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Les deux putains de l'armée française...

Chapitre 4

Putain de mère en fille !

Trash
Nous sommes mal, très mal, ma belle-mère Claire et moi ! Le géant en uniforme a des yeux de fou. Il n’est pas stupide non plus... sa femme est légèrement "débraillée", elle a une mèche de cheveux devant les yeux, sa robe est légèrement fripée par endroits. En tout cas, son aspect est plus négligé que d’habitude. Et puis il y a cette tâche indéfinie et gluante, laissée par le plaisir de Claire. Si René met ses doigts près de son nez, il reconnaîtra les subtils effluves légèrement poivrés du sexe de sa femme. Et puis cette cravache par terre ! Et merde ! Tout a été tellement vite à son arrivée, nous avons oublié ce détail.
Le militaire nous regarde l’un après l’autre... j’ai le sentiment que s’il avait une "gégène" avec lui... Il va nous "cuisiner" jusqu’à ce que l’un d’entre nous craque... et ce sera l’un et pas l’une ! Je me sens tout ratatiné sur moi même, je me dis que ma culpabilité doit se lire sur mon visage... il va comprendre... et alors !! Il serait capable de m’arracher les couilles d’une main !
— Oh non, s’écrie Claire ! Regardez Jean, Capucine a eu tellement peur de Mabrouk qu’elle s’est oubliée sur la table basse ! — Mon Dieu, René, allez vous laver les mains pour l’amour du christ. C’est écœurant ! lui dis-je goguenard !

René regarde bêtement ses doigts et comprend que ce qu’il a sur les mains n’est pas très ragoutant. Pinçant le nez, il se précipite dans la salle de bain. Claire me souffle à l’oreille :
— Tu as joué avec le chien, tu l’as trop excité, la chatte est passée devant lui, il l’a poursuivie, elle a eu peur. Pour régler le conflit, avec mon aide, tu as eu l’idée de prendre la cravache !
Le géant revient dans le salon, les mains propres, mais nous lance des regards interrogateurs :
— René, je vais tout vous dire, pardonnez-moi, c’est ma faute. Comme un écolier, j’ai voulu jouer avec le chien, j’ai dû trop l’exciter. À un moment, la chatte est passée devant lui, il l’a coursée et j’ai essayé, de même que votre épouse, d’interrompre la chasse. Alors j’ai eu l’idée de saisir la cravache pour calmer cet animal... — Et ensuite... rigole René. Vous n’êtes pas un guerrier ni un cavalier... une cravache, il faut savoir s’en servir ! Vous ne feriez pas de mal à une mouche avec ceci. A peine pourriez-vous corriger ma fille, votre femme ! Me rit-il au nez. Je me sens humilié par ce type qui fait le barbot devant son épouse. — Attends un peu connard, ta femme, je vais la fouetter au sang la prochaine fois et elle me remerciera ! Pauvre con !
Pensai-je, très remonté envers lui. J’ai à présent, envie de m’amuser un peu avec son épouse, sous son nez. Autant j’avais eu peur de lui, deux minutes auparavant, mais à présent je le considère pour ce qu’il est, un pédant raciste et lourdaud. Un regard à Claire, elle semble avoir compris :
— Jean, mon petit Jean, mais quelle aventure, dit-elle, en replaçant sa mèche de cheveux, vous restez à manger avec nous ! Ne dites pas non, je suis sûre que René aura des choses à vous raconter... et vous pourrez m’aider à la cuisine si vous voulez bien.
Me dit-elle, en me lançant un regard intense. J’ai compris le message. Je me mets à bander immédiatement, et suis ma belle mère dans sa cuisine.

