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Les délires de Rémi

Chapitre 1

Inceste
Rémi, dix-huit ans, commence le long pont de l’ascension. Il veut en profiter pour passer quelques instants avec Sylvie, sa ravissante maman, âgée de quarante-deux ans. Sylvie est séparée de son mari, depuis maintenant deux ans, après l’avoir surpris au lit, avec sa secrétaire.Son fils reste sa priorité dans sa vie.Sylvie est très séduisante. C’est pourquoi Rémi a toujours fantasmé sur sa mère. Chaque fois qu’il la voit en maillot, il ne peut s’empêcher d’imaginer les scènes érotiques les plus folles avec elle. Des rêves, comme...
— Rémi voit sa mère étendre son linge dans la cour, haussée sur la pointe des pieds, pour atteindre le fil de fer. Elle est simplement vêtue d’une nuisette, et ne porte pas de culotte. Dans cette position, le court vêtement remonte sur ses hanches, découvre sa chatte. Sans qu’elle s’en aperçoive, son fils s’approche, et lui met un doigt.— Mais... polisson, sursaute-t-elle, que fais-tu à la petite chatte de maman ?— Allez maman, laisse-moi la caresser.— C’est pas bien ça... après, mon minou va être tout mouillé.
Rémi insiste, enfonce deux doigts dans la chatte et commence à la branler. Au passage, il libère le clitoris. Sylvie plie ses jambes, se tient au fil de fer de l’étendoir, pour ne pas vaciller.
— Oh mon trésor... que c’est bon ce que tu fais à la chatte de maman... vas-y... gratte bien mon petit bouton. Fais-moi jouir... n’aie pas peur si je crie, c’est que je jouis... oui... je jouis... vilain que tu es.
Tout le temps que dure la scène, Rémi sent sa jeune queue frémir dans mon short.

Il est tiré de ses pensées, quand il entend le claquement de la porte d’entrée. Il voit sa mère, en nuisette, la corbeille à linge sous le bras, se diriger vers la buanderie. Là, elle fait passer sa nuisette par-dessus sa tête, et la met dans la machine. Sylvie se retrouve entièrement nue. Rémi reste scotché devant ce corps sublime, d’une beauté à couper le souffle. Lentement, elle passe sous la douche de fortune, faite en caillebotis, que son mari avait installée.Caché derrière un tas de bûches, Rémi admire le corps magnifique de sa mère, ses superbes seins qui se dressent quand elle lève les bras, ses hanches, faites au tour. Ce corps qui, il espère, vibrera un jour entre ses doigtsSylvie se sèche, s’enroule dans une serviette, et monte à sa chambre. Rémi s’assied, ne réalisant pas, ce à quoi, il vient d’assister. Sa mère, toute nue devant lui.Au bout d’un quart d’heure, Sylvie descend de sa chambre, vêtue d’une courte jupe, et d’un chemisier. Une bombe.
— Rémi, où es-tu mon chéri, je vais aux coures, tu veux venir avec moi ?— Non man, je dois appeler des potes.— OK, je ne serais pas longue.
Quand elle est partie, Rémi va à la buanderie, ouvre le hublot de la machine. Il récupère la nuisette, et tombe sur un string rouge. Il le porte à son visage, s’imprègne de l’odeur de l’amour de sa vie. Il serre la nuisette contre lui. Sa bite s’enhardit dans son short. Il imagine ma mère la prendre en main, la branler. Rémi est tiré de ses folles pensées, quand il entend la voiture se garer sur le gravier.
— Rémi, peux-tu venir m’aider mon trésor ?— J’arrive maman.— J’ai invité quelques amis à dîner ce soir. Tu mangeras avec nous ?— Non man, j’ai des trucs à faire sur l’ordi.— Comme tu voudras mon chéri.
Il aide ma mère à dresser la table sur la terrasse. Il ne peut détacher son regard de son profond décolleté. Puis les invités arrivent. Il y a Eric, un homme d’une cinquantaine d’années, collègue de bureau de Sylvie, Laure et Jack, un couple d’amis. Rémi les salue, et se retire dans sa chambre. En fait, il descend au bord de la pelouse, et se cache derrière les jardinières. De là, il a une vue imprenable sur la table, mais aussi dessous.
