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Les Dimanches

Chapitre 3

Enfin Dimanche

Gay
Je me réveille, il est 8h, je m’étire dans le lit et souris à cette journée qui commence, prometteuse, menaçante, enchanteresse, je désire la goûter, la savourer, la profiter dans tous ses instants.
Philippe, je serai à Saint Sulpice à 10h15,
Je me lève et me dirige sous la douche. Je me lave bien, partout avec application. Et je finis, par ma toilette intime comme il me l’a demandé, je prends plaisir à sentir l’eau pénétrer dans mon rectum, s’infiltrer plus profondément, jusqu’à la douleur. J’arrête, j’attends, puis sous la pression, l’eau purgative s’échappe en cascade. L’eau claire s’écoule, mon sphincter est détendu, je le savonne, il accueille mon doigt facilement. Je me sèche, puis je le lubrifie généreusement avant de m’enfoncer un tampon protecteur. Je colle un protège-slip dans mon caleçon bleu marine, avant de m’en revêtir. Après un bon café, je m’habille. Chaussettes noires, T-shirt blanc, chemise gris-verte, pantalon gris foncé, ma veste gris-verte en laine légèrement chamarrée. Je range tous mes achats d’hier, dans mon sac à dos en toile et cuir naturel, j’enfile mes chaussures, les clés, la porte, me voilà sur le palier. La petite cage d’escalier m’invite à descendre les six étages pour quitter mon chez-moi et m’élancer dans Paris.
Je traverse les jardins du Luxembourg, je passe humblement, sous le regard des statues des reines de France, puis flâne en attendant l’heure. J’arrive devant la façade aérienne de l’église qui surplombe la rue, majestueusement. Je suis stressé de retrouver Philippe, mais l’église m’inspire la paix, le pardon, l’amour divin, je rentre.
La nef est immense et lumineuse, je trempe un doigt dans le bénitier, me signe et me dirige vers le premier banc à droite de l’entrée, je m’assoie à son extrémité droite comme il me l’a demandé. Je m’agenouille, je me laisse bercer par mes pensées, érotiques, religieuses, d’amour, je savoure. — Bonjour Serge. Je sursaute et me retourne, au-dessus de moi, Philippe, il me sourit tendrement.— Bonjour Philippe. Il me regarde, je baisse la tête, les cloches sonnent appelant les fidèles. — Pour nos premiers pas ensemble, je suis heureux de m’offrir cette messe, ici, avec toi. — Merci, moi aussi.Je vais pour me relever, mais il me demande de rester agenouillé, pour mieux me regarder. Ses yeux doivent examiner ma nuque, mon dos, ma taille, mes fesses. Je n’ose plus bouger.
La messe commence, je me lève. Prières et chants rythment la cérémonie.« Seigneur prend pitié de nous,Seigneur prend pitié de nous, pauvre pécheur,Seigneur prend pitié de nous »Nous nous levons, nous nous asseyons, sa présence me hante, nous faisons les mêmes gestes, en même temps, le regard tourné vers l’autel.Lecture de la première lettre selon saint Jean Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu.Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.Maintenant, le prêtre, face à nous, nous prend à témoin pour son homélie :
Qu’y a t’il de plus essentiel, de plus désiré, de plus attendu dans le cœur de chaque homme que l’amour.L’homme laissé à lui-même est toujours ambigu dans son amour, dans sa façon d’être aimé ; ce qui est certain, c’est que le Seigneur nous invite à ne rien refuser de l’amour qui nous habite. C’est là qu’il nous faut revenir à l’évangile, où Jésus lie intimement les 2 commandements de l’amour : amour de Dieu, amour du prochain. Il les pense inséparables l’un de l’autre. L’amour du prochain ne pourra s’accomplir que si Dieu peut trouver sa place, il comprend le désir d’aimer et nous appelle à renoncer à notre supposée toute-puissance pour que nous puissions nous soumettre à son amour et nous permettre d’aimer notre prochain.L’Apôtre Pierre écrit : « Revêtez-vous d’humilité, car Dieu s’oppose aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. Le plus important ici est l’humilité : on ne peut pas s’ouvrir à l’amour sans se soumettre à Dieu avec humilité. L’obéissance implique de se soumettre humblement à l’autorité. Les bénédictions et la paix qu’il nous donne quand nous nous abandonnons et nous nous soumettons humblement à lui sont un don de sa grâce, auquel rien dans ce monde ne peut se comparer.
