Sa matinée était encore pleine de réunions… elle espérait que l’après-midi serait plus calme, car elle avait à cœur aujourd’hui de réaliser plusieurs des défis de son maître. Elle en avait déjà accompli cinq en deux jours ; il lui en restait sept et son maître rentrait le lendemain. Elle ne voulait pas le décevoir et elle souhaitait aller au bout de ses défis.Ses réunions cessèrent enfin avant l’heure du déjeuner et elle décida de mettre à profit ce temps pour accomplir un nouveau défi. Il s’intitulait « le châtiment de la soumise ». Elle avait fauté la semaine précédente et son Maître lui demandait de se punir elle-même. Cela ne remplacerait bien sûr pas la correction qu’elle recevrait au retour de Monsieur, mais c’était son souhait. Elle décida une fois de plus de ne pas faire les choses à moitié. Tout d’abord, elle se déshabilla totalement et elle enfila un porte-jarretelles blanc ainsi qu’une paire de bas coutures blancs également. Monsieur aimerait sans doute le contraste de cette tenue blanche avec le châtiment qu’elle allait s’infliger. Elle ajouta une touche supplémentaire et très intime à sa tenue : à grand renfort de lubrifiant, elle enfonça dans son petit trou un rosebud. Il n’était pas très grand, mais il était large. Elle l’avait déjà essayé une première fois, mais elle n’y était pas parvenue. Elle savait qu’elle devrait sans doute un peu forcer pour l’enfoncer mais elle avait fauté, et c’était un moyen supplémentaire de prouver à Monsieur sa volonté de faire pénitence. Comme elle s’y attendait, elle sentit bien le petit plug passer malgré tout le lubrifiant qu’elle avait mis. Elle resta un instant à s’habituer à cette présence entre ses fesses avant de lancer la caméra de son téléphone. Elle commença par une petite séance de caresses à l’intention de son Maître. Elle jouait avec ses seins, les caressant, les léchant et jouant avec ses pointes du bout de ses doigts humides. Enfin, elle se retourna pour se mettre à quatre pattes, dévoilant à la caméra le petit diamant factice qui ornait son petit trou. Le spectacle était incroyable.Elle s’empara alors du martinet et elle commença à se flageller. D’abord le dos, puis les fesses. Elle variait l’intensité des coups sans jamais oublier de compter. Elle repensa à ses premières craintes, ses interdits quant à la douleur. Avec son tact immense, Monsieur l’avait amené petit à petit à cette pratique, lui faisant découvrir le plaisir qu’il pouvait provoquer sans qu’il n’y ait d’intention de faire mal. Effectivement, son plaisir montait au fur et à mesure que les lanières de cuir mordaient sa peau : on l’entendait à sa voix quand elle comptait et à ses déhanchements pour que ses fesses viennent à la rencontre des coups qui claquaient sur sa peau.Elle s’arrêta à trente-quatre coups. Quand il vit la vidéo, son Maître fut réellement impressionné. Vingt coups auraient été plus que suffisants, mais, une fois de plus, elle se surpassait pour lui et il était impressionné d’avoir une soumise aussi dévouée. Sa surprise n’allait pourtant pas s’arrêter là. En effet, elle se retourna à nouveau et elle commença à se caresser, constatant à quel point elle était déjà mouillée d’excitation après s’être ainsi fouettée.Quand elle se sentit suffisamment prête, elle reprit le martinet et elle commença à l’abattre sur son entre-jambe, cinglant légèrement l’intérieur de ses cuisses, son aine et sa vulve en feu. Elle accéléra les coups en gémissant de plaisir. Ce fut ensuite à ses seins de subir le même sort. Elle les frappa doucement, déclenchant de nouveaux cris. Elle espérait que Monsieur serait satisfait. Quand il vit cette vidéo, il fit bien plus ; il ressentait une fierté énorme…Elle s’allongea alors à nouveau et elle entreprit de se masturber. Elle utilisa d’abord son Wand fétiche, s’amenant au frontière de l’extase. Elle cessa alors pour se caresser doucement, du bout des doigts. Elle recommença à se branler avec le Wand, cessant dès que l’orgasme arrivait.Elle joua ainsi pendant de très longues minutes. Elle s’amenait aux ultimes