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Les découvertes d'Anna, 18 ans

Chapitre 1

Plaisir Anal pour Anna

Hétéro
Il était 21h30, la fête était déjà bien entamée et la plupart des invités déjà là, quant à Anna, elle venait juste de descendre de sa chambre, se faisant désirer comme à son habitude. Elle était vêtue d’une magnifique robe et de très belles chaussures à talons d’un grand couturier. C’était ses parents qui avaient organisé cette petite fête, il faut dire qu’ils étaient assez aisés et aimaient le faire savoir à tout le monde en préparant à foison ce genre de petites soirées.
Elle était rayonnante au milieu de tout ce beau monde, ses beaux cheveux clairs étaient surmontés d’une tiare, ce qui lui donnait l’allure d’une princesse. Elle se promenait donc telle la reine de la soirée au bras de son petit copain Marc. C’était lui aussi un fils de bonne famille, tout ce qu’il y a de plus typique, il avait toujours l’air propre sur lui avec son beau costard et ses cheveux plaqués sur le côté.Jusque-là, la soirée se passait bien, la jeune femme discutait avec des amis lorsqu’au détour d’une conversation, elle aperçut un visage bien familier, un garçon avec qui elle était sortie l’année passée et dont la relation ne s’était pas très bien finie.Que faisait-il là ? se demanda-t-elle interloquée.Bien décidée à le savoir, elle quitta brusquement son petit ami et se précipita, furieuse, vers sa mère, se doutant bien que cette dernière ne devait pas être étrangère à cette histoire, après tout, c’était elle qui s’occupait d’envoyer les invitations.
— Tu peux m’expliquer pourquoi tu as invité cet enfoiré ? dit-elle en désignant du doigt le fameux convive.— Mais enfin vous vous appréciez à l’époque non ? Je l’ai croisé l’autre fois au supermarché et je l’ai invité à venir c’est tout, il vient de revenir de son école militaire, il doit avoir plein de choses à te raconter.— Mais tu débloques, tu crois pas que t’aurais pu me demander mon avis avant d’inviter ce gars ?!— Anna, ne sois pas bête, c’est un gentil garçon, je comprends pas pourquoi tu t’énerves.— Oui il est tellement gentil que ses parents l’ont envoyé à l’autre bout du pays dans une école militaire !— C’est vrai qu’il est peut-être un peu sauvage, mais au fond, c’est un bon gars. Et puis rien ne t’oblige à passer la soirée avec lui, maintenant va rejoindre les autres invités et n’en fais pas tout un plat veux-tu ?!
Déconcertée, Anna tourna brusquement le dos à sa mère en soupirant et courut se réfugier dans sa chambre, visiblement très contrariée. Elle jeta ses chaussures au pied de son lit et s’allongea sur ce dernier en maudissant ses parents pour avoir organisé cette stupide soirée.
Tout en serrant son oreiller contre elle, elle repensa à son aventure avec ce jeune homme : Caleb. Il faut dire que c’était un très beau jeune homme : brun, grand, musclé et très téméraire, en bref plutôt le contraire de son petit ami actuel. Alors pourquoi leur histoire n’avait pas duré : en vérité le caractère supérieur, voire hautain d’Anna n’était juste pas compatible avec celui de Caleb. Il n’était pas du genre à se faire dicter son comportement par sa petite amie et était plutôt du genre électron libre. Ils se disputèrent donc souvent au sujet de leurs comportements respectifs, de son côté, il lui reprochait les manières supérieures de petite fille riche qu’elle avait ; il est vrai qu’elle se plaisait à donner des ordres et à ne prêter attention qu’à sa petite personne.
Elle avait donc décidé un jour de mettre un terme à leur relation en le rejetant sèchement par SMS sans lui donner plus d’explications.
Anna repensait à cette histoire encore et encore quand soudain quelqu’un toqua à sa porte, elle pensa d’abord que c’était sa mère ou son petit copain qui venait la supplier de les rejoindre, elle ne prit donc même pas la peine de répondre, mais une voix tout autre se fit soudain entendre de l’autre côté de la porte :
— Salut Anna, tu peux m’ouvrir ?
