Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 36 J'aime
  • 2 Commentaires

Les déboires médicaux de Dominique

Chapitre 2

Travesti / Trans
CHAPITRE 2 : LE TRAITEMENT MEDICAL
Le lendemain de ma consultation chez le docteur M., un courriel en provenance du Canada lui arrive.
De la part du professeur KVENSJUKDOMAL Vagferal chef du service urologie et obstétrique au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM)
Bonjour cher confrère,
Vous avez un patient qui vous a consulté au nom de Dominique F. Il se fait que je suis un membre de sa famille par alliance et son épouse m’a rapporté les principaux symptômes : érections multiples sur la journée avec multiples éjaculations de grandes quantités de sperme.
A mon avis, il doit s’agir de la maladie de Pall Munand, une forme de priapisme éjaculatoire intensif, une maladie peu connue, car peu de patients consultent pour cela préférant cacher ce trouble en portant des protections contre l’incontinence. J’ai appris à connaître cette maladie au cours de mon doctorat en Suède et j’en ai fait une étude détaillée lors de mon internat en urologie.
Traditionnellement, les patients sont traités par castration chimique, qui ne guérit pas, mais soulage et qui entraîne de gros problèmes psychologiques puisqu’ils ne peuvent plus avoir de relations sexuelles. Ce traitement ne donne des résultats durables que dans 60 % des cas.
Pour les autres, les 40 % restant, le traitement ne fonctionne que quelques jours et les problèmes recommencent malgré lui et la moitié de ses patients développent rapidement le syndrome de Bolti Eistu en réaction à la castration chimique. Ce syndrome se caractérise par un gonflement excessif des testicules qui peut provoquer par compression une impossibilité d’uriner. Le traitement habituel (encore largement pratiqué) est la castration mécanique. S’il n’y a pas de blocage urinaire, on peut procéder par étranglement des testicules par élastration. Dans le cas d’un blocage urinaire, c’est chirurgicalement qu’on doit pratiquer la castration soit en retirant les bourses des testicules soit en procédant à l’ablation totale des testicules.
Ceci sont les traitements courants ; leur principal ennui c’est qu’ils causent beaucoup de problèmes au niveau psychologique et physiologique par dérégulation hormonale. Le patient devenu eunuque, se sent souvent devenir un sous-être humain avec pour seule perspective de devenir un esclave soumis et beaucoup ont du mal à l’accepter, car ils ne sont pas adeptes de la soumission.
Ici, au CHU de Montréal, je suis en train d’expérimenter une nouvelle méthode de traitement qui entraîne une guérison complète.
La maladie de Pall Munand vient d’une trop forte production de sperme par les testicules, environ 10 à 20 fois plus que la normale. Mon traitement vise donc à faire baisser la production de sperme en diminuant le potentiel de production par une succession de flux électriques dans les bourses. Cette intervention dure environ deux heures (maximum 3) et ne nécessite pas d’opération ni d’anesthésie. Elle peut-être réalisée dans n’importe quel cabinet médical.
Je vous décris ici la procédure de l’intervention
Le patient doit naturellement se déshabiller totalement pour réaliser l’intervention.

