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Les deux putains de l'armée française...

Chapitre 1

Une belle-mère en pâmoison !

Trash
1957... une époque de merde !
Une guerre infâme, “Les Opérations de maintien de l’ordre”... tu parles !
Un gouvernement de la Quatrième République qui ne sait pas gérer la situation... un peuple qui désire et mérite son indépendance, après tous les sacrifices qu’il a consentis pour les deux guerres mondiales. Un autre en infériorité numérique, qui s’estime être chez lui après la colonisation et un siècle de constructions de routes, d’hôpitaux, de ponts, de mise en culture des champs...
Bref, un imbroglio infernal qui va écraser des hommes et des femmes... les uns sous la torture des militaires, les autres égorgés, les couilles dans la bouche, la tristement célèbre “gégène”, les “corvées de bois”, les massacres de villages, les exécutions sommaires... La guerre d’Algérie !
Voilà pour la toile de fond ; l’histoire sera un peu plus... torride !
Je me nomme Jean, j’ai 22 ans, marié à Corinne, 21 ans. J’ai la chance d’être étudiant en Histoire, doctorat pour bientôt, ce qui m’évite de faire le con dans les Aurès... pour pas grand-chose.
Je suis orphelin, aussi ma belle famille est-elle devenue ma famille tout court. J’ai la chance d’être bien tombé : mon beau-père, René Dupré, est capitaine dans l’artillerie, souvent dans le merdier... là-bas, de l’autre côté de la Méditerranée. On s’entend plutôt bien, lui, me racontant des anecdotes de la guerre, qui seront l’objet d’un futur livre historique sur la période. Ma belle-mère, Claire, est femme au foyer, comme souvent à cette époque. Elle passe son temps entre ses amies, son talent de peintre, et l’attente du retour de son militaire de mari. Ses deux filles, ma femme et sa sœur aînée, Violette, étant casées...
Une famille idyllique, quoique toujours menacée par les évènements de cette folle période. Mais... il y a toujours un mais : ma femme Corinne est un peu coincée, ne répondant pas toujours aux sollicitations du mâle un peu trop testostéroné, que je suis. Ma belle-mère, elle, s’ennuie un peu, loin de son mari qui, de toute façon me semble-t-il, ne la comble pas comme il le devrait. Elle a l’esprit volage, trop libre pour l’époque, avec un désir d’absolu et une sensualité inassouvie, qui ne s’exprime que trop bien dans ses tableaux…
Marseille, la ville plus de deux fois millénaire... les Corses, la mafia, le cosmopolitisme, la chaleur de l’été, la convivialité des habitants... et aussi les réseaux dormants de fellaghas, les services secrets de l’armée toujours aux aguets... une ville chaleureuse, mais aussi dangereuse !
Ce jour-là, il fait chaud ; le temps est lourd, pas un souffle d’air. J’ai décidé de me promener dans le "Panier", lieu pittoresque, populaire, avec ses secrets et ses dangers ; il y a un quartier maghrébin, et les Français européens n’y sont pas toujours bien reçus. Les Arabes, encore plus qu’auparavant victimes du racisme en ces temps de guerre, se sentent ici chez eux, dans leur quartier... et ils ne font que renvoyer leur rage aux Français. Moi, j’ai un ami, Rachid. Il se dit petit trafiquant dans le quartier, ce qui me permet de me sentir en sécurité en me baladant pour prendre mes photos, mais j’ai l’impression que son identité est toute autre...
Le Panier, au-dessus du Vieux-Port, la Phocée des origines... presque 2500 ans d’âge ! La vue est ici magnifique, que ce soit sur le port et la "Bonne Mère" à l’est, ou la Méditerranée au sud.
Il fait tellement lourd, l’air est tellement insupportable que personne ne déambule dans les rues en ce milieu de soirée. 22 heures ; il fait encore clair, mais les nuages qui s’amoncellent sur la mer prédisent un orage terrible. Mais je continue à photographier les rues désertes, les petites boutiques, les petites places pleines de charme. Tant pis, je serai trempé, mais j’aurai fait des photos peu banales.

Et puis quelqu’un devant moi, au croisement suivant. Une femme, une Européenne, seule. Étonnant ! Elle n’a pas peur de se promener ainsi dans un quartier qui pourrait se révéler dangereux pour elle.
Blonde, cheveux mi-longs, très belle silhouette. Un beau cul, des hanches parfaites, une taille fine mise en valeur par une robe légère bleue. Que fait-elle donc ici ? Une effrontée, une pauvre d’esprit, une femme aventurière ?? Que cherche-t-elle ici ? Le parfum du danger, de l’aventure ? Une balade pour trouver l’amour... le sexe ? Des relations interdites... loin de son mari ?