Elle reconnut immédiatement la voix de Caleb, comment avait-il bien pu la trouver ici ?
A contrecœur, elle se décida à aller lui répondre, sachant que de toute manière, il ne repartirait pas sans l’avoir vue.
— Qu’est-ce tu fous là ? lui dit-elle sèchement en ouvrant la porte.— Je t’ai vue monter tout à l’heure, t’avais l’air énervée et j’ai cru comprendre que c’était à cause de moi... ta mère est venue me parler.— Ah je vois que ma chère mère n’a pas résisté à venir te parler de moi, vous allez bien ensemble tous les deux, dit-elle en ironisant.— Je voulais juste qu’on s’explique toi et moi...— Il n’y a rien à expliquer, dit-elle en le coupant. Tu vas te casser de chez moi et plus jamais remettre les pieds ici, dit-elle en lui refermant la porte au nez.
Il avait cependant réussi à bloquer la porte avant qu’elle ne puisse la verrouiller et pénétra de force dans la chambre, Anna tentant sans succès de lui bloquer le passage.
— Attends pars pas si vite, tu m’as déjà jeté comme un malpropre une fois, tu vas pas me le refaire une deuxième fois ! dit-il en refermant la porte de la chambre derrière lui.— Mais t’es malade, sors de ma chambre espèce de connard ! répliqua-t-elle en s’insurgeant.— Pfff... t’as vraiment une chambre de gamine, ça m’étonne pas de toi, dit-il en regardant tout autour de lui, énervé par le ton qu’Anna avait pris.— C’est bon t’es content ? Maintenant, sors de là ou je crie et je rameute tout le monde.— Vas-y princesse, ta piaule est deux étages plus haut que le jardin et tout le monde est dehors avec la musique à fond. T’es coincée ici avec moi alors t’as pas le choix que de m’écouter.
Caleb s’avança vers elle, il semblait encore plus baraqué et imposant que dans ses souvenirs. L’armée l’avait visiblement transformé en un homme fort et encore plus attirant qu’avant. Anna se sentit toute fragile et démunie face à lui, ce qui de toute évidence était bien le cas.
— Il a l’air sympa le petit bourgeois avec qui tu sors, encore un qui doit passer sa journée à te lécher les bottes, renchérit Caleb en s’approchant de nouveau.— Bon maintenant tu te casses, c’est la dernière fois que je te le dis !— Espèce de petite fille pourrie gâtée, tu m’as jeté comme une merde sans même te demander ce que je ressentais pour toi !
L’ambiance était devenue électrique entre les deux jeunes, et Anna, dans un mouvement de colère, lui asséna une énorme gifle. La jeune femme était déconcertée, elle qui est plutôt du genre à préférer les insultes aux coups, elle ne pouvait s’expliquer son geste.Fort de son caractère, Caleb ne comptait du moins pas se laisser faire, et de fait, rageur, il la poussa brusquement sur le lit situé juste derrière. La pauvre ne faisant évidemment pas le poids face au vigoureux jeune homme, voltigea sur le matelas en une fraction de seconde. La violence de l’impact lui coupa presque le souffle et elle le dévisagea avec consternation. Elle ne remarqua pas que sa robe était maintenant repliée sur elle-même, laissant apparaître ses jambes et sa culotte, ce que ne manqua pas de souligner Caleb.
— Et bah j’avais oublié à quel point t’étais bien foutue par contre, faut dire qu’on avait pas fait l’amour ensemble à l’époque, j’étais sûrement pas assez bien pour une fille comme toi...
Et en parlant de ça, il te baise bien le petit riche ?
— Probablement mieux que toi, répondit Anna en scrutant attentivement sa réaction bien qu’elle savait cela impossible vu les pathétiques capacités sexuelles de son petit ami.
Caleb la dévisagea d’un coup avec un regard profond, tel un prédateur qui admirait sa proie, il monta sur le lit et l’enjamba en lui maintenant les bras. Cette dernière phrase d’Anna l’avait particulièrement excité et une idée commença à germer dans sa tête, il tenait peut-être un moyen de lui faire regretter son comportement exécrable à son égard.
