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Les désirs de Thalie

Chapitre 1

Premier jour

Hétéro
Je m’appelle Thalie. Ces mots racontent comment je suis devenue infidèle et comment tout s’est conclu pour le mieux.   J’ai 24 ans au moment des faits et je viens de finir mes études. Je suis en couple avec Thomas, 26 ans, depuis trois ans. Comme il est ingénieur en électricité, il gagne largement assez pour nous deux et ça fait un moment que j’habite chez lui. Tout se passe vraiment bien, j’ai la chance d’avoir un chéri au top. Il est doux, gentil, attentionné. Il aurait pu profiter que je sois encore étudiante pour me confier toutes les taches ménagères, mais même pas : il fait sa part, moi la mienne. On a plein d’intérêts en commun, il me laisse sortir avec mes copines ou papoter avec des garçons… Bref, c’est un type en or.   Grâce à mes origines martiniquaises, j’ai la peau très sombre, je penche beaucoup plus du côté de mon père noir que de ma mère antillaise. Ça a toujours beaucoup plu à Tom, il adore jouir sur moi parce qu’on voit bien le sperme sur ma peau. Au début j’avais un peu de mal avec ça, mais ça a fini par m’exciter.   En fait, j’adore le terminer sur mes seins (qui sont plutôt gros et bien fermes). J’adore voir ses jambes se mettre à trembler, sa respiration saccader. J’adore sentir les contractions de son sexe dans ma main, entendre ses petits gémissements si mignons, voir sa semence sortir de sa verge et gicler sur ma poitrine. Après je prends la pose et il me photographie ; il a des dizaines de clichés sur son disque dur, de temps en temps on les regarde ensemble et ça finit avec un nouveau fichier.   Aujourd’hui c’est un grand jour : je commence enfin à travailler. Je suis stressée comme rarement, j’aurais bien eu besoin d’un cunni pour me détendre, mais mon chéri ne peut pas partir bosser sans sa pipe du matin. Alors c’est avec le goût de son sperme encore en bouche que je pousse la porte de la grosse entreprise de développement qui vient de m’embaucher.   Derrière l’accueil, une femme d’une cinquantaine d’années qui me regarde d’un air absent. Et devant, un gars qui doit être à peine plus vieux que moi, accoudé au comptoir comme s’il était au bar. Quand il tourne la tête vers moi, je le vois écarquiller les yeux et articuler un « wouah » silencieux. Il faut dire que j’ai sorti le grand jeu : pantalon noir qui moule mes fesses rondes et mes hanches larges, débardeur qui met en valeur ma taille fine et ma poitrine de bonne taille, maquillage discret qui rehausse mes pommettes et mon regard sombre, veste élégante, chaussures à talons, queue de cheval et manucure impeccable.   Je m’approche de l’accueil, le mec s’écarte en bredouillant un « salut ».   - Bonjour, je suis madame Lebel. J’ai rendez-vous avec monsieur Beltram.  - Asseyez-vous, je vais le prévenir que vous êtes arrivée.  Je m’exécute, la secrétaire décroche son téléphone.   - Salut Yann, c’est Valérie. Oui, ça va et toi ? Dis, ton rendez-vous est là.  Pendant ce temps, le type avec elle me déshabille du regard et j’évite soigneusement de croiser ses yeux. C’est dommage, il est plutôt mignon mais là c’est carrément gênant. J’ai même pas besoin de mots pour savoir qu’il est en train de s’imaginer fourrer sa bite entre mes lèvres épaisses ou, vu comment il les reluque, entre mes seins. Mais désolée chéri, je suis maquée.   Finalement je suis sauvée par un quadragénaire bien enrobé, le crâne rasé et une chemise ample passée dans son pantalon. Il se dirige immédiatement vers moi et me tend une main boudinée. 
