Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 151 J'aime
  • 2 Commentaires

Les désirs cachés

Chapitre 1

Les débuts d'une nouvelle vie

Hétéro
Toutes les personnes de ce récit sont consentantes et majeures.

Ces vacances enfin là, direction la mer ! Nous roulons toute la nuit et enfin, arrivons à l’hôtel réservé. Éreinté par ce voyage, je somnole dans l’ascenseur.
— Hoho, chéri ! M’averti-t-elle, en me secouant légèrement le bras.— Oui ? — Demain c’est notre anniversaire de mariage, je te veux en forme. Déclare-t-elle avec envie.— Pour toi, toujours ! Indique-ai-je, en me rapprochant d’elle.
Je l’embrasse à pleine bouche, la plaquant contre une des paroies en miroir de l’ascenseur. Ma femme s’agrippe à mon cou et m’enlace de ses jambes. Je me surprends à nous regarder : le spectacle de ses jambes, épurées de sa jupe, durcit mon membre collé à son bassin.
— De plus, j’ai une surprise pour toi. Et quelque chose me dit que tu vas aimer ça ! Nargue-t-elle.— Mais on a dit que le cadeau, c’est les vacances ! Opposai-je, en la plaquant plus fort.— Disons que ça en fait partie, murmura-t-elle, en regardant le sol.— Dans ce cas, moi aussi j’en ai une. Proclamai-je, victorieusement.
La porte s’ouvre et devant l’air choqué de la femme de menage, nous fuyons en toute hâte dans les couloirs. Quand à bout de souffle nous nous arrêtons enlacés au milieu d’un couloir. Je sens ses pulsations se calmer avec les miennes, lui embrasse tendrement le cou avant de la mordiller légèrement.
— Il nous a dit quelle chambre le vieux de l’accueil ? Demande-t-elle, en haletant.— Quatre cent trente deux, articulai-je, entre mes crocs. Que ferais tu sans moi ?— Visiblement c’est de l’autre côté. Tu viens, contre-t-elle, sans tenir compte de ma remarque.
Arrivés dans la chambre, elle me stoppe sur le pas de la porte et me commande d’ouvrir cette valise.

