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Les deux putains de l'armée française...

Chapitre 3

La putain se révèle !

Trash
Vision incongrue... vision onirique... vision fantastique ou fantasmatique ?? Ma belle-mère Claire, nue, complètement nue, en porte-jarretelles noir, le buisson blond à l’air, les seins qui pointent vers le plafond. Ma belle-mère Claire à poil, sexuellement disponible, soumise, les bras levés, les mains accrochées aux pendeloques du lustre. Ma belle-mère offerte, telle une putain de maison close, au milieu de son salon bourgeois ! Elle, la femme sûre d’elle, autoritaire, derrière le dos de son mari, offerte à tous mes fantasmes, livrée comme un gigantesque “dessert sexuel”, sur cette table basse, sur laquelle j’ai souvent pris le thé avec elle et son militaire de mari, le petit doigt en l’air, faisant attention au moindre de mes mots, pour ne pas choquer ce couple si vertueux, si catholique, si bien comme il faut !
Et là, je pourrais lui foutre mes doigts dans sa chatte, qu’elle a baveuse, si j’en juge par les filets de cyprine qui s’écoulent le long de ses cuisses. Je pourrais lui demander de se placer le ventre sur le granit de la table de salon, les seins écrasés sur la plaque de roche, ses mains enserrant deux pieds de la table, tandis que ses cuisses seraient écartées, me révélant son cul certainement vierge, et son abricot qui doit approcher le point de fusion. Je pourrais alors ouvrir mon pantalon, sortir ma queue qui n’a pas servi de longtemps, à cause des atermoiements de sa "petite pucelle" de fille. Je pourrais la prendre par la chatte, lui pénétrer le rectum et la faire crier, jouir jusqu’à l’extase !
Claire est à moi, rien qu’à moi. Je peux en faire tout ce que je veux... me servir de la cravache, que je fais siffler autour de son corps sans défense ; la fouetter au sang, la couvrir d’injures, la traiter pire qu’une chienne, lui pincer les tétons, la forcer à me prendre dans sa bouche.
Claire, ma pute, ma traînée, ma salope, disponible pour le sexe et les derniers outrages... mais voilà, je suis comme pétrifié... Je n’ose tout simplement pas la battre, la fouetter. Son corps m’émeut. Je suis moi aussi un artiste, un poète, un homme doux, incapable de la moindre violence, et là je me trouve face à une femme que je respectais encore dix minutes avant, comme la mère de ma femme, ma belle-mère.
J’ai envie de la prendre dans mes bras, de l’embrasser langoureusement, de la caresser doucement, de me comporter comme un étudiant découvrant l’amour pour la première fois avec la femme de ses rêves. Car Claire m’a toujours fait fantasmer en secret. J’ai toujours eu envie de lui faire passionnément l’amour. Dans un contexte romantique et fleur bleue. Mais là, je suis pris au dépourvu. J’avais pensé exploiter la situation de ses turpitudes à mon avantage, la faire chanter pour obtenir ses faveurs. Mais là, tout a été trop vite... c’est trop violent, trop hard. Je ne suis tout simplement pas préparé à la baiser comme un soudard, à lui faire ce qu’elle attend. Que je la traite comme une pute, mon esclave sexuelle.