  - Thalie, c’est ça ? demanda-t-il d’une voix de baryton.  J’acquiesce en lui serrant la main. J’ai soudain l’impression d’être une petite fille qui a fait une grosse bêtise.   - C’est ça monsieur Beltram.  - Yannick, ou Yann, comme tu veux. Ici, on se tutoie, c’est pas parce que je suis ton senior que tu dois me donner du « monsieur ». Suis-moi, on va commencer par te donner ton badge puis je te ferai faire le tour du propriétaire et tu pourras commencer.  Je lui emboîte le pas, on prend l’ascenseur jusqu’au deuxième étage. Mon badge autour du cou, je suis fin prête à découvrir l’open space où je travaillerai et rencontrer les trois équipes que Yannick chapeaute. Celle que j’intègre comprend quatre autres personnes :   Nadir a 24 ans comme moi, il a intégré l’entreprise deux mois plus tôt. Il est plutôt mignon, très fin avec les cheveux bouclés et les yeux assez clairs qui contrastent avec sa peau mate ; en plus il a joli petit cul. Il a aussi l’air super timide, il regarde toujours toujours ses pieds ou à côté quand il me parle.   Damien a 36 ans, c’est le « chef » d’équipe. Il est assez bel homme avec une belle stature et une barbe fournie, bien taillée et légèrement grisonnante par endroits. Il a la voix rauque du gros fumeur, mais il a l’air très sympa et me met tout de suite à l’aise.   Valentin a 42 ans, c’est le plus vieux de l’équipe. C’est un grand échalas avec une petite barbe blonde et des yeux bleus super clairs. Ça a l’air d’être un gros blagueur, un peu beauf et clairement il apprécie la vue plongeante que son mètre quatre-vingt-dix lui donne sur mon décolleté. Je sais pas pourquoi, mais je trouve ça flatteur et ça me plaît un peu de me faire reluquer par un homme âgé comme ça.   Pour terminer il y a Joris, 29 ans. L’archétype du beau gosse sportif avec des bras plus épais que mes cuisses et des petites lunettes qui accentuent son regard gris acéré. Sa chemise est légèrement ouverte sur un torse puissant, et j’avoue que je me sens toute chose en le regardant ce qui me fait culpabiliser instantanément. Je me mets deux ou trois gifles mentales en me rappelant que j’ai un chéri que j’aime plus que tout et que mouiller en reluquant son collègue c’est pas une bonne idée.   Après les présentations, Yannick me désigne mon poste, assez excentré dans l’open space, mais duquel je peux voir toute la pièce et toute la pièce peut voir mes seins. Ça n’échappe pas à Valentin qui passe la matinée avec la tête tournée dans ma direction.   Comme je suis débutante, je me retrouve avec une tâche adaptée, juste du no-code simple pour faciliter le travail des autres. Ça me va, ça me permettra de progresser tranquillement et de pas faire la bêtise tant redoutée par les jeunes développeurs. Je visse mes écouteurs dans mes oreilles et c’est parti pour le travail !  Soudain, une main tapote sur mon épaule. Je me retourne, c’est Joris.   - On va manger, tu viens ?  Je regarde l’heure : midi dix. J’étais tellement absorbée que j’ai pas vu le temps passer.   - Vous allez où ?  J’étais tellement dans mon truc que j’ai pas pensé à me renseigner sur la question du repas.   - Y a un petit bistrot à côté, c’est un peu notre cantine.  - Ah… J’ai pas encore eu mon salaire, c’est la dèche.  - T’inquiètes, on t’invite, me répond-t-il avec un sourire qui me fait fondre.  - Non, ça me gène…  - T’en fais pas, on va pas te laisser bouffer un sandwich toute seule. Allez, viens.  J’imagine que j’ai pas le choix… Je me lève, prends mon sac à main et rejoins le groupe. C’est dans un petit troquet qu’on va manger. J’aime bien l’ambiance, un peu vieillotte, même si la banquette est un peu dure. Le patron, la bonne cinquantaine, s’approche de la table avec une carafe d’eau et une panière de pain.   - Salut les gars… Et mademoiselle, se reprend-il en me voyant.  Il fait un clin d’œil à Valentin qui s’est assis en face de moi pour mieux reluquer ma poitrine.   - Alors, tu nous as ramené ta nouvelle conquête ?  - Je suis leur nouvelle collègue, dis-je timidement alors que les autres s’esclaffent.  - Eh ben, commente le patron… Va falloir vous méfier avec cette bande de guignols. Cinq pressions comme d’habitude ?  - On peut ?  Mon air naïf les fait rire de plus belle.   - Tant que tu fais pas de strip-tease sur la table, y a pas de souci, me répond Valentin.   - Ah dommage, ça m’aurait bien tentée, je réponds du tac au tac.  Le repas se passe bien, ils sont tous sympa, très déconneurs en dehors de Nadir qui finit quand même un peu par se dérider quand sa bière se vide. J’arrive à glisser discrètement que j’ai un copain, j’apprends que Joris a une chérie et que Valentin et Damien sont mariés et papas.   L’alcool finit par me monter à la tête et me donner chaud, j’enlève ma veste. En face, je vois Val’ écarquiller légèrement les yeux. Eh ouais mon coco, ils sont gros et ronds, mais ils sont pas pour toi. A ses côtés, Joris n’en perd pas non plus une miette et là par contre ça me fait de l’effet. Je suis légèrement ivre et j’ai du mal à me contrôler. C’est qu’il me fait de l’effet le beau gosse, mon petit minou est tout mouillé ; Tom a intérêt à assurer ce soir, déjà que j’ai pas eu mon cunni ce matin…  Enfin on retourne travailler. L’après-midi se déroule bien, j’ai du boulot et je finis par redescendre un peu même si les muscles de Joris ne m’aident pas des masses.   Comme c’est mon premier jour, je fais du zèle et n’ose pas partir. Jefinis par quitter à 18 heures passées et j’arrive à l’appartement après la demie. Tom est déjà là, il m’accueille avec un petit bisou dont il a le secret.   - C’est allé ta journée ? me demande-t-il pendant que je jette ma veste et mon sac à main sur le canapé.  - Super, dis-je en enlevant mes chaussures. Putain, ça fait du bien, je sentais plus mes chevilles.  Je me laisse un peu aller sur le sofa, Tom vient me faire un câlin. Sa présence contre moi, l’odeur de son parfum et de sa transpiration, la chaleur de son corps… J’ai tellement envie de lui ! Au moment où je m’apprête à poser la main sur son entrejambe, il se lève.   - Je vais faire à manger, repose-toi mon cœur.  Maaaais !! C’est lui que je veux manger là tout de suite. Mais trop tard, il a déjà disparu dans la cuisine en me laissant trempée et frustrée. Je me penche légèrement, il ne peut pas me voir d’où il est. Bah, tant pis pour lui : j’ouvre le bouton de mon pantalon et glisse les doigts dans mon shorty. Le simple fait d’effleurer mon clitoris m’envoie des décharges de plaisir comme rarement. Je suis tellement mouillée que j’ai de la cyprine jusque dans mon petit ticket de métro et que mon dessous est complètement humide.   Je sais qu’il faut que je m’arrête avant de perdre complètement le contrôle, mais je me doigte quand même pendant quelques instants et qu’est-ce que c’est bon ! Je suis si excitée et sensible que juste ça me met au bord de l’orgasme, mon clito est tellement gonflé qu’il me fait un peu mal et je sens mes tétons essayer de déchirer le tissu de mon soutien-gorge.   J’arrive quand même à m’arrêter avant de jouir, un effort de volonté colossal. Faut que je me change les idées, alors je me lève et me dirige vers la cuisine dont émanent des effluves succulentes. Je vais vers la marmite, soulève le couvercle en me délectant du fumet qui émane des légumes et épices en train de cuire.   Un instant plus tard, Tom est contre moi, il m’embrasse dans le cou et passe les mains sous mon débardeur pour caresser mon ventre. Il appuie fort son bassin contre mon postérieur et ça confirme ce que je devinais : lui aussi a envie. Ouf, heureusement que je me suis pas masturbée jusqu’au bout, là je vais pouvoir profiter à fond ! Je me dandine un petit peu pour l’exciter, sa bite déjà bien dure se cale entre mes fesses.   - Je crois que tu as envie, dis-je en ondulant le bassin pour faire coulisser sa queue dans ma raie.  - Tu es tellement belle habillée comme ça, tout le monde aurait envie de toi.  - Flatteur.  Une de ses mains remonte le long de mon ventre, passe sous le bonnet de mon soutien-gorge et empaume un de mes seins. L’autre défait le bouton de mon pantalon et glisse jusqu’à mon abricot. Je tressaute et gémis de plaisir lorsque ses doigts effleurent mon clitoris.   - Je crois que toi aussi tu as envie, commente-t-il en constatant le déluge entre mes cuisses.  - Prends-moi vite avant que ça crame, je suis en chaleur là.  Tom ne se fait pas prier, il adore quand je suis comme ça. Je me penche sur le plan de travail pendant qu’il baisse mon pantalon et mon shorty sur mes cuisses. Le temps qu’il libère son sexe et me voilà bien vite comblée. Enfin !  Je suis pas la seule à être super excitée, mon chéri a rarement été aussi gros et je le sens remplir complètement mon vagin. Quel bonheur de le sentir aller et venir en moi, me tenir fermement par la taille pendant qu’il me pilonne.   - Je vais pas tenir ma chérie, m’informe-t-il rapidement.  Eh merde… Tom a jamais été très endurant, mais là ça fait une minute à peine. Quelque part c’est flatteur, mais j’espérais beaucoup plus ce soir.   - C’est pas grave, prends-moi fort.  Il ne se fait pas prier, il me démonte littéralement et c’est si bon ! Je ne suis pas vaginale, mais là je pourrais carrément jouir s’il tient un peu plus !   - Je peux jouir sur toi ?  - Vas-y, finis sur mon cul.  Je sais qu’il voudrait terminer sur mes seins mais… Flemme de me déshabiller pour un rapport aussi court. Tom donne encore quelques coups de reins qui manquent de m’envoyer au septième ciel, puis se retire. Je l’entends s’astiquer et vu les bruits humides que ça fait je dois être encore plus trempée que ce que je pensais. J’en profite pour dandiner mes fesses et l’exciter un peu plus.   Soudain j’entends un long « haaaan » et je sens un liquide chaud et visqueux se répandre sur ma peau. Il devait être sacrément excité, j’ai l’impression qu’il y en a plus que d’habitude. Je continue de remuer mon popotin, jusqu’à entendre le déclic de son téléphone.   - Merci ma chérie, c’était génial, dit Tom en prenant quelques feuilles d’essuie-tout pour nettoyer les traces de son forfait.  Je me retourne, on s’embrasse tendrement. Son sexe mollasson effleure ma petite chatte, y répand ma cyprine et son foutre. Ce contact m’électrise, m’envoie des décharges de plaisir dans tout le corps. J’en peux plus, j’ai trop envie, j’attrape Tom, force ses lèvres avec ma langue, frotte mon clitoris contre sa bite flasque. Encore un peu, juste un tout petit peu, je suis au bord…   Je ferme les yeux. Sans que je le veuille, les images affluent, je vois Joris me démonter comme mon chéri m’a défoncée à l’instant. Je le vois entre mes cuisses en train de brouter mon minou… Et soudain je suis traversée par un orgasme énorme.   J’en tombe à genoux sur le carrelage, je tremble de tous mes membres. Lorsque je rouvre les yeux, je suis face au sexe pendouillant de Tom, avec une grosse goutte de sperme au bout. Tant pis, j’ai envie de le goûter : je le prends en bouche, le suçote un peu, savoure son goût musqué et légèrement salé. Avec un peu de chance il va repartir et me labourer comme je viens d’en rêver. Mais non, il me relève et m’embrasse encore.  - Ça va ma chérie ?  J’acquiesce vigoureusement en remontant mes habits.   - Gros gros orgasme, j’étais vraiment excitée.  - Désolé, j’ai pas été à la hauteur.  - C’est pas grave, dis-je en essayant d’être rassurante. C’était super bon et j’ai pris mon pied, tout va bien.  Mais en allant me coucher après le dîner et la série, je ne suis pas si sereine. J’aime Thomas à la folie. Alors pourquoi est-ce que j’ai pris mon pied en pensant à Joris ? Pourquoi est-ce que j’ai la main dans ma culotte en m’imaginant le chevaucher ? Pourquoi est-ce que je rêve qu’il rempli mes entrailles de sa semence ? Et surtout, pourquoi est-ce que j’ai un immense orgasme en sentant les contractions imaginaires de sa queue en moi, son sperme illusoire gicler et tapisser mon vagin ?   Je m’endors presque aussitôt, sans trouver la réponse, à la fois coupable et repue, la main toujours rivée à mon minou qui dégorge son flot de jus. Tandis que le sommeil me gagne, j’imagine que c’est le sperme de Joris que je sens couler entre mes doigts et cette pensée m’est douce-amère.
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