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Les dessous d'une peite villle de province

Chapitre 4

Trash
Résumé : Ma petite ville de province me procure de belles surprises. Après une première rencontre animée, je suis maintenant allongé auprès de Valérie à qui je me suis proposé de faire découvrir les plaisirs dont elle a été privée depuis longtemps.Plaisirs aux goûts un peu particuliers au vu de ses envies.
Une fois un peu calmée, elle se blottit contre moi, et me confie n’avoir jamais ressenti cela avec aucun homme.— Oui je sais bien que c’est ce que tout homme aime entendre, mais déjà il y en a eu si peu et aucun qui se soit vraiment occupé de moi, qui euh, enfin qui aie su me comprendre, comprendre mes désirs plutôt. Et dire que tu as encore ton pantalon ! Oh bon sang,je, je suis prête à tout avec toi.— Vraiment ?-Oui. J’ai adoré tout ce que tu m’a fait.Cet aveu ou plutôt sa confirmation me donne l’impression d’être Atlas libéré de son fardeau, quel homme ne rêverait pas de ce genre de paroles ?Je la regarde et une fois fixée sur moi, je regarde la protubérance de mon pantalon. Elle comprend immédiatement et, sans que je ne dise le moindre mot vient ouvrir mon pantalon et me le retirer avant de faire de même avec mon boxer.Quand mon sexe jaillit, libéré de sa prison de tissu, elle ne retient pas un petit cri d’admiration qui me fait me tendre encore.Sa main vient presque happer ma queue quand je la stoppe d’un impératif « Doucement ». Elle s’approche alors lentement et regarde ma queue tout son soûl. Je manque chavirer devant la lubricité de son regard et puis elle touche légèrement la tige humide de toutes les sécrétions distillées au cours des heures précédentes. Elle vient sentir, humer presque renifler tant son nez est proche de mon engin, contentant son odorat puis frotte ma verge contre son visage, y laissant des traces humides de pré-sperme avant d’utiliser son index pour effleurer la veine palpitante, le gland gorgé de sang et mes bourses gonflées.Je la laisse faire surtout que tout en me découvrant, elle me raconte d’une voix lourde d’émotions ses vagues étreintes, la semi-pénombre de ces moments, histoire de mieux encore me dire son plaisir de ce jour.Un regard et elle lèche ma queue de bas en haut, sous le gland, le long de la hampe, ouvre la bouche et tient mes burnes au chaud. C’est délicieux, excitant et dure longtemps. Puis elle me prends en bouche et commence à me sucer tout en faisant jouer sa langue à l’intérieur de sa bouche. Elle tente de descendre plus bas mais n’arrive de loin pas à me prendre en totalité. Je descends mes mains et tire sur ses tétons, les serrant fort en lui disant de me prendre mieux.L’effet est immédiat et elle gobe les trois quarts de ma queue tendue. Puis,sous mon regard impérieux et un encouragement, elle se met une main derrière sa nuque et se pousse elle-même la tête en avant. Ses yeux laissent perler quelques larmes et en même temps c’est le feu du vice qui y brûle. Si besoin en était elle me dit d’une voix rauque quand elle reprend sa respiration :– Oh putain, c’est bon d’être ta chienneJe lui roule une pelle sauvage et baveuse puis elle me reprend. A force de volonté, de sa main qui pousse et de son envie, elle finit par me gober entièrement et se retrouve le nez dans mes poils pubiens. Ses yeux, en plus du vice expriment sa fierté d’y être arrivée.— Reste.Elle me regarde, ma queue totalement dans sa bouche, un peu de rimmel a coulé autour de ses yeux, elle a le visage rouge, presque à bout de souffle mais obéit totalement— VoilààElle se retire happe de l’air et deux longs fils de salive relient ma queue tendue et sa bouche ouverte. Comme elle est belle ainsi, si abandonnée, si excitante.Dans mes bourses, le foutre commence à bouillonner et c’est délicieux de se retenir.— Allez !Elle reprend son ouvrage, pompe de bon cœur et, la méthode trouvée, m’engloutit plusieurs fois, attendant chaque fois mon feu vert pour reprendre sa respiration. La voir se pousser d’elle même la tête sur mon sexe me fait bander à fond et c’est toujours plus dur de se retenir. Je joue de ses seins, pinçant, les écrasant avec ma paume, les faisant rougir et les mmm qu’elle lâche témoignent de son plaisir. Je crois bien qu’a ce rythme elle va jouir aussi.Moi aussi je suis au bord de la jouissance, j’ai perdu toute notion du temps, mais comme la nuit est tombée, cela doit faire un moment.Ma suceuse continue avec ardeur mais je sens mon corps qui pulse. Je la recule, son visage à une dizaine de centimètres de ma queue dressée qui oscille sous la tension. — Demande ! Fais je d’une voix chargée de tension.Son regard de chienne m’excite même si pour cette première fois je lui laisse le choix entre deux façons de faire. Elle ne réfléchit plus, est au-delà de cela et emportée par l’excitation, par la tension entre nous, elle lâche dans une salve de mots, un délire verbal cru et obscène.— Jouis moi dessus, jouis sur mon visage, putain, jouis sur ma gueule, lâche ton foutre sur ta salopeJe suis intérieurement stupéfait qu’elle aille si loin, si vite même si je la savais prête à tout cela.
