Voici la suite de la fameuse semaine de défi, plus exactement de la deuxième journée. Une journée relativement « calme » après la toute première, mais extrêmement plaisante tout de même. Cela augurait de fort belle chose pour les deux derniers jours, et je ne fus pas déçu…
Elle avait eu une journée chargée et elle attendait avec impatience le moment où elle pourrait à nouveau relever un des défis de Monsieur. Elle avait trouvé du temps dans la matinée pour écrire le récit de son trajet à vélo sans culotte. L’écrire l’avait replongée dans le même état d’excitation que la veille. Au fur et à mesure où elle se remémorait les sensations et les regards des différentes personnes croisées, elle sentait la mouille qui coulait entre ses cuisses. Malheureusement, elle devait travailler et elle ne put pas se faire jouir une nouvelle fois, à son grand dam. Le moment tant attendu arriva enfin durant l’après-midi. Elle n’était pas étonnée au fond que Monsieur lui ait lancé ce défi : elle aussi commençait à bien connaître ses fantasmes…Elle devait faire le ménage dans leur appartement. Mais pas dans n’importe quelle tenue bien sûr : elle devait revêtir l’une des deux tenues de soubrette qu’elle possédait. Elle n’hésita pas une seconde pour le choix, elle connaissait la préférence de son Maître ; elle choisit donc la tenue noire avec un tablier blanc et sa jupette très, très, courte. Elle compléta l’ensemble avec la coiffe, le collier et les bracelets de dentelle ainsi que la jarretière blanche. En dessous, elle ne portait aucun soutien-gorge, en revanche elle avait revêtu un string noir ainsi qu’une paire de bas et son porte-jarretelles préféré : le modèle « lever de rideau » de chez Aubade, un autre merveilleux présente de Monsieur. Elle devait pour commencer prendre une photo d’elle avec l’aspirateur, en parfaite domestique prête à nettoyer de fond en comble. Mais une seule photo ne suffisait pas à ses yeux… elle se livra alors à un véritable festival pour les yeux de son maître.Elle se pencha tout d’abord pour la seconde photo pour offrir une vision fabuleuse de son généreux décolleté. Puis elle enchaîna : des photos de ses fesses, une photo avec sa main posée entre ses cuisses et des photos de ses seins sortis de son corsage, ses seins qu’elle pressait, léchait pour paire à Monsieur.Elle effectua également une petite mise en scène avec le martinet, jouant avec sur les photos, le posant dans son dos ou sur son petit cul. Elle espérait que cela plairait à son Maître.Bien sûr, le ménage n’était qu’un prétexte, mais elle savait que Monsieur aimait ces « mises en situation », ces contextes qui dérapaient. Elle savait qu’il avait l’envie de la retrouver parfois le soir dans cette tenue, en bonne domestique attendant le retour de son patron pour le servir, et, qui sait, se faire trousser pour le bon plaisir du maître. Pourquoi d’ailleurs, à l’occasion, ne pas effectuer le ménage dans cette tenue ? Une bien belle introduction pour exciter Monsieur… Elle arriva enfin à la partie qu’elle attendait : ce moment où elle devait s’allonger sur le canapé et se masturber jusqu’à jouir. Cette fois encore, elle prit tout son temps, se déshabillant lascivement pour que son Maître profite un maximum de la vue.Elle joua d’abord avec ses seins, les pressant, les pinçant et les léchant. C’était d’ailleurs un autre de ses défis : se filmer jouant avec sa poitrine, cette poitrine que Monsieur aimait tant et qui se montrait si sensible quand il la tenait entre ses mains…Ce n’était bien sûr que le début du jeu… elle ôta enfin son string. Elle aimait ce porte-jarretelles pour de nombreuses raisons, mais l’une d’elle était qu’il avait quatre petits pompons qui tombaient de part et d’autre de ses cuisses. Elle aimait les prendre et les passer légèrement sur sa vulve et son clitoris ; elle aimait la sensation du tissu sur son corps.Elle posa ensuite ses doigts de part et d’autre de ses grandes lèvres, enserrant fermement son clitoris, jouant à s’exciter sans se caresser encore. Une manière de montrer à son Maître à quel point son petit bouton était gonflé d’envie et à quel point il lui appartenait. Son précieux Wand était juste à côté d’elle et elle le prit enfin pour le passer sur son sexe gorgé d’excitation. Très vite, elle se mit à exciter son petit clitoris à grands coups de vibration. La jouissance montait, elle arrivait très vite.Alors, elle s’arrêta. Elle se « teasait » elle-même. Elle voulait montrer à Monsieur quelle bonne soumise elle était en retenant son plaisir le plus possible. Si il avait été là, elle aurait bien sûr attendu son autorisation pour enfin jouir.Elle s’interrompit ainsi plusieurs fois alors que l’orgasme grondait dans son bas-ventre. Elle arrêtait le Wand, se caressant du bout des doigts ou passant le vibreur sur la pointe de ses seins. Elle faisait tout pour retarder l’échéance, mais celle-ci était inéluctable. La caméra de son téléphone était idéalement positionnée : on voyait en gros plan sa chatte ruisselante qui pulsait de plus en plus, et également ses seins tendus de désir et son visage qui se tordait de plus en plus de plaisir. En visionnant la vidéo, son Maître guetterait sans doute les signes avant-coureurs de l’extase sur son visage, et ses signes se multipliaient. Elle ne retenait plus ses cris, et, soudain, elle jouit avec force sans cesser de caresser son clitoris avec la tête du Wand.Elle reprit lentement ses esprits sans arrêter la vidéo. Au contraire, elle passa à nouveau ses doigts de part et d’autre de ses grandes lèvres pour bien mettre en valeur sa fente qui palpitait encore après ce bel orgasme. Une nouvelle manière de montrer à son Maître à quel point elle était sienne, toute entière…
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