D’au-dessus de l’évier et du plan de travail, sur lequel nous épluchons les légumes, nous apercevons la tête du militaire dans son fauteuil. Il est face à nous, mais ne peut nous apercevoir qu’au-dessus de la ceinture, et encore. Il feuillette son journal. Ma belle-mère amène des légumes, carottes, concombres et courgettes que nous allons éplucher. Elle me glisse à l’oreille :
— Branle-moi devant lui, ça va me rendre dingue !
La vicieuse a remonté l’arrière de sa robe au-dessus de sa taille, et l’a coincée entre son ventre et le plan de travail. Les jambes écartées, elle me donne libre accès à son cul et à sa chatte. J’admire une fois de plus son porte-jarretelles noir et ses bas, qui mettent bien en valeur ses adorables fesses toutes blanches et son buisson de blonde ! Ma main se dirige entre ses cuisses et commence à la limer. J’entends sa respiration s’accélérer. Je la branle sans douceur, et elle continue à éplucher les légumes, comme si de rien n’était. Ma main est très vite enduite de sa cyprine gluante, la salope mouille un maximum ! Ce doit être à la fois le plaisir de mes doigts et le fait de se faire masturber sous les yeux de son mari !

Vicieusement, j’attire l’attention de René, je veux qu’il voit sa femme être dominée sexuellement par son gendre. Quelle belle vengeance pour moi !
— René. Pardonnez-moi, alors cette campagne en Algérie ? — Je lisais mon journal, Jean... dit-il, ennuyé. — Mais voyons Jean... hum... mon mari vous parlera au repas ! Me dit Claire, qui a du mal à maîtriser sa jouissance et le débit de sa voix. Mais son mari est trop occupé à lire les nouvelles, pour s’en apercevoir !

Mes doigts sont si gluants que je décide de sodomiser ma belle-mère avec ! Mon majeur s’introduit dans sa rondelle, elle se met à souffler, mais continue de se maîtriser. Et puis mon index, qui dilate encore plus le petit trou, suivi de mon pouce. Ma belle-mère gémit en silence ; pas de doute elle aime ça, se faire enculer sous les yeux de son mari ! Et puis je suis trop excité, je sors ma queue et la passe contre les fesses de Claire. Celle-ci a les yeux écarquillés en voyant mon sexe sorti du pantalon... c’est tellement risqué, mais excitant ! Alors elle me saisit le chibre et commence à me branler. Je la déplace légèrement vers la droite, elle sera toujours dans le champ de vision éventuel de son mari, mais moi, qui me suis placé derrière elle, non.
Alors j’applique mon gland contre son trou du cul et je pousse légèrement, mais sûrement. Et puis un coup sec ! Je suis jusqu’à la garde dans le cul de ma belle-mère, et je l’encule quasiment sous les yeux de son mari !
Sous la poussée, elle a exprimé un "hooo !" de surprise. René relève la tête :
— Que t’arrive-t-il ? — Rien, j’ai failli me couper avec le couteau ! — Ma pauvre Claire, tu seras toujours aussi maladroite ! — Oui mon chéri ! (Et à moi silencieusement) Défonce-moi le cul devant ce connard ! Ce que je m’applique à faire avec entrain ! Je jouis de me faire Claire devant son mari. La sensation de la prendre par le cul dans ces circonstances est divine ! Et puis un bruit dans le vestibule d’entrée...

A ce moment, ma femme Cécile, la fille de ce charmant “couple uni”, entre dans le salon. Elle se jette dans les bras de son père. Pendant ce temps, j’ai stoppé ma sodomie de Claire. Nous prenons déjà de gros risques, pas la peine de jouer les kamikazes ! J’accueille ma femme avec dévotion et beaucoup d’hypocrisie ! Mère et fille semblent encore plus que d’habitude se détester ! Ma femme saute dans les bras de son papa qu’elle adore, tandis qu’elle ignore quasiment sa mère !
Le repas du soir se déroule sans encombre, à part le fait que j’ai vicieusement placé la moitié d’un gros concombre dans le cul de ma belle-mère, qui, ainsi "godée bio", doit assurer le service des plats, debout, sans desserrer les fesses, sinon vu l’absence de sa culotte, elle relâchera le légume sous nos yeux ! Et alors là, pour expliquer que c’est la faute du chien... ce sera très compliqué ! Bien évidemment, j’ai quasiment toujours ma main gauche sur le petit buisson de Claire sous la table ! Je lui tripote la moule alors que ma femme, à côté de moi, discute avec son père, sans s’en apercevoir ! Cette femme me plaît de plus en plus... dommage que sa fille n’ait pas sa trempe !