limites de la jouissance, luttant de toutes ses forces et arrêtant quand elle allait atteindre le point de non-retour. Sa chatte pulsait, son sexe était gonflé, gorgé de sang. Elle tirait volontairement sur son mont de Vénus pour bien faire saillir son clitoris qui était dur comme jamais. Elle répétait à voix haute qu’elle ne devait pas jouir : elle avait fauté et elle devait résister. Elle continuait ainsi son châtiment…Elle reprit une nouvelle fois le martinet pour cingler à nouveau sa petite chatte fautive, pour lui apprendre à se contrôler comme Monsieur le lui répétait si souvent. Et elle recommença ensuite ses caresses. Elle enserrait parfois son sexe entre ses doigts pour que Son maître puisse bien voir sur la vidéo à quel point il était gonflé et ruisselant de mouille. L’image était saisissante, sa fente suintait de cyprine.Elle joua ainsi à se priver d’orgasme pendant un très long moment, mais elle savait qu’elle ne pourrait bientôt plus tenir. Monsieur l’avait autorisé à jouir durant ses défis, alors elle estima qu’elle avait assez fait pénitence. Elle accéléra les mouvements du Wand et elle sentit enfin la vague de plaisir arriver.Comme souvent après de longs moments de « tease & deny », son orgasme fut dévastateur. Elle poussa un long hurlement alors que son clitoris vibrait à l’unisson du sextoy. Tout son corps semblait en fait vibrer de plaisir. Elle adressa une dernière parole pour son Maître, espérant qu’il apprécierait cette vidéo.Satisfaite d’elle, elle décida cependant d’offrir à Monsieur un petit « bonus » : rien n’était trop beau pour lui. Elle remit la caméra en route et elle se positionna à quatre pattes, offrant à nouveau la vision du rosebud fiché entre ses fesses. Avec lenteur, elle ôta le sextoy de son fondement. Elle resta ensuite quelques instants sans bouger, offrant à Son Maître la vision délicieuse de son petit trou encore grand ouvert de la pénétration qu’il avait subi. Il lui répondit un peu plus tard dans la journée ; il la félicitait une fois de plus. Il lui posait également une question sur une phrase qu’il croyait avoir mal entendu à un moment de la vidéo. Bien entendu, il avait parfaitement entendu. Mais il voulait qu’elle le constate par elle-même. En effet, emportée par l’excitation, durant la vidéo, elle lui faisait constater à quel point son clitoris était gonflé d’envie, et elle ajoutait : « tu le vois ? ». Elle avait tutoyé son Maître… Elle savait que c’était une chose qu’une soumise ne devait jamais faire, et elle n’était pas sûre que sa belle vidéo la sauve d’un nouveau châtiment exemplaire.Elle se demandait si elle n’avait pas gagné là son « droit » à être cravachée en public comme son Maître l’avait évoqué récemment… Elle verrait bien ; de toute manière, elle s’en remettrait, comme toujours, à la justice de Monsieur. Dès que la pause de midi arriva, elle se rua à l’extérieur : elle avait prévu d’occuper ce temps pour exécuter un des challenges de son maître qui l’avait le plus excité quand elle en avait pris connaissance. Il combinait à merveille son goût pour l’exhib et la soumission.Elle devait se rendre dans un magasin BDSM que Monsieur lui avait fait découvrir. Elle devait faire des emplettes, acheter au moins un accessoire de son choix, il la laissait libre. Elle n’avait que deux consignes : elle devait tout d’abord demander conseil au personnel du magasin, en précisant bien qu’elle faisait cet achat à la demande de son Maître. Ensuite, elle devrait lui faire un récit détaillé, comme pour sa promenade le sexe à l’air.
