Les 12 servitudes d’Hélène – 4 ème servitude : La favorite d’Hyppolitée – (Introduction) - Les dix guerriers plutôt colosses à la forte musculature se succédaient auprès des divers orifices d’êta, totalement offerte à leurs désirs... Tandis que l’un se soulageait dans sa bouche, un autre emplissait son cul... Et si l’un se retirait, un autre prenait sa place... aucun des trous que pouvait leur offrir l’esclave n’était laissé plus d’un instant inutilisé... Ils riaient, buvaient du vin, baisaient la femelle qu’on leur avait livrée sans aucune retenue... En plein coeur du campement, ils avaient d’abord été l’objet de toutes les curiosités, mais devant la docilité totale de la blonde esclave, la foule s’était peu à peu dispersée. Les soldats, eux, s’inquiétaient fort peu de la réactivité d’êta, tout ce qui leur importait, c’était que son sexe, son cul, sa bouche soient les cavernes béantes pour accueillir leurs sexes durs et tendus. Ils avaient pris diverses drogues afin de pouvoir exhiber des verges d’airain plusieurs heures durant. Le Divin Hantili était en effet fort rarement prolixe en matière de plaisirs charnels. Et il n’était pas toujours possible de prendre le temps de violer les femmes des ennemis vaincus. L’aubaine que représentait cette esclave docile les satisfaisait donc pleinement, aussi passive fût-elle... Le plus grand d’entre eux déversait sa semence en elle, un flot épais et abondant, lorsqu’il se redressa dans un spasme... et s’immobilisa soudain... Face à sa soudaine immobilité, les autres se tournèrent vers lui... découvrant la flèche qui s’était plantée dans sa nuque et ressortait par sa bouche largement ouverte ! Ils n’eurent que le temps de porter la main à leurs épées... Un immense cri venait de retentir et une foule de cavaliers investissait le campement, sabrant et piétinant tous ceux qui tentaient de s’opposer. La foule s’enfuyait en tous sens, telle une volée de moineaux affolés... Beaucoup s’écroulaient, transpercés de flèches, d’autres courraient encore quand une hache avait tranché leur tête... Les dix valeureux guerriers auxquels on avait livré êta furent parmi les premières victimes. Massacrés par une petit groupe, les hachant menu à coups d’épées. L’un des cavaliers, lourdement casqué, trancha les liens qui maintenaient êta dans l’avilissante position. puis, la saisissant par les cheveux, il la força à réagir et la hissa jusqu’à l’encolure de son cheval, la plaçant en travers et couchée sur le ventre avant de repartir au galop, poursuivant le massacre... L’attaque dura près d’une heure... Lorsqu’elle prit fin, des dizaines de corps hittites jonchaient le sol et les survivants fuyaient désespérément dans la steppe. Le prétentieux camp d’Hantili n’était plus que cendres; ses riches étoffes brûlaient ou était déchirées, ses guerriers gisaient sur le sol et une poignée seulement avait été rassemblée et enchaînée, réduits à l’état de futurs esclaves, comme le veut le sort des vaincus. Hantili était maintenant traîné par deux soldats ennemis dont les formes des armures révélaient qu’il s’agissait manifestement de femmes ! Les deux guerrières avaient dépouillé Hantili de ses riches ornements, il ne restait plus qu’un gros tas joufflu, tremblant sur ses jambes frêles, et c’est entièrement nu qu’il suppliait qu’on lui laissa la vie sauve... Il fut jeté aux pieds du cheval de Celle qui portait une armure d’or. Elle en leva son casque, révélant un visage dur mais harmonieux, un regard sombre et perçant, hautain... Elle sourit lorsque Hantili vint s’écraser dans la poussière... Une guerrière s’approcha de lui et le força à se mettre à genoux — Agenouille toi devant Hyppolitée, Reine des Amazones lança-t-elle Hantili tremblait de tout son corps, il suppliait en balbutiant. on le fit taire d’une claque magistrale, donnée par la main gantée d’acier de celle qui l’avait saisi par les cheveux. Hyppolitée prit la parole — Tu es la plus immonde représentation de la masculinité. Hantili, toi qui te dit divin et n’est qu’un ignoble chien obèse ! Tu as osé pénétrer sur les terres qui dépendant de nous, Les Amazones.. tu vas en payer le prix. tes soldats seront nos esclaves, tes femelles deviendront des guerrières et toi, tu vas être relâché et tu pourras tenter de regagner ton royaume... oui … relâché … ha ! ha ! ha ! … Hantili se jeta dans la poussière sous les sabots du cheval d’Hyppolitée prêt à lécher la terre en signe de reconnaissance... Mais il n’avait pas tout entendu... — Pour te punir de tes prétentions, on va te laisser partir mais seul à travers l’immensité du désert bouillant d’un soleil implacable et meurtrier…. seul et entièrement nu... Oui nu avec tes mains attachées derrière le dos... mais aussi tu vas être bâillonné de la bouche... et tu erreras ainsi... Et si tu en sors vivant, ce qui est peu probable sans eau, soit maudit à jamais ... dit Hyppolitée en faisant un signe à ses gardes Hantili supplia, hurla, pleura... sans émouvoir un instant celles qui se saisirent de lui, pour lui lier les poignets et le bâillonner d’une large bande de cuir épaisse, puis pour l’expulser vers l’extérieur du campement... S’il survivait à cette traversée du désert si immense, il ne serait plus jamais rien, ni roi, ni homme, ni eunuque, son destin était scellé et nulle Amazone ne s’en inquiétait. La colonne des guerrières reprenait le chemin de la cité des Amazones en menant les soldats hittites capturés derrière leurs chevaux, et les femmes libérées sur des chariots... êta était toujours en travers de l’encolure de la monture de Celle qui l’avait libérée et s’était emparée d’elle. La femme casquée pelotait sans aucune gêne le cul nu de la sublime blonde... Elle lui murmurait : — Mmhhh que tu es douce et belle ! Sais tu que nous pouvons choisir des femmes comme compagnes ? j’aimerai bien te prendre, tu serais un doux repos pour une guerrière... Mais je sais que tu es du genre à plaire à notre Reine. Lorsque nous serons au palais, je t’offrirai à Hyppolitée, je suis sûre que tu auras une place d’honneur en son Gynécée... (A suivre)...
