Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 100 J'aime
  • 7 Commentaires

Les devoirs d’une soumise

Chapitre 1

Une journée bien remplie

SM / Fétichisme
Du fait des vicissitudes de nos emplois respectifs, Elle et moi sommes loin l’un de l’autre pour quelques jours. La distance n’empêche pas pour autant la soumission… Voici un petit morceau de vie, de notre vie ; vécu par Elle, raconté par moi.
————————————————————————————————————
Elle regardait le gode qui entrait et sortait de sa chatte ruisselante, fascinée par le spectacle, sans lâcher le téléphone avec lequel elle filmait toute cette scène. Le jouet faisait désormais un bruit obscène de clapotis à chaque fois qu’il entrait en elle. Elle était trempée, toujours folle d’excitation après s’être pourtant branlée trois fois jusqu’à l’orgasme durant la matinée. Elle gémissait de plaisir, la bouche non loin de l’appareil pour qu’Il puisse bien l’entendre quand elle lui enverrait la vidéo. Car c’était son devoir, l’ordre qu’elle avait reçu de Lui, de son Maître. Il avait tout pouvoir sur elle et sur son corps et elle se dévouait corps et âme pour obéir à ses envies. C’est pour cela qu’elle avait fait une pause dans son travail et qu’elle se retrouvait sur son canapé, à enfoncer un gode vibrant dans sa chatte en feu, tout en filmant la scène pour son Maître qui était loin d’elle pour quelques jours. Il lui donnait des ordres à distance et cela la rendait folle. Chaque matin, elle devait commencer par lui décrire sa tenue. Elle avait omis de lui parler de son soutien-gorge le matin même et la sanction était tombée aussitôt : elle avait dû retirer sa culotte. Une sanction qui n’avait fait que la rendre encore plus humide. Heureusement qu’elle était en télétravail… elle avait pris un plaisir fou à mener ses réunions le cul à l’air. Il lui avait bien sûr ordonné de lui envoyer une photo de sa chatte nue, il ne croyait que ce qu’il voyait…Il lui avait ensuite ordonné de se toucher à nouveau. Elle avait joui follement en se pinçant les tétons comme il le lui avait demandé ; tous ses désirs étaient pour elle des ordres… elle s’était parfaitement acquittée de ses obligations ensuite : son Maître avait reçu avec grand plaisir une photo de sa chatte encore juteuse de plaisir et une autre de son téton, fermement serré entre deux phalanges. Après sa réunion, l’envie avait été trop forte : une fois terminée, elle s’était caressée une troisième fois et elle avait joui. Joui sans l’autorisation de son Maître. La sanction était à nouveau tombée : c’est ainsi qu’elle se retrouvait juste après sa pause déjeuner avec ce sextoy entre les cuisses. Cinq minutes avaient ordonné son Maître ; cinq minutes sans jouir !
Ces cinq minutes arrivaient à leur fin et elle coupa la vidéo. Elle sortit le gode avec frustration, mais tels étaient ses ordres… elle prit en photo le jouet qui était poisseux de ses sécrétions ; elle envoya le tout à son maître qui la félicita quelques secondes plus tard. Il allait se délecter de la vidéo. Il avait ajouté un dernier message : maintenant, si l’envie de jouir te prend, n’hésite pas à me le demander…Bien sûr qu’elle avait envie de jouir… son Maître aimait la pousser à son paroxysme, imaginer mille choses pour la rendre folle de désir, comme ces histoires, érotiques en diable, qu’il écrivait pour elle. La rendre folle de désir pour lui faire sentir à quel point il était maître de ce désir. Sa chatte qui palpitait d’envie après avoir été godée pendant cinq minutes pouvait en témoigner…Elle se doutait bien qu’il serait exigeant avec elle, mais plus tôt elle demanderait et mieux sans doute ce serait. De toute façon, elle avait une envie folle et son après-midi était des plus calme. Elle écrivit alors à son maître, le plus humblement possible : oui Maître. J’aimerais jouir s’il vous plaît. Je vous prie humblement de m’y autoriser. Votre dévouée soumise. Le message arriva quelques instants plus