Je suis troublé par ce discours, qui invite à l’amour dans l’humilité, la soumission, dans l’abandon de soi.
Après l’agneau de Dieu, nous nous levons, Philippe me pousse à quitter le banc, prendre l’allée principale pour aller communier. Devant moi, un femme. Sa robe soyeuse, épouse sa taille, elle est élégante, raffinée, ses cheveux au carré la rendent pudique et réservée, mais son parfum, sa façon de marcher me fait penser que peut-être, comme moi, elle s’abandonnera cette après-midi, ou peut-être qu’elle l’a déjà fait ce matin. Je suis persuadé qu’elle aime le sexe. Et tous ensemble, nous marchons en file indienne, pour communier dans l’amour de Dieu, bercé par le doux érotisme de la soumission.
Je baisse les yeux, l’hostie est dans mes mains, j’ouvre la bouche et la recueille sur ma langue. Je la suce, je retourne à ma place, et m’agenouille. Elle fond doucement et pénètre en moi.
C’est bientôt la fin de la messe. Les cloches sonnent frénétiquement, nous sortons les uns après les autres, je suis Philippe. Le soleil nous éblouit.
— Comment as-tu trouvé cette messe ? me demande Philippe.
— L’homélie du curé m’a troublé, il n’a eu de cesse de parler d’amour dans la soumission.
— Mais, c’est ce que tu désires, non ? Le plaisir d’obéir à celui qui sait, à celui qui te domine, c’est un plaisir qui peut t’enrichir, si tu l’acceptes, si tu te soumets humblement. Tu ne crois pas ?
— Je le souhaite de tout cœur, Philippe, c’est parce que je l’espère que je suis avec vous aujourd’hui.
— Allez, viens, je vais acheter le dessert pour midi. Deux beaux éclairs, tu préfères café ou chocolat.
— Au chocolat, surtout si on boit le café en même temps.
À nouveau, nous faisons la queue, mais ici c’est plus étroit, je sens Philippe contre moi, il se frotte discrètement sur mes fesses.
Je porte les éclairs, je le suis, nous allons de rue en rue et devant un vieil immeuble d’avant Haussmann, il déclenche l’ouverture, nous entrons, un grand escalier nous attend, je monte derrière lui, je commence à être apeuré. Je sais que dans son appartement, je lui appartiendrai.
Il s’arrête, sur le palier devant sa porte, il m’ouvre, se retourne et m’invite à entrer sa main sur mes reins.
Il ferme la porte, me bloque contre le mur, ses mains me caressent le visage, les cheveux, sa bouche se colle à la mienne et sa langue humide glisse et me pénètre, elle est douce, délicate, elle prend la mienne et l’enlace, le désir monte, je m’abandonne, il me prend les gâteaux les pose sur le meuble de l’entrée, je laisse tomber mon sac, il revient contre moi, ses lèvres se plaquent aux miennes, je les lui offre.
— Merci, me dit-il, tu es adorable.
Nous ôtons chaussures et chaussettes pour entrer dans l’appartement.
Il m’invite à m’asseoir et me propose un verre, me verse un whisky avec un glaçon, comme pour lui. La table est déjà mise. Il nous apporte des asperges, leur pointe est enrobée d’une sauce blanche. Il sert et s’installe en face de moi. Je prends mes couverts pour les manger, il m’arrête offusqué de mon manque de sensualité. Il se lève et s’approche de moi, d’une main il en soulève une et me l’approche de la bouche. Me demande de la sucer délicatement, la crème s’étale sur mes lèvres, je lèche pour éviter qu’elle s’écoule. Il me tient la nuque et m’introduit une deuxième asperge qu’il fait aller et venir entre mes lèvres, la sauce me barbouille comme si j’avais subi une éjaculation, ma langue la récupère au mieux. Je suis gêné par l’érotisme ambiant et par ma douce excitation. Je finis mes asperges à sa manière, elles sont délicieuses.
Il me demande si j’ai encore faim, mon excitation sexuelle est plus forte que ma faim, je lui souris et lui répond que non.
— Café-dessert ?
— Oui, avec plaisir, je vous aide à débarrasser ?
