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Les égarements de Victoria

Chapitre 2

Reprendre la main

Avec plusieurs hommes
Laurent sentait de plus en plus Victoria lui échapper à chaque passage de Brian. Elle ne prenait même plus la peine de lui demander tacitement son accord. Elle se contentait de satisfaire les envies de fellations et de sodomie du jeune homme. Aussi, il ne fut pas surpris quand un soir, le téléphone de Victoria sonna pour une nouvelle demande.
— Tu veux bien m’accompagner chez Brian ? Il ne peut pas venir ce soir, mais il a envie.— Je préfère quand il vient à la maison. Je ne vais pas non plus te livrer. Je ne suis pas un service de baise à domicile.— Si tu ne veux pas, j’y vais seule.
Résigné, Laurent accepta cette nouvelle lubie. Victoria partit vite se changer. Elle revint avec une robe fendue le long de la jambe au décolleté profond, une robe qu’affectionne particulièrement Laurent pour leurs soirées. Quelques minutes plus tard, ils étaient devant un immeuble dans lequel il s’engouffrait à la recherche de l’appartement de Brian.
— Tu es très en beauté, dit ravi Brian, en ouvrant la porte.— Merci. Je l’ai mise pour toi, répondit Victoria.— Merci Laurent de l’avoir amenée. Je te la renvoie quand j’ai fini.— Mais... je reste...— Non, attends en bas. Ce ne sera pas long, lui dit Brian.— Tu n’as qu’à attendre dans la voiture. J’arrive dès que possible, ajouta Victoria.
La mort dans l’âme, Laurent redescendit les escaliers jusqu’à l’entrée du bâtiment et regagna la voiture.
Pendant ce temps-là, les deux amants ne perdirent pas une minute. A peine la porte fermée, Brian invita Victoria à se mettre à genoux pour le prendre en bouche. Elle sortit le sexe de Brian de son pantalon, découvrant l’absence de sous-vêtement du jeune homme. Elle le branla quelques secondes pour obtenir une belle érection permettant la mise en place du préservatif. Au moment où Laurent pénétrait dans la voiture, la verge de Brian pénétrait la bouche de sa compagne. Victoria suça quelques minutes son étalon avant qu’il ne la relève. Il l’amena vers le canapé où il l’installa à quatre pattes. Il releva la robe.
— N’en mets plus pour venir me voir, dit Brian en découvrant la culotte de Victoria. Tu devrais toujours être disponible.— Comme tu voudras, répondit-elle.
Il retira le sous-vêtement et commença à caresser le petit trou de la jeune femme. Celui-ci s’ouvrit très vite comme un appel. Brian ne se fit pas prier et plaça son gland à l’entrée de l’anus ouvert. Il n’eut pas à pousser beaucoup pour que le petit trou de Victoria ne l’avale. Prenant le temps d’apprécier le moment, Brian sodomisa avec vigueur Victoria. Le plaisir de cette dernière s’exprimait par des gémissements. Elle aimait de plus en plus être enculée par le jeune homme. Il faisait aller et venir sa verge dans l’étroit conduit de la jeune femme en agrippant fermement à ses fesses offertes et à ses hanches où la robe était troussée.
Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, Brian quitta l’anus de Victoria et la retourna pour déverser son sperme dans le décolleté de la jeune femme. Le liquide chaud à peine étalé, Brian invita Victoria à rejoindre Laurent.