tard : tu aimerais jouir ? Et bien moi j’aimerais jouer… déshabille toi ma chère soumise ! Et ensuite, mets-toi à quatre pattes, dans ton salon. Si tu es joueuse, mets ton cul face à la fenêtre. Et ensuite, branle-toi à même le sol comme une petite chienne en rut. Pendant sept minutes. Mais tu ne jouis pas !Elle s’attendait à cette réponse ; d’une certaine manière, elle l’espérait un peu en fait. Elle aimait qu’Il joue avec elle. Elle savait que la libération n’en serait que meilleure encore !Elle se défit de ses vêtements et elle se mit à quatre pattes. Elle était joueuse alors elle tendit son cul face à la fenêtre ; n’importe quel voisin pourrait profiter du spectacle si il passait à sa fenêtre. Elle glissa ses doigts entre ses cuisses, contre sa chatte trempée. Elle commença doucement, elle était déjà presque au bord de l’extase. Mais, petit à petit, elle accéléra ses mouvements, c’était plus fort qu’elle. Son maître avait raison, elle se sentait comme une chienne en rut. À cet instant, elle n’avait qu’une envie : qu’il soit là pour la prendre, pour lui baiser le sexe sans retenue, affirmant son pouvoir plein et entier sur elle. Qu’il jouisse en répandant son délicieux foutre chaud sur son cul en la laissant pantelante de désir après une levrette endiablée. Elle dut chasser ces pensées de son esprit car elle se sentait sur le point de jouir. Elle n’arrêta pas, pour son maître. Elle voulait tenir, qu’il soit fier d’elle. Elle tenait, serrant les dents sans jamais arrêter ses caresses sur son clitoris qui était désormais dur comme de la pierre. Le temps imparti touchait à sa fin, et elle allait presque oublier ses obligations envers Monsieur ; elle se saisit de son téléphone et elle prit une photo sous elle, sur laquelle on voyait distinctement ses seins tendus et sa main qui s’activait entre ses cuisses.Elle s’arrêta enfin, les sens en feu. Elle envoya la photo à son maître, en espérant qu’il serait satisfait, en espérant qu’il l’autoriserait enfin à jouir. Il lui répondit très vite, la remerciant sans un autre mot.
Elle attendit en se remettant en travail. Mais l’appel de son sexe était le plus fort. Elle sentait sa chatte ruisseler. Ses battements de cœur se répercutaient dans son clitoris. Elle se sentait plus que jamais chienne en chaleur. Elle saisit alors son téléphone et elle envoya un message : Maître, je vous en supplie, j’aimerais que vous me permettiez de jouir. Votre dévouée soumise.Il répondit aussitôt : on dirait le message d’une chienne en rut ma chère soumise… ai-je raison ?Elle pianota sans attendre : oui Maître, vos écrits et vos ordres me mettent totalement en rut.- Je suis sûr que tu pourrais te frotter contre n’importe quoi pour te faire jouir ?- Oh oui Maître, répondit-elle sans hésiter.- J’aimerais être près de toi pour te tendre mon tibia. Tu te branlerais contre ma jambe comme une bonne chienne soumise… Mais je ne suis pas là… Tu vas donc aller dans la chambre et tu glisseras ton Wand dans la taie d’un de nos oreillers. Tu l’activeras et ensuite tu te frotteras dessus. Dix minutes… et sans jouir !Elle lut le message avec consternation… mais résignation… elle se rendit dans la chambre, ôtant à nouveau ses vêtements. Elle glissa le jouet dans la taie de l’oreiller et elle le fit vibrer. Elle s’allongea ensuite sur le ventre, glissant le coussin entre ses cuisses. Les vibrations se mirent à irradier dans tout son sexe et le plaisir commença très vite à l’envahir. Ce jouet était décidément redoutable ; en tout cas il avait un effet diabolique sur elle. Elle se mit à se trémousser, à se déhancher sur l’oreiller. Elle s’imaginait à quatre pattes, aux pieds de son maître, ses pieds qu’elle prenait tant de plaisir à baiser et à lécher avec dévotion. Comme il le lui avait promis, il avait tendu son tibia, et elle se frottait contre sa jambe sans aucune retenue, criant de plaisir à se sentir à ce point la chienne de son Maître, heureuse qu’il puisse profiter de la vue de son cul tendu… ah, s’il pouvait être là pour la sodomiser fougueusement !Les dix minutes furent terribles. A plusieurs reprises, elle faillit partir et elle ne se retint qu’à l’ultime seconde. Quand enfin le temps fut écoulé, elle était ruisselante de sueur et de mouille. Elle pensa à la photo qu’elle devait à son maître, et, plutôt que sa chatte, ce fut l’oreiller qu’elle photographia. Il était trempé de sa cyprine…