— Alors princesse, qu’est-ce tu vas faire maintenant ?
Pour seule réponse, elle lui cracha au visage, ne sachant que faire d’autre. Caleb, encore une fois surpris par ce geste ne répliqua pas, au contraire, il baissa son pantalon, essuya la salive de son visage et commença à se passer sa main sur son sexe, humidifiant son gland avec la salive d’Anna qu’il récoltait sur son visage.
— Espèce de porc, tu crois que tu vas me baiser aussi facilement ? rétorqua-t-elle en s’agitant dans tous les sens.
Il ne dit toujours pas un mot et pour seule réponse, il passa la main sous sa robe et lui caressa la chatte à travers sa culotte en remarquant avec extase qu’elle était trempée.
— Regarde ça, c’est moi qui te fais cet effet ? dit-il en ressortant sa main pleine de la mouille d’Anna.
Elle ne pouvait renier le fait qu’elle était particulièrement excitée par ce beau jeune homme qui la dominait avec force et son corps avait désormais trahi sa pensée.
— Bon assez rigoler maintenant, après tout, t’auras ce que tu mérites.
Caleb la retourna et la plaça sur le ventre toujours en lui maintenant les bras et commença à se masturber. La situation l’avait tellement excité qu’il ne mit pas longtemps à se montrer en pleine érection.
— Non arrête je t’en supplie, lui conjura Anna bien que son for intérieur disait tout le contraire.— Joue pas à la sainte avec moi, t’es en train de mouiller comme une chienne et tu continues à te plaindre ? Je vais t’apprendre ce que c’est un vrai homme, ça fait un an que je suis à l’armée et que j’attends de te corriger. Maintenant que je suis revenu, il est grand temps que je t’apprenne les bonnes manières.
Anna fut troublée par cette révélation, avait-il réellement passé un an à penser à elle ? Peut-être disait-il cela dans le seul but de se venger ?Dans tous les cas, elle ne pouvait plus faire marche arrière et dans un mouvement quasi inconscient, elle écarta ses jambes comme pour montrer sa capitulation face à Caleb, lui ouvrant ainsi le passage jusqu’à son intimité.
— Voilà je préfère ça, lâcha-t-il satisfait.
Il se plaça donc à l’entrée de son vagin, et d’une brutalité sans nom, la pénétra violemment, sans une once de compassion pour la pauvre fille qui contre toute attente sembla apprécier cette soudaine invasion à en croire le gémissement qu’elle laissa échapper.
— Oh putain ! lâcha-t-elle.
Elle avait plus que honte d’elle de ressentir du plaisir de la sorte, sous la contrainte de son amant, mais après tout elle savait qu’elle ne récoltait que ce qu’elle avait semé. Caleb lui lâcha enfin les mains, Anna ayant enfin arrêté de se débattre et à la place l’attrapa fermement par les hanches afin de libérer toute sa puissance en elle, en lui assénant de violents coups de boutoirs. Elle fut surprise par cet ascendant et ce déchaînement d’intensité de son amant, elle qui n’était habituée qu’à la banale missionnaire peu virile de son petit copain. Il la possédait et disposait maintenant d’elle comme d’une vulgaire poupée de chiffon, la faisant gémir à son bon vouloir.
— Oh ça fait du bien de baiser, à l’armée on avait des putes, mais pas aussi bonne et serrée que toi.
Anna comprenait maintenant d’où venait son expérience, il baisait si bien, c’est parce qu’il avait passé un an à se faire la main sur des prostituées. A l’évidence, durant cette année c’était devenu une bête, il n’avait pourtant que 18 ans comme elle et semblait déjà être un démon du sexe.Malgré tout, cette soudaine confidence lui fit se poser quelques questions.
— Attends, mais t’as fait l’amour à combien de filles au juste ? T’es au courant qu’on est pas protégé là ? dit Anna en s’inquiétant.— T’inquiète pas je me protégeais toujours à l’armée, j’avais un minimum de respect pour ces putes quand même, lui dit-il avec provocation en continuant à la bourlinguer.
