— Ce soir, fais-toi belle. Je te présente à des amis. Brian avait envoyé un petit texto à Victoria pour la prévenir qu’il venait la chercher. Très étonnée de cette demande, elle l’appela pour plus d’information. — Ça fait un moment que mes amis veulent que je leur présente ma copine, lui dit Brian.— Des amis ? questionna Victoria.— Oui, j’ai des copains qui font une soirée. Des couples. Ils veulent connaître ma copine... te connaître donc.— Pas de sexe ? tenta de savoir la jeune femme.— Non... Mais si ça se passe bien, peut-être que tu auras droit à moi. Si ça te convient. Rassurée, Victoria se pomponna pour la soirée. Laurent, de son côté, était assez ennuyé que Brian veuille présenter Victoria comme sa copine. Ils n’étaient pas ensemble. Victoria était en couple avec lui. Victoria tenta de le calmer, mettant en avant la pression qu’il devait ressentir. « Une soirée couple alors que tu es célibataire, c’est pas facile. » Et Laurent finit par accepter cette situation rocambolesque. Sur les coups de 19h, Brian arriva pour chercher une Victoria qui arborait pour la situation une jolie robe très sobre. — Tu es superbe, lança le jeune homme.— Merci.— Sous ta robe, tu as mis quoi ?— Un petit ensemble noir. Tu veux voir ?— Non, parce que je ne veux pas que tu le gardes, répondit Brian. Tu sais que, en ma présence, je veux que tu oublies le port de culotte.— Oui... Mais c’est une soirée... normale.— Tu as le choix : soit tu l’enlèves et on y va, soit tu la gardes, je repars et je ne reviens plus. Devant cet ultimatum, Laurent se sentit soulagé. Elle allait le renvoyer et cette histoire serait finie, se disait-il. La réaction de Victoria fut tout autre. Elle souleva sa robe et retira son sous-vêtement. Elle le posa sur la déserte de l’entrée et se tourna vers Laurent avec un sourire et des yeux qui présentaient des excuses. Elle ne voulait donc pas que ça se finisse ainsi. Laurent resta seul toute la soirée en se demandant ce qui devait bien se passer du côté de Victoria et de « son copain ». Victoria et Brian passaient une excellente soirée. Tous les amis de Brian étaient ravis de la rencontrer. La gêne de ne pas porter de culotte finit par s’effacer. Lorsque la soirée arriva à sa fin, les deux amoureux d’un soir s’éclipsèrent. Brian ramena Victoria chez elle. Arrivés à la maison, Brian suivit une Victoria enjouée. — Je crois que tu l’as bien mérité, dit Brian en ouvrant sa braguette.
Très vite, la jeune femme tomba à genoux devant le sexe durci et protégé de Brian. Elle se mit à la sucer comme si elle avait attendu ce moment toute la soirée. Elle dégustait le membre en profitant de chacune des respirations de plaisir du jeune homme. Rapidement, il quitta la bouche de Victoria et la positionna à quatre pattes sur le canapé. D’un geste sûr, il la troussa et posa son gland à l’entrée du petit trou de la jeune femme. Il entra d’un seul coup. L’anus de Victoria avait visiblement envie de se sentir pénétré. La jeune femme se mit à gémir de plaisir. Les gémissements de Victoria tirèrent Laurent de son sommeil encore léger. Il quitta le lit et entra dans le salon. Il vit sa compagne en train de se faire sodomiser par Brian. Un mélange de colère et d’excitation l’envahit. Il profitait du spectacle de sa compagne aux fesses ouvertes pour un autre, mais il lui en voulait toujours de l’avoir suivi. — Je ne vais pas tenir longtemps ma pouliche, dit Brian à Victoria.— Balance-moi ton jus, lui répondit une Victoria qui avait perdu toute retenue. Brian se retira, enleva le préservatif et retourna la jeune femme. Tenant d’une main ferme les cheveux de Victoria et de l’autre son sexe prêt à exploser, il se branla quelques secondes avant d’envoyer un jet puissant dans le décolleté de Victoria. Brian lui demanda de ne pas bouger. Son sperme se mit à couler doucement entre les seins de la jeune femme sous sa robe. Brian, une fois rhabillé, se tourna vers Laurent qui regardait la scène. — Elle n’est pas superbe comme ça ?— Oui, bredouilla Laurent.— Ce fut une excellente soirée. Il faudra qu’on remette ça, dit-il avant de quitter le couple. Victoria jura qu’elle n’avait eu de relation qu’avec Brian devant le regard inquisiteur de Laurent. Puis elle alla se nettoyer avant de venir se coucher contre son compagnon. A peine quinze jours plus tard, Brian invita de nouveau Victoria à une soirée entre amis. « Ils t’ont adorée », dit-il pour achever de la convaincre. La jeune femme accepta l’invitation avec un peu plus d’enthousiasme que la première fois. Après tout, ce n’était plus une nouveauté. Elle se prépara à ce nouveau rendez-vous avec application : une belle robe dos nu bleu marine, une paire d’escarpins noirs et... pas de vous-vêtements. Brian apprécia le geste et ne manqua pas de la remercier par une petite tape sur ses fesses nues. Laurent, encore laissé pour compte, était en train de choisir un film à regarder pendant que les deux amants se mettaient en chemin. Arrivés à destination, Victoria s’étonna de ne pas entendre grand bruit comme la première fois. Elle suivit Brian dans le salon où elle fut accueillie par plusieurs hommes. — Tu le reconnais ? demanda Brian en désignant un des hommes.