Elle retourna sur le canapé travailler, mais elle ne pouvait clairement plus. Elle résista encore une heure avant de supplier une dernière fois son Maître de lui accorder la libération. Elle reçut très vite sa réponse : ma chère soumise, ne crois-tu pas que ton orgasme serait meilleur avec un plug dans le cul ?- Oh oui mon Maître ! Lui répondit elle avec enthousiasme.- Très bien ! Tu sais ce qu’il te reste à faire : allonge-toi dans le lit et enfonce le plug entre tes fesses. Tu as le droit de jouir… mais tu m’enverras la vidéo de ton visage au moment de l’orgasme. Une fois encore, ne retiens aucun de tes cris !Elle se sentait transportée de joie : elle allait pouvoir libérer ce plaisir qui grondait dans son ventre. Elle fonça dans la chambre. Elle s’empara d’un plug vibrant et elle le lubrifia avec soin avant de l’enfoncer dans son petit trou avec douceur. Elle adorait cette sensation d’être remplie ainsi. Cela ne valait pas la queue de son Maître, mais c’était déjà cela…Elle s’installa confortablement, les cuisses bien ouvertes et elle se mit à branler avec délice son petit bouton. Elle prit tout son temps malgré son envie ; elle poursuivait le petit jeu de son Maître ; une nouvelle manière de lui rendre hommage. Elle savait par ailleurs que son plaisir n’en serait que plus fort. Elle poussa le vice jusqu’à faire aller et venir le plug dans son cul, décuplant son désir. Mais pourquoi n’était ce qu’un plug et pas la queue de son maître ? Elle aurait tant aimé qu’il lui prenne le cul à cet instant alors qu’elle était chaude et trempée. Peut-être lui aurait-il relevé les jambes pour attacher ses chevilles vers l’arrière, exposant ainsi totalement ses orifices pour son bon vouloir. Elle aurait adoré qu’il la prenne, qu’il la sodomise, non : qu’il l’encule sauvagement, fougueusement en ne se souciant que de son propre plaisir. Le sien aurait de toute façon été au rendez-vous si Monsieur lui faisait l’honneur de répandre sa sève dans son petit trou. Elle adorait plus que tout quand il se fichait profondément en elle pour lâcher ses rasades de sperme qui venaient tapisser son cul… elle était alors aux anges !Alors qu’elle se sentait proche de l’extase, elle se saisit de son téléphone et elle se filma. Elle avait ajouté une subtilité que son Maître n’avait pas demandé, mais elle n’avait aucun doute sur le fait que cela lui plaise : elle s’était saisi d’un autre jouet, un rabbit, qu’elle enfonça d’abord dans sa chatte, rendue fort étroite par le plug qui vibrait dans son cul.Elle joua ainsi un moment à se pénétrer, agaçant son clitoris avec les « oreilles ». Puis elle le sortit et elle passa le gland de latex sur son bouton de plaisir, poussant des petits cris alors que les vibrations du jouet répandaient des ondes de plaisir dans son corps… L’extase approchait et elle ne cacha rien de sa jouissance qui éclata d’un coup avec toute la puissance que les retenues précédentes avaient préparé. Elle hurla de plaisir tandis qu’elle sentait son clitoris éclater de plaisir. Elle resta un instant pantelante, sans bouger, mais sans cesser de se filmer. Elle adressa un dernier sourire à la caméra avant d’envoyer la vidéo à son Maître… Nul doute qu’il serait ravi de sa soumise…
Quand le soir venu son Maître put enfin regarder les vidéos qu’elle lui avait envoyées, il fut en effet ravi. Elle était belle, terriblement belle, mais elle n’était jamais aussi belle que dans la jouissance…
Diffuse en direct !
Regarder son live