Le sous-entendu qu’il venait de faire la piqua au vif, mais elle le laissa continuer son affaire, rassurée.Il la baisa donc comme cela durant de nombreuses minutes, sans jamais baisser en véhémence : elle sentait sa bite épaisse taper en elle comme dans une vulgaire pute. Après tout, c’est probablement comme cela qu’il la considérait se disait-elle, un banal trou bon qu’à recevoir sa virilité sans aucune compassion. Elle se rendit donc à l’évidence et accepta son rôle avec une mystérieuse satisfaction, le laissant se déchaîner en elle.Il lui attrapa le cou et la plaqua contre l’oreiller d’une main, et de l’autre il lui claqua le cul violemment, il fut surpris de voir que son amante semblait aimer ça et le provoquait même en lui en demandant plus.
— T’aimes te faire corriger à ce que je vois, c’est bon à savoir.
Il continua donc à lui donner la fessée pendant qu’il tapait le fond de sa chatte sans vergogne.Mais au bout de plusieurs minutes, il s’arrêta, Anna pria pour qu’il reprenne immédiatement ses coups de boutoir tant elle était sur le point de jouir.
— Fous-toi à poil, lui ordonna-t-il.
Elle se leva et ne demandant pas son reste, enleva sa robe et sa culotte puis retira son soutien-gorge en laissant apparaître sa magnifique poitrine. Elle le regardait à son tour retirer ses habits, dévoilant son corps bien sculpté, il était en sueur et la dévorait du regard.
— Allonge-toi sur ton lit, lui dit-il en se branlant.
Elle s’allongea donc, encore une fois en exécutant sagement les ordres qu’il lui donnait et resta ainsi sur le dos, attendant qu’il vienne enfin se placer en elle pour la prendre.Il s’allongea sur elle et se logea doucement dans sa chatte en commençant à la prendre avec tendresse. Anna fut surprise tant il l’avait défoncée précédemment, mais apprécia tout de même ce rythme bien plus tenable pour une jeune femme de 18 ans.
Il la fourra donc en la regardant profondément dans les yeux, des yeux marron si sérieux. Elle ne pouvait malgré tout pas dire ce qu’il ressentait pour elle...La seule chose dont elle était vraiment sûre, c’est qu’il lui faisait un bien fou et que s’il continuait comme cela, elle allait jouir de toutes ses forces. Le feu ne cessait pas de monter en elle et elle ne pouvait réprimer cette divine sensation, par réflexe, elle enlaça donc ses jambes autour de lui. Caleb comprit immédiatement qu’elle allait jouir et il accéléra son mouvement, devenant de plus en plus présent en elle jusqu’à ce que l’orgasme vint la terrasser et troubla le silence qui s’était installé.
— Ohhhh..... putain c’est trop bon, t’arrête pas vas-y ! gueula Anna tandis qu’elle se crispait dans tous les sens tant la sensation était intense.
Lui observait avec satisfaction cette fille qui l’avait tant fait tourner en bourrique, jouir de toutes ses forces en le félicitant d’être un si bon amant. Il se délectait de ses moindres manifestations de plaisir tandis qu’elle essayait vainement de retrouver sa lucidité.
— Bon lève-toi maintenant, on va s’amuser autrement.
Anna se leva puis se laissa guider, et alors qu’il lui prenait la main pour l’emmener, elle ne résista pas à l’envie folle de l’embrasser pour le remercier de lui avoir fait tant de bien, mais quand elle s’approcha et tenta de l’enlacer, il l’attrapa violemment et la retourna face à la fenêtre en lui appuyant brutalement la tête.
— Tu crois que je vais te laisser m’attendrir petite traînée, c’est trop tard pour jouer la petite fille amoureuse, je t’ai donné assez d’occasions dans le passé.
Anna ne comprit pas pourquoi il l’avait repoussée de la sorte, mais trop excitée pour protester, elle se laissa maltraiter par son homme. Il souleva donc sa robe en la laissant dans sa frustration puis cracha dans sa main et appliqua sa salive sur l’œillet tout frêle de la pauvre Anna.