— Oui, mais laisse nous les verres.
Le café fume dans les tasses, les éclairs trônent au milieu de la table.
— Viens à côté de moi pour manger ton dessert.
Je m’installe à sa gauche , près de lui, j’attends avec impatience qu’il me touche. Son bras me prend la taille et me serre contre lui, de sa main droite il prend l’éclair au chocolat, il le suce, sa salive l’imprègne, puis me le met dans la bouche.
— Lèche bien et enfonce ta langue pour goûter le chocolat. Vas-y, pompe.
Sa main gauche me caresse le bas des reins, les hanches, et de l’autre il tient l’éclair qui s’enfonce doucement dans ma bouche, je sens mon sexe perler, je suce goulûment jusqu’à ce qu’il disparaisse, alors sa langue vient m’embrasser et ses mains sont sur moi. Je lui entoure le cou de mes bras, caresse sa nuque, je me laisse faire. Sa langue est légère, souple et séduisante.
— On pourrait admirer tes achats. Viens nous allons les étaler sur mon lit.
Je le suis, un couloir dessert la salle de bain, son bureau et sa chambre. J’étale tout sur le lit. Il touche, regarde et me donne une petite tape sur la fesse d’assentiment.
— C’est bien Serge, donne moi la facture. Il fouille dans son portefeuille, me rembourse.
— Maintenant, vas te changer dans la salle de bain, et tu viens te mettre sur le lit. Me dit-il tendrement.
Je m’exécute, il n’est pas dans la chambre, je m’allonge, j’attends, les rideaux sont tirés, sa lampe de chevet éclaire faiblement, les oreillers sont doux, sur le mur en face, un grand miroir doré reflète le lit. Je me sens bien dans mes dessous, je suis calme, étonnamment calme. Il est dans l’embrasure de la porte, couvert d’un beau kimono en soie. Il me regarde. Doucement, il me demande de mettre mon masque de sommeil, et de me rapprocher du centre du lit. Je suis dans le noir, j’écoute les moindres bruits, il se rapproche, il enlève son kimono, et s’assoie sur le bord du lit. Je suis paralysé, mon souffle est court. Lentement, il déboutonne ma chemise de nuit, je profite de ces frôlements, de me sentir déshabillé, ses mains se rapprochent de mon chakra racine, douce volupté et il finit en haut de mes cuisses, c’est merveilleux. Je suis à découvert seul mon petit linge soyeux me protège de son regard inquisiteur.
— Tourne-toi, Serge me dit-il, aimablement
Il dégage mes bras de leurs manches, je viens de perdre ma carapace. Il débouche un tube, me demande d’écarter les jambes, ses mains se posent sur mes chevilles qu’il commence à masser. Ses caresses montent lentement le long de mes jambes, pour finir à la naissance de mes fesses. Ses mains découvrent ma peau, mes plis de l’entrejambe, pressent mes cuisses, les ouvrent, un pouce se loge à la naissance de ma raie, s’y insinue délicatement, je me cambre de plaisir, le comprenant, il continue à jouer jusqu’à toucher l’entrée sacrée, il la frôle, la câline, la masse, je sens mes muscles se détendre. Il me retourne, une main toujours collée dans mon entrejambe pressant le périnée et mon passage, il s’allonge contre moi et m’embrasse, ce baiser me débarrasse de ma léthargie, mon corps se réveille, je veux le toucher, une main s’aventure sur son dos, glisse et ralenti au creux des reins, avance, il est nu et continue sur le haut de ses fesses.
