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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les dressages de Christine

Chapitre 1

Inceste
I - CHRISTINE SE PROCURE UN AMANT
    Après mené une vie d?épouse honnête et de mère aimante et consciencieuse Christine envoie balader un mari qui a passé sa vie à l?utiliser, s?installe dans un vaste appartement dans le centre d?une grande ville française. Elle a repris un job qui la passionne et lui permet de mener la vie bourgeoise qu?elle a toujours connue.    En s?essayant à l?Internet elle a fait la connaissance de femmes dans sa situation avec qui elle échange régulièrement des confidences dont elle s?était jusque-là crue bien incapable. Christine s?est particulièrement attachée à Lia qui fait preuve d?une grande indépendance et d?une étonnante liberté de ton. Lia à également le mérite de résider dans la même région qu?elle.    Christine, la cinquantaine bien sonnée se lance dans des expériences sexuelles en se laissant guider par le hasard et ses envies, avant d?affronter une vieillesse dont elle redoute les ravages.     Elle n?est ni laide ni belle, son visage est intéressant mais elle conserve un air sévère que renforce encore le strict chignon dans lequel elle emprisonne des cheveux blond cendré. Elle a un beau regard bleu et une peau plutôt blanche. Plus encore que sa taille, 1m80, qui lui évite de passer inaperçue, ses jambes magnifiques et ses pieds qu?elle sait mettre en valeur suscitent la convoitise des hommes et la jalousie des autres femmes. Sa poitrine et ses hanches sont bien proportionnées et elle entretient sa forme par la pratique régulière de la natation.    Lia a convaincu Christine de prendre un amant, à cette dernière qui objectait qu?en matière de macho égoïste elle avait déjà donné (23 ans de sa vie), Lia conseilla d?en chercher un très jeune, très très jeune.    Alors elle passa une annonce sur le web ainsi libellée :      ? Femme, la cinquantaine dynamique, souhaite partager sorties, plaisirs et expériences variées avec jeune garçon (18-25), gentil, ouvert et indépendant habitant dans la région PACA. Répondre par mail etc. . ?    Ca ne coûte rien d?essayer. A sa grande surprise elle eut de nombreuses réponses. Après avoir éliminé celles qui ne correspondaient pas du tout à l?annonce, elle entama une correspondance par mail avec ceux qui restaient. Il y en avait quand même une dizaine. Au bout de plusieurs semaines elle en avait gardé trois. Elle se décida à rencontrer le plus jeune, Eric, et lui donna rendez-vous dans une grande brasserie du quartier commerçant.     Lia lui conseilla de se parfumer abondamment mais de ne pas trop se maquiller, et de porter des vêtements qui ne montreraient rien mais dont la finesse laisserait deviner ses formes. Elle choisit un ensemble en voile gris souris, qui lui allait très bien au teint, et dont la jupe arrivait juste au-dessus du genou. Il faisait bon, elle y alla les jambes nues et les pieds cambrés dans de légères sandalettes à talons dont les étroites brides noires accentuaient encore son érotisme chic.    Christine ne portait pas beaucoup de bijoux, en plus de ses boucles d?oreilles nacrées qu?elle n?enlevait jamais, elle avait une splendide montre carrée et une chevalière de famille à l?auriculaire. Elle avait passé ses dessous habituels car il n?était pas question d?aller très loin pour l?instant.     Elle arriva avec 20 minutes de retard, et fila droit vers un très jeune homme qui conformément à ses instructions s?était installé au fond de la brasserie sous une ancienne publicité pour un apéritif anisé.    Il se leva pour l?accueillir, elle lui tendit la main et il ne put soutenir le regard qu?elle lui adressa droit dans les yeux. Avec ses talons elle était plus grande que lui. Il était plutôt joli garçon, un peu efféminé, peut être. Il était plus jeune que son fils !!!     ? Bonjour madame ? parvint-il à articuler en rougissant. Quand il fit le tour de la table pour lui laisser la banquette elle ne put s?empêcher de remarquer la bosse qui gonflait l?avant de son pantalon. ? Je crois que je lui plais se réjouit-elle intérieurement. ?     ? Bonjour Eric ?, sa voix était assurée malgré l?émotion due a cette première expérience, mais compte tenu de la différence de catégorie qui la séparait de son nouvel adversaire, elle était sûre d?elle. Tu peux m?appeler Christine mais je veux que tu me vouvoies.    Ils échangèrent quelques banalités sur le temps, la circulation, la difficulté de se garer, ils n?avaient pas grand chose à se dire, elle changea donc ses plans et lui proposa de l?emmener tout de suite chez elle. Quand il se leva pour la suivre la bosse de son pantalon avait pris de telles proportions que Christine lui tendit le fin châle dont elle s?était munie machinalement, pour qu?il masque sa proéminence vestimentaire. Elle l?accompagna jusqu?à sa voiture et le fit monter à l?arrière. Christine était très excitée à la fois par l?émoi du garçon mais également par le rapport qui s?installait entre eux. Elle le dominait, physiquement et moralement, c?est elle qui mènerait le jeu cette fois. Inconsciemment elle avait envie de lui faire payer 23 ans de servitude.     ? Tu es excité, tu bandes comme un cerf, tu crois que je peux t?emmener comme ça chez moi ? ?     ? Non... ? bredouilla Eric    Assise à la place du passager elle s?adossa contre la portière et allongea ses jambes sur le fauteuil du conducteur. Elle lui dit de s?installer face à elle sur le siège arrière les jambes sur la banquette, adossé contre la porte gauche. ? Rends-moi ça ? lui dit-elle en montrant le châle avec lequel Eric cachait sa braguette. ? Défais-toi, montre moi ce que tu as là ?, bien qu?un peu humilié Eric n?hésita pas longtemps à ouvrir son zip pour en extraire sa verge.      ? Défais la ceinture et déboutonne-toi, allez plus vite ! ? ? Baisse ton pantalon et ton caleçon jusque sur tes chevilles ? Elle voulait qu?il puisse écarter les cuisses, elle voulait voir sa verge mais aussi ses glandes. Il était jeune sa queue était plaquée contre son ventre, pas très grosse mais bien raide. ? Décalotte-toi, montre-moi ton gland cramoisi ! ?    A peine avait-il saisi sa queue pour faire coulisser la peau vers la racine de sa tige, qu?un jet de foutre se mit à gicler puis un autre et encore un autre, le petit mâle n?avait pu contenir son excitation et il se tordait dans un spasme violent à l?arrière de la voiture cramponné à son engin qui n?arrêtait pas de tressauter dans ses doigts serrés.    Christine lui tendit un paquet de Kleenex, ? Essuie-toi, tu en as mis partout ? L?odeur âcre du sperme avait envahi la voiture dont les vitres s?étaient couvertes de buée. Christine alluma la lumière pour qu?Eric puisse nettoyer toutes les traces de sperme qui souillaient les coussins, la portière et même la vitre. Il s?en était mis partout. Cette conclusion précoce avait un peu refroidi Christine qui décida de rentrer seule.     ? Rentre chez toi, je te re-contacterai avant le week-end ?. Nous étions mercredi ça lui ferait deux jours à attendre. Il se rhabilla et quitta la voiture, Christine le suivit des yeux dans le parking et attendit qu?il ait disparu pour s?installer au volant et regagner son appartement.    Cette aventure l?avait laissée sur sa faim mais elle lui avait néanmoins révélé un aspect de sa personnalité qu?elle n?avait jamais soupçonné. Elle aimait dominer, et ce jeune mâle était le catalyseur de ce penchant qu?elle était curieuse d?explorer.
    Lia éclata de rire quand elle lui raconta sa brève aventure, mais parut très intéressée par la nouvelle facette de la personnalité de Christine.     ? Tu vois, Christine, c?est pas difficile, tu le revois quand ? ?     ? Le week-end prochain mais je vais le faire languir avant de le convoquer ?     ? Tu me raconteras ! Ciao ! ?    Après avoir raccroché, Christine, se fit couler un bain, elle passait des heures dans son bain. Elle aimait y lire en écoutant de la musique, elle s?y faisait des câlins, avec l?eau du robinet qu?elle faisait couler sur sa chatte en se caressant les seins. Bien sûr la position n?était pas très élégante, mais peu importe la posture, pourvu qu?on ait l?orgasme.     Ce soir-là elle n?a pas lu, elle est partie dans une série d?orgasmes qui n?en finissaient pas et l?ont laissée exsangue au fond de sa baignoire. Elle eut à peine la force de se sécher et de se traîner jusqu?à son lit et s?endormit comme un homme qui vient de tirer un coup.    A son réveil l?expérience de la veille lui revint, et plus précisément le membre bandé du jeune homme, bien qu?elle ne l?ait aperçu que furtivement avant qu?il l?empoigne pour tenter de contrôler son explosion. Christine était partagée entre l?excitation que lui procurait le désir qu?elle avait fait naître chez ce garçon, et l?inquiétude que son fils, un peu plus âgé qu?Eric puisse tomber sous la coupe d?une femme comme elle.    Elle chassa rapidement ses scrupules et se rappela son programme ? Me faire plaisir, rattraper le temps perdu ?    Le vendredi matin elle envoya un mail a Eric en lui donnant rendez-vous à deux maisons de chez elle. Le samedi à onze heures..    Depuis onze heures Christine observe Eric qui bat le pavé devant le café où elle lui a donné rendez-vous. Elle le veut anxieux, elle attend jusqu?à midi moins le quart pour téléphoner au bistrot. De son balcon elle aperçoit le serveur qui appelle le jeune homme à l?intérieur de l?établissement.      ? Allo ?     ? Eric ? Viens chez moi au 25 de la rue, 3ème étage à droite de l?ascenseur. ?     ? Oui madame ?     ? Avant de sonner à ma porte je veux que tu ouvres ta braguette et que tu sortes ta verge et tes glandes. Et tu attendras que je t?ouvre. ?    Par l??illeton elle l?a vu arriver sur le palier, jeter un regard circulaire puis se résoudre à ouvrir son pantalon et à en sortir ses attributs de jeune mâle. Il s?est carrément collé le ventre contre sa porte redoutant qu?un voisin le voie ainsi exposé. Christine finit par lui donner l?entrée, il s?y engouffre précipitamment, visiblement rassuré de se mettre à l?abri des regards étrangers.    Christine verrouille la porte, et regarde sa conquête. Il n?est pas brillant, et tente de cacher son sexe avec ses mains.     ? Retire tes mains et suis-moi?    Elle se dirige vers la salle à manger, Eric lui emboîte le pas, elle sent son regard posé sur ses jambes et ses pieds, elle porte une jupe de cuir noir et des chaussures à talons extra hauts qui la cambrent et lui donnent une démarche de putain en train de faire le trottoir.
