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Les débuts de Cécile

Chapitre 2

Surprise!

Travesti / Trans
Il y a quelque temps, je vous racontais comment j’avais commencé à me travestir lorsque j’étais seul (e) dans la maison de ma mère et de mon beau-père. Cette histoire réelle se terminait alors que j’avais revêtu la lingerie, les vêtements et d’autres accessoires de ma mère et que je me décidais à passer la journée ainsi. Tout a été soigneusement remis en place et personne n’a pu deviner quoi que ce soit. Je n’ai jamais cessé de me travestir, même si les occasions se font plus rares. Cela fait bien des années que je m’adonne à ce plaisir, toujours en secret...
Voici aujourd’hui la suite que j’ai imaginée et qui a très souvent décuplé mon excitation lors de mes plaisirs solitaires. J’espère que l’excitation vous gagnera, bonne lecture !
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Je suis en train de m’installer à table quand je vois une ombre dans l’encadrement de la porte. Deux secondes passent et je vois apparaître Pierre qui se fige bouche bée et les bras ballants.
— Pierre ?! Tu..... tu es déjà là!!??...
Je n’entends pas sa réponse, je tombe dans les pommes sous le coup de l’émotion. Lorsque je me réveille, je suis allongé dans le canapé, Pierre est assis près de moi. Il me sourit et me caresse tendrement la joue du revers de sa main droite, sa main gauche est posée sur mon ventre.
— Cédric, ça va mieux ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Je t’ai fait peur à ce point ? — Je ne m’attendais pas à te voir arriver. Et j’ai eu tellement peur de ta réaction... j’ai cru que mon cœur s’arrêtait. — Tu n’as aucune peur à avoir. J’aurai dû te prévenir que je finissais à midi le vendredi. Excuse-moi. — Tu n’as pas à t’excuser, si je ne m’étais pas habillé ainsi, tout se serait passé normalement. — Tu veux me raconter comment tu en es arrivé à porter les habits de ta mère ? Si tu le souhaites bien sûr.
Je ne peux plus rien cacher, alors je lui raconte tout. Le calvaire que j’ai vécu pendant mon service, le fait que j’en vienne à parfois me conduire lâchement pour avoir la paix avec les gars de la chambre, le fait que j’en vienne à me comporter comme une femme lorsque j’étais seul, l’envie irrésistible de porter les dessous de ma mère quand je les ai vus, le déclic quand j’ai enfilé ce tanga rouge, et qu’à partir de ce moment-là j’avais eu envie de me voir habillé en femme.
— Pierre, je peux te demander une seule chose ? — Oui, bien sûr. — Promets-moi de ne parler de ça à personne. — Promis, je n’en parlerai à personne !
— Merci Pierre, j’ai confiance en toi.
Je me lève du canapé et me dirige vers la chambre pour me changer. Pierre le devine, car il me dit que si je veux, je peux rester comme ça. J’hésite un moment, Pierre finit de me décider en ajoutant que ça ne le dérange pas, et en se forçant à rire un peu, que ça fera une présence féminine dans la maison et qu’il a bien envie de partager un repas avec une jeune et jolie femme. J’apprécie moyennement ses blagues et le montre en faisant la grimace, mais j’accepte malgré tout.
Le repas se passe dans le silence et l’ambiance est pesante, moi honteux, je n’ose pas lever les yeux de mon assiette et lui ne parle pas comme pour éviter de me blesser avec une autre blague mal placée. Une fois terminé, je me lève, débarrasse la table et commence la vaisselle, toujours en silence. J’en suis au rinçage quand je sens des mains se poser sur mes hanches, puis très vite, des baisers arrivent dans mon cou. J’aime ses signes de tendresse et je le laisse faire.
— J’ai bien fait de te demander de rester habillé comme ça. Je trouve que tu es super sexy."
Je ne réponds pas, mais je bascule ma tête en arrière pour offrir mon cou à ses baisers.
— Sans le savoir, tu viens de réaliser un de mes grands fantasmes. Si j’avais su que tu aimais te travestir, je te l’aurais peut-être demandé plus tôt."

Je me retourne et passe mes bras autour de son cou.
— Je te l’ai dit, c’est la première fois que je le fais. Ce sont tes caresses sur mes fesses qui m’ont excité l’autre soir, et m’ont donné encore plus envie de me sentir femme.

Il reste sans voix, surpris par mes révélations. J’en profite pour lancer mes lèvres sur les siennes. Il ne répond pas à mon baiser, mais ne me repousse pas. Je me recule et le regardant droit dans les yeux, je lui raconte que je ne faisais que semblant de dormir, et que par contre, lui ne faisait pas semblant de bander quand j’avais pu poser ma main sur son membre.
Il me serre contre lui et m’embrasse fougueusement. Je réponds à son baiser en cherchant sa langue avec la mienne, je la trouve et nous continuons alors dans avec un long baiser passionné. Je passe une main dans ses cheveux, l’autre dans son dos, lui me masse les fesses. Il cesse notre baiser à mon grand regret, il s’écarte de mon visage, son sourire est doux, ses yeux brillent, il a l’air heureux. Moi je suis aux anges, j’ai adoré cet échange et je veux qu’il continue, je lui fais un bisou sur les lèvres puis je pose ma tête au creux de son épaule.
— C’est vraiment ta première fois ? — Que je m’habille en femme ? Oui. Que j’embrasse un homme ? Oui. — Tu as vraiment envie de te sentir femme ? — Oui, j’aimerais d’aller plus loin dans cette expérience. Tu crois que tu pourrais m’y aider ?
Pour forcer sa réponse, je l’embrasse tendrement tout en me collant à lui.
— Je vais t’aider, mais ce sera une première pour moi aussi... Viens, suis-moi.

