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Les désirs de Thalie

Chapitre 4

Thalie angélique

Hétéro
Je suis partagée en poussant la porte de l’appartement. J’ai vraiment pris mon pied avec Nadir, c’était génial. Et j’ai un chéri qui m’attend et que je viens de tromper comme la dernière des salopes. Je sais que j’ai une libido qui crève le plafond, mais c’était pas une raison pour me faire sauter par le premier venu. Surtout que c’est moi qui ait tout provoqué. Mon dieu, comment est-ce que j’ai pu être aussi conne ?   - Bonsoir ma chérie, tu as passé une bonne journée ? me dit Tom en remuant les patates douces qui cuisent dans la marmite.   Mon dieu, pourquoi est-ce qu’il est aussi gentil ?   - C’est allé. Fatigant mais bien.  - Va te poser, je finis de faire à manger et je te rejoins.  Je ne le mérite pas…  - Tom ? dis-je.  - Oui ?  Je dois tout lui avouer, lui dire que j’ai merdé. Avec un peu de chance il sera compréhensif.   - Je t’aime.  - Moi aussi ma chérie.  Il vient vers moi, m’embrasse. Dieu que son baiser est doux, chargé d’amour. Il me prend dans ses bras, mais très vite ses mains descendent sur mes fesses, les pétrissent à travers mon pantalon. Il a envie, et moi aussi je mouille comme pas permis. Oublié Nadir, oubliées les incartades, je veux juste faire l’amour avec mon chéri. On s’embrasse de plus en plus passionnément, il m’enlève mon débardeur.  Et soudain je me souviens : on peut rien faire, j’ai le sperme de mon collègue qui coule encore entre mes cuisses. Si on fait l’amour, Tom va s’en apercevoir. 
  - J’ai encore mes règles mon chéri, désolée.  - Ah, fait-il déçu, je pensais que c’était fini hier.  - Je croyais aussi, mais j’ai encore pas mal de sang.  - Tant pis.  Son air de chien battu me déchire le cœur. Si seulement je n’avais pas été aussi conne…   - Je peux te sucer si tu veux.  - Non, t’embête pas ma chérie.  - Si, j’en ai envie. Tu pourras même finir sur mon visage.  - D’accord alors.  Il jubile, il adore les faciales : moi beaucoup moins. Mais je culpabilise tellement que je peux lui accorder ça.   Alors je m’agenouille et je déboutonne son jean. Son sexe me saute au visage, dur et gonflé. Ma seule pensée à cet instant est qu’il est plus petit que celui de Nadir et je me gifle mentalement pour avoir eu cette réflexion. Pour expier, je prends mon chéri en bouche, bien décidée à lui prodiguer une fellation de rêve ; et depuis trois ans que je le suce, je sais exactement comment faire.   Une main sous ses bourses, une autour de sa queue, mes lèvres qui vont et viennent le long de sa bite, mes doigts qui accompagnent ma bouche, ma langue qui presse sa queue. Et on recommence. Encore et encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je suis trempée, j’ai tellement envie qu’il me la mette… Mais non, c’est impossible, c’est ma punition.   - Mon dieu ma chérie, c’est trop bon, halète mon Tom.  Il pose la main sur ma tête, caresse mes cheveux, ma joue, j’accélère encore. Je commence à avoir un peu mal au poignet et au cou, mais je tiens bon, je sais que la délivrance est proche. Ses jambes sont flageolantes, il gémit de plus en plus fort, il est temps.   Je recrache son sexe et le branle vigoureusement au-dessus de mon visage. J’ai tout juste le temps de fermer les yeux avant qu’il ne m’asperge copieusement de foutre chaud.   - Putain, tu m’as pas ratée, je m’exclame en rigolant.  Je sens que j’en ai dans l’œil gauche, sur la joue et le front, sur les lèvres. J’en ai qui pend au menton et un peu sur la poitrine. J’entends le bruit du téléphone de Tom et ouvre un œil lorsqu’il a finit de me photographier et m’aide à me relever.   - Merci ma chérie, me dit-il, c’était génial.  - Contente de t’avoir fait plaisir.  