Dilemme ! Si je la baise avec passion, certes j’aurai eu ce que je désire, mais elle n’aura que mépris pour moi, par la suite, comme elle en a pour son mari. J’ai vu dans cette rue, ce soir-là, ce qu’elle voulait vraiment obtenir d’un homme, ce qui la fait vraiment grimper au lustre... et certes elle y est presque, mais seulement au propre, pas au figuré ! Je me sens incapable de blesser, de faire du mal, de violenter cette femme que j’admire ! Et je dois bien le reconnaître, pour qui j’exprime un amour-passion intense. Et je me retrouve là, comme un con, avec cette cravache dont je n’ose me servir. Je ne suis décidément pas taillé pour être un dominateur cruel et sadique. Je sais que Claire va bientôt s’en apercevoir, et que je verrai le mépris et les ricanements s’inscrire sur son beau visage.
Que faire ? Cela n’a que trop duré, le temps s’est comme arrêté, je sue à gros bouillons, tandis que la nymphette attend son supplice et sa rédemption. Mais je ne suis pas "l’ange exterminateur" qui le lui apportera. Trois minutes que je fais siffler cette stupide cravache autour d’elle. Je la vois baisser le regard vers moi, et une interrogation silencieuse se lire dans ses yeux. Merde je suis coincé ! Courage, il faut que la fouette sinon je la perds à jamais. Alors, rassemblant tout mon courage, je la frappe avec un armement de mon bras très théâtral... qui finit par une petite tape peu sonore sur sa cuisse gauche. Alors là, le drame. Claire éclate de rire. Une expression sinistre se lit dans son regard, son visage prend une mimique quasi diabolique. J’en aurais presque peur ; les rôles semblent s’inverser ! Et puis elle me parle... cracher des mots serait plus adéquat dans le cas présent :
" Alors, mon petit gendre a peur de violenter sa belle-mère ? Je pensais trouver un lion et je me retrouve en présence d’un blaireau. Un petit puceau émasculé par ma gourgandine de fille. Depuis combien de temps ne t’es-tu pas servi de ta bite ? Vil inverti. Peut-être préfères-tu te branler devant moi ? Fais-toi plaisir, va t’assoir dans le fauteuil et tire sur ton braquemart ! Je te laisse la vision de mon corps désirable pour ta masturbation, puisque tes mains ne peuvent s’y poser. Tu n’es qu’un rat, une sous-merde, je comprends pourquoi ils t’ont refusé à l’armée ! ça faire la guerre ? Tu t’évanouirais devant ton propre sang. Mon mari est un idiot fasciste et limité, mais lui au moins sait être un homme d’action, même s’il me baise très mal. Tant pis pour toi ! Je crois que je vais avoir une grande conversation avec mon imbécile de fille ! Même si elle est complètement frigide, tu ne la mérites pas ! Peut-être que si je m’y prenais bien avec elle...
— Quoi ? Que voulez-vous faire de Cécile, m’écrié-je au bord des larmes, tant je sens que la perverse est en train d’échafauder un plan très vicieux. Laissez-la en dehors de ça ! — Mais non, au contraire. Tu aimes mater les femmes qui se font baiser dans les rues par des inconnus. Je pourrais peut-être inciter ta femme à faire de même ? Tu aurais la satisfaction de voir ta belle-mère et ta femme, connaître des coïts brutaux et sauvages que toi tu ne seras jamais capable de nous donner !
Les deux Maghrébins, que tu as vus, eux étaient des hommes ! Ils m’ont donné ce que tu ne seras jamais capable d’offrir à une vraie femme ! Si ta femme est frigide, c’est peut-être à cause de toi, tout compte fait !?
C’est décidé, demain je la prends en main, et je l’emmène dans mes excursions sauvages et libidineuses. Tu verras ta femme se faire défoncer dans tous les bas-fonds de Marseille ! Tu vas adorer ça, puceau ! "Je suis sidéré par cette violence verbale, la haine à l’état pur que je vois dans ses yeux, les rictus qui déforment son visage ; où est la charmante bourgeoise cultivée et bien éduquée, l’artiste charismatique pleine de douceur et de prévenance pour les autres ? J’ai l’impression d’avoir fait jaillir un démon de l’intérieur de cette femme.
Au début, j’étais abattu par ma lâcheté et mon indécision, et puis toutes ces horreurs que j’ai entendues de sa bouche ! Je vois qu’elle est capable d’emmener ma femme dans des orgies sordides, de la transformer en quelque chose de monstrueux, une créature sauvage et libidineuse, une putain que je ne reconnaitrai pas... alors j’aurai tout perdu !
Je me recroqueville sur moi même pendant toute sa diatribe, et puis j’ai la vision de ma femme me ricanant au nez, comme elle, alors qu’elle sera prise sexuellement par des hommes sales, laids, gros et quelle exultera de sa déchéance et de mon incapacité fautive. C’en est trop !
— TA GUEULE PUTAIN ! “