— Vite, je veux ton foutre, crache le putain !Elle donne un léger coup de la pointe de sa langue à l’appui de ses dires salaces et ce tout petit effleurement me fait jouir. Mon sexe se tend vers elle et un premier jet de foutre gicle dans sa bouche ouverte. Ses yeux exorbités ne clignent presque pas et son gémissement me rend fou.Un second jet suit qui vient s’écraser moitié dans sa bouche,moitié sur son menton. Puis deux jets moins puissants finissent sur sa joue et son cou. Elle gobe à nouveau ma queue, suçant, aspirant, les joues creusées, image de la lubricité que je n’avais vu que dans des films. Quand je me recule, le gland hypersensible, elle se frotte le visage avec ses mains, se lèche les doigts, les yeux fous avant de se laisser aller en arrière et dans un long cri exprimer son plaisir.   C’est moi maintenant qui me colle contre elle et, dans un baiser pervers vient la remercier de cette superbe pipe. Nous restons ainsi quelques instants pendant lesquels elle me relate sa longue envie de faire cela, qu’elle confesse avoir maté du porno à haute dose et de plus en plus particulier.Elle est fière d’elle et je la félicite d’avoir su si bien se lâcher. — Oh j’avais tout cela en moi ces dernières années mais il n’y a que toi qui a su me libérer des carcans moraux de mon passé etc’est si bon quand tu m’appelle ta salope, je me sens si vraie.Un nouveau baiser tendre puis elle me me guide vers la salle de bains. C’est exigu et pendant qu’elle se douche j’en profite pour uriner. Quand j’ai fini et que je vais pour prendre sa place,je m’aperçois qu’elle a vu la fin de mon action, et ses yeux brillants me donnent des idées pour l’avenir.Ensuite je découvre enfin sa chambre et son lit et on se détend en se racontant nos petites histoires, nos petits plaisirs. Comme nos mains ne restent pas inactives, d’abord folâtres puis plus investigatrices, l’excitation remonte. Nous faisons durer cet état entre deux étreintes, état si sensuel quand on sait qu’on va faire l’amour et qu’on a le temps.Elle me palpe les bourses comme si elle jaugeait ce qu’il me reste et sourit satisfaite, je la caresse et je lui renvoie son sourire quand je la trouve à nouveau toute mouillée. Je m’allonge sur le dos et après l’avoir goûtée et avoir à nouveau partagé son parfum intime avec elle ; elle vient s’asseoir sur moi, se caresse avec le bout de mon sexe, puis lentement s’empale sur moi.Elle est étroite et me serre comme dans un étau : mais un étau brûlant, humide et excitant. Elle descend doucement, s’habituant lentement à mes dimensions. Encore une fois c’est un moment un peu hors du temps. Son sourire satisfait quand je suis entièrement en elle, cette bouche ouverte, ses yeux brillants me font presque jouir dans son visage est transfiguré.— Oh bon sang, j’ai jamais été remplie autant, même pas par euh— Un de tes jouets ?— J’avoue, mais là c’est vivant, chaud et surtout je te vois, ça m’excite un max.— Moi aussi, moi aussi.Elle se lève et se rassoit d’abord lentement puis plus vite.— Branle toi je vais m’occuper de tes seins !Elle plonge deux doigts dans sa bouche, les suce avec un air vicieux qui me fait croire que c’est une autre femme que celle de hier matin et va se toucher son intimité. J’adore voir une femme se toucher et je suis comblé. Je vais jouer avec ses seins et comme je sais qu’elle adore, je pelote fort ses délicieuses mandarines,griffant, pinçant ses tétons. Elle coule sur ma queue et bouge toujours plus vite. Comme j’ai déjà joui plus tôt, je suis plus endurant et j’en profite. Je me redresse un peu, juste assez pour l’embrasser, partager ses doigts humides qu’elle remonte vers sa bouche avant de se caresser à nouveau. Je suce et mordille ses seins et elle gémit de plus en plus avec tous ces traitements combinés.Je parcours ses fesses de mes mains puis lui donne quelques claques,la faisant sursauter et lâcher un « mmm j’aime » du plus bel effet. Comme elle bouge de plus en plus, s’empalant fort sur moi, je dois me rallonger sur le dos. Ses yeux me fixent puis elle m’indique d’un geste du menton ses seins avec un sourire pervers.— Petite coquine va !Je leur donne quelques claques pour sa plus grande satisfaction à lavoir se lécher les lèvres et gémir de plaisir. Son petit trip SM est bandant et j’en rajoute à mon tour. Je me redresse du mieux que je puis et, sous son regard un peu interrogateur, je crache sur ses seins tout en continuant à les pincer— Oh salaud j’adooore !Je crache à plusieurs reprises sur sa poitrine, la vue et le vice du geste l’excitent et elle remue désormais de façon désordonnée.Je donne de grands coups de reins et me sens aspiré dans son fourreau de chair. Soudain elle s’immobilise, tout son corps frémit et elle feule de plaisir en s’abattant littéralement sur moi. Je reçois avec plaisir tout son poids sur moi, ce témoignage de son orgasme qui la laisse presque amorphe sur moi, ivre de sensations.Quand je la sens un peu « revenue », je lui glisse à l’oreille que ce n’est pas fini.