Il joue avec mon haut, profitant du tissu pour exciter mes mamelons pendant que son autre main devient plus présente, écartant mes cuisses, forçant le passage. Je tente de les fermer, je n’aime pas cette intrusion violente. Il s’excuse et s’adoucît. Pour le remercier, je relâche mes muscles et entrouvre l’accès. Le désir de toucher son sexe dirige ma main vers lui, elle passe sur la hanche, glisse dans l’aine, ralenti, sa bouche se pose à nouveau sur la mienne, sa langue est discrète, à l’écoute de ma main, je sens sa verge puissante, délicatement mes doigts se referment sur elle, je la caresse. Mon masque tombe, son baiser s’enflamme, mes doigts caressent toute sa tige, son gland est tendre, je quitte son étreinte buccale, ma bouche aimantée descend vers son aimant. Philippe, libère ses mains, s’allonge sur le dos, et attend ma venue. Mes lèvres glissent sur ses mamelons les lèchent et continuent leur chemin, le nombril, le pubis, ma main toujours accrochée à sa puissante virilité, la lève et ma bouche la cueille. Ma langue au contact du gland, lèche son suintement pré-séminal, et doucement, je l’enfonce en moi, pressant mes lèvres sur sa tige, elle est chaude, palpitante. Tout naturellement, je me retire légèrement pour entamer les va-et-vient qui attisent le plaisir de mes lèvres et de son sexe. Je sens son excitation devenir plus imposante, ses mains cherchent à ôter ma culotte, je l’aide tout en le suçant. Il se tourne, attrape un tube, sa main appuie ma nuque pour m’inciter à continuer, puis je sens un liquide glissant se répandre dans mes fesses, ses doigts le récupèrent et doucement massent mon anus.
— Viens contre moi, laisse toi aller détend-toi avec mes caresses.
Je me blottis contre lui, en chien de fusil, dos à lui, le laissant me peloter, ma respiration devient profonde, doucement, je m’abandonne à ses caresses sensuelles.
Fréquemment, il lubrifie mon anus qui accepte de plus en plus facilement la pénétration, qui aime de plus en plus ce frottement et la présence de son doigt. Je cherche une position pour m’ouvrir encore plus, je me cambre et replie mes jambes contre mon ventre, je commence à gémir, je sens deux doigts qui s’enfoncent en moi, j’aime cette sensation, elle me comble, il les fait aller-venir, tourner, les écarte, je m’offre avec délice à ses attouchements, puis un troisième doigt vient se réunir aux deux autres, délicatement, mais, mon sphincter, qui subit un étirement important crie sa douleur, je gémit, Il retire ses doigts, envahit de gel mon passage et glisse juste son majeur et me caresse par un charmant va-et-vient. Cette douce présence, respectueuse détend mon entrée, le plaisir s’installe à nouveau. Il m’embrasse dans le cou sa langue goûte ma peau, son autre main caresse mes pectoraux, mes mamelons irradie de jouissance. C’est divin, enfin, mon corps désire des caresses plus puissantes pour continuer la montée du plaisir. Comment l’a t’il senti ? Il vient de me pincer le sein, son doigt tourne autour de lui, puis me pince, il continue avec plus ou moins de force, je bande, je sens ses doigts revenir agrandir mon trou, c’est, une douleur excitante, il s’enfonce, il m’écarte, je gémis, mais me cambre de douleur-plaisir, il continue, je couine, doucement il se retire puis revient, inlassablement jusqu’à qu’il se retire complètement.
— Attend moi, mon chéri, je reviens.
Mon chéri ? J’aime, j’entends l’eau couler, il revient. Oui ! Reviens, encore, fais moi jouir, fais moi l’amour.
Il s’allonge, son sexe s’est calmé, il me caresse les fesses, le dos, se colle à moi, m’enlace, son sexe le long de ma raie, grossit, durcit, je serre et desserre mes fesses, il s’y enfonce un peu et durcit beaucoup.
— Tu veux bien que je vienne ?
— Oui, mon amour, je suis à toi, viens.
Il se tourne, enfile un préservatif, m’enduit et l’enduit de gel, s’essuie sur mes fesses, toujours offertes dans ma position en chien de fusil. Il les écarte, puis avec son autre main, il guide son engin.
Le gland touche mon anus, je respire profondément et expire lentement, à la deuxième expiration, il force le passage, je m’ouvre, son gland traverse mon sphincter, j’ai mal, je crie, il s’immobilise. J’essaie de reprendre mon souffle, j’ai mal, je n’arrive pas à le détendre, il se retire.
— Non, reste, c’était presque !
Je reprends ma respiration, il me remet du gel, je souffle doucement, et son gland pousse, mon sphincter s’élargit, encore et encore, la douleur-plaisir explose, son gland me traverse, je crie, sa tige est en moi. Je sens battre le sang dans son sexe. Sa respiration dans mon cou est rapide. Elle est en moi. Doucement, je me tourne, je suis à plat ventre, planté par un pieu, mes bras sont à la hauteur de ma tête, il me prend les poignets, je bouge à peine mes fesses qui acceptent difficilement cette dilatation et doucement il entame de petits va-et-vient.