— Oui, il était à la soirée, il y a 2 semaines.— Mais encore ?— Non, je ne sais pas, répondit Victoria.— C’est vrai que, étant donné qu’il était caché, tu as du mal à le reconnaître. Tu ne l’as peut-être même pas vu. Lorsque tu as donné ton cul à un parfait inconnu, il t’a vue. Victoria commença à comprendre ce qu’il se passait. Elle n’était pas là pour une soirée entre amis, mais pour une soirée où elle allait être l’attraction principale. Le téléphone de Laurent se mit à sonner. — Allô.— Laurent, c’est Brian.— Un souci ?— Non, je te mets en haut-parleur. Comme ça, elle pourra t’entendre... Depuis quand tu offres le petit trou qui m’appartient à d’autres sans me prévenir ?— Comment ça ?— Tu sais très bien ! Du coup, nos règles tombent. Sa chatte, je vais la prendre aussi. C’est de bonne guerre ?— Mais c’est n’importe quoi ! C’est ma copine, pas la tienne.— Il a raison, Laurent. On aurait pu le prévenir, coupa Victoria.— C’est entendu. Je la garde cette nuit. Je te la ramènerai quand on aura fini, ajouta Brian. Et Brian raccrocha. Il tourna alors Victoria vers les hommes assis dans le salon. Passant derrière elle, il commença à relever sa robe doucement. Il l’embrassait dans le cou en remontant doucement le vêtement. Lorsqu’il passa au-dessus de son sexe, dévoilant sa nudité à tous, les hommes complimentèrent la beauté offerte de Victoria par des sifflements et exclamations. — Pas de culotte ? osa l’un d’entre eux.— Quand on aime se faire baiser, on se rend disponible. La culotte, ça ne fait que gêner, répondit Brian. L’un des hommes s’approcha alors de Victoria tandis que Brian finissait de lui retirer sa robe. Nue devant tous, elle tourna à peine la tête quand l’un des hommes se colla à elle pour lui caresser les seins. Un deuxième se joint au petit groupe en ouvrant sa braguette. Quand son sexe fut équipé d’un préservatif, Brian poussa sur les épaules de Victoria pour qu’elle s’agenouille. Elle prit alors le sexe tendu en bouche. Le deuxième sortit son sexe et le présenta protégé à la bouche de Victoria. Elle commença à sucer les deux hommes, passant de l’un à l’autre, branlant celui qu’elle ne suçait pas. Brian s’éloigna alors pour laisser Victoria avec les deux verges. Le téléphone de Laurent sonna : un message. Il ouvrit le message de Brian et vit la photo de sa compagne, nue avec une verge dans la bouche et une autre dans la main. Il fut pris d’une vive colère. Il voulut partir chercher sa compagne, mais il ne reconnaissait pas l’endroit. Il ne savait où aller. Son téléphone sonna de nouveau : « Je t’ai dit que je te la ramènerai quand on aura fini. J’aurais dû préciser quand on aurait TOUS fini. » Victoria fut relevée par les hommes et entraînée vers le canapé. L’un d’entre eux l’y poussa et s’installa derrière elle. Sans trop attendre, il la pénétra. Occupée à sentir ce barreau de chair entre ses cuisses, elle se rendit à peine compte qu’une verge s’était mise devant sa bouche. Elle la prit en bouche, remarquant que la capote n’avait pas été lubrifiée de salive jusque-là. C’était donc une nouvelle verge. Les sexes masculins passaient les uns après les autres dans sa bouche ou son sexe. Elle n’eut pas l’impression d’un quelconque orgasme. Elle repérait parfois le goût de son propre sexe sur la verge qu’elle suçait, lui permettant de savoir qu’elle était passée en elle, mais elle n’avait plus idée de qui la baisait et de qui elle suçait. — On sera mieux dans la chambre pour lui prendre le cul, dit Brian.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle se retrouva à chevaucher un homme qui la pénétrait pendant qu’un autre s’enfonçait entre ses fesses. Pour parfaire le tableau, une troisième verge avait pris place dans sa bouche. Baisée par tous les trous disponibles, Victoria avait l’impression de n’être plus qu’un sex-toy aux mains de pervers. Les hommes ne semblaient pas faillir. Ils se relayaient dans les orifices disponibles. Peu leur importait quel orifice était libéré. Ainsi, trois verges pénétraient la jeune femme en permanence. A son grand désarroi, elle jouit un nombre incalculable de fois. Ce manège pervers sembla durer des heures, sans aucun repos. Puis la tension retomba un petit peu. Victoria put alors entendre la voix connue de Brian. — Il faudrait que tu dormes un peu, non ?— S’il te plaît, marmonna la jeune femme.