— Je vais te casser le cul maintenant, ça va faire mal alors accroche-toi, dit-il avec autorité.
Anna n’eut pas la force de répondre, mais son visage se défigura quand elle entendit ces mots. Bien évidemment, elle n’avait jamais pratiqué l’anal, une pratique bien trop grossière pour une jeune fille bien élevée dans son genre. Elle comprit immédiatement que les minutes qui allaient suivre ne seraient pas de tout repos pour elle.
Durant les secondes qui suivirent, elle ne dit aucun mot, sentant le gland de Caleb venir titiller son anus sans encore oser y rentrer. Il faisait durer le plaisir et la torturait, il aimait la faire attendre, sentir son souffle s’accélérer chaque fois que son sexe s’approchait de son anus. Elle attendait sa peine dans un silence glaçant, tel un condamné attendant le couperet de la guillotine. Dans sa tête, elle priait pour que Caleb ait pitié d’elle et se rétracte à la dernière seconde, mais bien évidemment cela n’arriva jamais...Avec une virilité toute puissante, il transperça son anus, la laissant muette tant la sensation était foudroyante d’intensité, elle ressentit une chaleur envahir son bas-ventre et se mordit les lèvres presque jusqu’au sang tant elle endura ce calvaire.
— Haaaa... oui c’est bon ça, se délecta Caleb plus que satisfait. Petite salope, tu te laisses faire sans broncher, t’es peut-être enfin devenue raisonnable.
Anna n’osait en fait même pas ouvrir la bouche tant la douleur était indescriptible. La bite de son amant était comme une épée qui la transperçait en deux et elle tentait juste d’oublier ce supplice.Du moins, au bout de quelques dizaines secondes, la douleur se calma un peu et Caleb tenta de lui faire avouer son plaisir, mais elle était bien trop concentrée à essayer de comprendre les sensations qui s’imposaient aux creux de ses reins. La douleur était là, c’était plus qu’indéniable, mais en même temps, cette étrange sensation de chaleur et de comblement de son orifice était si agréable.
Elle tenta donc de se détendre en se concentrant uniquement sur les côtés positifs de cette nouvelle expérience et petit à petit, sous les coups de reins de son amant, elle se débrida et commença à prendre du plaisir.
Caleb l’agrippa alors par les épaules pour se donner plus d’emprise sur elle et commença à augmenter le rythme, il la pilonna avec force, se régalant de son si jeune et délicat anus. En effet, le contraste entre son cul et celui des prostituées qu’il avait déjà goûté était énorme. Son fondement était si serré et doux à la fois, elle comprimait sa bite et c’était pour lui un appel à la démonter encore plus fort.
Bizarrement, ce soudain changement de rythme de son partenaire, qui la baisait maintenant avec force lui procura un bien fou et Anna commençait franchement à y prendre goût, elle lâchait de petits gémissements légers qu’elle essayait de refréner tant bien que mal pour ne pas donner le signal à son partenaire qu’elle aimait ça, ce qui aurait pu le mener à s’enhardir encore plus. Mais au bout d’un moment, le plaisir qu’elle ressentait ne pouvait plus être modéré et elle n’eut pas d’autre choix que de le lui faire savoir.
— Hmmm..., j’aime ça Caleb, pète-moi le cul je t’en supplie !
Elle prenait son pied sous les coups de reins de son amant, toujours plaquée contre la fenêtre, en ayant une vue plongeante sur la fête qui se déroulait deux étages plus bas dans son jardin.Personne ne semblait s’inquiéter de son absence, pas même son petit copain qu’elle aperçut, occupé à discuter avec son père.
— Ah tiens c’est pas ton petit copain qui est en train de lécher les bottes de ton père là.— ....Si c’est lui, admit Anna d’une timide voix.— Ça te fait quoi de savoir que tu te fais prendre le cul par ton ex pendant que ton minable petit copain est en bas ? dit-il en commençant à lui toucher la chatte tandis qu’il lui fourrait encore le cul.— Ça m’excite putain ! laissa échapper Anna en lui concédant une fois de plus sa lubricité.