Sylvie, assise à côté d’Eric, n’a d’yeux que pour lui. Elle boit ses paroles. Soudain, Rémi va assister à une scène qui va lui casser le moral. Il voit sa mère glisser une main sous la table, caresser l’entrejambe d’Eric. Ce dernier sort sa bite de son pantalon. Elle est très correcte. Sylvie la saisit, la décalotte, et la branle. Le couple d’invités ne s’aperçoit de rien. Même quand Eric décharge dans la main de Sylvie.Une pointe de jalousie envahit le corps de Rémi. Et il n’est pas au bout de ses surprises. C’est au tour de sa chère maman. Elle écarte les jambes, et invite la main d’Eric à caresser sa chatte. Comme à son habitude, elle ne porte pas de culotte. Rémi voit nettement les doigts pénétrer la chatte, exciter le clitoris. Il voit sa mère fermer les yeux, se cambrer sur sa chaise. Contrairement à Eric, elle exprime son orgasme, dans un gémissement de plaisir.
— Ca ne va pas Sylvie, demande Jack.— Mais si, mais si, répond Laure, qui a compris ce qui venait de se passer sous la table.
Rémi regagne sa chambre, déçu par ce qu’il vient de se passer. Il se couche, mais le corps de sa mère le hante. Il finit par s’assoupir, et repart dans ses rêves les plus fous, comme...
— Rémi, mon chéri, on se regarde un film ?— Si tu veux man... j’arrive.
Rémi rejoint sa mère sur le canapé. Elle est assise, les jambes croisées, vêtue de sa nuisette transparente. Rémi s’assied à côté d’elle.
— Alors mon fils, dis-moi, tu as une copine ?— Non maman, tu sais que je suis timide, je sais pas si j’oserai la caresser. J’ai jamais fait ça. J’ai peur de la décevoir.— Mais mon chéri, c’est facile. Il y a des endroits précis que les femmes aiment qu’on leur caresse. Tu veux que maman te montre ? Donne ta main.
Sylvie prend la main de son fils, et la passe sous sa nuisette. Rémi sent les seins bien fermes de sa maman.
— Vas-y mon chéri, caresse les seins de maman. Fais rouler les bouts entre tes doigts... tu verras comme les bouts vont durcir. Les femmes aiment bien ça.
Même si la caresse est maladroite, elle donne malgré tout du plaisir à Sylvie, qui pousse quelques gémissements de plaisir.Puis Sylvie guide la main de son fils vers un endroit plus intime. Rémi sent les plis des lèvres de sa mère, où une petite rosée s’est installée. Toujours aussi maladroit, il parcourt la fente de bas en haut. Il perçoit un léger gémissement de sa mère, qui petit à petit glisse sur le canapé, pour mieux s’offrir.
— Salaud, souffle Sylvie... tu apprends vite...— Tu aimes maman, tu aimes que je te caresse.— Oh oui, mon chéri, c’est trop bon... continue...
Rémi aperçoit le clitoris en parti sorti de sa capuche protectrice. Il en profite pour le caresser. Prise par le désir, c’est Sylvie elle-même, qui finit de le décalotter. Rémi s’amuse avec le petit organe, tandis que Sylvie gémit de plus en plus fort. Elle finit par quitter sa nuisette, pour se présenter entièrement nue devant son fils.
— Salaud... regarde comme tu fais bouger le cul de maman... vas-y mon trésor, rentre tes doigts, branle-moi... hum...— Tu aimes ça, hein man... te faire branler...ça fait du bien.— Oh oui ça fait du bien... mais quitte ton pyjama, mets-toi tout nu toi aussi... ben dis donc, t’es pas mal monté, mon Dieu, et comme tu bandes. Je ne peux pas te laisser dans cet état.
Lentement, Sylvie se penche, et prend la queue de son fils en bouche. Ce dernier se tend en avant, pour mieux se faire sucer. Mais Sylvie a de l’expérience, et Rémi sent venir la rupture. Elle se produit deux minutes après, dans un râle de plaisir. Sylvie prend tout dans la bouche, avale, à la grande stupéfaction de Rémi.
— Alors mon chéri, t’as aimé... c’est bon hein.— Tu es folle maman, fallait te retirer.— Grand fou, pour une fois que j’ai l’occasion d‘avaler la semence de mon fils. Tu sais quoi ? Tu vas me le mettre maintenant.— Quoi ?— Si, si... tu vas baiser maman... la sodomiser.— Mais maman, c’est trop...