— On te laisse le lit. Mais la porte de la chambre reste ouverte. Si l’un d’entre nous a envie, il n’aura qu’à venir te réveiller. D’accord ?— Oui... si tu veux... La nuit fut peu reposante pour Victoria. Elle fut réveillée à plusieurs reprises et dut satisfaire les hommes qui la tiraient de son sommeil. Sa bouche, son sexe et son anus furent utilisés à de nombreuses reprises. Au petit matin, Victoria fut réveillée par Brian qui l’invita à le suivre. Elle arriva dans le salon où un seul homme était là et dormait encore. Il lui tendit sa robe qu’elle enfila puis passa derrière elle. Encore embrumée de sommeil, elle se rendit à peine compte qu’il lui avait attaché un collier autour du cou. Quand elle se vit dans le miroir de l’entrée, elle s’aperçut que le collier était formé des capotes usagées contenant du sperme plus ou moins frais. — Un petit cadeau pour ta prestation magnifique de cette nuit. Tout le monde était ravi. Et ça fera un souvenir pour Laurent. Il raccompagna Victoria chez elle. En entrant, elle trouva Laurent, rouge de colère dans le salon. Il lui tendit son téléphone. Elle vit que Brian l’avait arrosé de photos d’elle prise de toute part, complètement soumise à la perversité de ses multiples amants. — Combien ? Ils étaient combien à te salir ?— Je ne sais pas, murmura Victoria avant d’éclater en sanglots. Laurent vivait un peu la soirée de Victoria comme une trahison. Surtout qu’elle n’avait plus la moindre idée du nombre de partenaires qu’elle avait eus. Afin de clarifier le sujet, il obligea plusieurs fois la jeune femme à regarder les photos envoyées par Brian. Et plus elle allait mal, plus elle se sentait mal, plus Laurent était malheureux. Il fallait absolument qu’ils trouvent un moyen de passer au-dessus de cette histoire. C’est Brian qui leur donna cette possibilité sans même le vouloir. — Bonsoir ma toute belle, dit-il dès son arrivée.— Bonsoir, lui répondit Victoria, un peu inquiète.— Je viens te chercher. Tout le monde te réclame. Victoria se tourna vers Laurent dont le regard noir laissa penser à la jeune femme qu’il fallait qu’elle décline l’invitation. — Tu viens ? Je ne vais pas attendre toute la nuit.— Oui... Euh, non... osa Victoria.— Comment ça ‘non’ ?— Non, je ne viens pas.— Je te préviens, je n’ai pas très envie de discuter. Tu viens ou je me casse définitivement. A cet ultimatum, la fois précédente, Victoria avait répondu en suivant Brian. Ce dernier était donc persuadé que ce stratagème allait encore payer. De son côté, Laurent, échaudé par la précédente expérience, n’osait espérer que sa compagne le choisisse. — Alors ? J’attends ! vociféra Brian.— Non, murmura Victoria.— J’ai pas entendu. Tu me diras ça clairement dans la voiture. Des bites t’attendent !— Non, dit-elle plus clairement. Aussi furieux qu’étonné, Brian tourna les talons et repartit seul. Victoria se retourna alors vers un Laurent qui esquissait un léger sourire. — J’aimais beaucoup coucher avec lui, osa Victoria. Mais il est allé trop loin. Et c’est toi que j’aime.— Tu m’as choisi ?— Oui... Et je ne regretterai jamais mon choix. Victoria s’approcha doucement de Laurent et se lova dans ses bras. Laurent l’embrassa doucement en la serrant de la plus douce des manières. — Tu m’en veux ?— Oui, un peu pour la soirée, répondit Laurent. Mais je m’en veux surtout de t’en vouloir.— Tu pourras me pardonner ?— Ça dépend de toi.— Comment ça ?— Brian n’avait pas que des mauvaises idées, dit-il à Victoria qui le repoussa, étonnée. Avec moi, plus de culotte.— Tu veux que je l’enlève ?— Oui. Tu n’en mettras plus pour être disponible à tout moment pour moi... et d’autres que je choisirai. Victoria souleva alors doucement sa jupe et descendit sa culotte. Elle la tendit à Laurent qui en vérifia l’humidité. La trouvant mouillée, il décida de descendre sa braguette et d’extirper son sexe. Sans attendre le moindre ordre, Victoria se jeta à genoux devant lui et le prit en bouche. Laurent attrapa le visage de sa compagne et se mit à lui baiser la bouche sans retenue. Son gland frappait le fond de la gorge de Victoria et ses boules heurtaient à un rythme soutenu. La jeune femme commençait à sentir des larmes lui couler des yeux tant la verge l’étouffait. A plusieurs reprises, il s’enfonça dans sa bouche et lui maintint la tête contre lui. De la bave coulait de la bouche de Victoria. « Avale tout », dit Laurent avant de lâcher une grosse quantité de sperme dans la gorge de sa compagne. Soucieuse de se faire pardonner, Victoria ne perdit pas une goutte de la précieuse semence de son compagnon. Les deux amoureux reprirent très vite leurs petites habitudes... Mais plus aucun homme ne fut invité chez eux et les partenaires ne pouvaient être utilisés qu’une fois.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