La phrase a jailli de ma poitrine et de mon ventre comme ces cris de combat d’arts martiaux. Je suis étonné de la violence et de la puissance de mon cri ! En même temps, mon bras s’est détendu comme un ressort, et j’ai porté un terrible coup de cravache sur le sexe de ma belle-mère. La palette de la cravache s’est incrustée sur la vulve, martyrisant les lèvres et le clitoris qui avait bien grossi.
Ma belle-mère, soufflée par mon cri de haine et la violence du coup sur son sexe, ne peut même pas hurler ! Elle se plie en deux, et bascule en arrière, se recevant mollement dans le grand sofa derrière elle. Elle a la tête en arrière, ses bras et ses jambes toutes grandes écartées ; elle est à ma disposition et à celle de ma haine, de mon ressentiment à son égard, et d’une passion vulgaire, sadique, sournoise qui ne demande qu’à se déchaîner ; c’est à présent un autre homme qui manie la cravache... Une "créature" venue du fond des âges, un sauvage que Claire a libéré des méandres de mon inconscient ! Cette femme a libéré "la bête" de sa prison de bons usages moraux et de son vernis civilisationnel.
Je fouette cette femme vicieuse et dépravée comme un forcené ! Au début, mes coups sont violents, mais dispersés. Même s’ils font mal, car Claire souffle et crie à chaque impact sonore de la cravache, ils n’ont pas encore la dimension sexuelle vicieuse que je voudrais leur donner !Mais j’apprends vite, et de désordonnée, ma flagellation devient scientifique, dantesque, presque artistique au plus haut point du vice. La cravache caresse un sein, puis suit une ligne le long du ventre, passe sur le nombril, délicatement, presque amoureusement, doucement en prenant bien son temps. Claire soupire et sourit, sa langue vient humecter ses lèvres dans une posture obscène. Et puis, violent coup sur le haut du sein droit. Claire halète, cherche son oxygène et crie :
— Encore ! Oui ! Vas-y ordure, punis-moi ! C’est trop bon ! “

Satisfait, je croise son regard, c’est maintenant de la perversité et une passion dévorante pour la souffrance, que je lis dans ses yeux. La femme est soumise, elle adore souffrir, cette fois-ci elle m’appartient !
Mes gestes sont instinctifs, je sais ce qui va la faire gémir ou crier, lui donner du plaisir dans la souffrance. J’écarte encore plus ses cuisses en frappant deux fois à l’intérieur, avec la cravache, là où la peau est la plus fine. Puis je passe la palette sur la vulve ouverte, écartant les grandes lèvres poisseuses de sa jouissance, je branle le clitoris avec. Étendant le bras vers sa tête, alors qu’elle encore couchée, offerte à son supplice, je lui tire les cheveux, et la remonte vers moi, la faisant mettre sur les genoux, cuisses bien disjointes, la cravache lui limant de plus en plus férocement son sexe et son clitoris offert. Claire halète comme une pouliche sur un champ de courses, elle gémit. Je passe ma main gauche sur ses nymphes, caresse les lèvres en même temps que la tige de la cravache, en retire des doigts englués de cyprine. Avec, je la gifle sur la bouche, elle se met à lécher la mouille abandonnée par ma main.
Lui prenant de nouveau la tête par les cheveux, que je tire bien fort, je la force à s’élever vers mon visage ; je lui ouvre la bouche brutalement avec deux doigts toujours souillés de sa jouissance, et lui crache à la gueule. Elle avale avec ravissement ! Lâchant la cravache et toujours maintenant sa tête en lui tirant les cheveux, je lui prends le menton et l’embrasse fougueusement, vulgairement, en un palot débordant de salive ! Nos langues s’entrechoquent, se cherchent, jouent un jeu tels deux serpents en train de copuler ! Notre baiser indécent dure bien deux minutes. Ma main quitte ses cheveux pour descendre vers son sexe, que je pénètre brutalement de quatre doigts, qui s’enfoncent dans le gouffre béant et poisseux de sa chatte, jusqu’à la naissance du pouce. Je la lime alors profondément et je la sens se tendre et jouir, tandis que ma langue investit toujours sa bouche et ma main sur sa gorge l’étrangle à moitié... j’ai envie de la baiser là, maintenant !
Et puis un bruit de porte et une phrase tonitruante :
— Claire ! Je rentre subrepticement ! Une permission inespérée. Viens ma chérie !
Je débande instantanément. Claire se sépare de moi, attrape sa robe sur le sol, et me pousse vers l’autre couloir et les toilettes.
— Mon mari ! Ne dis rien, attends cinq minutes, tire la chasse et sors comme si de rien n’était, veille à ta mise. “
Claire se précipite dans la cuisine, ouvre la porte du frigidaire et se cachant, remet bien vite sa robe sur son corps endolori et couvert de zébrures rouges. Heureusement, je n’ai pas visé en dessous des genoux ! Se mirant dans la vitre près d’elle, elle remet en place son chignon, malmené par mes soins, et décide qu’elle est présentable. Elle entrevoit son mari qui s’est assis sur le fauteuil que j’occupais il y a vingt minutes, par l’espace laissé ouvert au-dessus du bar, séparant la cuisine de la salle à manger, précédant le salon, en enfilade. Il ne l’a pas vue.
— Claire, nom d’une pipe où es-tu ? Je suis là, apporte moi du café.— Je suis là mon chéri ! Tu m’as manqué, quelle joie de te revoir si vite ! "

