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Les désirs de Thalie

Chapitre 3

Thalie diabolique

Hétéro
Nadir choisit pour moi, sa volonté rompt, il jette un bref coup d’œil avant de se détourner comme un enfant qui a fait une bêtise. A cet instant, la Thalie angélique se tait, c’est la Thalie diabolique qui prend les commandes.   J’enlève complètement mon débardeur, le jette sur mon collègue. Il le prend dans les mains, le regarde, comprend ce que c’est… Et lève la tête vers moi pour vérifier. Victoire !  Ses yeux s’écarquillent, il ouvre et ferme la bouche mais aucun son n’en sort.   - Alors, ils te plaisent ?  Il bafouille, bégaye, son regard est rivé à ma poitrine. Faire bander mon chéri juste en lui montrant mes nichons c’est super excitant, mais alors faire perdre tous ses moyens à un mec c’est juste le paradis.   - Vas-y, régale-toi. Je peux rester comme ça toute l’aprem’ si tu veux.  Il ne répond pas, son cerveau est sur off.   - Bon ben je me rhabille alors.  Toujours aucune réaction, il a définitivement bugué. C’est aussi flatteur que frustrant, mais à ce moment la Thalie angélique refait son apparition et me murmure que c’est pas plus mal et que j’ai déjà fait assez de dégâts. Je m’approche sous son regard torve et récupère mon débardeur sur ses genoux.   Oh putain ! Il bande, et pas qu’un peu. C’est à mon tour de bloquer, j’ai les yeux fixé sur son entrejambe et lui sur mes nichons. Je sais plus quoi faire, j’ai la chatte en feu, j’ai envie de sentir cette queue en moi. Mais je peux pas tromper Tom, y a pas moyen. M’exhiber, chauffer Nadir c’était une chose, mais là je commence à vraiment perdre les pédales.   Faut que je décolle le regard de cette turgescence, que je me rhabille. Tout de suite.   Alors pourquoi est-ce que mes doigts se sont refermés sur la bite de Nadir, pourquoi est-ce que je le branle à travers son pantalon ?   - Arrête Thalie, marmonne-t-il d’un air absent. S’il te plaît.
  - Oui, désolée.  Ma voix est lointaine, distante, à peine un murmure. Mon visage est à quelques centimètres de celui de Nadir, mes lèvres sont toutes proches des siennes. Je sens la chaleur de son sexe dans ma paume. Je ne m’en suis même pas rendu compte, mais j’ai baissé sa braguette et plongé la main dans son caleçon.   - Qu’est-ce que tu fais ? chuchote-t-il.  - Je ne sais pas.  Je ne suis plus excitée, juste… Éthérée, évanescente. Mes yeux ne quittent plus ceux de Nadir, mes doigts délaissent son pénis, saisissent sa main et la posent sur mon sein. Il l’empaume, le caresse maladroitement, le presse doucement.   - On devrait arrêter là Thalie, dit-il faiblement.  - Oui…  Nos bouches ne sont plus qu’à un centimètre d’écart.   - Je suis bien là. J’ai pas envie d’arrêter.  - C’est mal Thalie, on devrait pas faire ça.  - Non… Pourquoi tu continues de me peloter alors ?  - Je ne sais pas, j’arrive pas à arrêter.  - Moi non plus…  Je le regarde. C’est le dernier moment pour rebrousser chemin.   - Embrasse-moi, dis-je.  Il ne bronche pas, alors je parcours ce petit centimètre qui nous sépare. Ses lèvres sont douces. C’est juste un smack, mais il me fait sentir toute chose, toute joyeuse. Comme si c’était mon premier. Je réitère, une fois, deux fois, cinq fois, chaque baiser plus long que le précédent.   - C’était ton premier baiser ?  - Oui…  Je l’embrasse à nouveau, cette fois en profondeur. Il est maladroit, mais c’est tellement agréable de sentir sa langue frotter contre la mienne. Je m’assois sur lui, j’entoure sa taille de mes cuisses, ses épaules de mes bras, il me serre contre lui, écrase ma poitrine sur la sienne. On finit par trouver notre rythme : un smack, un gros coup de langue, un bisou, et on recommence. Comme il ne risque pas de prendre les devants, j’attrape une de ses mains et la descends jusqu’à mes fesses. Il tâtonne un peu entre caresses, malaxage et palpation, mais c’est bien ça qui me rend toute chose, ce côté bal des débutants. Mais bon, il n’est vraiment pas entreprenant, alors je lui mets la main DANS mon pantalon.   Son sexe bandé à mort qui frotte contre moi m’excite comme rarement, ses doigts qui pétrissent mes fesses en rajoutent.   - J’ai envie de toi, dis-je en le regardant dans les yeux.  - Je sais pas Thalie… On déconne déjà beaucoup trop.  - Je te fais pas envie ?  - Si, mais tu vas regretter après.  - Laisse-moi juger de ça. Tu as un préservatif ?  - Je dois avoir ça quelque part.  - Vas le chercher, je t’attends sur ton lit.  On se sépare, le temps qu’il aille fouiller ses affaires. Quant à moi, je me pose juste une question : est-ce que je dois garder mon pantalon ou l’attendre nue ? Finalement j’opte pour un entre-deux et ne garde que mon string. Je peux constater l’effet que me fait Nadir : j’ai de la cyprine jusque sur les cuisses.   Lorsqu’il revient, il a un moment de sidération. Faut dire que c’est la première fois qu’il se retrouve avec une nana en culotte sur son plumard. Alors qu’il s’approche du lit, je me redresse sur les genoux pour l’embrasser ; j’en profite pour lui enlever sa chemise, déposer des baisers sur son torse imberbe. Petit à petit, je descends, fais un bisou sur son sexe à travers le tissu de son pantalon. Huuum, j’ai tellement envie de le sucer. Juste un peu, juste quelques instants avant de l’accueillir en moi.   Nadir n’ose pas bouger, je défais son pantalon, lui baisse avec son caleçon et me retrouve face à sa queue. Et mon dieu qu’elle est belle ! J’en ai vu dans ma vie, mais c’est la première fois que j’en trouve une jolie. Elle est longue et parfaitement droite, avec quelques petites veines et un magnifique gland violacé. Soit je suis complètement torchée, soit elle est superbe.   Je la prends en main, donne un coup de poignet pour la décalotter. Puis je passe ma langue dessous, de la base au sommet ; arrivée en haut, je la darde pour faire le tour de son gland. Ensuite je recommence, mais cette fois j’enfourne sa verge. Hum, c’est si bon de sentir cette virilitésur mon palais. Je replace mes cheveux derrière mon oreille, puis je m’empare à nouveau de la bite de Nadir, je la fais glisser dans ma bouche, aussi loin que je peux, en appuyant bien la langue dessus. Une fois, deux fois.   Ses jambes tremblent, sa bite est un régal. Trois fois, quatre fois. Son sexe est agité de soubresauts. Si je veux coucher, c’est le moment de tout stopper. Cinq fois. Il gémit de plaisir, je sens mon clitoris gonfler et frotter contre mon string. Six fois, il n’en peut plus et moi non plus. Sept fois. Je passe la main sous ses bourses, les caresse. Huit fois.   Il pousse un petit cri adorable et me jouit dans la bouche. Son sperme me remplit, contraction après contraction, il y a tellement de giclées que je ne peux pas les compter. Je suis obligée d’avaler une première fois pour ne pas m’étouffer, puis une deuxième. Je le regarde avec des yeux de biche pendant qu’il se vide complètement. Quand il a finit, j’ai encore assez de foutre pour écarter les mandibules, jouer avec son jus, déglutir et lui montrer que ma bouche est vide. Putain quel bonheur, il a pas juste une belle bite, sa semence a aussi un goût délicieux.   - Je… je suis désolé Thalie, bredouille-t-il. J’ai pas pu me retenir.  - T’inquiètes, c’est ta première pipe, c’est normal de pas durer.  Je me redresse et l’embrasse à pleine bouche.   - T’es un sacré éjaculateur, c’est la première fois que j’avale autant.  - Désolé…  Je ris, il est si mignon.   - T’excuse pas, je me suis régalée.  - Oui, mais tu voulais le faire… J’ai pas assuré.  - Ça va je te dis. Si t’avais duré une heure pour ta première fois, je me serais inquiétée.  Il a un petit rire gêné. Je vais pour me lever, mais je me retrouve à regarder le plafond. Nadir est sur moi, il m’embrasse, d’abord la bouche, puis le cou et finalement les seins. Pendant que sa langue titille mon téton, ses doigts passent sous mon string et trouvent mon clitoris. Je pousse un petit cri, mais ses lèvres sont déjà sur mon ventre, continuent de descendre. Oh mon dieu oui, vas-y, broute-moi le minou !   Nadir est entre mes jambes, il saisit mon dessous à deux mains. Je fais le pont pour l’aider à me l’enlever. Il embrasse mon pubis qui n’a pas été rasé depuis quelques jours, puis mes cuisses à tour de rôle.   - Je peux ? demande-t-il avec le visage à quelques centimètres de ma vulve.  Pour toute réponse, je plante mes doigts dans ses cheveux bouclés et l’attire contre ma chatte. Il sort sa langue, lèche mes grandes lèvres, plonge dans mon intimité. Il recommence, encore et encore, je suis si bien.   - Le clitoris est juste au-dessus, lui fais-je remarquer après une ou deux minutes.  