Alors qu’elle cheminait, elle sentait un mélange d’appréhension et d’excitation la gagnait. C’était comme cela à chaque nouvelle séance avec Monsieur. La sensation qu’elle allait franchir un nouvel interdit, un peu de crainte et en même temps une sensation grisante.Elle sonna et ce fut une femme assez jeune qui lui ouvrit : elle découvrit qu’il n’y avait que deux femmes environ du même âge dans le magasin. Elles lui demandèrent si elles pouvaient l’aider : elle répondit qu’elle faisait d’abord un tour dans le magasin puis qu’elle n’hésiterait pas à faire appel à elle. Elle prit donc le temps de faire le tour du magasin : elle le connaissait, évidemment, mais il était toujours instructif de regarder les nouveautés.Elle errait çà et là : elle s’arrêta du côté des bas, des culottes fendues… Elle reconnut le petit body avec le peignoir en dentelle qu’ils avaient acheté ici même avec son Maître.Cette pensée la fit sourire : bien sûr que c’était pour lui qu’elle était là, pour lui faire un cadeau. Elle continua de regarder attentivement les bas, les justaucorps puis un rayon plus osé… La fameuse vendeuse revint la voir… La soumise hésitait et lui montra deux modèles afin de lui demander son avis : elle lui dit qu’elle pouvait les essayer afin de l’aider à faire un choix.Elle alla donc naturellement avec ses articles dans la cabine. Elle les essaya mais elle n’était pas tout à fait satisfaite… Elle retourna dans le rayon et elle finit par trouver son bonheur.Elle avait donc fait son choix… Mais elle décida de se livrer à plusieurs essayages pour le plaisir des yeux de Monsieur. Il ne lui avait pas expressément demandé, mais là aussi elle ne doutait pas qu’il apprécierait. Elle arrêta son choix sur deux modèles de harnais. Le premier était en cuir noir. Il passait derrière son cou et enserrait ses seins. Cela lui rappelait la sensation des cordes de shibari qu’elle aimait tant. Le harnais faisait également le tour de sa taille, avec en son centre un anneau métallique. On pouvait par exemple y attacher les mousquetons de menottes pour garantir l’entrave totale de la soumise.Le deuxième modèle était plus osé encore. Il était composé d’un collier en cuir et de bandes de cuir qui descendaient sur le corps, reliée entre elle par des chaînes qui enserraient la poitrine et le ventre. De multiples anneaux offraient encore plus de possibilités d’entraves que le précédent modèle.Elle prit plusieurs photos pour Monsieur. Se faisant, elle ne pouvait s’empêcher de penser à tout le chemin qu’elle avait accompli. Ses doutes sur la soumission, ses interdits… Son Maître l’avait aidé progressivement à balayer tout cela pour son plus grand plaisir ; et elle était là, totalement nue dans la cabine d’essayage d’un magasin BDSM, essayant des harnais de cuir et de métal qui disaient tout de son état de soumise, de son envie d’être à son maître encore et encore.Il était assez intrigant de se retrouver entièrement nue, à quelques centimètres des vendeuses, et ce d’autant qu’elle se rendit compte qu’une fois dans la cabine, en regardant au plafond qui était en plastique blanc, on pouvait voir les vendeuses aller et venir dans le magasin.Elle pensa aussitôt : mais si je peux les voir, peut-être qu’elles aussi ? Elle resta donc nue un moment mais elle ne vit aucun regard en provenance des vendeuses à travers ce « miroir ». Elle se rhabilla donc.Quand elle ressortit, la vendeuse l’interrogea du regard : elle lui dit qu’elle avait essayé les harnais et qu’elle attendait la réponse de son Maître.Quant à son choix, elle lui précisa sur le ton de la confidence : « C’est mon Maître qui va être content ! Depuis le temps qu’il m’en parle ! ça va être une jolie surprise !» La vendeuse acquiesça puis passa à l’encaissement.Elle lui donna un sac, empli de ce joli cadeau : elle lui fit remarquer que le sac était fort beau et qu’ils avaient bien fait de changer de modèle ; il s’accommodait fort bien avec ce qu’il contenait. Sur ce, elle repartit, le cœur léger et heureuse de sa visite... Elle avait hâte de montrer ses emplettes à son Maître ! Auparavant, elle se permit une dernière forme d’exhibition : elle rentra en exposant aux regards de tous les passants le sac siglé au nom de la boutique ; les initiés sauraient… Elle n’en avait pour autant pas fini avec les défis ; elle voulait en réaliser le plus possible pour combler son maître adoré. Elle profita d’une nouvelle accalmie en fin de journée pour se livrer au défi « en pincer pour son maître ». Il était simple : elle devait jouer avec ses seins et surtout pincer