— Ça va ?
— Oui, dis-je dans un murmure, ça fait mal, mais c’est bon.
C’est pas la douleur, mais c’est sa présence qui est bonne. Je pense qu’il a compris.
Il continue d’aller et venir, et s’enfonce toujours plus loin, il bute et à chaque fois je ressens une chaude explosion électrique qui irradie tout le ventre. J’attends et encore, je gémis à chaque fois, ma bouche s’ouvre aussi, je m’ouvre de partout. Je suis devenu une pile, j’étincelle. Bute, encore… Encore, à chaque fois, je chante ma jouissance.
— J’aimerais te prendre à quatre pattes, tu veux bien ?
— Oui.
Je ne peux rien lui refuser, il me fait trop jouir.
Je sens toute sa bite glisser vers l’extérieur, j’ai l’impression que mes entrailles la suivent, le gland referme l’entrée,
Je redresse que mes cuisses qui sont chancelantes, ma tête reste sur l’oreiller, je suis épuisé de désirs.
Il m’imprègne à nouveau de gel, copieusement et, à nouveau, je sens ses doigts écarter la raie, sa verge se présenter devant l’orifice, il attend ma lente expiration et pousse, pousse plus fort et sous sa puissance mon sphincter abandonne, à nouveau la douleur explose, nous attendons que la souffrance s’apaise. Son sexe patient palpite, ses mains caresses mon dos mes reins mes fesses mes cuisses et viennent se caler contre l’os saillant de mes hanches. Au rythme de ma respiration, il reprend discrètement ses va-et-vient. Et s’enfonce jusqu’à me toucher là où tout s’électrise, mes cuisses ont du mal à me porter, je n’ai jamais connu cette jouissance ! Je cris comme une femme, est-ce que je vais connaître leur orgasme ?
Ses mains s’accrochent à mon bassin et le soutiennent, j’ai l’impression d’être en coton, mon corps n’a plus de résistance, il subit les assauts et ma tête va et vient sur l’oreiller à son rythme. Et son gland bute et je gémis et bute et je couine et bute encore, encore, encore, l’étincelle déclenchée à chaque fois m’épuise de jouissance, cette position aussi.
— Viens, mon petit, je vais te laisser t’allonger, comme tu veux, sur le ventre ou sur le dos, ça va ?
— Oh, oui, merci c’est trop bon.
Je m’allonge sur le ventre, il beurre ma raie et mon passage de gel, et ses doigts m’écartent la raie, son membre, sans façon, vient buter mon orifice, et appuie et à nouveau il m’explose l’entrée, sa bite rapide s’enfonce sans ménagement, tape brutalement, douleur ? Jouissance ? Les deux, mais aussi cette joie d’être possédé, d’être désiré si puissamment me ravissent.
Il est très excité, ses doigts glissent sous moi et viennent serrer mes bouts de seins, son va et vient est soutenu tout mon corps vibrent en même temps, son pubis s’écrase contre mes fesses, je pleure, je bande, ses couilles claquent contre moi, et son gland frappe le fond de mon cul. Il se soulève sur les bras, sa transpiration m’a trempé le dos, je me cambre un peu, espérant que cette offrande l’entraînera jusqu’à à l’orgasme.
Il souffle fort, au rythme de ses coups de reins, sa bite m’électrise à chaque fois son tempo est régulier, le geste aussi, je suis pris dans sa danse, vibrant d’excitation, j’ai à peine le temps de prendre mon souffle que ma jouissance jaillit, étincelant tout mes nerfs. Sa virilité s’enfle, ça frotte, ça chauffe, il enduit sa tige de gel à chaque sortie, merci.
Il se remet en appui sur ses deux mains, ses avant-bras collés à mon torse. Il accélère, mes décharges électriques aussi, il tape il tape de plus en plus vite, je n’ai plus de répit, la jouissance est continue, ça s’amplifie, encore encore, je ne suis qu’électrique, encore encore, incroyable incroyable, une accélération fulgurante de mon plaisir me projette dans un orgasme sidéral. J’appartiens au cosmos, son sexe est pris de spasmes, j’entends la fin de ses feulements. Le silence et le calme s’installent dans la chambre.
Je m’endors.
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