Il accéléra ses mouvements quand il entendit cela, Anna semblait enfin se lâcher avec lui. Il lui fouillait ses entrailles avec sa bite comme si c’était une vulgaire chienne. Son sexe tapait le fond de son cul et revenait de plus belle, l’amenant chaque fois plus proche de l’orgasme.
— Je vais jouir Caleb, t’arrête pas !
Il se pencha sur elle et l’embrassa sauvagement dans le cou tandis que la chatte gonflée d’Anna évacua avec puissance de petits jets de cyprine dans un orgasme aussi puissant qu’inattendu.Lui avait toujours la tête plongée dans sa nuque, tandis que de sa main, il continuait ses caresses sur le clitoris de sa partenaire, l’aidant à se vider de toute la mouille qu’elle avait emmagasinée.
— Oh la vache, j’avais jamais joui comme ça avant, avoua Anna, penchée sur la fenêtre en tentant de reprendre son souffle. — Tu m’étonnes, c’est pas avec ton petit riche que t’aurais pu connaître ça... Bon maintenant que t’as bien pris ton pied, viens me vider les couilles salope.
Il était toujours aussi injurieux, mais elle avait tellement pris de plaisir qu’elle laissa couler et vint se placer à genoux devant lui en attendant sagement ses ordres, le regardant de ses magnifiques yeux.
— Suce-moi vas-y !
Elle le prit en bouche sans discuter, bien que la fellation ne faisait pas partie de ses spécialités, mais elle ne voulait pas lui désobéir. Elle pompa donc judicieusement sa queue, en prenant soin de satisfaire ses moindres désirs. Quand il lui demandait régulièrement de cracher, elle envoyait sans délai son épaisse salive sur sa bite et l’étalait de sa petite main délicate.
— Ah y a pas à dire vous les petites riches vous savez sucer.
Anna était rassurée, il semblait apprécier le traitement qu’elle lui infligeait et il en redemandait même. Son éjaculation était proche, elle le sentait, il passait sa main dans ses cheveux avec de plus en plus d’insistance, la ramenant plus près de lui à chaque fois qu’elle tentait de reprendre un peu son souffle.
— Essaie pas de t’enfuir princesse, tant que j’ai pas craché mon foutre, t’iras nulle part.— Hmm j’espère bien, répondit Anna en passant une main sur son torse.
Elle le branla donc énergiquement afin de répondre à son appel et tandis qu’il la regardait faire, il se laissa emporter dans un puissant orgasme.
— Hooohh... putain vide-moi, cria-t-il dans sa jouissance.
Il lui maintint la tête de ses deux mains et enfonça sa queue au fond de la bouche de la pauvre jeune femme en déchargeant sa purée durant de longues secondes qui parurent des heures pour cette dernière. Sa bouche en fut remplie, il avait une telle réserve de foutre dans ses couilles qu’elle n’en menait pas large. Tant la quantité qu’il lui laissa était impressionnante, elle dut l’avaler immédiatement pour pouvoir à nouveau respirer.
— Alors c’est bon Anna ?— Oui, lui répondit Anna après avoir dégluti toute sa purée, bien que dégoûtée par le goût de celle-ci.— J’avais jamais joui dans la bouche d’une fille avant, même les putes refusent de faire ça tellement c’est dégradant.
Anna décida une fois de plus de laisser passer ses insultes tant elle avait déjà encaissé aujourd’hui, et décida de se relever, mais Caleb l’en empêcha.
— Reste accroupie petite chienne !
Elle s’arrêta immédiatement et obéit à son homme. Il remit alors ses vêtements en vitesse sous le regard stupéfié de la jeune femme, et avant de la quitter, il s’agenouilla auprès d’elle et lui attrapa impétueusement la mâchoire :
— Merci de m’avoir invité à ta petite fête princesse, on devrait faire ça plus souvent, dit-il en lui envoyant une gifle. Il se releva alors et quitta la pièce.
Anna était abasourdie, elle resta à genoux sur le plancher de sa chambre, incrédule durant de longues minutes, se demandant ce qu’il venait de lui arriver.
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