ses pointes autant qu’elle le pourrait.Elle se livra avec plaisir à ce jeu délicieux devant l’objectif de la caméra de son téléphone. Elle y prenait un plaisir certain, poussant des petits cris aigus au fur et à mesure qu’elle excitait ses tétons qui dardaient de plus en plus. Elle avait l’autorisation de finir en apothéose, et elle ne de gêna pas. Cette fois, elle ne joua pas longtemps avec son sexe en feu. Elle se fit rapidement jouir avec ce Wand qui décidément ne la quittait pas. Comme après chacun de ses orgasmes de la journée, elle resta un instant sans bouger, gardant les jambes écartées, reprenant ses esprits mais surtout permettant à Monsieur de savourer la vue de sa petite chatte repue de plaisir qui palpitait encore de désir. Elle se redressa et, avant d’éteindre la caméra, elle se permit quelques va-et-vient suggestifs, offrant son cul et son petit trou en gros plan à la caméra. Elle envoya la vidéo de monsieur, en lui disant qu’elle espérait que cela permettrait d’apaiser son juste courroux suite à son tutoiement intempestif. Elle ajoutait toutefois qu’elle savait qu’elle aurait de toute manière droit à une punition. En fait, elle attendait avec impatience cette punition, elle était follement excitée à l’idée de ce que son maître allait inventer pour la châtier comme il se devait. Qu’il était bon d’être sa soumise… Trois défis en une journée ne lui suffisait pas… elle voulait en réaliser un quatrième, et non des moindres. Monsieur la mettait au défi d’une manière particulière, d’une manière qui n’appartenait qu’à lui. Il s’intitulait « la mise au défi ».Ce défi était d’une simplicité enfantine ; et d’une perversité diabolique. Là était tout l’art de Monsieur…Elle devait inventer et exécuter son propre défi. Très simple en apparence ; elle aurait par exemple pu ôter sa culotte pour quelques heures ou se promener sans haut à son domicile pendant un moment.Mais cela aurait été trop simple. Elle le savait, et elle se doutait que Monsieur le savait. Il mettait un tel soin à lui proposer des défis érotiques à souhait, des défis qui la poussaient à se dépasser et qui la faisaient également mouiller comme une folle…Alors non, elle en était persuadée : elle ne pouvait pas se contenter de quelque chose de « simple ». Il fallait une action à la hauteur de son Maître. Elle voulait le surprendre, lui montrer à quel point ils étaient sur la même longueur d’onde dans le domaine érotique comme dans tant d’autres domaines !Elle avait longuement réfléchi et elle avait eu une idée. Elle avait enfilé un porte-jarretelles qu’il aimait particulièrement, orné de chaînes dorées. Elle avait décidé de l’accompagner avec une paire de bas résilles. Elle avait également chaussé ses plus hauts escarpins, avec des talons aiguilles de dix centimètres.Elle avait commencé à prendre des photos dans leur appartement, des photos provocantes, sexy en diable, dans de multiples positions. Elle faisait progressivement monter la température, dévoilant petit à petit son idée jusqu’au final : elle était allongée par terre, dans la salle à manger, la porte-fenêtre toute aussi ouverte que ses cuisses.Elle exposait, impudique, ses seins et son entre-jambe à quiconque aurait la peine de regarder par sa fenêtre. Mais elle avait décidé de ne pas s’arrêter là et une nouvelle vidéo allait le prouver. Elle prit donc à nouveau son sextoy préféré et, sans refermer la fenêtre, elle se mit à se branler avec frénésie. Elle ne chercha pas à retenir son plaisir et ses cris. Elle explosa dans un magnifique orgasme dont toute la cour de son immeuble put profiter… Monsieur allait être ravi. Quand la journée toucha à sa fin, elle était plus que satisfaite ; elle avait accompli quatre défis dans cette journée et il ne lui en restait plus que trois aux noms évocateurs : « le réveil du Maître », « à disposition » et « la queue du Maître ». Elle se dit qu’elle aurait largement le temps de les faire le lendemain. Il ne fallait simplement pas rater le réveil de Monsieur…
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