— Ma culotte ? demanda Victoria.— Je la garde... en souvenir et pour te rappeler que tu ne dois pas en mettre avec moi.— Je peux me nettoyer au moins ?— Et ainsi gâcher le plaisir de Laurent ? Non, il vaut mieux qu’il voit, répondit-il.
Victoria repartit vers la voiture, ne croisant personne à son grand soulagement. Arrivée auprès de Laurent, elle lui demanda de démarrer vite. Il comprit l’empressement de sa compagne en voyant la semence encore bien liquide de Brian. Il demanda lors du trajet à Victoria de lui raconter. Elle décrit le moment passé avec Brian sans omettre le moindre détail.
— Il a gardé ta culotte ? s’offusqua-t-il.— Oui, répondit embêtée Victoria.— Mais pour qui il se prend ? Tu ne vas pas te balader le cul à l’air pour ce type.— Si ça lui fait plaisir, je pourrais.
Arrivé à la maison, Laurent ne put retenir bien longtemps ses envies. Il sortit son sexe et le mit dans la bouche de sa compagne. Il baisa sa bouche sans aucune retenue, enfonçant sa verge le plus profond possible dans la gorge de sa compagne. Déjà bien excité par le récit, il ne garda pas bien longtemps son sperme au chaud. Il balança une première giclée sur le visage de Victoria, la maculant de ses yeux à sa bouche ouverte. Puis il lança les jets suivants dans le décolleté de sa compagne, ajoutant son sperme à celui de Brian.
Mais, au fil du temps, quelque chose chagrinait de plus en plus Laurent. S’il était toujours autant excité de savoir sa compagne dans les bras d’un autre, il se rendit compte que cet autre était uniquement depuis un long moment uniquement Brian. Il se décida à mettre les pieds dans le plat et décida d’aborder le sujet avec Victoria.
— Depuis combien de temps tu n’as pas couché avec un autre que moi ? questionna Laurent.— Tu plaisantes ? La semaine dernière, Brian est venu à la maison. On l’a fait devant toi, répondit Victoria, étonnée que le sujet soit abordé.— Oui, c’est vrai... Brian... Et... depuis combien de temps tu n’as pas couché avec un autre que moi... et Brian ?— Pas si longtemps que ça, dit-elle avec peu de convictions.— Tu es sûre ?— Oui... Ça fait un petit moment, mais pas tant que ça...— Ça te manque nos soirées « chasse » ?
Victoria baissa les yeux comme si elle se rendait compte. Laurent voulut aller plus loin et lui demanda si elle voyait toujours Brian comme un autre ou comme son deuxième compagnon. Vexée par cette allégation parce qu’elle ne la trouvait pas si fausse que ça, Victoria osa :
— Ce soir, on va me trouver un étalon. Et je vais lui faire tout ce que tu veux... Devant toi !
L’idée était lancée. Le soir même, Victoria enfila sa plus belle tenue de chasseuse estivale, un bel ensemble caraco fleuri et jupe danseuse noire, une petite culotte noire légère peu opaque et une paire de sandales noires.
Après une petite heure passée dans un bar dansant, elle eut droit à une première approche. Laurent, qui suivait de loin, lui envoya un texto plus qu’explicite : « Pipe dans le parking. Je t’y attends. » Et il n’attendit pas longtemps avant de voir Victoria se rendre dans le parking, suivie de sa conquête. De loin, il suivit le couple qui allait vers un endroit au calme.
Entre deux voitures, Victoria s’agenouilla et agrippa l’homme par la ceinture. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle avait extirpé le sexe hors du pantalon et l’avait équipé d’un préservatif. Elle commença à sucer cette verge goulûment. Elle faisait aller et venir ses lèvres le long de la barre de chair offerte à sa libido. L’homme ne fut pas long à jouir. Il attrapa la tête de Victoria et s’enfonça dans sa gorge pour se déverser dans la capote. Lorsqu’il eut fini, Victoria se releva, récupéra le préservatif rempli et rajusta sa coiffure. Elle prit alors congé de sa conquête dont le sourire en disait long sur les talents de suceuse de Victoria. De retour dans le bar, Victoria retrouva Laurent qui la félicita. Elle proposa alors de rentrer, mais Laurent lui dit que la soirée ne pouvait pas finir ainsi, elle devait aussi avoir sa dose de plaisir.
Le couple partit alors vers un endroit connu des libertins du coin : un petit bois en bord de route. Laurent s’y arrêta.
— Je ne serai pas loin. Je pourrai voir, dit-il.— Mais on n’est que tous les deux.— Attend un peu. Et allume les veilleuses de la voiture.— OK... Et après ?— Par derrière. Uniquement par derrière, finit Laurent avant de quitter la voiture.
Victoria n’eut pas à attendre longtemps avant de voir une silhouette se dessiner à l’orée du bois. Un homme d’une cinquantaine d’années, un peu bedonnant et pas très bien habillé, s’approcha de la voiture avec une main sur la braguette.
— Excuse-moi, madame. Tu veux l’amour ? demanda-t-il dans un français approximatif.— Oui, je suis venue pour ça. Mais... protégé et par derrière.— Tu veux dans le cul, madame ?— Oui, c’est ça, répondit-elle en sortant de la voiture.
Victoria sortit le sexe de son futur partenaire et commença à le masturber pour qu’il prenne de l’ampleur. Elle fut un peu déçue de la taille du sexe qu’elle avait entre les mains. Mais elle l’équipa tout de même d’un préservatif quand il fut assez dur. Elle vint se poser sur le capot de la voiture mettant en évidence ses fesses. L’homme ne se fit pas prier et après l’avoir troussée, il lui retira sa culotte. Il posa son sexe sur l’anus de la jeune femme puis poussa pour entrer. N’étant pas très épais, il n’eut aucun mal à pénétrer le petit trou. « T’es belle, madame », lui dit-il en commençant à la sodomiser. Laurent, caché derrière un bosquet, ne perdait rien du spectacle de sa compagne offerte en bord de route. Là encore, l’étreinte fut de courte durée. L’homme ne tint pas longtemps et, dans un râle animal, jouit au fond de l’anus de Victoria. Il partit alors très vite comme s’il était honteux.
Laurent s’approcha de sa compagne qui se rajustait.
— A moi maintenant.— Comment ça ?
D’une main ferme, Laurent agenouilla sa compagne face à sa verge déjà sortie et bandée. Il s’enfonça dans la bouche de Victoria et commença à lui baiser la gorge avec vigueur. Ses couilles venaient taper sur le menton de la jeune femme. Laurent agrippa fermement la tête de sa compagne pour donner des coups de boutoir sauvages. Quelques minutes de cette pipe intense suffirent à faire venir Laurent. Il jouit à grands jets dans la bouche de Victoria qui avala l’offrande. Il étala les gouttes restantes sur les joues de sa compagne. Puis ils rentrèrent à la maison, ravis de cette soirée.
— Il t’a manqué ce soir ?— Qui ? demanda-t-elle faussement.— Brian !— Pour être complètement honnête, oui, un peu.— Et tes proies du soir ?— Pas terribles... Mais si ça t’a plu, c’est l’essentiel.— Tu le lui diras ?— Non, c’est pour nous... entre nous... que nous deux.
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