— Tu seras un policier vicelard arrêtant une voleuse, me commande-t-elle, en allant se réfugier dans la salle de bain.
Un peu dubitatif, j’ouvre la valise et y trouve des accessoires et une lettre avec écrit ’’dépêche toi je vais m’enfuir avec le butin’’. Je souris bêtement en enfilant prestement mon costume et me voilà devenu un véritable représentant des forces de l’ordre. Premier jeu de rôle et je tremblotte, déstabilisé devant la porte de cette pièce où elle s’est réfugiée.
— Madame, je sais que vous êtes là. Rendez vous ! Enoncai-je, pour me donner du courage.— Non jamais vous ne m’attraperez ! — Ne m’obligez pas à me servir de mon gros pistolet… sortez gentiment les mains en l’air. Commandai-je en pointant mon arme factice sur la porte.— Ne tirez pas j’ouvre...
Elle sort masquée, capuchée, habillée de noir avec un short et des talons haut. Ses bas en mailles sombres font ressortir la blancheur de ses jambes. Un décolleté noir et blanc rayé vient sublimer sa généreuse poitrine. Est-ce vraiment ma femme ? Je peine à la reconnaître, elle si prude et délicate.
— Alors, où avez-vous caché votre magot ? Questionnai-je, en rangeant l’arme.— Je suis innocente monsieur l’agent. C’est une erreur. Implore-t-elle.— Nul doute que les caméras de surveillance vous ont filmé. J’ai les preuves sur moi ! Affirmai-je.— Non je n’ai rien volé c’est pas moi. Ment-elle, avec le sourire.— Je vais vous fouiller dans ces cas-là. Ouvrez les bras et les jambes !
Je m’approche d’elle, commence une palpation et mon cœur s’emballe quand je m’attarde un peu trop sur ses seins. Elle me ramène à la raison en se retirant brusquement.
— Vous voulez les voir ? Vu comme vos mains s’éternisent… crache-t-elle, agacée.— J’ai bien peur d’y être obligé. Enlevez votre haut s’il-vous-plaît. Énoncai-je, en croisant les bras.— Je n’ai pas de soutien gorge…— J’appelle les renforts ? Questionnai-je, les mains sur ma ceinture.— Non non, supplie-t-elle, les mains jointes.
Elle enlève le haut, en me regardant avec rage et me le jette en plein visage. C’est fou comme elle joue bien et cet affront me fait frémir.
— Alors comme ça on s’enflamme ? Tournez-vous, les mains dans le dos. — Oui, tout ce que vous voudrez, abdique-t-elle, les menottes serrées à ses poignets.— Je préfère ça, dis-je, en déboutonnant son shorty.
Je l’enlève doucement, laissant courir sur sa peau la pulpe de mes doigts. Je scrute les formes de son bassin prononcé avec la furieuse envie de le croquer. N’ayant encore rien trouvé, je la passe en revue et découvre son cadeau des trente ans, un collier habilement dissimulé contre son triangle imberbe. Elle a tout prévu pour cette chasse au trésor ! Pour m’exciter davantage, elle essaie de cacher son méfait derrière sa cuisse.
— C’est un vol de bijou en plus ? — Je vous en prie, ne m’arrêtez pas ! — On peut s’arranger, mais il va falloir être gentille, très très gentille, menaçai-je , en me rapprochant.— Que voulez-vous ?— Vêtue comme vous êtes, vous m’avez donné envie de vous baiser, certifiai-je, en me massant l’entre jambe gonflé.— S’il vous plaît non pas ça, supplie-t-elle faussement — Taisez-vous sinon j’appelle le commissaire et tu vas en taule. Maintenant sucez moi ça.— Pitié, je suis mariée, revendique-t-elle, me suppliant du regard.
Je déchire son string et le bijou tombe par terre laissant à nue sa vulve trempée, à dix centimètres de mon nez. L’effluve iodée qui me parvient, doublée du sentiment de puissance que je ressens, ne fait qu’attiser un désir animal enfoui en moi. Je passe un doigt entre ses cuisses et le remonte pour aller cueillir un peu de sa cyprine que je sens avidement.
— Vous êtes déjà toute mouillée petite coquine. Si vous me pompez bien je ne vous la mettrai pas dans le cul !
Je me relève et l’attrape par les cheveux et l’oblige à s’agenouiller. Elle me regarde, esquisse un léger sourire avant de protester vigoureusement. Elle gesticule en bougeant de gauche à droite sa tête se qui me permet de la biffler allègrement.
— Arrêtez… je… ne, balbutie-t-elle, alléchée par ces coups de bâton de chair.— Taisez-vous, sinon j’appelle aussi mes potes de la brigade et ce ne sont pas des tendres non plus !— D’accord mais que par la bouche ! Acquiesce-t-elle, d’un air résigné.
Elle me prend légèrement en bouche, jouant avec ma patience et ne pouvant tenir plus longtemps, à l’assaut de cette langue titillant mon gland, je lui enfourne profondément mon gourdin bien dur. Je lui pilonne la bouche, mes phalanges sur sa nuque pour bien appuyer le rythme, ressortant par moment pour lui faire lécher tout du long. Elle a l’air d’aimer ce traitement, sa bouche grande ouverte prête à accueillir mon sexe punitif. La voyant impuissante et docile réveille mon côté dominant. Je redécouvre ma femme sous un nouveau jour. J’essaie à nouveau de mettre ma matraque dégoulinante de salive entièrement au fond de sa gorge, sa tête bloquée contre le mur entre mes mains. Malgré un appui prolongé et n’y arrivant pas, je m’exclame d’un ton énervé.
— Elle est trop grande pour votre petite bouche ? Sur le lit que j’essaie un autre trou voir s’il peut me contenir.— Non j’ai mes règles, vous ne pouvez pas...— Je vous ai dit quoi tout à l’heure ? Vous croyez avoir mérité que je m’occupe de votre chatte ? Vous n’avez même pas réussi à la prendre entièrement ! À plat ventre sur le lit ! Dis-je, en la prenant par les chaînes des menottes, pour l’aider à se relever.— Oui monsieur l’agent. Acquiesce-t-elle en me faisant un clin d’œil complice — Je préfère ça !
Je l’approche du lit en la brusquant un peu, l’obligeant par le bras à me suivre prestement. Arrivée à hauteur, je la pousse en avant. Elle s’étale sur le matelas, les jambes écartées encore en dehors. Je me place au milieu et la prend par les hanches. J’humecte son anneau avec ma salive et presse mon gland à l’entrée de ses fesses.
— Vous êtes prête à recevoir votre châtiments, petite catin ? Balançai-je, en lui assénant une fessée.— Oui, j’ai été vilaine punissez-moi comme il se doit, ajoute-t-elle, en se dandinant.— Votre petit cul se souviendra de moi longtemps après ce que je vais vous faire… dis-je, en enfilant le bout.— Va doucement s’il te plaît, m’averti-t-elle, anxieuse.— Ne t’inquiète pas, je vais bien prendre soin de toi, la rassurai-je d’une voix paisible. — Je te fais confiance. — Maintenant fermez votre gueule et évitez de crier trop fort ! D’un ton autoritaire.
J’enfile prudemment ma verge dans cet anus si étroit et obtient les gémissements satisfaits, de cette larcineuse perverse. À la voir comme ça, dos à moi et les bras menottés, avec mon phallus qui ne cesse de s’enfouir, la jouissance n’est plus très loin. Je la prend par les chaînes et enfile les quelques derniers centimètres, en sortant un râle puissant. Je la besogne martelant son anneau détendu sous mes puissants coups de reins. Un orgasme lui prend, elle hurle de plaisir tellement fort, que je suis obligé d’étouffer ses cris dans l’oreiller. Je ne suis pas loin de jouir et me retire prestement de cet antre brûlant. Je la retourne et lui présente ma trompe que je plaque vigoureusement sur son beau visage. De longues giclées de spermes s’abattent sur ses yeux et ses lèvres, qu’elle ouvre pour pouvoir goûter au nectar. Mes dernières giclées perlent le long de sa langue, qu’elle a tirée pour en avoir davantage. Je me perds dans ses beaux yeux verts zébrés de foutres gluants. Elle finit avidement par me sucer le bout, se délectant des dernières gouttes de ma semence collante. J’immortalise dans mon esprit ce moment si magique… Je la libère et lui tend un mouchoir, déposant un baiser sur ses lèvres.
— C’était incroyable, merci ! Dit-elle, en m’enlaçant dans le lit.— Oui, ces vacances promettent d’être uniques !
Nous nous endormons collés l’un à l’autre, comblés d’une nouvelle expérience, les pensées pleines de nouvelles choses à essayer…
Diffuse en direct !
Regarder son live