Rémi n’a pas le temps de finir sa phrase, qu’il se retrouve allongé sur le dos. Sylvie l’enjambe, et s’empale sur sa bite en érection. Sylvie chevauche son fils frénétiquement. Elle prend autant de plaisir, que ce qu’elle en donne. Dans un dernier coup de reins, elle atteint un puissant orgasme. Elle s’écroule sur son fils, tandis qu’il coule en elle, dans un « han» de bûcheron. Comme prévu, Sylvie change de position, se place pour se faire prendre en levrette. Rémi ne connaît pas encore la destination que Sylvie va décider. Ce sera le petit trou. Il saisit sa mère par les hanches, et entame de violents va-et-vient.
— Ca y est chéri, tu m’encules... tu encules maman... oh putain, comme elle est bonne ta queue, que tu baises bien.— Que c’est bon man... on recommencera demain... tu veux bien maman. Et puis j’aimerais que tu restes toujours en nuisette, quand on est tous les deux, sans rien dessous.— Comme que tu veux mon chéri... si ça te fait plaisir.
Les deux amants jouissent ensemble, s’écroulent sur le canapé, en se donnant un torride baiser.C’est sous la douche que Sylvie jouit une dernière fois.
Soudain, Rémi est réveillé en sursaut, par des bruits étranges. Ils proviennent de la chambre de sa mère. Il se lève sur la pointe des pieds, colle son oreille contre la porte. Celle-ci n’est pas fermée. Il l’entrouvre légèrement. Il reçoit le choc de sa vie.Sylvie est allongée, entièrement nue sur le lit, en train de se faire caresser la chatte. Eric, à genoux devant sa bouche, se fait tailler une pipe.
— Je vois que tu as épilé ta petite chatte.— Comme tu me l’as demandé mon amour... hum, elle est bonne ta queue...— T’aimes la sucer, tout avaler quand je crache.
A cette allure, ça ne va pas tarder... ah... ah... salope.
— Oh oui, vas-y... moi aussi je jouis...
Après ces courts, mais ardents préliminaires, Sylvie monte sur Eric, et s’empale sur sa queue.
— Oh putain, que c’est bon d’avoir une grosse queue dans la chatte... tu m’enculeras après, je veux être ta chienne cette nuit.— Tu veux être ma pute, c’est ça. Tu vas commencer par me tailler une bonne pipe, OK.— Ce que tu veux mon chéri, donne-moi ta bite que je la suce.
Rémi n’en peut plus, il a les larmes aux yeux. La dernière image, c’est de voir le surplus de jus, couler de la bouche de sa mère. Il reste impuissant devant ce qu’il se passe. L’amour de sa vie en train de s’offrir à un inconnu.Il retourne à sa chambre, mais ne trouve pas le sommeil. Il entend Sylvie hurler de plaisir à chaque orgasme. Et les orgasmes vont défiler toute la nuit. A neuf heures du matin, il voit Eric enlacer Sylvie dans l’allée de la maison. Il lui donne un tendre baiser, et monte dans sa voiture. Jusqu’au portail, elle lui fait de grands signes. Soudain, Rémi réalise que ses fantasmes n’étaient qu’utopie, que ce n’était que du rêve. Coucher avec sa mère est une chose impensable. Il est tiré de ses réflexions par Sylvie, qui tire les rideaux de la chambre. Elle est vêtue de sa courte nuisette. Par transparence, Rémi remarque qu’elle ne porte pas de culotte.
— Bonjour l’amour de ma vie, dit Sylvie en souriant. Bien dormi mon chéri ? — Man, tu pourrais mettre une culotte.— Pourquoi trésor, ce n’est qu’une petite chatte. Puis, je n’ai rien à cacher à mon fils adoré. On déjeune ensemble.— D’accord, accepte Rémi en repoussant le drap. — Ben dis donc, dit Sylvie en ouvrant grand les yeux, t’as une belle queue toi, t’es sacrément monté. C’est les filles qui vont être contentes.
Rémi est rouge de honte. Il ne pensait pas être nu sous le drap. Ils se regardent, éclatent de rire, en tombant dans les bras l’un de l’autre.
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