1 – Pour les patients souffrant du syndrome de Bolti Eistu, il est indispensable de les soulager immédiatement en leur plaçant une sonde urinaire qui permet de vider leur vessie. Il faut laisser la sonde en place jusqu’au moment de l’intervention sur la verge afin que le patient puisse évacuer le maximum d’urine possible.
2 – Procéder à l’examen de la prostate par toucher rectal. Moi, préalablement, je fais prendre au patient plusieurs lavements (au moins 5 de 350 ml à chaque fois), donnés par mon assistante jusqu’à ce que le liquide expulsé soit tout à fait limpide comme de l’eau. (Je déteste faire un examen dans la saleté et en plus quand c’est bien nettoyé, on peut beaucoup mieux examiner le patient)
Cette préparation est faite par mon assistante dans une salle spéciale, (voisine de ma salle d’examen) où l’on trouve un w.c. et une douche, mais peut-être réalisée dans une salle de bain ou un cabinet de toilette pour autant qu’il y ait un WC à proximité.
Après cette préparation, le patient se place sur une table d’auscultation avec les pieds dans des étriers et je procède à l’examen de la prostate par toucher rectal et je fais aussi une auscultation visuelle de la cavité anale à l’aide d’un spéculum.
3 – Mon assistante installe alors le patient à plat sur la table d’examen pour l’intervention finale.
Le choix de l’assistante est ici importante. Pour ne pas entraîner un blocage du patient, il est préférable que son attention se porte sur le physique de l’assistante. La mienne est très jolie et n’a pas de complexes.
Elle est brune à longs cheveux, mesure 1m75, fait 65 centimètres de tour de taille et taille au niveau de la poitrine un beau 95 C.
Pour pratiquer l’examen, elle se passe un uniforme d’infirmière en latex (plus pratique pour nettoyer les taches) avec une courte blouse blanche à courtes manches assez décolletée, fermée devant par un zip et portant au niveau du sein droit une croix blanche dans un rond rouge. Ses bras sont gainés de longs gants blancs qui remontent au-dessus de ses coudes avec encore une fois la croix blanche et rouge juste au-dessus du coude. Sur la tête une petite coiffe blanche toujours en latex avec à nouveau le même logo. Aux pieds, elle porte des bottes blanches avec le logo médical ; elles sont lacées devant et montent jusqu’à mi-mollets ; de ses bottes remontent une paire de bas en latex rouge avec sur le devant au niveau des cuisses une croix blanche. Comme sous- vêtements, elle porte un soutien-gorge rouge en latex avec une grande croix blanche sur chaque bonnet et le centre de cette croix est ouvert laissant ainsi pointer vers l’avant ses magnifiques tétons.
Dans le bas, elle porte un porte-jarretelles rouge à quatre suspensions, le départ de ceux-ci vers bas marqués par une croix blanche. Et enfin, son sexe est placé dans un string rouge avec une croix blanche au niveau du pubis sous laquelle se trouve une large ouverture laissant l’accès libre à ses lèvres et son clitoris.

Le patient doit absolument rester immobile sur la table d’examen, aussi, il est complètement sanglé à celle-ci, sa tête immobilisée dans un harnais fixé à la table et ses jambes largement écartées et attachées aux étriers.
Une fois le patient bien immobilisé, l’assistante doit alors procéder à une série d’opérations visant à provoquer une puissante érection durable. Pour cela trois médicaments sont appliqués l’un à la suite de l’autre sans temps mort entre eux. :
a) Le VITAROS 300 µg crème (Alprostadil) qui doit être appliqué à l’extrémité du pénis, au niveau du méat urétral.
Il agit en 5 à 30 minutes et permet une érection pendant 1 à 2 heures. Ces délais sont différents quand le patient est sous castration chimique et doit donc être renforcé d’autres médicaments.
b) Le MUSE 250 µg, Alprostadil bâton pour usage urétral.
Pour l’administration, enlever le capuchon de protection de l’applicateur, étirer complètement le pénis au maximum de sa longueur vers le haut et introduire la tige de l’applicateur dans l’urètre.
Appuyer sur le bouton poussoir pour expulser le produit de l’applicateur et retirer celui-ci de l’urètre (avant de retirer l’applicateur, effectuer un mouvement de va-et-vient latéral afin de s’assurer que le produit a bien été libéré de la tige d’administration).
Faire rouler le pénis entre la paume des mains pendant 10 secondes au minimum pour assurer une distribution homogène du médicament sur la paroi de l’urètre. Il convient de poursuivre cette manœuvre de friction par roulement pendant 30 à 60 secondes ou jusqu’à disparition de la sensation de brûlure. L’érection survient 5 à 10 minutes après l’administration et persiste pendant 30 à 60 minutes environ.
c) Le TriMix (Phentolamine, Papaverine, et Alprostadil) Injection par voie caverneuse à 30 µg réalisée par le médecin
Ne pas injecter en haut ou en bas du pénis. Évitez également d’injecter directement dans les veines ou les artères visibles du pénis, ainsi que le long de la ligne médiane. Les emplacements optimaux pour administrer l’injection TriMix sont sur les côtés du pénis.
Les effets de TriMix deviennent évidents environ 5 à 15 minutes après son injection dans le pénis. Sa durée d’action varie généralement selon l’individu, allant d’une demi-heure à une heure.
Dès que les deux premières opérations ont été réalisées par l‘assistante, elle peut se mettre à exciter le patient pour renforcer sa puissance d’érection, en lui présentant ses seins à téter ou en se mettant à califourchon avec son sexe au-dessus de la bouche du patient pour lui faire goûter les secrétions de son intimité (c’est un très bon aphrodisiaque).
4 – Dès que le patient est en érection, il faut procéder à un élargissement du canal urinaire par sondes de taille plus en plus importante de 4 à 17 mm. Je conseille alors de mettre déjà à ce stade un bâillon boule au patient, ce qui lui évitera de crier trop fort ; de toute façon ce sera indispensable à l’étape suivante. A chaque usage d’une nouvelle sonde, procéder à une dizaine de va-et-vient dans l’urètre sans oublier de régulièrement lubrifier celui-ci.
Durant ce temps, mon assistante est toujours à califourchon au-dessus de la bouche du patient et pour augmenter ses secrétions, ici on utilise des boules de geisha vibrantes et un vibromasseur Wand qu’elle utilise pour faire vibrer ses lèvres et son clitoris. L’excitation du patient face à ce spectacle et les secrétions qu’il ne peut manquer de recevoir agissent comme un anesthésiant.
5 – Une fois le canal urétral dilaté à 17 mm, on lui introduit l’électrode pénienne qu’on fixe en place avec sa petite sangle qu’on enroule autour du pénis. On lui place ensuite l’électrode anale qui a la forme d’un but plug et qu’on gonfle afin d’éviter qu’elle ne ressorte de l’anus. Enfin, on place les électrodes testiculaires (deux pinces crocodiles) sur les testicules et une fois la machine branchée, on peut lancer le programme. Tout est automatisé. Au début, le patient ne ressentira que de brèves secousses de plus en plus fortes (+ou- 2 sec) pour l’habituer. Au début, il ne ressent qu’un léger picotement, mais plus l’intensité augmente, plus la douleur est grande et c’est là qu’il va se mettre à hurler ; d’où l’importance du bâillon boule une fois l’intensité maximale atteinte, ces décharges deviendront de plus en plus longues. Au moment où elles atteignent les 15 secondes, c’est là que le traitement devient opérant en s’attaquant à la production de sperme.
Après une trentaine de décharges, le travail est terminé et on peut libérer le patient.