Durant le retour chez nous, dans ma voiture, Cécile a un étrange comportement qui ne lui ressemble pas du tout ! D’abord, elle se plaint d’avoir trop chaud et me dit qu’elle va quitter son soutien-gorge, si cela ne me dérange pas... puis sa culotte. Intrigué, je regarde ma femme qui a négligemment jeté au sol ses sous-vêtements.
" Excuse-moi, mais j’ai trop chaud. Tu ne voudrais pas faire un tour dans Marseille ? Je n’ai pas envie de rentrer tout de suite.
— Bien répondis-je, par où veux-tu passer ? — Le Panier ! — Tu es sûre ? Ca craint un peu par là, le soir tard, lui dis-je avec crainte.

Mon sang n’a fait qu’un tour quand j’ai entendu ce nom ! Je me suis mis tout de suite à bander. Cécile s’en est aperçue, car elle a posé sa main sur la bosse du pantalon, et me caresse à travers le tissu. Je suis sidéré, ma femme est d’habitude plutôt coincée ! Et puis elle décide de me raconter son dernier rêve très bizarre :
" J’ai rêvé que papa couchait avec moi, pendant que tu baisais ma mère... tu l’enculais plutôt ! Alors comme je te voyais faire, j’ai demandé à papa de me prendre par le cul et j’en ai éprouvé beaucoup de plaisirs ! Drôle de rêve n’est-ce pas ?
— Bruhmmm ! Mais c’est, c’est... — Ce n’est qu’un rêve mon chéri ! Mais quand même, tu crois que c’est bon de se faire enculer ? Qu’en penses-tu ? On pourrait essayer ce soir, non ? — Cécile, mais qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as tes règles ? Un problème d’hormones ? Tu devrais consulter ! — Tu n’as pas envie de m’enculer ? " Me dit-elle en faisant pression sur mon sexe qui est dur comme une barre d’acier.

