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Les élèves et le prof d'anatomie

Chapitre 4

Putain! Les trois veulent tâter de ma queue.

Avec plusieurs femmes
Le prof et ses élèves. 4

Toujours les mains sur mes fesses, il se soulève du divan, m’entraînant avec lui et je me retrouve suspendue dans les airs par ses bras musclés, et les miens autour de son cou. Il me soutient, sans effort visible de sa part, glisse ses mains sous mes cuisses pour pouvoir me soulever. Je l’embrasse sur les lèvres, le baiser le plus magique de ma vie. Il se retire, me soulevant de ses bras et replonge son dard en moi, je manque m’évanouir tellement sa verge est rentrée profondément en moi.Sa cadence s’accélère et devient incroyablement rapide, il me tringle avec une telle bestialité que je jouis plusieurs fois, gémissant de plaisir. Je ne me croyais pas aussi salope ! Mais lui n’a toujours pas joui.
Suite :Je soupire, halète, essayant de récupérer entre chaque orgasme. Tout à coup, j’entends un bruit et tourne la tête vers la porte du salon. Béa et Cécilie sont en face de moi. Elles restent comme ça pendant un petit moment, sans oser bouger. Pendant ce temps, Hervé continue son va-et-vient, un peu plus lentement maintenant. S’est-il aperçu de leurs présences ?
LES COPINES :On est enfin arrivées vers une maison isolée. Je n’ai pratiquement pas levé les yeux de mon portable pendant le trajet, profitant du spectacle. Putaiiinnn ! Ce n’est pas n’importe qui, le mulet !... Cécilie a manqué nous envoyer dans le décor, à force de regarder du coin de l’œil pour voir de temps en temps notre prof et Idylle. Depuis quelques minutes, maintenant, il la tringle debout et elle n’est qu’une poupée désarticulée retenue uniquement par ses mains et ses jambes, agrippée au corps du mâle, pendant que son piston lui défonce le conduit. Elle doit dérouiller salement, la sainte-nitouche !
Cécilie vient de stopper la voiture dans l’allée, on descend et je vais frapper à la porte... Aucune réponse. Je prends la poignée, la tourne, la porte n’est pas fermée. Nous nous regardons et décidons d’entrer en silence. On se dirige au bruit de ahanement du mulet et aux gémissements d’Idylle et arrivons dans un salon. Quel spectacle !!! Il faut être sacrément costaud pour baiser une fille de cette façon-là.
Il ne la ménage pas, comme on est de trois quarts-dos, il ne peut nous voir, mais Idylle si.Son regard est presque vitreux tellement elle plane au propre comme au figuré sur un tel chibre.Le prof se dirige enfin vers le divan, la versant comme un sac à patates et la laisse récupérer. Il vient enfin de se rendre compte de notre présence.
LE PROF :Mais qu’est-ce qu’elles foutent là ? Comment ont-elles trouvé mon adresse ? Que faire ?Ça ne sert à rien de nier quoi que ce soi puisqu’elles ont pu profiter du spectacle depuis le début.La meilleure des solutions, c’est d’y aller bille (ou bite ?) en tête. En entrant dans cette pièce, elles savaient pertinemment ce qu’elles allaient voir, et ce qu’elles risquaient de subir.
— Je ne sais pas comment vous avez fait pour être là, les filles, mais maintenant, il est trop tard pour reculer. Votre copine n’a pas réussi à me faire jouir. Vous avez cinq minutes à vous trois pour y parvenir. Mais uniquement avec la bouche, et que ça saute, bordel... Vous attendez quoi ? Vous m’avez poursuivi depuis le camping où vous étiez déjà venues exprès pour vous rincer l’œil et là, vous saviez très bien sur quoi vous alliez tomber, alors au travail !

Et me retournant vers Idylle qui est interloquée par mes dires.
— Tu vois l’image à l’écran, et bien elles aussi la reçoivent sur leur portable, depuis le début...

Elles hésitent un moment, mais Béa fait le premier pas, bientôt suivie de sa copine. Je retire la capote et leur présente mon mandrin toujours vaillant.
— Au boulot !

Béa glisse une main entre mes jambes et caresse doucement mon sexe, elle se penche et me prend entre ses lèvres, la mâchoire ouverte à fond, sa bouche on ne peut plus pleine. Elle caresse doucement de la langue mon gland qu’elle commence à pomper fortement, en tournant l’extrémité autour. Elle a la bouche si menue qu’elle arrive à peine à le gober !Cécilie s’est placée à côté d’elle, et pose une main sur ma verge pour la branler tout en douceur, elle me regarde et demande :
— Alors, elle vous suce bien ? Moi, je pense que je peux faire mieux !

