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Les deux amies d'enfance

Chapitre 1

Retrouvailles

Lesbienne
Clarisse attendait patiemment à la gare une vieille amie de collège. Elle s’appelait Valentine et l’avait rencontrée en sixième, quand elles avaient toutes les deux onze ans. Elles devinrent les meilleures amies. Elles ont ensuite rejoint une bande de filles, toutes très jolies et qui avaient le point commun d’attirer beaucoup de garçons. Clarisse était vue comme la plus jolie d’entre elles par ses propres amies, mais aussi par les garçons même si elle ne se considérait pas comme la plus belle, peut-être juste comme la vingtième plus belle fille du collège (elle se sous-estimait vraiment). En cinquième elles eurent toutes leur premier copain, sauf Clarisse qui était trop timide pour accepter une quelconque invitation venant d’un garçon, même pas une simple invitation à un anniversaire et Valentine, qui n’était pas encore vraiment intéressée par l’amour. 
Valentine eût son premier petit ami en 3e, miraculeusement, se disant peut-être que c’était le moment. Clarisse était donc devenue la timide du groupe, attirant toutes les taquineries bon enfant de ses copines. En fin d’année Valentine déménagea avec ses parents mais resta en contact avec Clarisse et deux autres de leurs amies. Elle perdit contact avec toutes ses amies en cours d’année de Première , parce qu’elle trouva d’autres amies et était trop occupée à flirter avec des garçons pour continuer à parler à ses amies par téléphone ou sur Internet. Au lycée, le groupe des belles filles du collège resta le même. Mais il commença à se dissoudre quand chacune des filles se trouvèrent complètement accaparées par des relations amoureuses. Une seule se retrouva seule, sans amoureux ni d’amies disponibles.
Puis, en Terminale, Clarisse eût son premier petit-ami et son premier rapport intime pendant les vacances d’été suivantes quand elle venait d’avoir 18 ans en mai, après avoir eu son bac. Elle avait maintenant vingt-et-un ans et avait un copain, c’était le même qu’en Terminale. Elle n’était plus pucelle, ils avaient eu l’occasion de coucher ensemble quelques fois. En mai 2021 Valentine avait repris contact avec sa meilleure amie de collège et lui avait annoncé qu’elle reviendrait dans leur ville natale quelques mois, dans peut-être l’optique de s’y réinstaller. Clarisse, contente de revoir son amie, accepta d’aller l’accueillir à la gare le 15 juin. Elle avait hâte de lui annoncer qu’elle n’était plus cette fille coincée incapable de rester plus de cinq minutes dans une pièce seule avec un garçon autre que son frère.
Alors que Clarisse était plongée dans ses pensées, repensait à son adolescence et surtout à Valentine, une fille fine et grande s’avançait vers Clarisse, un sourire aux lèvres. C’était une blonde cendrée magnifique, aux grands yeux marrons, au visage angélique et à la poitrine très développée. Son corps était simplement magnifique. En la voyant, la matant légèrement, Clarisse avait l’impression d’avoir anormalement chaud. S’attendant à ce qu’elle passe devant elle et disparaisse aussi subitement qu’elle était apparue, elle fut étonnée de la voir se planter juste en face d’elle, s’approchant à quelques mètres. Son sourire devient plus grand.
— Clarisse ? Tu es encore plus canon qu’à l’époque dis donc, p’tite rouquine ! Ce surnom lui disait vaguement quelque chose.— On...on se connait ?— C’est moi, Val’ ! Les yeux de Clarisse s’allumèrent et sa bouche s’égaya.— Valentine ! Tu... tu es changée !— Merci de dire que j’étais immonde !— Non ! Tu étais la plus jolie d’entre nous, à l’époque... mais disons que tu fais beaucoup plus femme. Ce qui est logique... on était des gamines à l’époque. Mais je ne m’attendais pas à ce que tu sois aussi... femme ! Valentine rit.— Oui toi aussi ta beauté s’est épanouie davantage mais c’est aussi vrai de dire que tu as un corps moins femme. Attention, tu es sexy ! Mais... Elle fut interrompue par la jolie rousse.— Quoi ? Sexy ? — Ne me dis pas que ce mot te choque ? Tu es encore vierge ? Heureusement que maman Valentine est revenue ! On va faire de toi une vraie jeune femme, tu vas voir. — Non ce n’est pas ça... j’ai un copain, ça va faire 3 ans que je ne suis plus pucelle.— Bah alors ? Quoi ?— Rien c’est juste que... ça me fait bizarre qu’une fille aussi...— Sexy ! Dis-le.—...Qu’une fille aussi sexy me dise que je le suis. — Je te comprends ! Même moi je suis gênée quand je me dis à moi-même, face à mon miroir, que je suis canon. Les deux filles se mirent à rire. — Bon... tu n’as pas prévu d’hôtel, Valou, hein ? — Bien sûr que non ! Je me suis remise en contact avec Arthur, tu sais... mon premier coup... et il a accepté que je vienne chez lui dormir. Le cœur de Clarisse ne fit qu’un bond, jusqu’à ce qu’elle voie la bouche de Valentine lâcher un rire qui voulait dire: "Bah voyons !"— Tu m’as bien eue...— En vérité je l’ai vraiment contacté, pour pouvoir s’éclater, mais il m’a dit que... il avait une copine trop jolie pour la tromper avec son ancienne meilleure amie. C’est censée être qui ? Jessica ? Clara ? Le regard de Clarisse s’abaissa, légèrement triste. — Il est trop beau pour moi, c’est ça ?— Oh... non ! C’est juste que c’est impossible que vous ayez quelque chose ensemble, c’est le meilleur pote de ton frère ! — Justement... quelques années après ton départ, je me suis rapprochée de lui grâce à ça et... on s’est mis ensemble. C’est à lui que je dois mon dépucelage. Le sourire de Valentine était plein de tendresse pour son amie.— Et vous... êtes encore ensemble ? — Oui. Tu trouves ça bizarre de sortir avec le pote de son frère ?— Bah... Le visage de Clarisse se fermait d’un coup. Elle se retourna brusquement et partit sans mot dire de la gare, en marchant vite pour ne pas se faire rattraper par sa pote. La blonde cendrée courut vers Clarisse et ne la rattrapa qu’une fois que cette dernière se soit arrêtée dans une petite ruelle, sans explication. Elle se retourna. Les deux filles s’approchèrent l’une de l’autre. Valentine s’excusa vivement.— Désolée, je n’ai pas le droit de juger une relation qui n’est en rien immorale ou même bizarre ! Surtout que je suis une libertine, c’est à moi d’être jugée, pas à une fille aussi sage que toi. Toujours amies ? J’ai besoin d’un toit... le visage faussement sévère de Clarisse, feignant de réfléchir, s’évapora rapidement pour sourire à l’autre fille.— D’accord mais tu ne dormiras pas sur le matelas que j’ai préparé pour toi. Tu dormiras sur le canapé, qui n’est pas un canapé-lit et est très inconfortable même pour juste s’asseoir ! — Avec plaisir !
Les deux se prirent dans les bras comme les vieilles copines qu’elles étaient. Clarisse l’amena chez elle, un petit appartement au centre-ville.
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