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Les délices d’un abandon total

Chapitre 2

L'envie de s'aimer totalement

Lesbienne
Fin du chapitre précédent :... - Oh oui encore ma chérie, supplie-t-elle. Embrasse mon minou je t’en supplie. Lèche-le, pénètre-le, masturbe-le, j’en ai tant envie. Fait moi l’amour !
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La langue de Carole lèche maintenant les lèvres trempées de Julie qui amplifie les mouvements de son bassin, le mettant le plus possible en avant, offrant son sexe aux caresses de Carole qui maintient ses lèvres brûlantes, les sucent, les malaxent avec sa bouche, puis entre sa langue gourmande dans son vagin pour mieux boire sa cyprine.
Elle pénètre sa langue, d’abord doucement, puis de plus en plus vite sur son clitoris, revenant dans sa chatte pour entrer le plus loin possible à l’intérieur de son corps. Avec des mouvements de va-et-vient, elle remue sa tête comme pour rentrer en elle. Ses doigts se mélangent avec sa langue pour écarter ses lèvres, afin que Julie apprécie de plus en plus ses caresses.
Et elle apprécie, oh oui ! Elle adore tellement que ses mains n’en peuvent plus d’être aussi loin du lieu de son plaisir. Il faut qu’elles s’en mêlent et c’est ce qu’elles font, d’abord en se caressant ses seins, les malaxant avec douceur, en insistant sur leur formes et leurs tétons, puis en descendant doucement sur son propre ventre qu’elle caresse avec tendresse, puis très vite elles rejoignent les doigts et la bouche de Carole.
C’est une joie immense pour Carole de sentir les doigts de Julie venir partager leur plaisir. Elle embrasse et suce ces doigts si familiers, passe sa langue dessus pour venir reconquérir la place, qui pourtant est loin d’être perdue. Chaque mouvement, chaque léchouille, chaque baiser, chaque caresse sont partagés. Quel bonheur, quelle joie intense de se sentir si près d’une jouissance qui veut éclater, mais le plus tard possible.
La langue de Carole glisse vers le petit trou de Julie, la laissant masturber sa chatte ouverte, pour leurs plus grands plaisirs à toutes les deux. Julie lève ses jambes, sentant les avances de sa coquine. Elle ne tarde pas à entrer un doigt dans son petit cul qui ne demande que cela. Julie a bien sentie que Carole a trouvée quelque chose sous l’oreiller. L’objet découvert touche la bouche de Carole pour le lubrifier de sa salive, et l’enfonce doucement dans le petit cul dilaté de Julie qui le reçoit avec délice, tout en continuant de masturber sa chatte trempée.
— Oh oui Carole ma chérie, met-le moi, enfonce-le. J’aime ça, oh que j’aime ça, tu le sais mon amour. Oh que c’est bon, encore, encore, plus loin, ressort-le, remet-le, oh encore. Oh ouiiiiii !
C’en est trop, les doigts de Julie s’activent sur sa chatte brûlante, le gode pénètre son petit cul dilaté, ressort et rentre à nouveau, grâce aux mouvements de va-et-vient de Carole qui devine si bien ses désirs. Il va au plus profond de son intimité, au plus profond de l’intérieur de son corps. Julie s’abandonne à tout ces plaisirs si intenses, et finie par jouir avec force, dans des gémissements et des râles de bonheur, de jouissance si parfaite. Elle crie son extase. Elle a des soubresauts brusques, longtemps elle apprécie sa jouissance. Carole sent qu’elle doit ralentir ses mouvements pour calmer son amante.
Oh quelles douceurs et plaisirs elles se donnent. Cela est si parfait de se livrer corps et âme, de s’abandonner entièrement à l’autre, de se mettre à la merci de Carole qui maintenant se donne du plaisir aussi, approchant le gode sorti du petit cul dilaté de Julie vers sa bouche pour le lécher, et ainsi sentir l’odeur et la chaleur du corps de son amour. Sa bouche le reçoit avec gourmandise et le suce longuement, puis le porte vers sa propre chatte qui réclame à présent sa gourmandise.