Elle repousse Béa pour libérer mon chibre et pose sa bouche sur mon sexe que sa langue commence à explorer, l’embrassant comme une chose très précieuse, avec douceur et tendresse, puis pousse un grand "Aaaaah ! Ça c’est de la queue !" Mais je ramène fermement sa tête sur ma teub qu’elle recommence à pomper, ajoutant ses doigts à sa langue. De l’autre main, Cécilie me caresse les fesses et vient titiller mon anus avec un doigt. Y a pas, elle sait s’y prendre et j’en gémis de plaisir.Cécilie, le triomphe modeste, regarde Béa et lui annonce, tout en intercalant des poses pour exécuter ses conseils :
— Je vais te montrer comment on excite un homme ! Tu lui lèches les couilles tout en lui caressant la bite, tu salives beaucoup dessus pour que ça glisse bien puis tu prends sa queue en bouche, doouucement..." (Cécilie fait coulisser ma verge dans sa bouche, mais sans la sucer plusieurs fois). — Puis, quand tu sens qu’il est bien excité, là seulement tu commences à le sucer.

Cécilie commence un va-et-vient en suçant bruyamment mon gourdin, le plongeant de plus en plus loin dans sa bouche, me mettant un doigt dans l’anus sans la moindre gêne. Déjà une sacrée vicieuse à son âge !Béa doit se demander si c’est bien réglementaire, mais je peux vous certifier que ça me fait bander comme un âne.Cécilie retire sa bouche pour montrer ma trique tendue à l’horizontale et taquine encore Béa :
— Tu vois l’effet ? Allez... Viens m’aider, il y a de la place pour deux sur un tel paf ! Mais avant, vous voulez bien vous étendre sur le dos, Monsieur Mulet, euh... Monsieur Mutel ? Et nous, on se désape.

Elles ne sont pas trop de deux pour sucer pendant que moi, j’explore l’Afrique et l’Asie enfin dénudées.Le continent africain est vaste, avec de hautes montagnes alpines aux sommets érigés en pointes, une vaste plaine, une gorge profondément vallonnée ceinte de lèvres foncées charnues et un derrière callipyge.
Le continent asiatique est plus menu, les monts érodés du Massif central à peine surmontés de tétons très épais, une fente encore plus menue que celle d’Idylle et des fesses de garçon.Le contraste est saisissant quand ma queue change de bouche. L’une n’explorant que le gland et ne s’aventurant que très rarement plus bas pendant que l’autre, telle une spéléologue, essaie de s’aventurer toujours plus bas, courant le risque de l’asphyxie quand mon sexe obstrue le siphon de sa gorge.
Je sens soudain un changement, une troisième guerrière vient de se joindre au combat. Elle a déjà dompté la bête entre ses mains et l’enfourne dans sa bouche aussi sec. Je reconnais celle d’Idylle qui a décidé de se mêler au défi de ses copines pour me faire jouir.
— IDYLLE :
Je me retrouve à nouveau en train de lui embrasser l’intérieur des cuisses, sa bite juste à côté de mon visage, ma langue s’attarde sur son sexe énorme avec la veine gonflée de sang qui palpite toute seule sous les attaques des copines en position de 69 avec lui. Elles se gênent et abandonnent la proie quelques secondes pour s’embrasser. Je me jette sur sa bite avec ma bouche, son sexe butant au fond de ma gorge. Sous nos attaques conjuguées, Hervé commence à perdre pied. A ses grognements, nous remarquons qu’il arrive enfin à la jouissance. Il nous repousse, se redresse et s’astique le nœud en nous ordonnant :
— Je vous veux les trois à genoux devant moi, la bouche ouverte, vite !

On a à peine le temps de lui obéir qu’il reprend :
— Ce n’est pas tout de tirer le vin, maintenant, il faut le boire... Mais avant, il faut le déguster en bouche !

Comme je vous l’ai déjà dit, je n’aime déjà pas sucer un gars, mais encore moins qu’il éjacule dans ma bouche et en plus, que j’avale son sperme. Mais là, devant mes copines, si je ne veux pas passer pour une conne, il va bien falloir que je me force... J’espère seulement qu’il ne lâche que quelques gouttes. Bien mal m’en prend... Son éjaculation est monstrueuse. Je suis un peu sauvée, car ses jets sont si puissants qu’ils s’envolent et atterrissent dans nos cheveux avant qu’il redresse le tir, nous crépissant le visage et vise nos bouches l’une après l’autre.
Malgré ça, la dose que je reçois est encore conséquente et, comme les copines, je ferme la bouche et déglutis son sperme après l’avoir fait tourner dans ma bouche pour en goûter les saveurs. Je suis surprise, car le goût est bien moins désagréable que ce à quoi je m’attendais. Cécilie en a recraché une partie, s’étouffant presque, mais Béa a l’air d’adorer ça. Le prof se recule, admirant le spectacle. Sa queue a baissé de la tête et pend entre ses cuisses, mais toujours aussi grosse et il nous explique :
— Bien les filles ! Le premier round d’observation est passé. Maintenant, il faut passer aux choses sérieuses. Pour Idylle, c’est déjà fait, qui est la suivante ? Toi Béa ? Tu étais celle qui me chauffait le plus au sauna.

A suivre...
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