    Elle s?assied à moitié au bord de la table et le regarde arriver près d?elle la queue à l?air.      ? Mets tes mains derrière ta tête et marche un peu autour de la pièce ?    Elle était impatiente de regarder ce sexe qu?elle n?avait fait qu?entrevoir à leur première rencontre.      ? Il n?est pas bien gros, mais il a une jolie forme. Tu crois que tu peux te décalotter sans te faire exploser, cette fois ? ?     ? Oui.. . ?     ? Alors montre-moi ton gland ?    Il s?exécute et lui fiait découvrir un joli gland bien rond, bien luisant et tout cramoisi, le reste de la hampe est plutôt blanc, laiteux.     ? Baisse ton pantalon, enlève ton slip et tes chaussures, je veux voir tes couilles ?    Elle aime faire claquer les mots crus, ça l?excite.     ? Maintenant marche, viens vers moi. La queue pointe vers le haut et remue à chaque pas d?un mouvement circulaire un peu désordonné. Tu as de jolies petites couilles, bien rondes, mais je n?aime pas les poils, Je te veux nu comme le dos de la main. De devras te raser pour ta prochaine visite. ?    Eric se contente d?acquiescer. Christine est bien échauffée et sent ses seins gonfler dans son corsage, et cette contraction dans son ventre, prélude à une excitation qui irait crescendo.     ? Approche, à genoux, viens te coller contre moi ?    Christine sent le membre glisser entre ses mollets qu?elle serre l?un contre l?autre pour l?y comprimer.     ? Tu les aimes mes jambes ? ?     ? Oui madame ?     ? Alors baise-les ?    Eric commence alors un mouvement de va entre les mollets de cette femme en train de devenir sa maîtresse.     ? Ne jouis pas avant que je te l?ordonne, sinon nous deux c?est fini ! ?    Christine retrousse sa jupe et entreprend de se caresser la fente sous les yeux du garçon qui a collé sa tête contre sa cuisse. Il est aux premières loges, l?odeur musquée de sa chatte emplit ses narines, c?est la première fois qu?il voit une femme se branler. De temps à autre elle met deux ou trois doigts dans la bouche du garçon pour y recueillir un peu de salive et continuer sa masturbation.      ? C?est bien continue à baiser mes jambes, plus vite, je vais jouir, je veux te sentir gicler sur mes mollets, je veux sentir ton foutre couler dans mes chaussures, vas-y, maintenant ?    L?explosion se propage dans tout le corps de Christine, en partant de son ventre, elle a l?impression que tous ses poils se hérissent, de la tête aux pieds. Elle sent alors la verge cracher son foutre, les soubresauts incontrôlés entre ses mollets, le liquide chaud coule sur ses chevilles, s?immisce dans ses chaussures. L?orgasme de Christine se prolonge en vagues successives, à présent les muscles de son vagin se contractent par a-coups, dans un cycle qui lui paraît ne jamais vouloir s?arrêter. Elle se cramponne à la tête de son amant qui n?ose pas bouger, surpris par la violence de l?orgasme de la femme.    Avec un peu d?expérience il pourrait prolonger encore longtemps la jouissance de sa maîtresse, jusqu?à ce qu?elle le supplie d?arrêter, car la douleur de ses muscles deviendrait insupportable, mais à 18 ans on a encore beaucoup de choses à apprendre.    Marc    août 2002
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