Il se met à pleuvoir, d’abord doucement, puis le tonnerre se met à gronder, et ce sont des trombes d’eau qui me tombent dessus. Je me protège sous un porche ; dommage, je vais perdre de vue la magnifique créature inconnue devant moi. Je jette un coup d’œil : mais non, elle est toujours là, au milieu de la ruelle déserte et un peu sale. En fait, c’est une impasse, fermée par un haut mur, avec un amoncellement d’immondices au fond.
De là où je suis caché, je peux voir distinctement la femme de dos, à moins de trente mètres de moi. Elle reste immobile, sa robe bleue très vite détrempée par la pluie. Elle lève son visage vers le ciel ainsi que ses deux bras, comme pour mieux apprécier les grosses gouttes d’eau tiède qui lui tombent sur le corps. Mon hypothèse de la femme simple d’esprit, un peu dérangée, se concrétise dans mon esprit...
Très vite, ses cheveux blonds lui collent au visage et sur les épaules, comme de la filasse de plomberie ; elle tourne sur elle-même, un grand sourire aux lèvres. Le temps s’est profondément assombri, et je ne peux vraiment pas distinguer ses traits. En tout cas, elle semble jolie et en proie à une espèce de délire mystique.
Je ne peux m’empêcher d’immortaliser la scène bizarre qui se déroule devant moi, sous l’orage et les éléments déchaînés. Je mitraille la femme avec mon appareil photo... et puis le tableau devient franchement surréaliste : la femme dégrafe sa robe bleue détrempée et la laisse choir sur le sol ! Elle m’apparaît nue, son sexe à la toison épaisse blonde, dénudé ainsi que ses seins qui se dressent vers le ciel. Elle n’a conservé que ses bas gris et un porte-jarretelles noir. Ainsi cette femme se promenait nue sous sa robe, le soir, seule, dans l’un des quartiers les plus périlleux de Marseille, surtout pour une belle femme européenne !
Je révise mentalement mon jugement et m’avise que cette femme, loin d’être une simple d’esprit, est en réalité une nymphomane, espérant une rencontre fortuite dans ces ruelles désertes pour un coït discret et interdit. Je ressens une profonde excitation en la regardant toujours, tournant sur elle même, sa nudité offerte aux éléments déchaînés. Je continue de mitrailler cette scène incroyable !
J’ai presque envie de la rejoindre pour caresser ce corps offert aux éléments et à la nuit qui commence à tomber, mais quelque chose me retient. Une minute à peine après ce désir impérieux de caresser ce corps somptueux, je perçois un mouvement pas très loin derrière moi. Je me blottis un peu plus sous le porche, retenant ma respiration. Comme la lumière n’est pas très bonne et la pluie battante, je laisse deux hommes me dépasser dans l’impasse, sans me faire apercevoir ; ce sont des Maghrébins. Je commence à trembler pour la belle femme nue, offerte au milieu de la rue... j’imagine sans peine ce qui va se passer !
Mais que faire ? Je ne suis pas très combattant, et ils sont deux. Je ne réussirais qu’à me faire casser la figure pour une gourgandine, qui vient après tout allumer des hommes, à poil au milieu du pire quartier de Marseille à la nuit tombée. « Elle aura ce qu’elle mérite, cette imbécile ! » me dis-je pour me donner bonne conscience. Alors, ne pouvant prendre le risque de bouger pour me faire repérer, je regarde avec fascination la scène qui va se dérouler devant moi.
Les deux hommes s’avancent tels des félins vers leur proie, en silence. La femme qui tournait sur elle-même se dresse en face d’eux et les aperçoit. Mais contre toute attente, elle ne panique pas, et ne cherche même pas à fuir ! Au contraire, elle porte une main à son sexe et l’autre sur sa poitrine pour se caresser en un geste d’invitation érotique à l’égard des deux hommes. Je n’en crois pas mes yeux !
— Alors ma belle, on a envie de se prendre une bonne bite d’Arabe dans la chatte ? ricane le type le plus audacieux qui entoure déjà sa proie en lui caressant la hanche nue, au-dessus du porte-jarretelles. — Oui, si tu aimes ça, on va te baiser, petite pute française ! renchérit le second. — Vous savez, je dois vous avouer quelque chose : mon mari est officier dans l’armée française ; il n’aime pas les Arabes et me raconte tous les forfaits que ses soldats et lui font à vos compatriotes ! déclare la femme sur le ton de la plaisanterie, en matière de défi.