Je me sens alors très mal ! Il y a quelque chose qui cloche avec Cécile ! Tout d’abord, elle ne me parle jamais de sexe et encore moins de ses rêves érotiques... en fait-elle d’ailleurs ? Mais encore, elle m’a décrit une situation d’inceste avec son père... et cela n’a pas semblé la choquer. Elle m’a quand même parlé de se faire sodomiser par son père ! Et puis cette fixation sur la sodomie... vu ce que j’ai fait tout à l’heure à Claire, je me sens très mal ! Mais comment aurait-elle pu savoir ?? Ces questions me chamboulent l’esprit, mais je continue cette promenade en voiture, qui prend une tournure bien étrange !
Arrivé au Panier, je suis bloqué par une camionnette très vieille qui refuse de redémarrer. Il y a des hommes, Maghrébins pour la plupart, qui sont occupés à discuter debout, sur les trottoirs. Mon attention occupée par cet obstacle sur ma route, je ne fais pas attention à Cécile. Et puis j’entends comme des sifflements admiratifs, il y a comme une agitation sur ma droite. Je tourne la tête et vois plusieurs hommes, le visage plaqué contre la vitre côté passager, qui est relevé. Et puis mon regard tombe sur ma femme. Elle a sa robe relevée au-dessus de son ventre et les cuisses bien écartées, son buisson blond à l’air ! Ma femme s’exhibe la chatte à l’air, devant ces pauvres types hors d’haleine !! Bientôt, il y a plus d’une dizaine d’hommes qui viennent mater la chatte de la Française dans la voiture. Et je suis bloqué par cette damnée camionnette !
— Mais que fais-tu Cécile ?! Tu es devenue complètement folle ? Tu montres ton sexe à tous ces types, qui ne rêvent que de se taper une jolie Française, en plein quartier maghrébin ? — Et alors, cela ne t’excite pas de voir ta femme s’exhiber comme ça ? Ce n’est pas le genre de trucs que tu fais avec ma mère devant mon père ?? ajoute-t-elle avec vindicte, tout en baissant son corsage pour faire apparaître ses seins qu’elle se met à caresser ! — Que ? Quoi ??!! — OUI ! Je vous ai vus cet après-midi dans la cuisine ! Tu enculais ma mère sous les yeux de mon père ! Et alors elle me narre cette découverte fortuite. Au milieu de l’après-midi, arrivée dans la maison, elle ouvre silencieusement la porte de la cuisine, comme elle a l’habitude de le faire directement, et voit son mari en train de défoncer le cul de sa mère, dans la cuisine, sous les yeux de son père. Horrifiée, elle les observe trois secondes et referme toujours silencieusement la porte. Elle sort discrètement de la maison et se réfugie sur un banc dans le jardin.
Elle croit avoir vu son propre mari enculer sa mère, mais sous le regard concupiscent et consentant de son père ! Pour elle, il s’agit d’un trio malsain dans lequel son père serait un candauliste.
Au bord des larmes, elle se met à maudire son père, de mettre sa mère à disposition de son gendre ; et sa mère encore plus ! Il y a toujours eu rivalité entre la mère et la fille ! Cette dernière jalouse le charisme de sa mère, ainsi que les relations amicales entre elle et son gendre. Pour elle, pas de doute, c’est Claire, sa mère, qui a tout organisé ! Elle a suborné son mari, puis son gendre, désirant s’avilir pour le plaisir de son mari candauliste. Cécile décide ce soir-là de se venger d’elle, et des deux autres aussi ! Mais elle ne sait pas comment ! Alors elle se recompose un visage, se calme et tapant à la porte, fait comme si elle venait d’arriver. Elle rejoint son père dans le salon !

En entendant son récit, je suis consterné ! Elle nous a vus au plus mauvais moment, mais elle se trompe complètement dans son analyse, quant à son père ! Pendant ce temps, au moins une quarantaine de types assoiffés de sexe entourent la voiture, cela peut très mal finir cette histoire-là ! Et en me racontant son histoire, ma femme n’arrête pas de les exciter, en se passant ses doigts sur son pubis, en écartant les cuisses pour leur présenter sa vulve, ses lèvres toutes gonflées, idem pour son bouton, que je n’ai jamais vu aussi gros ! Et puis elle se branle littéralement sous les vivats des hommes en transe !

Le visage mauvais elle me dit :
" Tu n’es qu’une ordure, mais je sais que c’est ma mère qui est la coupable, c’est elle qui t’a corrompu ainsi que mon père ! Je la veux !
— Cécile arrête, il faut qu’on sorte d’ici ! Tu veux quoi ? — Quand j’ai appris l’épisode de la cravache, j’ai tout compris ! Ma mère te demande de la fouetter, c’est une cinglée masochiste ! Et bien la prochaine fois que tu vas la voir, tu la baises et tu l’attaches ! Mais c’est moi qui vais m’occuper d’elle ! — Mais tu es complètement cinglée ! Tu veux torturer ta mère ?! — OUI ! Elle va en baver cette salope ! Ah, elle aime être maltraitée ?! — Non, c’est pas possible ! — Tu le feras, ou je sors de cette voiture à poil, et je me livre à tous ces Maghrébins, en leur criant que je suis la fille d’un capitaine ! A ton avis que va-t-il se passer ??
Peut-être que cela te plaira de voir ta femme baisée par une meute de gars ? Après la mère putain, la fille putain ! Serais-tu candauliste toi aussi ?? Me dit-elle avec un air narquois.
— Non ! Tu n’oseras pas faire cela ! — On parie ? " Dit ma femme en appuyant sur le loquet de déblocage de la portière !
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