C’est parfaitement sincère. Autant je n’aime pas les faciales, autant savoir qu’il adore ça me rend toujours joyeuse. Même si je préfère mille fois le finir sur mes seins.   Je me nettoie, remets mon débardeur et on passe à table. Deux épisodes et dodo. La culpabilité a un peu diminué, mais c’est loin d’être complètement parti. En plus je suis toujours aussi excitée et je ne peux même pas me masturber puisque, officiellement, j’ai toujours mes règles…   Je suis en train de m’endormir lorsque je sens Tom se blottir contre moi. Il pose une main sur ma poitrine, joue avec mon téton à travers mon haut, m’embrasse dans le cou. Huuuum… Ça m’envoie des décharges dans tout le corps, je le veux tellement.   - J’ai envie de toi, me souffle-t-il à l’oreille.  - J’ai toujours mes règles mon chéri, mens-je à contrecœur.  Il se frotte à mon cul, il est bien dur et sa queue se cale sans problème entre mes fesses nues.   - On pourrait pas… Tu sais, par derrière ?  J’aime pas tellement la sodomie, et il le sait… Mais je culpabilise tellement de ce qu’il s’est passé avec Nadir que j’écarte la ficelle de mon string et plonge la main dans le pantalon de Tom pour en sortir sa queue.   - Vas-y si tu veux, dis-je.  Je le sens exulter.   - Oh merci mon amour, tu es la meilleure !  Il se retourne, farfouille un peu dans la table de chevet. Un bruit de flacon qui s’ouvre, le contact glacé de ses doigts enduis de gel qui parcourent ma raie, trouvent mon petit trou et entament leur délicat travail de lubrification. Puis je guide la bite de mon chéri dans mon anus, en me concentrant au maximum pour dilater mes sphincters. Il me pénètre, passe la main sous mon t-shirt pour me peloter. J’ai mal, mais ça va passer, comme toujours quand il m’encule. Alors je le laisse se faire du bien, aller et venir dans mon cul. Lui est à fond, je l’entends gémir de bonheur, il me caresse, m’embrasse le cou et les cheveux, je pousse de petits soupirs pour lui faire croire que je m’éclate. C’est con, je devrais pas, mais il est si mignon quand il est comme ça.   Finalement il jouit, c’est le seul moment que j’apprécie dans le sexe anal. Déjà parce que ça veut dire que c’est fini, mais aussi parce que les sensations que me provoquent le sperme qui jaillit dans mon rectum sont divines.   Repu, Tom se retire délicatement, cherche ma bouche pour m’embrasser.   - Merci infiniment mon amour, c’était génial.  Je lui caresse la joue et l’embrasse doucement.   - Je t’aime, dis-je simplement.  - Moi aussi.  Puis on s’endort dans les bras l’un de l’autre. J’ai du sperme qui coule de mes deux orifices, mais je ne me sens plus tellement coupable, je crois que j’ai réussi à expier ce soir. Après tout, c’était juste un coup de folie, ça ne se reproduira pas.   Je suis guillerette en arrivant au travail le lendemain. J’ai enfin réussi à mettre de l’ordre dans ma tête : j’aime Tom, j’ai fait une connerie mais ça ne voulait rien dire. Et ce matin en sortant de la douche où j’ai fini de nettoyer les preuves, j’ai convaincu mon chéri de faire un soixante-neuf. Ça faisait longtemps et bon dieu ! Qu’est-ce que j’ai joui fort.   Mais dès que je m’assois sur ma chaise, le malaise s’installe. Joris et Damien ne sont toujours pas revenus, Nadir et moi sommes seuls et je vois bien qu’il fait tout pour ne pas croiser mon regard et m’éviter. Moi qui voulait que tout redevienne normal… Mais faut que je dissipe tout ça alors à onze heures je lui envois un message privé sur le chat de la boîte.   T – Tu me fais la tête ? N – Non pourquoi ?  T – Tu m’as pas adressé la parole de la journée.  N- Ça change pas de d’habitude, si ?  T – Arrête, je vois bien qu’il y a un truc.  N – Tu veux vraiment en parler ?  T – Ben oui, crétin.  N – Je pense que tu sais.  T – C’est à cause d’hier ? N – Évidemment.  