Il m’entraîne alors vers le canapé où nous nous laissons tomber. Allongés, nous nous embrassons à en perdre haleine, nos mains partant à la découverte du corps de l’autre. Tout en l’embrassant, je déboutonne sa chemise et caresse son torse musclé. Je descends pour embrasser ses pectoraux et ses abdos bien dessinés. J’ai envie de découvrir tout son corps et de descendre plus encore, j’ouvre son pantalon que j’enlève avec son caleçon en même temps. Je me mets à quatre pattes entre ses cuisses, comme le faisait mon ex-copine, et je baisse mon regard vers son sexe gonflé et raide. Sa queue, collée à son ventre, palpite. De grosses veines courent sous la peau lui donnant l’air encore plus massif. Elle est longue, je la prends en collant mes deux mains l’une au-dessus de l’autre et son gland dépasse encore, mes doigts fins en font juste le tour. J’écarquille grand mes yeux devant ce spectacle.
Je le branle légèrement de mes deux mains, j’ai une envie folle de le sucer et m’en lèche déjà les lèvres.
— Tu es toujours sûr de vouloir le faire ? me demande-t-il pensant que j’hésite. — Oui, elle est si belle. Mais on le fait que si toi aussi tu en as réellement envie. — J’en ai autant envie que toi.

Il laisse retomber sa tête en arrière en fermant les yeux. C’est la réponse que j’attendais. Je me lance et je fais des petits baisers sur son gland qui perle déjà d’excitation. Je lape le sirop qui suinte et auquel je ne trouve pas vraiment de goût. Il soupire. Ma langue joue avec son frein, je lèche sa tige bien droite sur toute sa longueur en insistant sur son gland, je gobe ses boules. Arrive le moment où je vais gober son gland, je lève les yeux vers lui, il me regarde en souriant, je lui rends son sourire et sans lâcher son regard, j’ouvre la bouche et avale son gland. Une fois en bouche, je fais tourner ma langue dessus et j’aspire légèrement, il a fermé les yeux, je devine qu’il apprécie ce que je lui fais. Je commence à faire coulisser sa queue dans ma bouche, doucement, de plus en plus profond. J’adore avoir son membre dans ma bouche. Je prends confiance et j’accélère mes allers-retours, mes mouvements de langues, je le branle en même temps.
Pierre de son côté gémit de plus en plus. Je passe ma main sur ses bourses et les masse tendrement. Il me prévient qu’il est déjà prêt à jouir, je ne sais pas trop quoi faire, je me décide à le faire jouir en le branlant devant mon visage pour voir de près son éjaculation. Le temps de ma réflexion est trop long et son gland est à peine sorti que le premier jet fuse et atterrit dans ma bouche encore ouverte, les autres terminent sur son ventre et ma main. En me voyant la bouche ouverte et ne sachant que faire de son sperme, Pierre est gêné de ne pas m’avoir prévenu assez tôt et s’excuse. C’est vrai que je n’ose rien faire dans un premier temps, mais je me rappelle que moi-même j’aimais quand mon ex avalait mon sperme. Je le regarde droit dans les yeux, je ferme la bouche et lui fais mon plus beau sourire avant d’avaler. J’ai tout de même un petit haut-le-cœur, mais le goût n’est pas mauvais, alors je me décide à nettoyer sa queue en le suçant encore.
Je lèche ma main et termine en passant ma langue sur son ventre, j’avale tout. Après un dernier baiser appuyé sur son gland pour le remercier de cette offrande, je m’allonge à ses côtés et l’embrasse tendrement.
— Merci, j’ai adoré. Pour une première fois, tu as fait ça de façon divine ! — J’ai juste reproduit ce qu’on m’avait fait et improvisé un peu. Je te remercie de m’avoir donné l’occasion de le faire. — Mais, et toi ? Ton plaisir ?... — Moi j’ai déjà pris un grand plaisir à te faire cette pipe. — Tu n’as pas envie que je te fasse jouir ? — On verra ça plus tard, je n’en éprouve pas le besoin ni l’envie pour l’instant. J’ai juste envie de découvrir mon côté femme avec toi. — Laisse-moi un peu de temps, et je te fais découvrir tout ce que tu veux. — J’adorerais que tu me fasses l’amour comme à une femme. — Si on allait dans la chambre, on serait plus à l’aise, qu’en penses-tu ma chérie ? — Tu as raison mon amour.
Je me lève et le tire par la main, nous partons en riant vers la chambre. En chemin, il tripote mes fesses qui se dandinent devant lui à cause, ou grâce à mes talons.
A suivre...
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