remonte sa main. L’autre, sous les testicules du garçon, les caresse tendrement. Rapidement, Alexandre se met à trembler, la sensation du tissu et des mains agiles et expertes de sa grand-mère sont trop fortes pour lui.Il aimerait que ça dure, mais il sent déjà qu’il va bientôt jouir. Ils remuent les hanches, essayant d’accompagner les mouvements de sa grand-mère. Mamie, ça vient, souffle-t-il haletant. Je sais mon amour, continue de m’embrasser, ne te retiens pas. Les mouvements de Valéria sont de plus en plus rapides, les frottements du tissu entre ses doigts et le sexe d’Alexandre procurent à celui-ci des sensations incroyables. Mamie ! Mamie, Mamie, Mamiiiiie ! Aaaaah ! gémit-il contre la bouche de Valéria. Et soudain, c’en est trop pour Alexandre qui éjacule entre les doigts de sa grand-mère, et inonde la soie de sa semence chaude. Elle l’embrasse et lui mordille la lèvre, ses mains continuent leurs mouvements. "Je sens les pulsations de sa queue à travers le foulard", pense-t-elle.Le sperme chaud se répand dans le tissu, les doigts de Valéria sont humides. Quant à sa culotte, elle a dépassé ce stade depuis longtemps.Alexandre lui caresse toujours le sein droit d’une main et place l’autre à sa taille.Ils restent ainsi encore quelques minutes, les mains de Valéria toujours en mouvement. Puis elle ralentit et s’arrête. Ça va mieux, mon poussin ? demande-t-elle avec un sourire plein de tendresse. Oui, répond Alexandre, essoufflé. "Merci, Mamie." Debout, mets-toi face à moi, je vais te nettoyer. Alexandre se lève, les jambes raides et faibles après son orgasme. Valéria se penche et attrape une culotte noire en satin dans son tiroir resté ouvert et retire le foulard alourdi par la semence.Le foulard en main gauche et la culotte dans la droite, elle essuie doucement le pénis de son petit-fils. D’épaisses traces blanches apparaissent vite sur le tissu noir. Tiens-moi ça, s’il te plaît, dit-elle en tendant la culotte. Valéria, assise face à lui, le regarde avec un grand sourire et renoue calmement le foulard souillé autour de son cou. Son contenu se met alors à couler tout doucement sur sa gorge et vers sa poitrine, tachant au passage l’encolure de son haut, et la dentelle de son soutien-gorge. C’est tout chaud, dit-elle avec un clin d’il. Reprenant la culotte des mains de son petit-fils, elle finit d’essuyer son sexe.Sonné par ce qu’il vient de voir, Alexandre ne dit rien. Sa grand-mère le regarde droit dans les yeux. Mamie est une coquine. Voir la poitrine de sa grand-mère se couvrir de son sperme, provoque à Alexandre une nouvelle érection. Oh, on dirait que tu as encore une grosse envie, dit-elle en riant. Valéria ne se laisse pas le temps d’être à nouveau tentée de prendre en bouche son grand garçon. Elle dépose la culotte sale sur ses cuisses, tachant un peu plus sa jupe, attrape la nuisette ivoire qu’elle lui avait proposée plus tôt puis l’enroule autour de l’intimité qui retrouve sa vigueur. Mamie va s’assurer que tu es bien vidé, mon grand. Quinze minutes plus tard, après avoir recueilli et nettoyé son second orgasme, Valéria remonte le pantalon d’Alexandre et le raccompagne à la porte.La culotte et la nuisette pleines de sperme à la main, elle l’embrasse sur la joue. Vas-y vite, Mamie doit se changer avant que Papy ne rentre. On recommencera, Mamie, s’il te plaît ? On verra, mon chéri, lui dit-elle avant de l’embrasser à nouveau, cette fois-ci sur les lèvres. "Allez, file !"
Valéria récupère rapidement de quoi se changer dans sa chambre et s’enferme dans la salle de bain.Elle pose ses petites affaires souillées sur le rebord du lavabo et face à la glace, elle repense aux évènements qui viennent de se dérouler.Après des mois à offrir sa lingerie à son petit-fils pour se masturber, elle l’a fait jouir elle-même. Deux fois.Elle repense aussi à cette verge tendue vers son visage qu’elle a failli prendre en bouche. "Il s’en est fallu de peu. Heureusement que le foulard lui a plu" se dit-elle.Le sperme maintenant tiède coule désormais entre ses seins et vers son ventre, laissant une traînée mouillée sur son haut, qu’elle touche du bout des doigts.Si ce n’avait été son petit-fils à moitié nu devant elle, elle n’aurait pas hésité un instant à lui extraire un délicieux goûter crémeux. Lui prêter mes culottes c’est déjà limite, et maintenant voilà que je le branle. C’est allé trop loin déjà, c’est mon petit-fils, je ne peux pas en plus le sucer... pense-t-elle. Et pourtant elle en a tant envie. Elle rêve qu’il la couvre de son sperme chaud. Valéria glisse une main sous sa jupe puis dans sa culotte pour se masturber. Elle s’imagine à genoux, à satisfaire Alexandre avec sa bouche, jusqu’à ce qu’il dépose tout son plaisir sur ses lèvres.Elle rouvre les yeux et regarde sa nuisette et sa culotte. Faut pas gâcher, dit-elle comme pour se convaincre, avant de lécher obscènement la semence épaisse qui macule sa lingerie satinée. Elle récupère bien tout sur sa langue, puis avale et gémit de plaisir. Elle retire son haut et porte la tâche mouillée à sa bouche pour aspirer. Elle racle ce qui coule sur son ventre, puis lèche ses doigts. Elle dénoue enfin son foulard et gobe ce qui reste de sperme dans les replis du tissu.