L’homme ne se lève même pas pour embrasser sa femme, c’est elle qui se baisse à son niveau, pour lui effleurer les lèvres en un baiser très chaste.
— Mais quel désordre ici ? Que s’est-il donc passé ? Tu t’es battue avec un cambrioleur ? Se moque, narquois, René, qui a remarqué le sofa avec ses coussins défaits, dont l’un est tombé par terre. — Oh, c’est Mabrouk qui s’est encore battu avec le chat ! — Encore ! Faudra que je le fasse piquer cette sale bête. Quelle idée d’avoir un chien et un chat dans une même maison ! — Oui mon chéri, répond une Claire obséquieuse et soumise à l’autorité maritale. Ah oui, Jean est venu me rendre visite ! — Ah, mon gendre ! Où est-il ? — Aux toilettes, je crois, tiens, le voici ! ”
Je m’approche avec une fausse assurance, pour serrer la main du despote familial, et lui présente mes respects, tandis que je vois une Claire naturelle, aimante, gentille. Quel contraste avec la harpie d’il y a cinq minutes ! Cette femme est extraordinaire. Alors René nous conte ses exploits guerriers. Je fais semblant de m’y intéresser, de même que son épouse, tandis que je me dis en regardant le pédant : “ imbécile, cocu, si tu savais ce qui s’est passé il y a à peine dix minutes !”
Et puis le géant en uniforme se bloque, s’arrête de parler, il a placé sa main sur la table du salon et a effleuré une tache de cyprine laissée par Claire ! Il se frotte deux doigts l’un contre l’autre, en pinçant le nez. Puis il remarque que sa femme n’a pas de chaussures aux pieds. Elles sont abandonnées près de l’autre fauteuil, où je suis assis. Avec circonspection, il regarde sa femme, toujours en tripotant la substance visqueuse entre ses doigts, et me lance un regard soupçonneux, puis revient poser le regard sur sa femme. Et puis son regard exorbité se pose sur un objet, gisant sur le sol à sa gauche. Ses yeux lancent des éclairs :
— Qu’est-ce que c’est que ça ? (En désignant la tache visqueuse sur la table, et ses doigts souillés). Et pourquoi vas-tu pieds nus ? Que s’est-il passé ici ? Et que fait donc cet objet par terre ! Explique-moi... et VITE !”
Essayant de dissimuler une honte terrible, je regarde moi aussi l’objet en question... la cravache !
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