Au bout d’un long instant, je la fais rouler contre moi ;ce qui me fait sortir d’elle et quand elle me regarde et voit mon sexe dur et dressé ses yeux brillent à nouveau. Dame elle a tant à rattraper !Elle est là, allongée sur le ventre et, quand je fixe ses fesses,nul besoin d’explications. Elle a une petite mimique d’appréhension mais je la rassure d’un baiser et rajoute :— Maintenant je vais te faire jouir comme jamais— Tout ce que tu veux !Elle se met à quatre pattes, son petit cul tendu vers moi et je me place derrière elle. Ses cuisses écartées, sa chatte luisante de secrétions, son petit anneau brun attirant c’est excitant. Mais bien moins qu’elle quand elle tourne sa tête vers moi et me lance avec un air de vice absolu :— Baise moi comme une chienne !Je récolte sa cyprine et en badigeonne son anus, rien que cela la fait frémir, je crache à deux reprises sur son petit trou et rajoute ma salive avec mes doigts, elle gémit et rajoute un « oh putain salaud «  Je pose le gland sur son oeillet qui en dehors d’un petit gode n’a jamais connu de sexe masculin et lentement m’enfonce en elle. Elle gémit un peu de douleur alors je lui claque son postérieur ce qui la fait sursauter et me permet d’aller un peu plus loin. Sur ma demande elle se branle et lentement je sens que son petit cul m’accueille. Je claque ses fesses comme dans ses fantasmes et pousse ma queue en elle. Doucement, lentement j’avance et enfin, je suis entièrement en elle. Ses fesses ont pris une jolie couleur rosâtre et ses doigts viennent parfois effleurer mes burnes faisant vibrer ma queue. Elle s’habitue à moi et je commence des légers allers-retours. Elle gémit enfin de plaisir et j’y vais plus fort.Ma fessée aussi et son petit cul passe du rose a un léger rouge— Oh c’est bon, oh c’est bon, tu me fais mouiller mon salaud— Qu’est ce qui est bon ?-…— Dis le !— De...de .. ; de me faire prendre le cul , c’est boon, oh je me fais enculer tout en me branlant, jamais j’aurais cru, oh puutain ! Oh comme ta queue est grosse !— Tu me fais bander ma salope, je te prends par le cul et ça me fait triquer, allez je veux t’entendre encore— C’est.. c’est bon de me faire enculer !— Tu aimes quoi ?— J’aime me faire enculer, j’aime me faire encuuler !Elle part à nouveau dans un délire, clamant la même phrase, toutes digues rompues et je ne me retiens plus, la sodomisant avec entrain,elle lance ses fesses en arrière cherchant la pénétration et mes burnes claquent sur sa peau. Elle se caresse comme une folle et je sens monter en moi une lame de fond qui me fait moi aussi trembler de tout mon être.— Je vais jouir !— Lâche toi dans mon cul vas-y remplis moi !Dans un grand cri je jouis, un vrai maelstrom de sensations. Empalé en elle, j’ai l’impression de ne plus finir de jouir. Je suis parcouru de soubresauts nerveux et en tremble tant c’était intense. Elle est dans le même état pour son dernier orgasme de la nuit. Mais,avant de sombrer, elle glisse sa main sous elle pendant que je me retire, récolte le fruit de ma jouissance et, devant moi, vient laper sa main avec oui, de la voracité. C’est bien mieux qu’un porno et quand elle me confie dans un souffle « tu vois je veux tout de toi » je suis content que le dimanche commence à peine...
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