Elle entre le gode de Julie dans son propre vagin si chaud, si accueillant, bien ouvert pour le recevoir. Elle lui donne des mouvements de va-et-vient en caressant son clitoris avec son autre main. Elle se met à genoux entre les cuisses de Julie pour se donner du plaisir, en sachant que son amour la regarde. Julie, à peine remise de sa jouissance, prends la tête de Carole.
— Viens ma chérie. Viens. J’ai envie de t’embrasser. J’ai envie de sentir ta langue sur la mienne.
Elles s’assoient sur le lit de tous leurs plaisirs. Carole prends la bouche de Julie, et la ronde de leurs langues reprends avec douceur. Elles éloignent légèrement leurs bouches, leurs lèvres se touchant à peine. Leurs langues se mélangent, se happent, de temps en temps une bouche suce une langue, ce délice dure suffisamment longtemps pour redonner envie à Julie. Elles s’éloignent un peu l’une de l’autre en séparant leur visage et leur corps, pour mieux s’admirer et se caresser du bout des doigts. Tout en se regardant dans les yeux, Julie porte une main à sa propre chatte qui réclame encore du plaisir, caressant de l’autre main les seins de Carole. Carole amène le gode de Julie vers son propre vagin où elle le fait entrer, tout en caressant les seins si chauds de Julie.
Qu’il est bon et jouissant de se masturber, tout en se regardant l’une et l’autre. Elles ont une telle complicité, toutes les deux se comprennent. Elles s’abandonnent pour se donner un plaisir si intime et intense. Julie se penche entre les cuisses de Carole, léchant à chaque va-et-vient le gode la masturbant. Ses lèvres, sa langue, sa bouche, tout devient l’objet du désir pour la belle Carole. Elle veut se délecter également du sexe de Julie, mais leurs positions ne s’y prête pas. Elles s’allongent sur le coté, de manière à sucer chacune leurs chattes dégoulinantes de leurs mouilles. En position de 69, tout leur est permis. Les mains prennent leurs fesses cambrées, les caressent, les pelotent et les écartent pour glisser quelques doigts dans leurs petits culs tout mouillés, tandis que leurs bouches sucent le jus de leurs désirs dans leurs petits minous ouverts.
Les langues s’activent, allant de leurs clitoris exacerbés à leurs petits culs brûlant, pour le pénétrer à chaque mouvement. Parfois, l’une ou l’autre réussi à entrer sa langue plus profond dans leur petite rosette dilatée, et en profite pour l’entrer et la ressortir avec délectation, ce qui a pour effet de les faire se cambrer un peu plus pour réclamer autre chose d’un peu plus gros… Là, le gode vient toujours en secours, imbibé de salive et de mouille, il entre plus profond, doucement, déclenchant des soupirs et des gémissements de plus en plus intenses, ce qui est très jouissant pour celle qui le pénètre, et bien sûr pour celle qui le reçoit.
Elles se font jouir tour à tour. Toutes les deux profitent pleinement des mouvements de leurs doigts trempés, de leurs langues et de leurs bouches gourmandes emplies de leurs mouilles si chaudes. De temps en temps le gode fait éclater la jouissance de l’autre. Les petits cris et les gémissements augmentent leurs plaisirs. Leurs corps remuent sans cesse pour accueillir leurs caresses de plus en plus intenses et profondes.
Cette fin d’après midi est merveilleuse. Elle est sublimée d’amours et de tendresses, de plaisirs et de jouissances. Toutes les deux peuvent se donner toutes entières à l’autre, sans contraintes ni craintes. Elle ne forment plus qu’un seul corps s’abandonnant aux plaisirs sexuels. Elles se retrouvent épuisées dans les bras l’une de l’autre, se serrant très fort, les jambes emmêlées, les seins comprimés par les seins de l’autre. Ces deux là s’aiment d’une criante évidence.
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Petit bonus, pour le clin d’œil d’un voyeur éventuel :
Damien se branle, encore et encore… Il a déjà joui plusieurs fois, éjaculant sur le parquet. S’en est trop pour lui de les avoir vu et entendu s’aimer par l’entrebâillement de la porte de la chambre. Mais il est infiniment heureux d’être rentré un peu plus tôt que prévu…
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