Il n’a pas besoin de chercher beaucoup, mon clito est tellement bandé qu’il doit pouvoir le sucer. Les ondes de plaisir affluent, il a beau être un peu maladroit il met tellement de cœur à l’ouvrage que ça me suffit largement ! En un rien de temps, je me sens partir sous les assauts buccaux de Nadir et je jouis presque aussi vite que lui.   Il continue, inconscient de ce qui vient de se produire, mais je suis maintenant tellement sensible que sa bouche sur mon con me dérange.   - Viens, dis-je en tendant les bras.  Je l’attire sur moi, je l’embrasse comme rarement j’ai embrassé un homme, je frotte mon bas-ventre contre le sien, ma chatte contre sa bite. Pitié Nadir, dis-moi que tu bandes !  Mais non, juste une mi-molle que je prends en main, branle. Il durcit encore un peu, je le guide dans mon antre. J’ai tellement envie de lui, c’est l’enfer. Je sens sa bite mollassonne entrer en moi, je donne de violents coups de bassin, mais elle ressort presque aussitôt. Je continue de donner de la main, il se raidit, cette fois je suis sûre que ça va passer. Nadir essaye de se dégager, mais je le retiens et enfonce son sexe en moi.   C’est moi qui donne le rythme, mais il m’accompagne comme il peut et je sens sa queue gonfler, c’est si bon.   - Thalie, j’ai pas mis de préservatif, dit-il lorsque je lui laisse reprendre son souffle.  Je le regarde, lui caresse la joue.   - On a commencé sans, si y a un souci c’est déjà mort de toute façon.  Je referme les cuisses sur lui.   - Je prends la pilule, t’en fais pas pour ça.  - Mais…  - Tais-toi à la fin ! Je veux juste faire l’amour tranquille.  Alors on continue. Mon dieu, c’est si bon, le sexe de Nadir me remplit complètement, cet enfoiré alterne entre tendresse et bourrinage et me fait monter au septième ciel. Pour première fois, je sens les contractions annonciatrices de l’orgasme de mon partenaire, il accélère, me pilonne. Un dernier coup de reins, il enfonce si profondément son sabre en moi qu’il tape au fond de ma chatte et y déverse sa semence. Une giclée, deux…  Je suis traversée par un orgasme fulgurant, je tremble de tous mes membres pendant que Nadir se vide, je lui plante les ongles dans les fesses dans un effort désespéré pour l’enfoncer encore plus en moi. Il avait une sacrée réserve, j’ai l’impression qu’il ne s’arrête pas de gicler. Lorsqu’il finit enfin d’éjaculer, je lui prends le visage entre mes mains et dépose une myriade de baisers sur ses lèvres.   Puis il se retire et s’assoit au bord du lit, j’en profite pour me blottir contre son dos.   - Merci, dis-je en embrassant ses épaules.  - Je suis content que ça t’ait plu mais… On a vraiment déconné.  - T’as pas aimé toi ?  - Évidemment que si ! Mais merde Thalie, on est collègues et t’as un copain.  - Évite de parler de lui tout de suite.  Je me laisse aller un peu en arrière. L’envie de sexe évacuée, la culpabilité commence à poindre le bout de son nez. Putain, qu’est-ce que j’ai fait ?   - C’est la première fois que je trompe un de mes copains, dis-je dans un souffle.  - Tu regrettes.  Ce n’est pas une question, je sens que ça blesse un peu Nadir. Mais je décide d’être sincère.   - Oui et non. Je culpabilise d’avoir trompé mon chéri. Mais je regrette pas d’avoir couché avec toi, j’en avais tellement envie et c’était vraiment top.  - Euh merci…  - Me remercie pas, je dis juste la vérité. C’est rare que je jouisse en pénétration, alors me filer deux orgasmes pour ta première fois… Ouais, c’était génial. Faut juste que je prenne un peu de temps pour mettre de l’ordre dans ma tête.  - T’en fais pas, je vais pas m’immiscer. Je suis déjà content d’avoir perdu mon pucelage avec toi.  - J’aimerais bien recommencer, mais ça serait pas raisonnable. Ça te va si on se rhabille et fait comme s’il c’était rien passé ?  - Oui, t’en fais pas.  - Je peux juste t’embrasser une dernière fois ?  Je sais même pas pourquoi je veux ce baiser d’adieu. Mais je le savoure, avant de récupérer mon string et mon pantalon et de les enfiler. On rejoint ensuite la pièce à vivre, où je retrouve mon soutien-gorge et mon débardeur. Il est temps de se remettre au travail, je pourrais presque oublier ce qu’il vient de se passer si je n’avais pas le goût de Nadir encore en bouche et si je ne sentais pas son élixir couler entre mes jambes…
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