Il est cependant souhaitable de le garder encore sous surveillance pendant une bonne heure, pour qu’il puisse débander. Pendant que vous surveillez votre patient après le traitement électrique, si vous souhaitez qu’il débande plus vite, il faut lui mettre une perfusion de sérum physiologique de 1000 ml dans chaque testicule. Ça présente l’avantage de diluer et de faire disparaître plus vite les effets du TRIMIX ; même si ça fait fortement gonfler les testicules, c’est sans aucun danger et ça disparaît dans la semaine.
Effets secondaires :
Durant à peu près dix jours, patient souffre d’incontinence sévère, ce qui l’oblige à porter des couches. On conseille au début (2 à 3 jours) et pour la nuit d’y adjoindre une protection traversante supplémentaire ainsi qu’une culotte en plastique. Au bout de deux à trois jours, la couche seule suffit et la culotte en plastique uniquement pour la nuit.
A partir du onzième jour, normalement il peut se mettre à porter des culottes pull up d’incontinence, le modèle de jour et le modèle de nuit. Progressivement, après sept à dix jours, il devient propre de jour et peut s’en passer. Et sept à dix jours plus tard, il finit aussi par devenir propre de nuit ; et à ce moment, il peut à nouveau mener une existence tout à fait normale.
Certains cependant, pour des raisons de confort personnelles, continuent à garder ces culottes d’incontinence, pour certains en permanence, pour d’autres uniquement la nuit, d’autres encore optent pour les culottes pour fuites urinaires. Mais il s’agit de choix personnels et non justifiés pour des raisons médicales.
Nous avons déjà soigné plus de 70 patients de cette façon, tous sont en bonne santé et ravis. Aucun effet secondaire et aucune rechute.
Comme ce traitement est tout à fait expérimental et que je ne suis pas sûr que vous disposiez de tous les médicaments en Europe, je vous ai expédié un exemplaire de ma machine électro-thérapeutique, les sangles de maintien et une dose des trois produits destinés à provoquer son érection. Le tout sera livré par la société de livraison du « Poney Express » en day by day. Vous devriez donc recevoir le tout demain dans la matinée.
Bien cordialement cher confrère.
Professeur KVENSJUKDOMAL Vagferal
Et comme annoncé, le lendemain, un livreur amène chez le docteur M un colis en provenance du Québec.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live