Mon sang ne fait qu’un tour. Mais qu’a-t-elle donc dans la tête, cette gourgandine ? Non seulement elle va se faire violer – mais ça, j’ai l’impression que c’est de toute façon ce qu’elle recherche, cette nymphomane – mais en les provoquant de cette façon, c’est sûr qu’elle va morfler. Les yeux écarquillés, je regarde les deux hommes en proie à une tension violente. Le premier gifle la femme à toute volée. Elle secoue la tête et éclate de rire. Nouvelle beigne, cette fois-ci encore plus violente. Elle tombe par terre dans une flaque d’eau.
— Tu vas voir ce qu’on leur fait aux Françaises !— Je suis sûre que vous avez des petites bites ! éclate la femme dans un accès de rire dément.
Cette fois, les deux hommes sont ulcérés par le racisme et la désinvolture de cette bourgeoise. Le premier place son pied entre les cuisses de la femme et lui "caresse" le sexe sans ménagement du bout de sa chaussure. La femme replie les genoux vers son ventre et s’ouvre complètement à cette "caresse" brutale. Elle se triture les pointes de ses seins et se met à éructer des paroles invraisemblables :
— Oui ! Mets-moi ton pied dans la chatte, branle-moi ! Baisez-moi tous les deux !
Puis elle se met à ahaner et gémir comme une possédée. Alors l’homme la relève de sa flaque d’eau, et la tirant par les cheveux, lui place la tête contre sa braguette d’où il extrait une bite puissante en érection. La femme se met alors à lui saisir et lui caresser les bourses, et avale son sexe avec passion. Elle le branle sauvagement tout en le suçant, et le type arrive très vite à la jouissance, lui maintenant la tête pour qu’elle avale tout son sperme. Le second, la prenant par les épaules, la traîne sur le sol et vient la placer sur les poubelles, cuisses toutes grandes ouvertes.
Il baisse alors son pantalon et la pénètre directement tout en lui malaxant les seins. La femme se met à crier et gémir de plus belle. Elle semble adorer ce traitement. Le gars jouit dans un cri rauque tandis que la femme pousse une clameur de démone signifiant l’afflux de plaisir dans son ventre. Il est alors remplacé par l’autre homme qui baise la gourgandine à couilles rabattues... nouveaux cris de plaisir et de jouissance de la "démone".
Alors qu’ils se rhabillent, la femme les supplie de la baiser à nouveau, nue sur sa poubelle, exposée aux grosses gouttes de pluie qui lui tombent sur le corps. La femme me semble tellement irradiante de chaleur et de luxure que pour un peu je m’attendrais à voir les gouttes de pluie s’évaporer au contact de son corps en fusion ! Mais je suis trop poète, certainement. Mais évidemment, je ne rate pas une occasion de prendre la scène en photo, d’un bout à l’autre.
En tout cas, les deux hommes, un peu vidés par l’exercice, semblent déçus de ne pas pouvoir honorer de nouveau la femme fatale ; mais ils savent que parfois des patrouilles de police se promènent dans le quartier, et ils connaissent très bien quel serait leur sort s’ils étaient pris en train de baiser vulgairement une bourgeoise européenne sur des poubelles à 23 heures : même si la femme excipait de son consentement, ils seraient vite jetés en prison pour viol... au mieux !
Ils semblent se concerter quand l’un des deux, ayant aperçu quelque chose, va fureter dans une poubelle à côté de la femme et en ressort un grand fémur de pièce de boucherie. Alors il l’enfonce sans ménagement dans le sexe de la femme, qui jubilant sous le contact obscène, se met à jouir de nouveau !
Alors que les deux compères, contents de leur excursion nocturne et jouissive, passent au niveau de mon porche où je suis toujours caché, la femme leur crie :
— Demain ! Même heure, même endroit !
Me cachant toujours, abasourdi par la scène vulgaire mais tellement torride, je regarde la femme gisant sur ces poubelles, nue, le sexe grand ouvert, le fémur dépassant de ses cuisses. Après quelques mouvements de sa main sur l’os pour se goder encore, elle le retire et vient dans ma direction pour ramasser ses vêtements trempés. Elle remet sa robe qui lui colle à la peau, dévoilant ses superbes seins aux tétons turgescents. Elle se baisse pour récupérer son petit sac à main, et comme si de rien n’était, passe à mon niveau, digne dans sa petite robe toute crottée et humide, la pluie lui dégoulinant dessus.
Un coup de tonnerre et un éclair... j’arrive à apercevoir son visage, alors qu’elle est à environ dix mètres, moi bien tassé dans le recoin du porche.
Cette femme ne m’est pas inconnue : c’est Claire Dupré, ma belle-mère !
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