T – C’est quoi le souci ? N – Putain Thalie, tu m’as sauté dessus alors que t’as un copain.  T – Ah parce que c’est ma faute maintenant ? N – C’est pas ce que je voulais dire.  T – Alors tu voulais dire quoi ?  N – Rien, c’était ma première fois, c’est normal que je sois perturbé non ?  T – T’avais pas l’air perturbé pendant que tu me baisais.  N – Arrête… T – Non, toi arrête. On devait faire comme si de rien n’était.  N – J’y arrive pas putain, tu comprends ? T – Oui.  N – Tu y repenses aussi ? T – Oui.   Mais pourquoi je lui mens comme ça ? J’y ai repensé, évidemment, mais pas comme lui. Moi c’est juste la culpabilité !  N – Je suis complètement paumé… T – T’inquiètes, ça va passer. Tu vas trouver une nana et la faire profiter de tes talents.  N – Comment ça ? T – T’es un super bon coup, c’est tout.  N – C’est pas le genre de trucs à dire quand on doit faire comme si de rien n’était ça.   Non, en effet. Parce que du coup, les images de la veille affluent et en un rien de temps je me retrouve excitée et trempée. Mon dieu, quel pied j’ai pris, à quel point j’ai pu aimer le sentir jouir en moi…   T – Tu fais pas comme si de rien n’était, alors je peux bien te dire que j’ai kiffé, non ?  N – Moi aussi j’ai kiffé si tu veux savoir…  T – Tu veux recommencer ?  N – Faut pas qu’on aille dans cette direction.  T – C’est juste une question, réponds.  N – Si t’étais célibataire, j’adorerais… T – Si j’étais célibataire, je voudrais que tu me baises tous les jours.  N – Tu sais que tu m’aides pas là ?  T – Désolée… N – T’excuses pas, ce qui est fait est fait. Faut juste que j’organise le merdier que j’ai dans la tête.  T – Comment est-ce que je pourrais t’aider ? N – J’en sais rien, je sais pas si tu peux.  T – Tu veux une petite pipe ?:P N – Arrête, c’est pas drôle.  T – Pardon.   On finit par reprendre le travail, sans que je n’aie la moindre idée de comment l’aider. Maintenant je culpabilise, mais simplement de l’avoir blessé. J’ai vraiment rien dans le crâne, en cédant à mes envies j’ai vraiment foutu la merde.   L’open space finit par se vider pour la pause déjeuner, il ne reste que Nadir et moi. Je n’arrive pas à ne pas le regarder, à ne pas m’imaginer qu’il me prend là, sur mon bureau, qu’il me fait jouir avec sa bite magnifique et me remplit de sperme. Je regarde à gauche : personne. A droite : personne. Fais chier, j’ai trop envie, faut que j’aille me masturber illico. Je me lève pour aller aux toilettes, passe devant le poste de Nadir.  Trois pas plus loin, il est derrière moi, je le traîne presque par le poignet. Pourquoi ? Mais pourquoi je n’arrive jamais à me contrôler ?   Je referme la porte d’une cabine sur nous, plaque Nadir contre la paroi, lui prend le visage à deux mains, l’embrasse à pleine bouche. J’ai résolu de ne plus tromper Tom, alors pourquoi est-ce que je frotte ma langue contre celle de mon collègue ?   Pourquoi est-ce que je baisse son pantalon et son caleçon ? Pourquoi est-ce que je suis accroupie devant lui ? Pourquoi est-ce que je le suce avec autant d’ardeur ? Pourquoi est-ce que j’ai la main dans mon shorty et me caresse en même temps ? Pourquoi ? Pourquoi ? Et surtout, pourquoi est-ce que je jouis aussi fort quand il me gicle dans la bouche ?   - Je… je suis désolée, je bafouille en reprenant mes esprits. Je sais pas ce qui m’a pris. Oh mon dieu, mon dieu, mon dieu, je suis tellement conne, j’ai tout foutu en l’air.  Je m’effondre sur le carrelage dégueulasse, des larmes ruissellent sur mon visage. Soudain, je sens des bras se refermer sur moi. C’est Nadir qui essaye maladroitement de me faire un câlin, il est tellement mignon que ça me déchire encore plus le cœur. Alors je lâche tout ce que j’ai, d’horribles sanglots me déforment la gorge, je crie, je pleure autant que je peux contre son épaule. Lui ne dit pas un mot et il a a bien raison, il me serre juste fort contre lui et me caresse les cheveux.   Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé lorsque j’arrive à me calmer. J’ai tellement pleuré que mes yeux me brûlent. Nadir n’a pas bougé, mais sa présence me fait du bien. A aucun moment il ne m’a jugée, bien au contraire. Il est vraiment gentil lui aussi.   - Ça va aller, me dit-il quand les sanglots sont enfin taris. Tu es une fille fantastique, tu vas surmonter ça.  - Je ne sais pas… Je suis complètement perdue, je blesse tout le monde.  Il me caresse le front, dégage mon visage des mèches humides collées dans mes larmes.   - Pour l’instant, tu te blesses surtout toi-même. Ne t’en fais pas pour moi, j’ai déjà eu infiniment plus que ce que j’aurais jamais pu espérer d’une fille aussi magnifique que toi.  Mon dieu, il est siii mignon, il me fait fondre. Je me blottis complètement contre lui, sens un truc.   - Tu bandes… lui fais-je remarquer.  - Désolé, je contrôle pas…  J’ai un petit rire sincère.   - Ouais, je sais ce que c’est de pas pouvoir se contrôler. T’es chiant, j’ai encore envie de toi maintenant…  - Non, tranche-t-il, je t’ai assez fait de mal comme ça.  - Mais je peux pas te laisser comme ça !  - Bien sûr que si tu peux, c’est super facile.  - Juste un petit coup vite fait !  - Non je t’ai dit.  - Une dernière fois et après si je te saute dessus t’as le droit de me gifler.  Il pousse un énorme soupir.   - Promis ?  Je hoche vigoureusement la tête. Je suis complètement folle. Un coup je pleure parce que je l’ai sucé, un coup je jubile de me faire baiser. Il y a vraiment deux Thalie dans ma tête en fait…   - J’ai pas de préservatif.  - Pas grave, tu finiras dans ma bouche pour effacer les preuves.  Je me lève, baisse mon pantalon et mon shorty, pose les mains sur la porte de la cabine en tendant la croupe. Bon sang que j’ai envie de le sentir en moi ! Nadir me rejoint, caresse doucement mes fesses d’une main.  - Tu es magnifique, souffle-t-il en guidant son sexe dans le mien.  Maaaais ! Il est pas obligé de me dire des trucs aussi mignons, je veux juste qu’il me nique moi. Et mon dieu qu’il me nique bien ! Sa queue est vraie grosse, elle me remplit encore mieux dans cette position. Il bouge tout doucement en poussant de petits soupirs parfaitement adorables.   - T’inquiètes pas de durer, prends-moi fort.  - Mais… Et toi ?  - T’en fais pas, je préfère un rapport court et intense qu’un long où je sens rien.  Même si en l’occurrence, je le sens. Putain oui, qu’est-ce que je le sens bien ! Il pose les mains sur ma taille, me démonte comme une chienne. Haaan, c’est vraiment le paradis ! Je ne peux retenir mes gémissements et lui non plus.   - C’est vraiment trop bon Thalie, je vais pas tenir, articule-t-il.  - Jouis dans ma bouche !  Je le repousse et m’agenouille devant lui, il s’astique un peu. Sa bite est trempée, c’est dire si je mouille. Il n’a qu’une petite dizaine de coups de poignets à donner, puis il pose son gland sur ma lèvre inférieure et lâche tout ce qu’il peut. Je le regarde amoureusement pendant que, le visage déformé par le plaisir, il m’envoie d’énormes giclées qui me tapissent le palais. Il avait encore une sacrée réserve et moi je me délecte de son nectar.   On se rhabille sans un mot et on part déjeuner.  Après ça, on est devenus beaucoup plus proches. En fait, il est devenu un vrai ami et il a perdu toute timidité avec moi. La routine du travail s’est installée, mais j’ai réussi à contrôler mes envies de me faire défoncer par Joris et Nadir en allant me masturber aux toilettes. Tout va bien pour moi.  Si seulement je m’apprêtais pas à faire une énorme connerie.
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